Comme chaque année, Kantar Media prend plaisir à décortiquer les réseaux sociaux pour vous en livrer les grandes lignes à venir. Après l'UX Advertising, l’essor des dispositifs « phygitaux » ou la micro-vidéo en 2016, voici les 10 tendances pour 2017
Le marketing programmatique - Plongée entre les algorithmes - ebg - trade la...Romain Fonnier
Au second semestre 2015, la Task Force «Marketing Programmatique », organisée par l’EBG en partenariat avec Tradelab, a réuni une vingtaine d’annonceurs décisionnaires et permis de mener une réflexion sur le marketing programmatique:
Comment gagner en transparence ?
Comment garder le contrôle de ses campagnes ?
Quels outils de mesure sont réellement pertinents ?
Faut-il parier sur le mobile ?
Faut-il monétiser ses données annonceur ?
La DMP est-elle une étape indispensable ?
Que dit la réglementation ?
Comment s’adapter aux nouvelles offres des éditeurs ?
CHAPITRE I : UN « MILLEFEUILLE » D’INTERVENANTS
Au-delà de l’achat d’espaces : le programmatique ne s’arrête pas au RTB
Etude de cas :
o Futuroscope : le parc est pionnier sur l’IPTV
Eclairage :
o Les annonceurs demandent plus de transparence
CHAPITRE II : OBJECTIF, GARDER LE CONTROLE
Une matière première instable
Les bloqueurs de publicité enrayent l’engrenage
Le mobile marque des points
Etude de cas :
o Richemont : « Le marché n’est pas encore structuré pour le luxe »
Eclairage :
o Prochaine étape : les écrans TV
CHAPITRE III : SOUS LE CAPOT, LA DONNEE
Pour ou contre monétiser ses données annonceurs ?
Chief Data Officer, un nouveau métier
Etudes de cas :
o General motors : de « l’humain » entre les algorithmes
o Air France : Trading Desk interne et DMP en lancement
Eclairage :
o L’œil de l’avocat : « Un nouveau règlement pour 2018 »
Marketing et programmatique - ebg - quantcast - 2016Romain Fonnier
Vous souhaitez vous former en marketing digital ou réactualiser vos connaissances ?
Découvrez dans cette 11ème édition d'Internet Marketing, divisée en 8 chapitres thématiques, toutes les nouvelles tendances du marché, les chiffres clés, les campagnes les plus innovantes et des conseils d'experts sur des problématiques digitales d'actualité : stratégie de contenu, temps réel, social commerce, data & programmatique, relation client, e-commerce...
Entièrement réécrite et repensée, cette nouvelle version s'adresse aux professionnels souhaitant parfaire leurs connaissances ainsi qu'aux passionnés désireux de découvrir l'envers du décor digital.
Théorique, concret et illustré, Internet Marketing 2016 contient :
512 pages dont plus de 150 fiches pratiques et 100 études de cas.
Le contenu
1. Branding
Storytelling,
Brand Content Vidéo,
Content Marketing,
Territoire de Marque...
Comment la marque interagit
avec son public ?
2. Social
10 ans après, le bilan : la nouvelle approche Social Media,
Engager et animer sa communauté,
Les Réseaux Sociaux professionnels,
L'essor du Social Commerce, Social TV...
3. E-commerce
Réinventer le e-commerce : amélioration du parcours client,
La digitalisation du point de vente,
La personnalisation temps réel,
La fidélisation,
L'optimisation du trafic, l'acquisition ...
4. Mobilité
Bilan de la place du mobile : Mobile First ? Mobile Only ?
Quelles stratégies mettre en place ?
Focus sur les objets connectés.
5. User Centric
Le client au centre de la stratégie marketing et digitale des marques :
Customer Services, UX, Emailing...
6. Data
Quand les données et la connaissance client sont au cœur des réflexions et campagnes marketing : Analyse Prédictive,
CRM, Attribution, Programmatique...
7. RH
Transformation digitale et ressources humaines, quels sont les métiers de demain ? Growth Hacker, CDO, Expert Machine Learning...
Focus sur les métiers en vogue.
8. Annuaire
Les grands acteurs du digital se présentent
Le predictif au service du marketing - ebg - 2016SCREENVIEW
Le marketing prédictif va provoquer la disparition des modèles marketing anciens. En effet, l’analyse comportementale et contextuelle inverse la logique traditionnelle du marketing fondée sur la mesure de la performance des campagnes. Désormais il ne s’agit plus d’interpréter les demandes à la lumière du passé mais bien d’anticiper sur les envies en s’appuyant sur les probabilités, l’analyse statistique et l’intelligence artificielle.
Nous entrons donc dans un cycle nouveau pour le marketing, un cycle appuyé sur des principes de personnalisation et d'engagement automatisés, un marketing de haute segmentation qui transformera non seulement les métiers du marketing mais aussi tous les métiers contribuant de près ou de loin à accompagner le client dans son parcours et ses envies.
Pour faire vivre cette nouvelle logique, l’entreprise doit repenser son modèle d’organisation et évoluer vers des stratégies data-driven, où analytics et business sont étroitement reliés.
Exemples de thèmes abordés :
Quelle organisation mettre en place pour tirer le meilleur parti des stratégies de marketing prédictif ?
Comment relier score d’appétence et positionnement de l’offre ?
Comment relier analyse de la customer lifetime value et stratégie de pricing?
Comment relier prédiction du churn et politique de fidélisation ?
Baromètre usages mobiles - juillet 2016 - EBGRomain Fonnier
Méthodologie : le face à face
#1 Ce que veulent (vraiment) les utilisateurs
- Les principaux motifs de désinstallation
- Les notifications sont trop timides : retour d’expérience de LCL
- Misez sur la pertinence
- Idéation, la grande oubliée
- L’appli, vecteur de fidélité : retour d’expérience de Club Med
- La géolocalisation reste mal valorisée
- Indicateurs de performanc, place au qualitatif !
- La R&d, en décalage avec son public ?
- Etudes de cas drives et assurances : retour d’expérience de AG2R La Mondiale
#2 En coulisses avec les pros
- Dans les équipes, l’IT reste en retrait : retour d’expérience de La Poste
- Un budget en hausse
- Le Time to Market idéal : retour d’expérience de AccorHotels
- Stratégie : faut-il une appli par marque, ou par usage ?
#3 Le profil des utilisateurs
- Les secteurs les plus légitimes
- Une mobilité très relative
- La qualité avant tout
- Notes et commentaires : une bonne surprise
Mémoire de fin d'études, Justine CHEVALIER Sup de Pub Paris, 2015.
L'impact des adblockers sur la publicité digitale :
En quoi les solutions apportées à la montée des adblockers sont-elles efficaces ? Règlent-elles réellement le problème ou ne font-elles que le dissimuler ?
Mobile Marketing : 11 scénarios simples pour augmenter ses ventes in store vi...CUSTOMER INSIGHT
Vous avez une appli mobile de marque ? Vous voulez en créer une ? Ce Livre Blanc décrit 11 scénarios inspirés du retail américain pour générer des ventes via votre appli mobile.
Pourquoi disposer d'un site Internet mobile n'est qu'un débutKantar
Jonathan Sinton, Directeur du Digital Monde de TNS, vous propose quelques enseignements de notre étude Connected Life 2014 sur les attitudes et les comportements digitaux de 55 000 internautes dans 50 pays.
Le marketing programmatique - Plongée entre les algorithmes - ebg - trade la...Romain Fonnier
Au second semestre 2015, la Task Force «Marketing Programmatique », organisée par l’EBG en partenariat avec Tradelab, a réuni une vingtaine d’annonceurs décisionnaires et permis de mener une réflexion sur le marketing programmatique:
Comment gagner en transparence ?
Comment garder le contrôle de ses campagnes ?
Quels outils de mesure sont réellement pertinents ?
Faut-il parier sur le mobile ?
Faut-il monétiser ses données annonceur ?
La DMP est-elle une étape indispensable ?
Que dit la réglementation ?
Comment s’adapter aux nouvelles offres des éditeurs ?
CHAPITRE I : UN « MILLEFEUILLE » D’INTERVENANTS
Au-delà de l’achat d’espaces : le programmatique ne s’arrête pas au RTB
Etude de cas :
o Futuroscope : le parc est pionnier sur l’IPTV
Eclairage :
o Les annonceurs demandent plus de transparence
CHAPITRE II : OBJECTIF, GARDER LE CONTROLE
Une matière première instable
Les bloqueurs de publicité enrayent l’engrenage
Le mobile marque des points
Etude de cas :
o Richemont : « Le marché n’est pas encore structuré pour le luxe »
Eclairage :
o Prochaine étape : les écrans TV
CHAPITRE III : SOUS LE CAPOT, LA DONNEE
Pour ou contre monétiser ses données annonceurs ?
Chief Data Officer, un nouveau métier
Etudes de cas :
o General motors : de « l’humain » entre les algorithmes
o Air France : Trading Desk interne et DMP en lancement
Eclairage :
o L’œil de l’avocat : « Un nouveau règlement pour 2018 »
Marketing et programmatique - ebg - quantcast - 2016Romain Fonnier
Vous souhaitez vous former en marketing digital ou réactualiser vos connaissances ?
