Ce diaporama présenté à l'édition 2021 de Tech-Ovin présente différents itinéraires de production à contre-saison dans les bassins herbagers ainsi qu'une estimation du surcoût du système d'alimentation.
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
Réalisée dans le cadre d'Inn'Ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de regrouper les références techniques et économiques sur la filière ovine.
Intervenants :
Laurence Sagot
Laurent Solas
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Ce diaporama présente les résultats de 22 entretiens auprès d'opérateurs intervenant dans la filière de commercialisation des agneaux biologiques. Pour les Organisations de Producteurs les leviers permettant une meilleure adéquation entre l'offre et la demande sont d'abord une incitation financière au dessaisonnement, la bonne connaissance des élevages, plus de régularité dans la qualité des agneaux. Pour les abattoirs, le premier leviers cité est la complémentarité entre les bassins de production, devant le dessaisonnement et l'accompagnement technique des éleveurs pour plus de qualité et de régularité. Ces entretiens ont été réalisés dans le cadre du projet Casdar RéVABio, et le diaporama a été présenté lors des BioThémas du Sommet de l'Elevage 2021.
Pour en savoir plus :
Idele.fr
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
Réalisée dans le cadre d'Inn'Ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de regrouper les références techniques et économiques sur la filière ovine.
Intervenants :
Laurence Sagot
Laurent Solas
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Ce diaporama présente les résultats de 22 entretiens auprès d'opérateurs intervenant dans la filière de commercialisation des agneaux biologiques. Pour les Organisations de Producteurs les leviers permettant une meilleure adéquation entre l'offre et la demande sont d'abord une incitation financière au dessaisonnement, la bonne connaissance des élevages, plus de régularité dans la qualité des agneaux. Pour les abattoirs, le premier leviers cité est la complémentarité entre les bassins de production, devant le dessaisonnement et l'accompagnement technique des éleveurs pour plus de qualité et de régularité. Ces entretiens ont été réalisés dans le cadre du projet Casdar RéVABio, et le diaporama a été présenté lors des BioThémas du Sommet de l'Elevage 2021.
Pour en savoir plus :
Idele.fr
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
Le pâturage des céréales en hiver n'entraine pas de diminution du rendement des céréales en grain, voir l'augmente, à condition de respecter quelques règles.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Ce diaporama présente les résultats 2019 de l'Observatoire des volumes en ovins viande bio.
Les différents graphiques font notamment le point sur l'évolution de la production nationale au cours des dernières années, les principales régions productrices, l'étalement des ventes au cours de l'année, les prix rendu abattoir comparativement au conventionnel, etc.
Jean-François Deglorie (ForéBio)
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
Malgré la crise sanitaire, l’année 2020 s’est inscrite dans la continuité de la bonne année 2019. La collecte a progressé de 4%, le prix moyen du lait de 3,1% et le prix de vente des fromages par les transformateurs industriels (PVI) de 2,1%. Le marché s’est aussi renationalisé avec la chute des importations de caillé congelé. Si en 2021, les perspectives sont toujours positives pour la filière caprine, la dévalorisation du chevreau et la hausse du prix des matières premières impactent le revenu des éleveurs.
Après de nombreuses années de baisse structurelle des revenus, les résultats des éleveurs diversifiés avec cultures et des naisseurs engraisseurs de jeunes bovins profitent d’une embellie en 2021 et retrouvent des revenus supérieurs à 30 000 €/UMO. A contrario, les naisseurs et naisseurs engraisseurs de veaux sous la mère ont depuis 2017 des revenus inférieurs à 20 000 €/UMO.
L’amélioration de la conjoncture de tous les gros bovins et des cultures de vente tirent nettement les produits à la hausse. La situation demeure morose pour les animaux maigres.
Les aides sécheresses, nécessaires ces dernières années pour soutenir les revenus impactés par les aléas climatiques, ne sont pas renouvelées en 2021 du fait d’absence d’aléas climatique. Une aide COVID, versée en décembre 2021 fait en revanche son apparition pour soutenir les plus bas revenus (inférieurs à 11 000 €/UMO en 2020 ).
