1ères Biennales des conseillers fourragers 2015 - EARL des Ancres à Malaucourt sur Seille (57), Emilie Frustin (Chambre régionale d’agriculture de Lorraine, Inosys-Réseaux d’Élevage)
1ères Biennales des conseillers fourragers 2015 - EARL des Ancres à Malaucourt sur Seille (57), Emilie Frustin (Chambre régionale d’agriculture de Lorraine, Inosys-Réseaux d’Élevage)
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Avec les interventions d'Hugues Chauveau - Arvalis, Elodie Tranvoiz et Claire Caraës - CA de Bretagne, Romaric Puthod - PRISM - Poisy, Alice Berchoux et Valérie Brocard, Idele
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Avec les interventions d'Hugues Chauveau - Arvalis, Elodie Tranvoiz et Claire Caraës - CA de Bretagne, Romaric Puthod - PRISM - Poisy, Alice Berchoux et Valérie Brocard, Idele
Après une évaluation des effets de la flambée des aliments sur le revenu des éleveurs, des leviers pour les contrer tels que l’allotement, la durée des luttes et le rationnement des agnelles sont abordés.
Ce diaporama présenté à l'édition 2021 de Tech-Ovin présente différents itinéraires de production à contre-saison dans les bassins herbagers ainsi qu'une estimation du surcoût du système d'alimentation.
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique, un levier majeur pour les enjeux à venir (Mathieu Foucault)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique s’adapte à la demande de la filière ovine (Gilles Lagriffoul)
2. La démarche « Systèmes d’avenir »
• Réflexion conjointe des éleveurs et des techniciens ovins
Quels sont les enjeux des éleveurs pour vivre demain du mouton et pour
favoriser l’installation de nouveaux éleveurs ?
Quel système d’élevage ovin allaitant en zone de polyculture élevage du Grand
Est ?
• Composition du groupe
• Ciblage d’éleveurs qui cherchent à adapter leur système
avec une problématique ovine en zone de culture (40 à 50 % d’herbe dans
la SAU)
• Un groupe de 6 éleveurs
des profils différents (âge 20 à 60 ans, structure d’exploitation 170 à 500 ha
et 1 à 4 UMO, …)
• Une envie de partager et d’échanger
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JTO
2
3. Les enjeux prioritaires
• Qualité de vie et temps libre
• 3 semaines de congés / an + quelques week-end
Charge de travail importante en système Céréales Viande Ovine
=> Une volonté de travailler à plusieurs
« Faire des heures dans une journée ne nous dérange pas, mais nous souhaitons des périodes de libre. »
• Revenu, rentabilité et entrepreneuriat
• Un revenu de plus de 2 SMIC
Objectif lié à la charge de travail et aux responsabilités
• Du revenu pour financer l’outil de travail et la capitalisation
Rapport capitalisation sur revenu souvent trop faible pour financer l’outil de
travail (coût du foncier et des reprises en hausse)
• Sécurisation du revenu et résilience
Autonomie alimentaire, diversité des cultures, vente de reproducteurs, …
• La liberté d’entreprendre
« On peut faire ce que l’on souhaite, on s’organise comme on veut. C’est le vrai plus de l’agriculture. »
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4. Les voies d’évolution proposées
1 - Diversifier les assolements *
• Cultures fourragères, cultures de printemps, rotation longue, …
2 - Développer l’autonomie alimentaire *
• Qualité des fourrages, légumineuses, aliment fermier
3 - Bien valoriser les surfaces en prairies permanentes
• Adéquation conduite / productivité des prairies
4 - Sécuriser le système fourrager
• Avec les couverts végétaux (pâturage d’automne, stock)
5 - Améliorer les performances techniques de la troupe
• Plus value liée à la génétique, productivité
6 - Un collectif de travail bien organisé *
• Travail en forme sociétaire, salariat, …
7 - Un parc matériel performant et bien dimensionné
• Itinéraires techniques simplifiés, stratégie d’investissement
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5. Structure des 3 systèmes d’avenir
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Viande ovine + cultures (1) Cultures + viande ovine (2) Cultures + viande bovine
et ovine (3)
Main d’œuvre 1,5 dont 0,5 sal 2,0 3,0 dont 1 sal
Statut juridique Individuel GAEC GAEC
SAU (ha) 150 250 350
SFP (ha PP/PT/ME) 75 / 6 / 0 50 / 6 / 0 130 / 9 / 10
Troupeau 800 brebis Est à Laine
Mérinos
550 br F1 Est à Laine
Mérinos-Suffolk
500 br Romane et 70 VA
Limousine
Chargement UGB/ha SFP 1,6 1,5 1,5
Spécificités atelier ovin CPOV, vente de
reproductrices
Achat agnelles Achat agnelles
PN / PP par EMP 1,3 / 25 kg 1,3 / 25 kg 1,6 / 29 kg
Périodes mises bas 08-09; 11-12 et 01-02 10-11 et 01 10-11 et 12-01
Avec production d’agneaux de bergerie et vente au 1er semestre