Découvrez dans cette 11ème édition d'Internet Marketing, divisée en 8 chapitres thématiques, toutes les nouvelles tendances du marché, les chiffres clés, les campagnes les plus innovantes et des conseils d'experts sur des problématiques digitales d'actualité : stratégie de contenu, temps réel, social commerce, data & programmatique, relation client, e-commerce...
Entièrement réécrite et repensée, cette nouvelle version s'adresse aux professionnels souhaitant parfaire leurs connaissances ainsi qu'aux passionnés désireux de découvrir l'envers du décor digital.
Théorique, concret et illustré, Internet Marketing 2016 contient :
512 pages dont plus de 150 fiches pratiques et 100 études de cas.
Le contenu
1. Branding
Storytelling,
Brand Content Vidéo,
Content Marketing,
Territoire de Marque...
Comment la marque interagit
avec son public ?
2. Social
10 ans après, le bilan : la nouvelle approche Social Media,
Engager et animer sa communauté,
Les Réseaux Sociaux professionnels,
L'essor du Social Commerce, Social TV...
3. E-commerce
Réinventer le e-commerce : amélioration du parcours client,
La digitalisation du point de vente,
La personnalisation temps réel,
La fidélisation,
L'optimisation du trafic, l'acquisition ...
4. Mobilité
Bilan de la place du mobile : Mobile First ? Mobile Only ?
Quelles stratégies mettre en place ?
Focus sur les objets connectés.
5. User Centric
Le client au centre de la stratégie marketing et digitale des marques :
Customer Services, UX, Emailing...
6. Data
Quand les données et la connaissance client sont au cœur des réflexions et campagnes marketing : Analyse Prédictive,
CRM, Attribution, Programmatique...
7. RH
Transformation digitale et ressources humaines, quels sont les métiers de demain ? Growth Hacker, CDO, Expert Machine Learning...
Focus sur les métiers en vogue.
8. Annuaire
Les grands acteurs du digital se présentent
Le predictif au service du marketing - ebg - 2016SCREENVIEW
Le marketing prédictif va provoquer la disparition des modèles marketing anciens. En effet, l’analyse comportementale et contextuelle inverse la logique traditionnelle du marketing fondée sur la mesure de la performance des campagnes. Désormais il ne s’agit plus d’interpréter les demandes à la lumière du passé mais bien d’anticiper sur les envies en s’appuyant sur les probabilités, l’analyse statistique et l’intelligence artificielle.
Nous entrons donc dans un cycle nouveau pour le marketing, un cycle appuyé sur des principes de personnalisation et d'engagement automatisés, un marketing de haute segmentation qui transformera non seulement les métiers du marketing mais aussi tous les métiers contribuant de près ou de loin à accompagner le client dans son parcours et ses envies.
Pour faire vivre cette nouvelle logique, l’entreprise doit repenser son modèle d’organisation et évoluer vers des stratégies data-driven, où analytics et business sont étroitement reliés.
Exemples de thèmes abordés :
Quelle organisation mettre en place pour tirer le meilleur parti des stratégies de marketing prédictif ?
Comment relier score d’appétence et positionnement de l’offre ?
Comment relier analyse de la customer lifetime value et stratégie de pricing?
Comment relier prédiction du churn et politique de fidélisation ?
Baromètre usages mobiles - juillet 2016 - EBGRomain Fonnier
Méthodologie : le face à face
#1 Ce que veulent (vraiment) les utilisateurs
- Les principaux motifs de désinstallation
- Les notifications sont trop timides : retour d’expérience de LCL
- Misez sur la pertinence
- Idéation, la grande oubliée
- L’appli, vecteur de fidélité : retour d’expérience de Club Med
- La géolocalisation reste mal valorisée
- Indicateurs de performanc, place au qualitatif !
- La R&d, en décalage avec son public ?
- Etudes de cas drives et assurances : retour d’expérience de AG2R La Mondiale
#2 En coulisses avec les pros
- Dans les équipes, l’IT reste en retrait : retour d’expérience de La Poste
- Un budget en hausse
- Le Time to Market idéal : retour d’expérience de AccorHotels
- Stratégie : faut-il une appli par marque, ou par usage ?
#3 Le profil des utilisateurs
- Les secteurs les plus légitimes
- Une mobilité très relative
- La qualité avant tout
- Notes et commentaires : une bonne surprise
Mémoire de fin d'études, Justine CHEVALIER Sup de Pub Paris, 2015.
L'impact des adblockers sur la publicité digitale :
En quoi les solutions apportées à la montée des adblockers sont-elles efficaces ? Règlent-elles réellement le problème ou ne font-elles que le dissimuler ?
Mobile Marketing : 11 scénarios simples pour augmenter ses ventes in store vi...CUSTOMER INSIGHT
Vous avez une appli mobile de marque ? Vous voulez en créer une ? Ce Livre Blanc décrit 11 scénarios inspirés du retail américain pour générer des ventes via votre appli mobile.
Pourquoi disposer d'un site Internet mobile n'est qu'un débutKantar
Jonathan Sinton, Directeur du Digital Monde de TNS, vous propose quelques enseignements de notre étude Connected Life 2014 sur les attitudes et les comportements digitaux de 55 000 internautes dans 50 pays.
Enjeux data decideurs francais par iProspect et Les EchosmédiasiProspect France
85% des décideurs français pensent qu’un partenaire data devrait pouvoir s’impliquer dans l’atteinte des résultats business de leur entreprise.
Et vous ?
iProspect et Les Echosmédias présentent les résultats de l’étude « Enjeux Data des Décideurs Français »
Big data, smart data, data management… Quelle que soit leur dénomination, les données sont partout présentées comme le graal des directions marketing. Mais où en sont exactement les entreprises françaises dans leurs projets data ? Quelles sont leurs craintes, leurs ambitions ?
iProspect et Les Echosmédias ont décidé de laisser la parole aux principaux intéressés, les décideurs, en donnant le coup d’envoi d’une grande consultation Enjeux data 2015/2016. Plus de 600 décideurs se sont ainsi exprimés, représentant aussi bien des grands groupes que des TPE/PME et issus de plus 12 secteurs d’activité différents.
Baromètre trimestriel de l’audience du e commerce en France - 2ème trimestre ...Romain Fonnier
D’après l’Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie d’Avril-Juin 2016, près de 36 millions d’internautes ont déjà effectué des achats en ligne, soit plus de 4 internautes sur 5 (79,8%). Cela représente près d’1,3 million de cyberacheteurs de plus qu’il y a un an.
Pour Bertrand Krug, Directeur Adjoint de Médiamétrie//NetRatings : « le top mobile issu de la nouvelle Audience Internet Mobile de Médiamétrie démontre la puissance des enseignes qui développent une stratégie Cross Devices. L’utilisation des écrans mobiles permet aux marques d’accompagner les cyberacheteurs tout au long de leur parcours d’achat . »
Marc Lolivier, Délégué Général de la Fevad, souligne que « les chiffres montrent l’explosion du m-commerce. Cette évolution est extrêmement rapide et devrait se poursuivre dans les années à venir. »
Médiamétrie//NetRatings et la Fevad publient chaque trimestre le classement d’audience des quinze premiers sites d’e-commerce, tous secteurs confondus. Ce classement trimestriel permet de suivre l’évolution de l’audience des principaux sites marchands français en nombre de visiteurs et en pourcentage de la population d’internautes sur la période concernée. Le baromètre comporte également le classement des sites de tourisme en ligne ainsi qu’un top spécifique lié à l’actualité
Entreprises et Réseaux Sociaux : Mars et Venus ?Quip Marketing
Comment les entreprises françaises abordent les réseaux sociaux, quels usages en ont-elles, quels projets font-elles et quelles difficultés doivent elles affronter ? Nous avons interrogé 120 responsables communication et marketing pour en savoir plus
Les quatre segments des consommateurs connectésKantar
Jonathan Sinton, Global Digital Director, et Anjali Puri, TNS Qualitative, vous proposent de découvrir les 4 segments des consommateurs connectés.
Les 4 segments sont :
- Les Leaders
- Les Fonctionnels
- Les Observateurs
- Les Connecteurs
Présentation de la Matrice d’analyse stratégique SWOT récapitulant de façon synthétique les forces, faiblesses, menaces et opportunités des GAFA (Google Apple Facebook Amazon) et des entreprises les mieux (et les moins) préparées pour le futur.
La dixième édition du TrendReport proposée par #LeLuxeEstVivant : un florilège des meilleures campagnes de communication luxe, les études et insights à ne pas manquer et les grandes tendances luxe & digital
Facebook et Twitter : quand le passé dicte le futur - livre blanc - Kantar me...Romain Fonnier
Un brevet, un recrutement ou encore l’acquisition d’une société peuvent en dire long sur la direction qu’une entreprise souhaite prendre. Dans une activité aussi mouvante que les médias sociaux, il n’est pas surprenant d’assister à ce type d’actualité, avec notamment des rachats médiatisés à coûts de millions, voire de milliards de dollars. Dans cet exercice, les deux géants de l’industrie, Facebook et Twitter, ne sont pas en reste.