Les charges opérationnelles sont contenues grâce à l’absence d’aléas mais la forte augmentation du carburant induit une hausse des charges de structure.
Après une évaluation des effets de la flambée des aliments sur le revenu des éleveurs, des leviers pour les contrer tels que l’allotement, la durée des luttes et le rationnement des agnelles sont abordés.
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
Le pâturage des céréales en hiver n'entraine pas de diminution du rendement des céréales en grain, voir l'augmente, à condition de respecter quelques règles.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Ce diaporama présente les résultats 2019 de l'Observatoire des volumes en ovins viande bio.
Les différents graphiques font notamment le point sur l'évolution de la production nationale au cours des dernières années, les principales régions productrices, l'étalement des ventes au cours de l'année, les prix rendu abattoir comparativement au conventionnel, etc.
Jean-François Deglorie (ForéBio)
Ce diaporama présenté lors des Biothémas du Sommet de l’Elevage 2021 aborde la question de l’optimisation des complémentarités potentielles entre régions, étudiée dans le cadre du projet CASDAR RéVABio. La demande de viande ovine biologique, encore limitée mais bien réelle, se heurte à la question de la saisonnalité de la fourniture d’agneaux. La production présente en effet des calendriers de production contrastés selon les régions, avec une production d'agneau d'été-automne dans les bassins herbagers de la moitié nord du pays (races lourdes ne désaisonnant pas naturellement), et une production d'hiver-printemps dans les bassins sud (races rustiques désaisonnant plus facilement). S'agissant de la commercialisation en circuits longs, étudiée dans le projet RéVABIo, ces spécificités régionales posent la question de l'adéquation de l'offre d'agneaux à la demande et conduisent à étudier les complémentarités d'approvisionnement entre régions.
Malgré la crise sanitaire, l’année 2020 s’est inscrite dans la continuité de la bonne année 2019. La collecte a progressé de 4%, le prix moyen du lait de 3,1% et le prix de vente des fromages par les transformateurs industriels (PVI) de 2,1%. Le marché s’est aussi renationalisé avec la chute des importations de caillé congelé. Si en 2021, les perspectives sont toujours positives pour la filière caprine, la dévalorisation du chevreau et la hausse du prix des matières premières impactent le revenu des éleveurs.
Après de nombreuses années de baisse structurelle des revenus, les résultats des éleveurs diversifiés avec cultures et des naisseurs engraisseurs de jeunes bovins profitent d’une embellie en 2021 et retrouvent des revenus supérieurs à 30 000 €/UMO. A contrario, les naisseurs et naisseurs engraisseurs de veaux sous la mère ont depuis 2017 des revenus inférieurs à 20 000 €/UMO.
L’amélioration de la conjoncture de tous les gros bovins et des cultures de vente tirent nettement les produits à la hausse. La situation demeure morose pour les animaux maigres.
Les aides sécheresses, nécessaires ces dernières années pour soutenir les revenus impactés par les aléas climatiques, ne sont pas renouvelées en 2021 du fait d’absence d’aléas climatique. Une aide COVID, versée en décembre 2021 fait en revanche son apparition pour soutenir les plus bas revenus (inférieurs à 11 000 €/UMO en 2020 ).
Les charges opérationnelles sont contenues grâce à l’absence d’aléas mais la forte augmentation du carburant induit une hausse des charges de structure.
Après une évaluation des effets de la flambée des aliments sur le revenu des éleveurs, des leviers pour les contrer tels que l’allotement, la durée des luttes et le rationnement des agnelles sont abordés.