6. Diversifier les assolements
• Avec des cultures fourragères et des cultures de printemps
• Résoudre des problématiques agronomiques (vulpin)
• Réduire les aléas climatiques (variations de rendements)
• Gagner en autonomie alimentaire
• Mieux répartir le temps de travail
• Avec une rotation sur 6 ans
• 2 cultures de printemps de suite (problématique vulpin)
• Légumineuse fourragère sur 3 ans en tête de rotation
• Avec une part de colza au maximum de 20 % de la surface culture
• Laisser de la place aux cultures de printemps
• Maintenir la part de blé entre 35 et 40 %
• Et comme conséquence : une réduction des charges opérationnelles
• Charges opérationnelles élevées pour le colza (et rdt en baisse)
• Alors qu’elles sont faibles pour les cultures de printemps …
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7. Diversifier les assolements
• Illustration sur le système « Cultures + viande ovine (2) »
• Assolement (ha) Rotations
=> Semis direct du Colza et le reste en conduite simplifiée
=> Stratégie pratiquée sur les 3 systèmes étudiés
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Prairies
Permanentes;
50 Luzerne
fourrage; 6
Blé hiver; 65
Orge hiver;
32,5
Colza; 32,5
Orge de
Printemps;
32,5
Pois de
Printemps;
13,5
Tournesol; 17 Jachère fixe; 1 Rotation 1 Rotation 2 et 3
Luzerne Colza
Luzerne Blé d'hiver
Luzerne
Orge de
printemps
Blé d'hiver
Tournesol ou
Pois de
printemps
Orge d'hiver Blé d'hiver
Colza Orge d'hiver
Blé d'hiver
Orge de
printemps
Réduction des
charges opé de
150€/ha cultures
Baisse du produit
de 115€/ha
8. Diversifier les assolements
• Réduction des charges opérationnelles
• Positionnement du système « Cultures + viande ovine (2) »
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€/ha
SAV Cultures +
viande ovine (2)
Groupe céréaliers
scopeurs diversifiés
Groupe INOSYS ovin
- CVO
Cas type CVO2 1,8
UGB/ha SFP
SAU (ha) 250 ha 238 ha 259 ha 170 ha
% Blé/Colza/OH dans
la surface en cultures
34/17/17 35/21/17 30/26/20 31/31/19
Charges opé cultures 272 €/ha 425 €/ha 424 €/ha 423 €/ha
Engrais et
amendements
117 €/ha 190 €/ha 141 €/ha 182 €/ha
semences 42 €/ha 58 €/ha 58 €/ha 71 €/ha
Produits
phytosanitaires
92 €/ha 138 €/ha 189 €/ha 153 €/ha
Autres charges 20 €/ha 39 €/ha 36 €/ha 17 €/ha
Produit des cultures 939 €/ha 1034 €/ha 958 €/ha 1054 €/ha
Marge brute 667 €/ha 609 €/ha 534 €/ha 631 €/ha
9. Développer l’autonomie alimentaire
• Réduire les coûts de concentrés
• En produisant des fourrages de qualité à base de légumineuses
• En auto consommant les céréales et protéagineux de l’exploitation
• Améliorer la qualité des fourrages
• Luzerne récoltée au stade optimum pour la valeur azotée
• Temps entre chaque coupe : 45 jours (> 0,75 UFL, >18 % de MAT)
• La luzerne couvre les besoins azotés des rations brebis
• Equilibre énergétique de la ration brebis avec des céréales
• Un aliment fermier pour l’engraissement des agneaux
• 60 % de céréales (OH) et 40 % de pois, 3 % du mélange en CMV
• Durée d’engraissement rallongée de 1 à 2 semaines par rapport à une finition
avec un aliment du commerce
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10. Développer l’autonomie alimentaire
• Illustration sur le système « Cultures + viande bovine et ovine (3) »
• Concentrés
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17 kg de concentré en moins par brebis,
pour une même productivité (mélange
fermier et luzerne)
Un système autonome en concentrés
(passage de 36 % à 97 % d’autonomie)
Baisse du coût du concentré (de 61 € à 49 € /
brebis)
11. Un collectif de travail bien organisé
• Souplesse dans l’organisation du travail
• La vision du métier d’éleveur évolue et les jeunes ne conçoivent plus de travailler
seuls
• Les exploitations en forme sociétaires sont majoritaires (GAEC, EARL, …)
• Avec plus de souplesse dans l’organisation du travail
• Et une gestion plus facile des pointes de travail
• Se libérer pour prendre des congés
• Les systèmes décrits permettent de se libérer 3 semaines par an
• Périodes les moins chargées : mi-mai, début mars et début juillet ou fin août
• La charge de travail reste importante sur certaines périodes
• Mais le souhait principal des éleveurs est de se libérer quelques jours par an et
certains week-end
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12. Un collectif de travail bien organisé
• Illustration avec le positionnement des exploitations sur l’abaque travail
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JTO
12
• La charge de travail peut sembler
élevée, mais elle est atténuée par
l’organisation du travail et le niveau
d’équipement en matériel et
bâtiment.