Les historiens ne nous contrediront pas : la meilleure façon de prédire l’avenir est d’examiner et de comprendre le passé. Dès lors, quels enseignements pouvons-nous tirer des acquisitions passées de Facebook et Twitter ? Et inversement : à l’aune de ces acquisitions, peut-on mieux cerner leur stratégie ? Les réponses à ces questions se trouvent dans notre livre blanc « Facebook & Twitter : quand le passé dicte le futur » qui s’intéresse à l’ensemble des acquisitions de Facebook et Twitter depuis leur création ainsi qu’a leur futur respectif grâce à des illustrations de facilitation graphique.
Automobile & Digital : des enjeux aux nouveaux usages, de la visibilité à la ...Vanksen
Qui peut aujourd’hui parler d’automobile et de mobilité sans évoquer la question digitale ? L’innovation technologique ne cesse de redéfinir le secteur et le met constamment sous la pression du renouvellement et de la remise en question.
« Dans l’industrie automobile, le digital provoque le changement et apporte les solutions. »
Si l’origine de la majeure partie des évolutions en terme de mobilité est digitale, les possibilités d’adaptation le sont tout autant.
L’avènement de la réalité virtuelle, de la réalité augmentée, de l’intelligence artificielle ou encore du datamining offrent de nouvelles pistes d’évolution complémentaires au digital que l’on peut maintenant appeler « traditionnel ».
De la visibilité à la conversion, nous posons le contexte actuel, retraçons le parcours utilisateur idéal et analysons, au travers de cette étude, les événements qui ont secoué le marché automobile durant l’année 2017
Adblock, enquête sur un détracteur de performance digitaleFabernovel
L’omniprésence publicitaire a conduit à un sentiment d’exaspération des internautes, qui ont de plus en plus recours à l’installation d’un bloqueur de publicités (Adblock). Et pour cause : en seulement quatre ans, le phénomène a quadruplé. La prolifération des Adblocks représente désormais une menace majeure pour les annonceurs qui pourraient se retrouver privés d’une part importante de leurs clients dans un avenir proche. Pourtant, on ne sait à ce jour rien ou presque du profil des utilisateurs d’Adblocks, ni des spécificités de leur comportement online.
Qui sont les utilisateurs d'Adblocks ? Présentent-ils un comportement en ligne spécifique ? Et quels sont les nouveaux paradigmes publicitaires pour faire reculer le phénomène de l’Adblocking ? : FABERNOVEL DATA&MEDIA publie la première étude d’envergure portant sur ce trou noir publicitaire.
Cette étude intitulée « Adblock : enquête sur un détraqueur de performance digitale » a porté sur l'analyse d’un échantillon représentatif de près de dix millions de sessions desktop. Au-delà du volume de sessions concernées, cette étude est la première à reposer sur l’observation des comportements véritables plutôt que sur les comportements déclarés par les utilisateurs, grâce à l’injection d’un script furtif n’interférant jamais sur la navigation des internautes.
Découvrez sans attendre les enseignements et les bonnes pratiques face au phénomène de l'Adblocking.
GEMO 2016 : un digital de plus en plus cannibale ?PwC France
Dans la 16ème édition de l’étude annuelle « Global Entertainment & Media Outlook », sur les perspectives de l’industrie des médias et des loisirs, PwC prévoit que le marché mondial va croître de 5,1 % en moyenne par an entre 2014 et 2019.
Cette étude, réalisée dans 54 pays, montre qu’avec 3,2% de croissance moyenne annuelle d’ici 2019, la France tire son épingle du jeu parmi les pays matures.
La publicité sur internet devrait y porter la croissance du secteur, et le numérique en général continue de bouleverser le business model de l’ensemble des segments, qu’il s’agisse de l’édition, de la musique, de la presse, des jeux vidéo ou bien encore de la télévision.
La valeur de la Data - Livre Blanc - SFR RégieRomain Fonnier
SFR Régie vient de publier un livre blanc sur la data à destination des directeurs marketing. La publication doit permettre d’apporter un éclairage sur les différences entre les données disponibles et la manière de bien les choisir. La publication est découpée en 4 parties : un panorama du marché, le choix de la data, les spécificités de la data propriétaire et les choses à faire et ne pas faire.
SFR Régie revient notamment sur les différentes définitions entre first, second et third party data, ainsi que les données déterministes, déclaratives et comportementales. Sont également détaillés sous forme de schéma pédagogique la complexité du marché, les modes de collecte de la data, puis sa transformation en segments.
Livre blanc d’AppNexus : les opportunités pour l’achat média digital en fin d’année
Le début de janvier offre aux annonceurs le coût d'achat le plus bas : dans le monde entier, les CPM connaissent une chute vertigineuse après leurs sommets de la période des fêtes. Au Royaume-Uni, les acheteurs à la performance doivent cibler les deux dernières semaines avant Noël.
Ce sont 2 conclusions tirées du livre blanc d’AppNexus qui détaille, chiffres à l’appui, les potentielles opportunités d’achat en ligne sur sa plateforme.
L'étude traite des achats médias dans le monde, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, dans la zone asiatique et par secteur.
Enjeux data decideurs francais par iProspect et Les EchosmédiasiProspect France
85% des décideurs français pensent qu’un partenaire data devrait pouvoir s’impliquer dans l’atteinte des résultats business de leur entreprise.
Et vous ?
iProspect et Les Echosmédias présentent les résultats de l’étude « Enjeux Data des Décideurs Français »
Big data, smart data, data management… Quelle que soit leur dénomination, les données sont partout présentées comme le graal des directions marketing. Mais où en sont exactement les entreprises françaises dans leurs projets data ? Quelles sont leurs craintes, leurs ambitions ?
iProspect et Les Echosmédias ont décidé de laisser la parole aux principaux intéressés, les décideurs, en donnant le coup d’envoi d’une grande consultation Enjeux data 2015/2016. Plus de 600 décideurs se sont ainsi exprimés, représentant aussi bien des grands groupes que des TPE/PME et issus de plus 12 secteurs d’activité différents.
Baromètre trimestriel de l’audience du e commerce en France - 2ème trimestre ...Romain Fonnier
D’après l’Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie d’Avril-Juin 2016, près de 36 millions d’internautes ont déjà effectué des achats en ligne, soit plus de 4 internautes sur 5 (79,8%). Cela représente près d’1,3 million de cyberacheteurs de plus qu’il y a un an.
Pour Bertrand Krug, Directeur Adjoint de Médiamétrie//NetRatings : « le top mobile issu de la nouvelle Audience Internet Mobile de Médiamétrie démontre la puissance des enseignes qui développent une stratégie Cross Devices. L’utilisation des écrans mobiles permet aux marques d’accompagner les cyberacheteurs tout au long de leur parcours d’achat . »
Marc Lolivier, Délégué Général de la Fevad, souligne que « les chiffres montrent l’explosion du m-commerce. Cette évolution est extrêmement rapide et devrait se poursuivre dans les années à venir. »
Médiamétrie//NetRatings et la Fevad publient chaque trimestre le classement d’audience des quinze premiers sites d’e-commerce, tous secteurs confondus. Ce classement trimestriel permet de suivre l’évolution de l’audience des principaux sites marchands français en nombre de visiteurs et en pourcentage de la population d’internautes sur la période concernée. Le baromètre comporte également le classement des sites de tourisme en ligne ainsi qu’un top spécifique lié à l’actualité
Entreprises et Réseaux Sociaux : Mars et Venus ?Quip Marketing
Comment les entreprises françaises abordent les réseaux sociaux, quels usages en ont-elles, quels projets font-elles et quelles difficultés doivent elles affronter ? Nous avons interrogé 120 responsables communication et marketing pour en savoir plus
Les quatre segments des consommateurs connectésKantar
Jonathan Sinton, Global Digital Director, et Anjali Puri, TNS Qualitative, vous proposent de découvrir les 4 segments des consommateurs connectés.
Les 4 segments sont :
- Les Leaders
- Les Fonctionnels
- Les Observateurs
- Les Connecteurs
Présentation de la Matrice d’analyse stratégique SWOT récapitulant de façon synthétique les forces, faiblesses, menaces et opportunités des GAFA (Google Apple Facebook Amazon) et des entreprises les mieux (et les moins) préparées pour le futur.
La dixième édition du TrendReport proposée par #LeLuxeEstVivant : un florilège des meilleures campagnes de communication luxe, les études et insights à ne pas manquer et les grandes tendances luxe & digital
Facebook et Twitter : quand le passé dicte le futur - livre blanc - Kantar me...Romain Fonnier
Un brevet, un recrutement ou encore l’acquisition d’une société peuvent en dire long sur la direction qu’une entreprise souhaite prendre. Dans une activité aussi mouvante que les médias sociaux, il n’est pas surprenant d’assister à ce type d’actualité, avec notamment des rachats médiatisés à coûts de millions, voire de milliards de dollars. Dans cet exercice, les deux géants de l’industrie, Facebook et Twitter, ne sont pas en reste.