Le diaporama comprend :
- une introduction permettant de vérifier les prérequis sur les spécificités de la reproduction ovine ;
- un 1er chapitre sur le contexte : le cahier des charges bio, une production très saisonnée en bio, le marché (pics de demande), la production d’agneaux bio française ;
- un 2ème chapitre sur la problématique rencontrée par la filière agneaux bio : l'adéquation offre-demande et les solutions pour y répondre ;
- un 3ème chapitre sur les techniques mobilisables pour étaler la production localement (en bassin herbager ou en bassin rustique) et sur la possibilité de jouer sur les complémentarités entre bassin, avec des exercices d'application.
https://idele.fr/detail-article/kit-pedagogique-revabio
Présentation des résultats d'essais sur la finition des vaches en race Blonde d'Aquitaine.
Par Aurélie Blachon & Marion Kentzel, Institut de l'Elevage.
Vendredi 04 février 2022 - Visite SAS PEPIEUX
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
1ères Biennales des conseillers fourragers 2015 - EARL des Ancres à Malaucourt sur Seille (57), Emilie Frustin (Chambre régionale d’agriculture de Lorraine, Inosys-Réseaux d’Élevage)
Conférence co-organisée par l'Institut de l’Elevage et les Chambres d'agriculture d'Auvergne et présidée par Michèle Boudoin, Secrétaire générale de la FNO et Présidente du Corel ovin-CRAA
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique, un levier majeur pour les enjeux à venir (Mathieu Foucault)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique s’adapte à la demande de la filière ovine (Gilles Lagriffoul)
01-La génétique s’adapte à la demande de la filière ovine
Tech-Ovin 2021 : Re vabio surcoût alimentaire tech ovin
1. Institut de l’Elevage, ITAB, INRAE de Clermont-Theix, FRAB Nouvelle-Aquitaine, BioCentre,
CAB des Pays de la Loire, Bio 63, Haute-Loire Bio, Bio 46, CIVAM Bio 09, MRE de PACA,
EPLEFPA de Tours-Fondettes, EPLEFPA Montoire, CFPPA St Affrique, ABioDoc-VetAgro Sup
Etalement de la production en bio :
quel surcoût alimentaire ?
8 et 9 septembre 2021
Mini-conférence
Vincent Bellet – Idele
Philippe Desmaison– FRAB Nouvelle-Aquitaine
2. Institut de l’Elevage, ITAB, INRAE de Clermont-Theix, FRAB Nouvelle-Aquitaine, BioCentre,
CAB des Pays de la Loire, Bio 63, Haute-Loire Bio, Bio 46, CIVAM Bio 09, MRE de PACA,
EPLEFPA de Tours-Fondettes, EPLEFPA Montoire, CFPPA St Affrique, ABioDoc-VetAgro Sup
Etalement de la production
en bio :
quel surcoût alimentaire ?
Vincent Bellet- Philippe Desmaison
8 septembre 2021
2
3. La « contre-saison » : quelles pratiques ?
•Bassins herbagers : 3 solutions pour viser Pâques
• Avance de saison : agnelage novembre-décembre (type Vendéen)
• Mais peu de ventes réalisées effectivement dès Pâques
• Contre-saison : type génétique désaisonnant
• Remarque : pas de désaisonnement lumineux dans Révabio
• « Grand » report > 300 jours
• Expérimentation en cours dans ReVABio
•Bassins rustiques : viser Noël
• Agnelage d’été
• Agneaux d’herbe avec un « petit » report ?
• Pas abordé aujourd’hui
3
4. Analyse du surcoût alimentaire
•Coût du système d’alimentation :
• Achats d’aliments + Charges des surfaces + Mécanisation + Foncier
• Remarque : en Ovins, on pourrait élargir aux bâtiments
•Causes possibles de surcoût :
• Plus de concentré (acheté ou produit)
• Plus de fourrages distribués
• Voire moins de chargement, notamment pour le report
• Voire baisse de productivité
• Baisse de fertilité-prolificité à contre-saison
• Plus de mortalité avec le report ?