Ce positionnement a été validé par les éleveurs
• La combinaison des ateliers et la
diversité des cultures lissent
globalement le travail sur l’année
13. Témoignage éleveur
• GAEC du Pain de Sucre
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Les surfaces
570 Ha
La main d’oeuvre: 4 UTH
Etienne, Vincent, Marc DROUVILLE
Jean-Rémi (salarié)
170ha Herbe
400ha Cultures
dont 40 ha
luzerne
+ 100 ha de
prestation (AZ)
Le troupeau
285 UGB
120 VA CHAROLAISES
Système Naisseur Engraisseur (JB, G
23mois)
500 brebis Est Mérinos (agneaux de
bergerie)
14. Témoignage éleveur : les voies d’adaptations
mises en œuvre et envisageables
• Diversification de l’assolement
• Préférence pour la luzerne, les cultures de printemps sont utilisées suivant les
aléas de l’année
• Recherche de l’autonomie
• Luzerne enrubannée pour les bovins (avec orge et blé)
• Foin de luzerne pour les ovins (avec de l’orge pour les brebis)
• Essai en 2017, aliment fermier sur agneaux (avoine/pois et orge printemps) mais
en général engraissement avec de l’aliment du commerce (prime de
déssaisonnement)
• Progrès génétique en ovins, agnelage précoce
• Achat de béliers inscrits
• Agnelages précoces (40% en août, 40% en décembre, 20% en janv-fév)
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15. Témoignage éleveur : les voies d’adaptations
mises en œuvre et envisageables
• Organisation du travail, congés, astreintes
• Souplesse et entraide avec un atelier de référence par associé et soutien des
autres en cas de besoin
• Pas de règles pour les WE et les congés, uniquement entente en cas de besoin
• Matériel récent, fonctionnel avec réalisation de prestations
• Renouvellement régulier et selon les besoins
• Exploitation autonome pour les travaux (400 ha + 100 ha en prestation)
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JTO
15
16. Résultats économiques des 3 systèmes
(* Charges de structure Hors salarié)
=> Un disponible supérieur à 2 SMIC/UMO
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Viande ovine +
cultures (1)
Cultures + viande
ovine (2)
Cultures + viande
bovine et ovine (3)
Produit €/ha 1 593 € 1 342 € 1 392 €
Ch opé % PB 32 % 27 % 26 %
Ch str* €/ha 426 € 398 € 378 €
% EBE* / PB 41 % 44 % 47 %
Disponible € /
UMO
39 000 € 41 700 € 46 100 €
Les systèmes d’avenir sont
saisis dans Diapason
• Systèmes avec une forte efficacité économique grâce aux faibles
charges opérationnelles
17. Résultats économiques des 3 systèmes
(* Charges de structure Hors salarié)
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• Positionnement du système « Cultures + viande ovine (2) »
SAV Cultures +
viande ovine (2)
Groupe céréaliers
scopeurs diversifiés
Groupe INOSYS
ovin - CVO
Cas type CVO2 1,8
UGB/ha SFP
SAU (ha) 250 ha 238 ha 259 ha 170 ha
Produit €/ha 1 342 € 1 363 € 1 333 € 1 425 €
Ch opé % PB 27 % 31 % 39 % 36 %
Ch str* €/ha 398 € 490 € 429 € 460 €
% EBE* / PB 44 % 30 % 29 % 32 %
% Annuités / EBE 43 % - 64 % 41 %
Disponible € /
UMO
41 700 €
(RA 39 000 €
/UMO)
32 570 € 29 910 €
18. Regard sur ce projet
• Autres atouts des 3 systèmes d’avenir proposés
• Réduction de l’impact environnemental
• Installation possible même avec le financement du cheptel (avantage aux
structures sociétaires avec reprise de part)
• Systèmes productifs en phase avec la demande de la filière
• Intérêts de ce travail direct avec les éleveurs
• Définir les enjeux des systèmes de demain avec leur vision
• Des stratégies bien en lien avec les objectifs, en particulier sur le travail et la
rentabilité
• Retour direct sur les hypothèses prises et leurs pertinences « terrain »
• Validation plus rapide
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8èmes
JTO
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19. La suite du projet …
• Souhait des éleveurs de positionner leurs technicités et leurs résultats
face aux systèmes décrits
• Création d’un groupe souhaitant
poursuivre les réflexions …
• Diffusion des résultats aux
conseillers de la région
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