Les historiens ne nous contrediront pas : la meilleure façon de prédire l’avenir est d’examiner et de comprendre le passé. Dès lors, quels enseignements pouvons-nous tirer des acquisitions passées de Facebook et Twitter ? Et inversement : à l’aune de ces acquisitions, peut-on mieux cerner leur stratégie ? Les réponses à ces questions se trouvent dans notre livre blanc « Facebook & Twitter : quand le passé dicte le futur » qui s’intéresse à l’ensemble des acquisitions de Facebook et Twitter depuis leur création ainsi qu’a leur futur respectif grâce à des illustrations de facilitation graphique.
Automobile & Digital : des enjeux aux nouveaux usages, de la visibilité à la ...Vanksen
Qui peut aujourd’hui parler d’automobile et de mobilité sans évoquer la question digitale ? L’innovation technologique ne cesse de redéfinir le secteur et le met constamment sous la pression du renouvellement et de la remise en question.
« Dans l’industrie automobile, le digital provoque le changement et apporte les solutions. »
Si l’origine de la majeure partie des évolutions en terme de mobilité est digitale, les possibilités d’adaptation le sont tout autant.
L’avènement de la réalité virtuelle, de la réalité augmentée, de l’intelligence artificielle ou encore du datamining offrent de nouvelles pistes d’évolution complémentaires au digital que l’on peut maintenant appeler « traditionnel ».
De la visibilité à la conversion, nous posons le contexte actuel, retraçons le parcours utilisateur idéal et analysons, au travers de cette étude, les événements qui ont secoué le marché automobile durant l’année 2017
Adblock, enquête sur un détracteur de performance digitaleFabernovel
L’omniprésence publicitaire a conduit à un sentiment d’exaspération des internautes, qui ont de plus en plus recours à l’installation d’un bloqueur de publicités (Adblock). Et pour cause : en seulement quatre ans, le phénomène a quadruplé. La prolifération des Adblocks représente désormais une menace majeure pour les annonceurs qui pourraient se retrouver privés d’une part importante de leurs clients dans un avenir proche. Pourtant, on ne sait à ce jour rien ou presque du profil des utilisateurs d’Adblocks, ni des spécificités de leur comportement online.
Qui sont les utilisateurs d'Adblocks ? Présentent-ils un comportement en ligne spécifique ? Et quels sont les nouveaux paradigmes publicitaires pour faire reculer le phénomène de l’Adblocking ? : FABERNOVEL DATA&MEDIA publie la première étude d’envergure portant sur ce trou noir publicitaire.
Cette étude intitulée « Adblock : enquête sur un détraqueur de performance digitale » a porté sur l'analyse d’un échantillon représentatif de près de dix millions de sessions desktop. Au-delà du volume de sessions concernées, cette étude est la première à reposer sur l’observation des comportements véritables plutôt que sur les comportements déclarés par les utilisateurs, grâce à l’injection d’un script furtif n’interférant jamais sur la navigation des internautes.
Découvrez sans attendre les enseignements et les bonnes pratiques face au phénomène de l'Adblocking.
GEMO 2016 : un digital de plus en plus cannibale ?PwC France
Dans la 16ème édition de l’étude annuelle « Global Entertainment & Media Outlook », sur les perspectives de l’industrie des médias et des loisirs, PwC prévoit que le marché mondial va croître de 5,1 % en moyenne par an entre 2014 et 2019.
Cette étude, réalisée dans 54 pays, montre qu’avec 3,2% de croissance moyenne annuelle d’ici 2019, la France tire son épingle du jeu parmi les pays matures.
La publicité sur internet devrait y porter la croissance du secteur, et le numérique en général continue de bouleverser le business model de l’ensemble des segments, qu’il s’agisse de l’édition, de la musique, de la presse, des jeux vidéo ou bien encore de la télévision.
La valeur de la Data - Livre Blanc - SFR RégieRomain Fonnier
SFR Régie vient de publier un livre blanc sur la data à destination des directeurs marketing. La publication doit permettre d’apporter un éclairage sur les différences entre les données disponibles et la manière de bien les choisir. La publication est découpée en 4 parties : un panorama du marché, le choix de la data, les spécificités de la data propriétaire et les choses à faire et ne pas faire.
SFR Régie revient notamment sur les différentes définitions entre first, second et third party data, ainsi que les données déterministes, déclaratives et comportementales. Sont également détaillés sous forme de schéma pédagogique la complexité du marché, les modes de collecte de la data, puis sa transformation en segments.
Livre blanc d’AppNexus : les opportunités pour l’achat média digital en fin d’année
Le début de janvier offre aux annonceurs le coût d'achat le plus bas : dans le monde entier, les CPM connaissent une chute vertigineuse après leurs sommets de la période des fêtes. Au Royaume-Uni, les acheteurs à la performance doivent cibler les deux dernières semaines avant Noël.
Ce sont 2 conclusions tirées du livre blanc d’AppNexus qui détaille, chiffres à l’appui, les potentielles opportunités d’achat en ligne sur sa plateforme.
L'étude traite des achats médias dans le monde, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, dans la zone asiatique et par secteur.
Livre blanc Tradelab - Plan et Etat des lieux de l'adblocking - Février 2017Romain Fonnier
Dans son livre blanc « L’adblocking, menaces et solutions », la plateforme programmatique Tradelab a dressé un état des lieux du marché pour comprendre les raisons de l'adoption des adblockers, ses causes et ses effets, et les solutions pour enrayer le phénomène. La publication est enrichie par les interviews de Renaud Grand-Clément, Directeur Général adjoint, 20 Minutes France et Stéphane Hauser, Délégué Général, IAB France.
Le predictif au service du marketing - ebg - 2016Romain Fonnier
Le marketing prédictif va provoquer la disparition des modèles marketing anciens. En effet, l’analyse comportementale et contextuelle inverse la logique traditionnelle du marketing fondée sur la mesure de la performance des campagnes. Désormais il ne s’agit plus d’interpréter les demandes à la lumière du passé mais bien d’anticiper sur les envies en s’appuyant sur les probabilités, l’analyse statistique et l’intelligence artificielle.
Nous entrons donc dans un cycle nouveau pour le marketing, un cycle appuyé sur des principes de personnalisation et d'engagement automatisés, un marketing de haute segmentation qui transformera non seulement les métiers du marketing mais aussi tous les métiers contribuant de près ou de loin à accompagner le client dans son parcours et ses envies.
Pour faire vivre cette nouvelle logique, l’entreprise doit repenser son modèle d’organisation et évoluer vers des stratégies data-driven, où analytics et business sont étroitement reliés.
Exemples de thèmes abordés :
Quelle organisation mettre en place pour tirer le meilleur parti des stratégies de marketing prédictif ?
Comment relier score d’appétence et positionnement de l’offre ?
Comment relier analyse de la customer lifetime value et stratégie de pricing?
Comment relier prédiction du churn et politique de fidélisation ?
Pour répondre à « une volonté commune d’analyser le concept de la data et déchiffrer au mieux son utilisation », l’IAB France et ses membres ont travaillé ensemble pour établir un glossaire. Au total, une vingtaine de définitions sont proposées parmi lesquelles « 1st party data », « Device ID », « look alike », etc.
Cartographie des risques des réseaux_sociauxTactika inc.
Quelques éléments de contexte
définition, panorama, statistiques, enjeux, écosystème des réseaux sociaux
Un modèle de risque des réseaux sociaux
Étude de quelques cas …
La maîtrise des risques
Native Advertising and Content Marketing - White Paper - IAB Europe - Decembr...Romain Fonnier
Dans un livre blanc sur le native advertising et le content marketing, l’IAB Europe livre un aperçu de la manière dont ce type de contenus contribue à fournir de meilleures expériences publicitaires. La publication revient également sur les nouveaux types de formats et fournit des conseils sur la création et la distribution de ces publicités.
Ont notamment contribué à ce livre blanc, Stéphane Hauser (IAB France), Charlotte Diemer (Teads), Mick Loizou Michail (Yahoo), Jean-Paul Edwards (OMD), Libby Wright (MediaCom)…
Baromètre sur les adblocks sur le marché Français - IAB - Novembre 2016Romain Fonnier
De 30% en début d’année, le taux d'adoption des adblocks sur le marché français est ainsi passé à 36% en fin d’année, soit une augmentation de +20% d’après le 2ème baromètre IAB France – Ipsos publié à l'occasion du colloque annuel de l'IAB France.
L'étude fait apparaître une augmentation sur toutes les tranches d'âge, notamment les 25-34 et les seniors. Dans le même temps, le nombre d'utilisateurs d'adblocks ayant décidé de le désactiver passe de 5 à 9%.