Impact sur les autres coûts, notamment le travail
4
5. Exemple : Bassins herbagers / Ventes précoces
Valeur élevée sans contre-saison : éco-pâtureur avec ventes à 12 et 18 mois
5
6. Exemple : Bassins herbagers / Agnelage d’automne
Valeur élevée sans contre-saison : éco-pâtureur avec ventes à 12 et 18 mois
6
7. • Reproduction
• AvS#1 : Vendéen/suffolk / AvS#2 : Vendéen
• 2 périodes de mise bas
• fin d’hiver brebis ≈ février-mars
• Printemps pour les agnelles
• Novembre-décembre : avance de saison
• Lots AvS : Fertilité /Prolificité/Mortalité
• AvS#1 : 87%/160%/20%
• AvS#2 : 71%/157%/42%
7
• Engraissement agneaux nés AvS
• AvS#1
• Foin de luzerne + céréales ou méteil ≈ 400-600 g
• pas strictement bergerie (au champ en mars-avril)
• AvS#2
• Foin de graminées + méteil grain ≈600-800g
• Alimentation des brebis AvS
• Luttes : pâturage + pas de complémentation
ou modérée ≈ 200 g céréales
• Milieu de gestation au pâturage
• Fin de gestation a maxima à la pâture
• Agnelage et lactation en bergerie
• Base foin de luzerne, voire PME
• +≈ 600 g méteil grain
• Sevrage 80-100 jours
• Indicateurs système alim.
• kg MS stocks / brebis
• AvS#1 ≈ 260 kg / AvS#2 ≈ 150 kg
• kg concentré/ kg carcasse
• AvS#1 : 3,2 kg/ AvS#2 : 2,7 kg
• Exploitation
• AvS#1 : 314 brebis, Potentiel OK
(6tMS/ha, grandes cultures)
• AvS#2 : 240 brebis, Séchant (4 tMS/ha)
Système avec avance de saison (AvS)
8. 8
• L’étalement des ventes d’agneaux en pratique :
• AvS#1 :
• AvS#2 :
Système avec avance de saison (AvS)
37% des agneaux sur 1er semestre
46 % des agneaux sur 1er semestre
46% des agneaux sur 1er semestre
Nécessité de croissance et finition
soutenue pour sortir à Pâques des
agneaux nés en novembre/décembre
= 1 difficulté technique en Bio
• Valeur des fourrages de base pour la
lactation des brebis + complémentation
• Densité énergétique et surtout
protéique des méteils fermiers +
quantité
AvS#2 :
• ≈ 40% au plus des agneaux vendus à
Pâques sont nés en novembre-décembre
• Majorité R2> quelques U2> très rares U3
• Plus Pâques est précoce, plus il s’agit de
report
• Les agneaux d’avance de saison sont
surtout bons à partir de la mi mai
9. 9
Système avec avance de saison (AvS)
AvS#1 AvS#2
Coût du système d'alimentation €/ brebis EMP 143 80
Indicateurs techniques
Production équivalent agneaux kgc/brebis EMP 13,1 7,6
Production eqc agneaux / ha SFP OV kgc / ha SFP 52 49
Poids moyen des agneaux kgc 21,0 18,2
Fertilité 90% 80%
Prolificité 149% 138
Productivité numérique / brebis EMP 114% 99%
Mortalité 23% 27%
AvS#1 AvS#2
Alimentation achetée (€/kgc) 0,8 0,0
Approvisionnement des surfaces (€/kgc) 1,7 0,4
Mécanisation (€/kgc) 4,8 5,6
Coût du foncier (€/kgc) 3,7 4,6
Coût du système d'alimentation (€/kgc) 10,9 10,6
Elevages sans recherche de désaisonnement :
CSA ≈ 5 à 6 €/kgc
2 élevages en
croissance :
production
équivalente
minorée
10. • Reproduction
• Mères vendéennes et Charmoises luttées
sur béliers charmois