L'audience Video Ordinateur en France - Mediametrie - avril 2016 Romain Fonnier
Chaque vidéonaute passe en moyenne 3/4 d'heure par jour à regarder des vidéos sur ordinateur
L’audience vidéo ordinateur en France en avril 2016
En avril 2016, 35 millions d’individus ont regardé au moins une vidéo sur Internet depuis leur ordinateur, soit 3 internautes sur 4 (75,4%). Ils ont consacré 6 heures et 13 minutes à cette activité au cours du mois. Cela représente une augmentation de 43% du temps passé par rapport à avril 2015 (1 heure et 52 minutes supplémentaires).
Au quotidien, le temps passé moyen progresse de 13 minutes et atteint près de 44 minutes par personne. Le nombre de vidéonautes quotidiens reste stable avec 9,9 millions d’adeptes en moyenne.
La progression du temps passé est portée par l’intensification de la consommation de vidéos, particulièrement des formats courts. Chaque vidéonaute a regardé 102 vidéos en moyenne au cours du mois. En avril 2015, ils en avaient visionné 69. Parallèlement, le temps passé par vidéo diminue légèrement : 3 minutes et 39 secondes en moyenne, soit 10 secondes de moins qu’en avril 2015.
Cette intensification de la consommation vidéo sur ordinateur est plus marquée chez les 15-24 ans. Ils ont consacré 10 heures et 44 minutes à cette activité et ont regardé chacun 198 vidéos en moyenne au cours du mois.
La sous-catégorie Vidéos/Cinéma arrive en tête du temps passé par personne avec 3 heures et 33 minutes consacrées à regarder des vidéos sur ces sites.
Audit communication externe Vente Privée Avril 2014Elsa ComDigitale
Audit de communication réalisé en équipe projet dans le cadre du Master 1 Ingénierie des métiers de l'information. Auteurs : E; G. Heneman, L. Guillemaux, M. Provost, P. Kassa.
Adnovia vous présente le panorama Trading Desks Q4 2015 France. Ce panorama a comme son nom l’indique pour objectif de vous présenter en un coup d’oeil les principaux trading desks opérant sur le marché français en au quatrième trimestre 2015.
Dans ce panorama, vous pourrez découvrir quel trading desk utilise quel(s) DSP, quel(s) DMP, mais encore d’où provient la data utilisée. Enfin, chacun des trading desks listé a eu l’opportunité en quelques mots de vous décrire leur valeur différenciante unique sur ce marché concurrentiel.
Chaque début d’année sonne l’heure des bilans et des (tentatives de) prédictions. Quelles nouveautés social media marqueront l'année 2017 ?
Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=9ioVDTE44M8&t=2s
Etude complète : http://www.kantarmedia.com/fr/blog-et-ressources/downloads/tendances-social-media-2017
SIAL 2016 : Vertiges de l'assiette, les nouveaux paradigmes consommateursKantar
On définit souvent SIAL Paris comme le plus grand hypermarché du monde. C’est certainement ce qu’il est. Mais pas seulement ! Au-delà de cette dimension marchande, au cœur de la planète food, SIAL Paris apporte un éclairage particulier sur ce consommateur d’aujourd’hui, toujours passionné, exigent, de plus en plus connecté et déjà tourné vers le futur. Pour l’ensemble des acteurs de la filière, SIAL Paris offre aussi un grand bol d’inspiration que je vous invite à prendre pour construire, créer, et distribuer l’alimentation d’aujourd’hui et de demain. Celle d’un consommateur passionné, connecté, bien dans son époque et pourtant déjà dans celle qui s’écrit au futur.
https://www.sialparis.fr
Animée, c’est le terme adapté à l’année digitale qui vient de s’écouler. Les réseaux sociaux et les mobiles ouvrent chaque année toujours plus la porte à de nouvelles opportunités. L’occasion pour les experts digitaux que nous sommes de jeter un dernier coup d’oeil dans le rétro et de vous proposer cette retrospective digitale 2016. Bonne année à tous.
Top 10 des tendances digital marketing d'ici à 2025SWiTCH
Quelles sont les grandes tendances en matière de marketing numérique pour 2025 ? Comment les consommateurs se comporteront-ils ? Que faut-il intégrer dans sa stratégie et dans son plan d'actions marketing & communication ?
Des USA au Japon, en passant par la Grande-Bretagne, l’Allemagne ou encore la France, notre veille s’appuie sur 900 sources, dans plus de 80 pays.
Voici la revue des tendances fortes en marketing digital d’ici à 2025 que nous avons détaillé lors du Digital x Outdoor (DxO) 2018 !
Veille Social Media - Novembre 2019 - Castor et Pollux StephaneClousier
L'équipe social média Castor & Pollux compile tous les mois l'essentiel des infos du métier :
- quels sont les changements règlementaires, les nouveaux formats, les tendances de fond des réseaux sociaux ?
- quels sont les contenus et les campagnes qui ont attiré l'oeil de nos experts ?
Retrouvez l'essentiel de ces informations dans notre veille mensuelle !
Veille Social Media - Juillet 2020 - Castor et PolluxStephaneClousier
L'équipe social média Castor & Pollux compile tous les mois l'essentiel des infos du métier :
- quels sont les changements règlementaires, les nouveaux formats, les tendances de fond des réseaux sociaux ?
- quels sont les contenus et les campagnes qui ont attiré l'oeil de nos experts ?
Retrouvez l'essentiel de ces informations dans notre veille mensuelle !
Veille Social Média Juin & Juillet 2019 - Castor & PolluxLucien Diot
L'équipe social média Castor & Pollux compile tous les mois l'essentiel des infos du métier :
- quels sont les changements règlementaires, les nouveaux formats, les tendances de fond des réseaux sociaux ?
- quels sont les contenus et les campagnes qui ont attiré l'oeil de nos experts ?
Retrouvez l'essentiel de ces informations dans notre veille mensuelle !
Veille Social Média Juin & Juillet 2019 - Castor & PolluxStephaneClousier
L'équipe social média Castor & Pollux compile tous les mois l'essentiel des infos du métier :
- quels sont les changements règlementaires, les nouveaux formats, les tendances de fond des réseaux sociaux ?
- quels sont les contenus et les campagnes qui ont attiré l'oeil de nos experts ?
Retrouvez l'essentiel de ces informations dans notre veille mensuelle !
Veille Social Media - Avril 2020 - Castor et PolluxStephaneClousier
L'équipe social média Castor & Pollux compile tous les mois l'essentiel des infos du métier :
- quels sont les changements règlementaires, les nouveaux formats, les tendances de fond des réseaux sociaux ?
- quels sont les contenus et les campagnes qui ont attiré l'oeil de nos experts ?
Retrouvez l'essentiel de ces informations dans notre veille mensuelle !
Veille Social Media - Janvier 2020 - Castor et Pollux StephaneClousier
L'équipe social média Castor & Pollux compile tous les mois l'essentiel des infos du métier :
- quels sont les changements règlementaires, les nouveaux formats, les tendances de fond des réseaux sociaux ?
- quels sont les contenus et les campagnes qui ont attiré l'oeil de nos experts ?
Retrouvez l'essentiel de ces informations dans notre veille mensuelle !
Webassadors - Mixology #2 - Actu' Web de la semaine du 14.07.14Webassadors
Dans cette édition:
LE BRANDING MIX
Marc Jacobs, des fans sur le podium
Cadbury et son "générateur de joie"
Nestlé recherche l'adhésion
Voyage SNCF, le site interdit au plus de 28 ans
Airbnb, le compte à rebours
Heineken, le lancement de "Where is next"
LE SOCIALIZER
Super Cleaners, le mini-film de Facebook
LinkedIn rachète Newsle
Du nouveau sur SnapChat
L'analyse des performances sur Twitter
Google+ met fin à la restriction sur les pseudonymes
LE COMPLÉMENT
Happn, le made in France de la rencontre
Secret, l'application réservée aux anonymes
Certains souvenirs sont plus impérissables que d’autres. C’est à partir de ce constat que les membres de l’agence Be Angels, en qualité d’experts du digital, ont pris l’initiative de se remémorer les nouveautés technologiques et d’usages qui ont marquées l’année 2015.
Magnite - taking action on identity in europe - april 2021Romain Fonnier
The Identity and 3rd party cookie commotion has reached a critical point in Europe - and recent announcements from Google (and the ensuing industry chatter) have created an atmosphere of fear and confusion within the programmatic ecosystem.
It's time to clear up the confusion and move forward. This webinar aims to:
• Provide context and clarity to the confusion
• Highlight the key areas of focus
• Show publishers the collaborative path forward - timelines and actionable steps
ID5 - the state of digital identity - 2021Romain Fonnier
Dépendre des cohortes et des signaux déterministes n’est pas suffisant pour permettre au secteur de prospérer dans un avenir sans cookies ; le rapport d’ID5 sur l’identité le démontre
Pour son deuxième rapport, le fournisseur de solutions d’identité a sondé le secteur afin d’évaluer l’importance de l’identité dans la publicité numérique et la manière dont les perspectives sur l’identité ont évolué au fil du temps. Le dernier rapport révèle que l’identité est de plus en plus prioritaire dans le paysage de la publicité numérique : 82 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles considéraient l’identification numérique des utilisateurs comme « très importante » pour leur entreprise. L’adoption de solutions d’identité universelle est sur une trajectoire ascendante, 43 % des répondants du secteur déclarant être déjà impliqués avec des fournisseurs d’identité universelle et 43 % supplémentaires déclarant être en phase d’évaluation.
Audio programmatique panorama des acteurs technologiques sell side - iab fr...Romain Fonnier
PANORAMA DES ACTEURS DE LA PUBLICITÉ AUDIO PROGRAMMATIQUE EN FRANCE, ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES 2021
Webinar organisé le vendredi 22 Janvier de 15h à 15h45
Cette année, le Salon de la Radio a été remplacé par le RadioWeek, qui s'est tenu 100% en ligne durant 5 journées thématiques du 18 au 22 janvier 2021.
A cette occasion, l'IAB France a organisé un webinar autour de l'Audio Programmatique afin de présenter les travaux de la Task Force Audio Digital et les perspectives 2021.
Le barometre du programmatique - IAB France - 2021Romain Fonnier
L'IAB France publie son 1er Baromètre Programmatique. Vendredi 5 Février 2021- L'Interactive Advertising Bureau France (IAB France) crée le 1er Baromètre Programmatique qui présente l’évolution du marché en 2020 (vs 2019) et les niveaux d’investissements programmatiques en France sur l’ensemble des environnements publicitaires excluant les wall garden, le social et le search.
Cette 1e édition du Baromètre Programmatique a été réalisée dans le cadre des travaux de la Task Force Programmatique pilotée par Philippe Framezelle, Directeur de la Régie Adverline et présentée le 4 février lors d’un webinaire.
Destiné à l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur, ce baromètre a pour objectif d’apporter plus d’insights et de lisibilité au marché par un suivi régulier de l’état des achats programmatiques en France.
Les données partagées dans ce baromètre ont fait l’objet d’une analyse approfondie menée par Adomik, technologie d’analyse de la data. Le Baromètre met en avant la répartition des achats programmatiques par format, device, type de deal et offre une vue sur les CPM, les top annonceurs et top bidders. Sur le périmètre mesuré, les investissements 2020 sont en diminution de -4,3% et le CPM moyen en programmatique se situe à 0,96€.
Pour la 1ère fois, le mobile est le device en tête des achats programmatiques.
On constate une chute des CPM lors du premier confinement qui n’a pas été confirmé lors du second avec une remontée des CPM sur le dernier trimestre.
La publicite TV segmentée - IAB France - Octobre 2020Romain Fonnier
L’AF2M, l’IAB France et le SNPTV s’associent pour publier un Guide sur « La publicité segmentée » destiné aux annonceurs
Elaboré par les experts des groupes de travail de l’IAB, de l’AF2M et du SNPTV, ce guide s’adresse à tous les annonceurs désireux de mieux comprendre les spécificités de cette nouvelle opportunité TV.
Les lecteurs y découvriront l’architecture technologique mise en place, ainsi que le calendrier de mise en œuvre jusqu’à fin 2021 avec les différentes étapes successives, les modes de réception compatibles avec ce type de publicité et enfin les échanges nécessaires entre les opérateurs de télécommunication et les éditeurs de chaînes de télévision. Par ailleurs, afin de clarifier et faciliter la compréhension de tous, un glossaire a été élaboré, reprenant les termes utilisés en matière de TV segmentée.
Ce Guide est disponible et téléchargeable dès maintenant sur les sites des 3 associations contributrices.
« Ce Guide a été construit afin d’aider les annonceurs à mieux comprendre la complémentarité entre la TV traditionnelle et la TV segmentée. Il exprime bien les nouvelles possibilités offertes aux marques sachant que les limites actuelles seront levées progressivement pour permettre le développement d’un nouveau marché. ». Isabelle Vignon, Déléguée Générale SNPTV.
« Nous sommes très heureux de nous être associés à l’AF2M et au SNPTV pour publier ce guide qui nous a semblé nécessaire alors que nous sommes au démarrage de la phase de convergence entre Télévision et Digital. Ce n’est que le début d’une nouvelle expérience publicitaire que tous les acteurs de l’adtech suivent avec attention. » Jacques Cazin, CEO Adways et responsable de la Task Force Vidéo & TV segmentée de l’IAB France.
« La Télévision, grâce au Digital et à la forte implication des Opérateurs, va offrir de nouvelles possibilités aux marques pour toucher leurs cibles. Opportunités qui feront naître, à n’en pas douter, de nouvelles approches ou stratégies de communication de la part d’annonceurs, grands ou petits. » Natalie Jouen Arzur, Déléguée Générale de l’AF2M.
Guide cookieless - Quel futur pour le cookie ? - IAB france - 2020Romain Fonnier
L’IAB France publie un guide sur le futur du ciblage sans cookies tiers
Elaboré par les experts du groupe de travail « Identity Cokieless » de l’IAB France, ce guide s’adresse principalement aux acteurs de l’industrie du marketing et de la communication en ligne qui s’interrogent sur l’avenir du cookie tiers et le devenir du ciblage publicitaire. Ce guide à vocation pédagogique s’adresse à un public désireux de mieux comprendre le fonctionnement des cookies, comment ils sont recueillis et activés à des fins de communication en ligne.
Les experts de la Task Force Identity Cookieless ont fait le point sur les solutions aujourd’hui envisagées à date. L’ensemble de ces réflexions est rassemblé dans un guide.
Une architecture claire et simple sous la forme d’intercalaires qui permet au lecteur de trouver rapidement les informations liées à chaque solution.
Augustin Decré, pilote de la Task Force Identity Cookieless et Managing Director Southern Europe d'Index Exchange précise: "Alors que beaucoup d’acteurs de l’industrie évoquent déjà la fin du cookie tiers pour 2022, il n’existe actuellement pas de solution idéale pour remplacer cet identifiant, qui reste, depuis 25 ans, une infrastructure essentielle pour l’ensemble de la publicité digitale. »
A ce jour, des questions subsistent encore, les entreprises de l’industrie restent mobilisées, sur le plan européen et international via le projet REARC de l’IAB, pour apporter de nouvelles solutions viables sur le long terme.
Des mises à jour régulières seront effectuées selon les nouvelles approches envisagées.
Un webinar sur le même thème, a été organisé par l’IAB France le 10 décembre dernier. Plus de 150 participants ont été réunis autour des 10 experts membres et pilotes des groupes de travail de la TF Identity Cookieless afin de présenter les grandes lignes du guide cookieless.
Smart lance son « Identity Indicator »
Dans un contexte où l’industrie de la publicité se prépare à un avenir sans cookie, Smart dévoile son Smart Indicator (disponible ici), un rapport conçu à destination des acheteurs médias et des éditeurs pour mieux comprendre l’impact de la dépréciation des cookies tiers et des ID mobile en temps réel. L’« Identity Indicator » de Smart offre un regard trimestriel sur les tendances émergentes autour du consentement et de l’identité, dans la transition vers un écosystème de publicité numérique privilégiant la confidentialité.
Toutes les données de ce rapport proviennent du SSP de Smart et ont été collectées du 8 au 28 mars 2021 sur l’inventaire web et/ou mobile de tous les éditeurs de Smart dans les marchés suivants : le Brésil, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Mexique, l’Espagne, le Royaume-Uni et les États-Unis.
Strategies and Opportunities for a Cookie-less World - Pubmatic - April 2021Romain Fonnier
Publishers and buyers agree: While the future of alternative solutions to the third-party cookie is still uncertain, there is tremendous opportunity for an addressable open internet and addressing the issue is a priority for many in 2021.
With the ad tech industry still evolving around the change in identity resolution, both publishers and buyers are taking stock of what their options are moving forward.
Le guide de la brand safety et brand suitability - SRI - 2021Romain Fonnier
En mars 2020, le marché publicitaire digital s’est resserré : le confinement a provoqué une réduction des campagnes, mais aussi une généralisation des filtres bloquant la publicité dans les contextes liés au Covid19. Cela a eu un impact conséquent sur la monétisation publicitaire des contenus premium. Cet épisode, qui a pénalisé directement les éditeurs et leurs régies, a révélé un grand besoin de clarification et de pédagogie en matière de brand safety. Dans cette perspective, les experts du SRI ont rassemblé leurs connaissances et pratiques du sujet dans un nouveau ‘Pense pas bête’ : le Guide de la brand safety et de la brand suitability.
Face à la dispersion des campagnes digitales, les annonceurs et leurs agences doivent s’assurer que les contextes de diffusion sont appropriés aux marques et que leurs campagnes ne financent pas des contenus universellement jugés indésirables (contenus illégaux, pornographiques ou incitant à la haine par exemple). Si ces pratiques ne sont pas nouvelles, les outils et les technologies de filtrage utilisés se sont récemment multipliés et complexifiés, et leur gestion induit parfois des effets contre-productifs. Les marques, pour ne pas associer associer leurs campagnes à des contenus inappropriés, peuvent actionner ces filtres à différents niveaux de la chaine publicitaire, notamment sur la base de mots clés, appelés aussi blacklists ou blocklists. Mais leur emploi, parfois maladroit, redondant ou excessif, impacte directement les volumes d’inventaires publicitaires disponibles sur les sites et de la même manière, l’efficacité des campagnes.