• 2 périodes de mise bas
• fin d’hiver brebis ≈ 25/02
• Avril agnelles
• Octobre-novembre en charmoise
• Achat quasi intégral du renouvellement
10
• Engraissement agneaux
• Castration à la naissance (anneau gomme)
• Prairies multi-espèces : chicorée +++
légumineuses ++ plantain lancéolé
• Récolte graines chicorée montée sursemis
• Si été sec et chaud, distribution
enrubanné
• maintien état et croissance plancher après
sevrage
• Pas de lots pré-engraissement/finition :
• lot unique (tri toutes les semaines)
• Durée d’engraissement jusqu’à 12 mois
• Alimentation des brebis
• Pâturage hivernal
• Autour de l’agnelage
• Enrubanné
• Maintien de sortie à la pâture
• Pâturage tournant
• séjour court/repos long 30-35j au printemps
• Lutte à la pâture en octobre
• Pb du sec pour le flushing (≈septembre)
• prolificité sorgho multicoupe
• Système fourrager
• 5 brebis EMP / ha SFP
• ≈ 185 kg MS stockés / brebis
• Forte part d’enrubanné
• Enrubanneuse en continu
• Valeurs nutritives
• Gestion des PME avec chicorée
• Sorgho fourrager (sec été,
renouvellement prairial)
• Exploitation
• Potentiel faible à modéré 4-6 t MS/ha
• 415 brebis (2020) 335 brebis (2021) +
18 VA, 250 poules pondeuses
• 1,33 UMO
Système agneaux de report 0 concentrés
11. 11
Système agneaux de report 0 concentrés
• Étalement des ventes d’agneaux
• Campagne 2019 :
• Campagne 2020 :
• Carcasses 2020
• Moyenne annuelle 321 agneaux
• Zoom Pâques 2020 (12 avril) : 35 agneaux
abattus le 7/04/2020
E U R O P
1 0% 0% 0% 0% 0%
2 0% 8% 13% 0% 0%
3 1% 41% 31% 0% 0%
4 0% 4% 1% 0% 0%
1% 53% 45% 1% 0%
E U R O P
1 0% 0% 0% 0% 0%
2 0% 9% 17% 0% 0%
3 3% 40% 26% 0% 0%
4 0% 3% 3% 0% 0%
3% 51% 46% 0% 0%
nb agneaux % agneaux
[15-16 kgc[ 2 6%
[16-20 kgc[ 16 46%
[20-22 kgc[ 8 23%
[22-24 kgc[ 6 17%
[24-27 kgc[ 3 9%
35 100%
50% des agneaux sur 1er semestre
56% des agneaux sur 1er semestre
12. 12
Campagne 2020
Campagne 2019
Système agneaux de report 0 concentrés
•Le profil d’âge des agneaux vendus
• Peu de laitons lourds (période de soudure)
• Agneaux gris sur le 2e semestre
• Agneaux de report sur le 1er semestre
13. 13
Système agneaux de report 0 concentrés
• Le coût du système d’alimentation
2015 2016 2017 2019 2020
Coût du système d'alimentation €/ brebis EMP 106 80 91 103 98
Indicateurs techniques 2015 2016 2017 2019 2020
Production équivalent agneaux kgc/brebis EMP 18,0 11,6 7,7 11,2 15,9
Production eqc agneaux / ha SFP OV kgc / ha SFP 99 76 45 57 75
Poids moyen des agneaux kgc 18,8 18,4 16,5 17,1 19,7
Fertilité 87% 91%
Prolificité 118% 136%
Productivité numérique / brebis EMP 94% 94%
Mortalité 20% 15%
2015 2016 2017 2019 2020
Alimentation achetée (€/kgc) 0,4 0,2 0,9 0,1 0,1
Approvisionnement des surfaces (€/kgc) 0,5 0,6 1,9 1,7 0,2
Mécanisation (€/kgc) 3,2 3,9 5,5 4,3 4,0
Coût du foncier (€/kgc) 1,7 2,2 3,4 3,1 1,9
Coût du système d'alimentation (€/kgc) 5,9 6,9 11,8 9,2 6,1
Troupeau en baisse / diversification