Aussi, comme il l’a déjà fait avec le programmatique, les cookies ou l’efficacité, le SRI propose dans un nouveau ‘Pense pas Bête’ de considérer cette légitime préoccupation des marques pour en donner une vue d’ensemble claire et pédagogique. Ce document est basé sur des entretiens avec de nombreuses parties prenantes - éditeurs, agences & tech - et réconcilie les visions sell side et buy side. En effet, pour que chacun puisse jouer efficacement son rôle dans la chaîne, il est essentiel de s’accorder sur une vision commune. C’est l’objet de ce guide qui permet de partager des définitions, de clarifier les rôles de chacun, de comprendre le fonctionnement des outils et de rassembler quelques bonnes pratiques et recommandations.
2019 Programmatic Advertising Ecosystem Europewww.improvedigital.comSales Houses & Ad NetworksAn outsourced capability to advertisers, agencies and content providers to sell and buy media. Sales Houses often work on an exclusive basis for content providers, selling both standard and customized advertising to advertisers and agencies. Ad networks may have a general approach or specialise in a certain area such as retargeting, audience targeting, mobile, video or affiliate marketing. Data Providers & TechnologiesData providers collect, compile and sell (anonymous) data on (online) consumers. The data management platforms manage, protect and collect the data from different online and offline sources and turn it into actionable information that can be used by buyers and sellers.AgenciesAn advertising agency or media agency is a service business dedicated to creating, planning, and handling advertising (and sometimes other forms of promotion) for its clients. An ad agency is independent from the client and provides an outside point of view to the effort of selling the client’s products or services. An agency can also handle overall marketing and branding strategies and sales promotions for its clients. (source: Wikipedia) Delivery Systems, Tools, Analytics, Verification & PrivacyDelivery systems, tools and analytics are the technologies that provide specific features to the advertising ecosystem. They ensure different types of ads are served, measured & validated, provide safety and privacy features to advertisers and content providers, offer unique targeting methods for advertising campaigns, provide simplified tag management or billing support. Agency Trading DesksThe specialised arms of larger media buying agency groups that use either proprietary technology or a demand side platform (DSP) to buy and optimise media and audiences, often in real time, on ad exchanges, ad networks, sell side platforms (SSPs) and other available inventory sources they are connected with.Selling TechnologiesTechnology platforms focused on enabling media owners to automate the selling of online media in real-time and maximizing their revenue. They offer an efficient, automated and secure way to tap into the different sources of demand that are available, manage yields and provide insight into the various revenue streams and audiences.
Le champ des possibles en matière d’optimisation des
performances susceptibles de rendre les campagnes
de publicité plus efficaces, est pour les annonceurs
comme pour les prestataires très étendu.
Chose inconcevable avec la publicité offline.
Ainsi, afin de pouvoir suivre les statistiques d’une
campagne online, un annonceur va intégrer à ses
liens de redirection des trackings qui permettront par
la suite l’étude des résultats sur un outil d’analyse
approprié et il pourra également arriver que
l’annonceur utilise deux outils d’analyse statistique,
voire, si un prestataire est impliqué dans la gestion
de la campagne, que ce dernier ajoute également son
propre outil d’analyse.
Malheureusement, il est très rare que l’on puisse
coordonner les différents outils de mesure afin de
permettre l’obtention d’informations communes.
De fait, les données varient le plus souvent au niveau
des clics et des impressions. Cela peut être parfois
source de désaccord entre les deux entités que sont
l’annonceur et le prestataire, tous deux impliqués
au même titre dans la campagne publicitaire.
Bien évidemment, force est de constater qu’il n’y a
pas d’outil d’analyse meilleur qu’un autre, et si les
données obtenues diffèrent souvent, c’est d’abord
que les méthodes et les facteurs d’analyse divergent
beaucoup d’un outil à l’autre.
À partir de quand faut-il essayer de comprendre
l’écart de statistiques ? Nous le verrons au travers de
ce document.
L'édition 2019 du Black Friday a été une fois encore le temps fort du secteur Retail
sur la fin d'année, véritable rampe de lancement de la période englobant Noël et
les soldes d'hiver. De plus en plus plébiscité par les marques et les internautes
(62% des internautes profitent du Black Friday selon un sondage BVA de novembre 2019), le Black Friday 2019 s'est distingué avec un démarrage précoce pour
certains marchands, anticipant d'une semaine la date "officielle" de lancement
afin de couper l'herbe sous le pied de la concurrence en proposant des offres très
agressives d'entrée de jeu.
De façon encore plus visible que lors des précédentes éditions, les soldes continuent de perdre en importance au profit du Black Friday, notamment sur les
secteurs de l'Habillement et de la High tech.
Le volume de business généré à l'occasion de ce temps fort en fait un moment clé
dans la stratégie d'affiliation des marchands qui peuvent s'appuyer à cette occasion sur des verticaux puissants et déclencheurs d'achat pour démultiplier leurs
ventes. L'écosystème des Editeurs a été tout particulièrement dynamique cette
année et a fait la part belle à l'innovation en proposant des dispositifs puissants
alliant personnalisation et performances.
Dans la présente étude, vous trouverez une analyse des principaux indicateurs
clés de performance par secteur d'activité ainsi qu'une vision affinée sur les 3
temps forts qui se se sont dégagés du Black Friday 2019: la semaine précédant le
jour J, le week-end du Black Friday et la CyberWeek qui a suivi.
Le Baromètre du Lead du CPA vous est présenté par les membres du Collège Lead du CPA, acteurs du
marketing digital et spécialistes de la génération de leads. Tous les résultats proviennent d’une étude menée
par les rédacteurs du Baromètre sur une période d’analyse des chiffres de Septembre 2018 à Août 2019 inclus.
Résultats – SONDAGES IAB / CPA – « Les conséquences économiques de la crise c...Romain Fonnier
Résultats des sondages IAB / CPA : «Les conséquences économiques de la crise covid-19»
A l’image de nombreux pays à travers le monde adoptant des mesures pour lutter contre la propagation du virus COVID-19 dont le confinement, l’économie française est gravement touchée et le digital ne fait pas exception. De nombreux secteurs ont besoin d’un soutien public pour traverser ces moments difficiles. Les gouvernements prennent des mesures de soutien de l’économie et d’anticipation de la reprise d’activité. Le digital ne doit pas en être exempté.
Dans le cadre de la crise sanitaire que nous traversons (Covid 19), le CPA et l’IAB ont réalisé un sondage auprès de leurs adhérents, afin de comprendre les principales préoccupations de l’industrie et les conséquences économiques de cette crise mondiale. Plus de 100 dirigeants d’entreprises représentatives des acteurs du marketing et de la publicité digitale en France (éditeurs, régies, agences, adtech, etc.) ont répondu au questionnaire entre le 7 et le 27 avril dernier.
Tracking : 7 points à vérifier pour comprendre les écarts statistiquesRomain Fonnier
Les annonceurs sont confrontés à des écarts de comptages croissants entre les technologies qu’ils utilisent dans le cadre de leurs campagnes marketing online. Ces écarts brouillent la mesure et l’analyse des performances des opérations mais posent aussi des soucis de facturation de plus en plus fréquents. Afin d’aider tous les acteurs de la chaine marketing digital à mieux cerner les raisons qui sont à l’origine de ces écarts et de leur donner les conseils de première urgence pour les réduire, nous, membres du Collège Technologie du CPA, avons rédigé ces fiches. Elles ont pour but de contribuer à faciliter la compréhension de notre industrie et, en expliquant les phénomènes, de poser des bases permettant à tous d’avoir un repère commun.
Baromètre de l'affiliation - Edition 2020 - CPA FranceRomain Fonnier
Le Baromètre de l’affiliation 2020 est l’outil de référence pour piloter et optimiser sa stratégie d’affiliation, tout au long de l’année.
Cette nouvelle édition de notre, désormais, incontournable baromètre de l’affiliation se veut
plus riche que jamais. Portée par les membres du CPA (Collectif Pour les Acteurs du marketing
digital), elle recouvre les 15 principaux secteurs d’activités de l’e-commerce en France.
L’affiliation est au cœur de la plupart des stratégies digitales d’acquisition et fidélisation des
annonceurs. Ce baromètre apporte donc un éclairage indispensable pour bien appréhender ce
levier clé du mix marketing à la performance.
IAB Europe european-programmatic-ad-spend-2018-report-sept-2019Romain Fonnier
European Programmatic Ad Spend Report 2018
The latest IAB Europe Programmatic Ad Spend Report reveals that programmatic revenue grew by 33 percent in 2018, topping €16.7bn, with more than 70 percent of display and more than 50 percent of video now traded via programmatic methods. Social media buying dominates programmatic, but when this medium is removed the market saw impressive growth of 26.6 percent, to a total of €5.5bn.
IAB Europe Attitudes-to-programmatic-advertising-report Sept-2019Romain Fonnier
IAB Europe Attitudes-to-programmatic-advertising-report-2019 sept-2019
Attitudes to Programmatic Advertising Report 2019
IAB Europe’s annual Attitudes to Programmatic Advertising Report is a comprehensive analysis of the European programmatic landscape, covering strategies and adoption trends, drivers of and barriers to growth, and forecasts for the future for 31 markets. The study, now in its fifth year, was developed by the IAB Europe Programmatic Trading Committee. The key findings of the 2019 study include:
There is a continued push for a quality and safe advertising environment
Ads.txt is well established amongst publishers but awareness and adoption on the buy-side is low
Talent and skills remain a barrier to investment
Supply chain transparency is still an issue
The number of advertisers with in-house operations for programmatic is now higher than the number that outsource to an agency
Programmatic continues to be a catalyst for delivering brand campaigns at scale
In light of GDPR, stakeholders are looking to use more first party data, private marketplaces and contextual targeting
21eme observatoire de l'e pub - sri - 2019Romain Fonnier
Cette étude de référence, initiée par le SRI et réalisée par le cabinet de conseil et d’audit PwC, en partenariat avec l’UDECAM, donne un éclairage indispensable sur le marché publicitaire digital et son écosystème, en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices[1].
Le marché français de la publicité digitale atteint 4 876 M€de chiffre d’affaires net sur l’ensemble de l’année 2018, en progression de +17% par rapport à 2017.
Depuis 2008, le marché n’a cessé de croître et d’évoluer, au rythme soutenu de la digitalisation des médias, des audiences, des organisations et des annonceurs.
En 2018, la publicité digitale retrouve une vigueur jamais observée depuis 2009
Avec une croissance de 17% par rapport à 2017, le marché de la publicité digitale[2]compte pour 4 876M€ en 2018. En 10 ans, le marché a été multiplié par 2,5[3].
Sur l’ensemble de l’année :
Le Search progresse de 11%, il représente 45% du marché global et un CA net de 2 275M€
Le Display global connaît une croissance de 30% (1974M€), il représente 40% du digital mais son évolution est très contrastée :
Display Social : +63, soit 22% du marché global et un CA net de 1 088M€
Display hors Social : +5%, soit 18% du marché global et un CA net de 886M€
Les « Autres Leviers »sont quant à eux en croissance de +6%, ils représentent 15% du marché global, et leur CA net s’élève à 735M€ :
Affiliation : +7,5%
Comparateurs : + 6%
Emailing : +2%)
Les Médias dits « Historiques »représentent 16% du Display global et 36% du Display hors Social[4]
L’IAB France publie son premier guide sur la data qui fournit aux annonceurs, agences et éditeurs une vision claire des meilleures pratiques de la data. Qu’est-ce qu’une donnée ? A quels objectifs de campagne répond-t-elle ? Quels en sont les usages ? Les tendances ?
Dans un monde où les consommateurs et citoyens sont de plus en plus connectés, la data représente un enjeu majeur et un véritable levier de digitalisation pour les entreprises. La consommation des données et leur utilisation sont au coeur des préoccupations actuelles et représente un avantage concurrentiel pour les acteurs du marché ; la mise en place du RGPD en est la preuve et il nous a semblé pertinent de produire ce guide afin d’aider les lecteurs à identifier les bonnes méthodologies d’usages de la data.
Fruit de l’expertise et de la collaboration des entreprises expertes du réseau IAB France, ce guide présente une approche claire et simple des données pour en comprendre leur valeur et leurs usages dans les stratégies de marketing en ligne.
2. Marie Dollé
marie.dolle@kantarmedia.com
Comme chaque année, nous prenons plaisir à
décortiquer les réseaux sociaux pour vous en livrer les
grandes lignes à venir.
Et premier enseignement, si le contenu est toujours le
carburant des réseaux sociaux et du web en général,
leur mise en scène est plus que jamais au cœur de leur
réussite. Comme l’indique Gary Vaynerchuk, gourou
américain des réseaux sociaux « if content is king,
context is god ». Dans un monde où tout un chacun est
devenu une entreprise de médias, Vaynerchuk énonce
un principe très simple : « Respectez la plateforme,
respectez vos lecteurs, puis prenez votre objectif et
faites-le passer au 3ème
plan ». Tout est question de
gagner de l’empathie pour élever votre statut au rang
de love brand.
Sans plus attendre, je vous laisse découvrir nos
10 tendances pour 2017
Introduction
2017 : par ici les grandes tendances !
2 | | 3
3. 4 | | 5
Vous pensiez que Pinterest était
timoré ? Voire moins ambitieux
que ses concurrents ? Il n’en
est rien. C’est par lui que nous
commençons : avec un total de 6
acquisitions au cours de l’année
2016, le réseau dédié à l’image s’est
révélé le plus actif ! Ses conquêtes
sont toutes liées au social
commerce et à l’amélioration du
parcours utilisateur au sein de sa
plateforme. Et la firme américaine
ne compte pas s’arrêter en si
bon chemin. Objectif 2017 : la
vente pure et dure. Si l'avenir
du commerce social est encore
à écrire, Pinterest pourrait bien
rédiger un nouveau chapitre, ou en
tout cas, une partie conséquente.
Facebook, lui, ne mise plus tout sur
le réseau social. En effet, la société
avait déjà étendu ses activités
dans le hardware avec des projets
tels que le drone solaire Aquila ou
encore l’Oculus Rift en 2014. En
2016, il continue sa lancée dans
le hardware avec l’acquisition de
Nascent Objects, une start-up
californienne qui propose une
approche modulaire de l’Internet
des objets (IoT) pour concevoir des
gadgets électroniques.
Une voie également adoptée
par Snapchat qui a dévoilé son
premier produit connecté en
septembre dernier (des lunettes
nommées Spectacles) et par la
même occasion, le changement de
nom de l’entreprise qui étend ses
activités.
Linkedin a également été prolifique
de son côté en ciblant des sociétés
capables d’améliorer la qualité
de son flux de contenu, et en
déployant les fonctionnalités de
sa solution de social selling Sales
Navigator. Grâce notamment à
l'acquisition de Point Drive, une
application axée sur les ventes
qui améliore la façon dont vous
partagez du contenu avec les
clients. Enfin, l'acquisition de
Connectifier aidera les RH au
sein de Linkedin à découvrir et à
engager avec les meilleurs talents.
Quid de Twitter ? Sans grande
surprise - en raison de sa situation
actuelle et future inconnue – ses
acquisitions sont parmi les plus
énigmatiques de l’année. En
particulier avec l'acquisition de
Peer, un outil permettant de
gérer la communication et les
feedbacks au sein de l’entreprise
entre managers et employés,
avec pour objectif d’améliorer les
performances de chacun. Une
éclaircie est-elle à prévoir en 2017 ?
Le suspense est là.
Nascent Objects Inc
19 Septembre 2016
Plateforme électronique
modulaire
Vurb
15 Août 2016
Moteur de recommandation
Magic Pony Technology
20 Juin 2016
Traitement des images par
l’intelligence artificielle
Instapaper
23 Août 2016
Bookmarking
Point Drive
26 Juillet 2016
Social selling
Two Big Ears
6 Août 2016
Son 3D
Crowtangle
11 Novembre 2016
Monitoring du buzz en ligne
FacioMetrics
16 Novembre 2016
Technologie de
reconnaissance faciale
Obvious Engineering
3 Juin 2016
Technologie 3D
MathCamp
15 Juillet 2016
App de photo & découverte
sociale
Tote
22 Juin 2016
App de shopping
influenceurs
Runhop
5 Mai 2016
Distribution de contenus
Eye Groove
23 Mai 2016
App de « selfie musical »
Bitstrips
24 Mars 2016
Création de personnages
de bande dessinée à son
effigie.
Peer
7 Avril 2016
Outil de communication
Intra-entreprise
Fleksy
15 Juin 2016
Clavier alternatif
URX
3 Mai 2016
Publicité mobile et
« deep-linking »
Curator & Co
21 Avril 2016
Bookmarking visuel
Connectifier
4 Février 2016
Machine Learning RH
Acquisitions de sociétés en 2016 :
and the winner is...
Qui s’est étoffé ? Qui s’est démarqué ?
Qui a fait son marché ?
4. 6 | | 7
Snap & Facebook: exit le
« social »
La diversification,
clé de la toute-puissance
1.8 milliard d’utilisateurs actifs
par mois (MAUs). Vous pensiez que
le géant Facebook pourrait s’en
contenter ? Pourtant, ce n’est que
la partie émergée de l’iceberg...
Facebook étend toujours plus ses
tentacules en rebondissant sans
cesse.
En 2013, les plus jeunes ont
commencé à déserter Facebook
en masse, trouvant qu’il perdait
de sa « branchitude ». Mais Mark
Zuckerberg a su redresser la
situation à son avantage ! Au lieu
de chercher à renforcer la marque,
il a au contraire entrepris une
« politique de debranding ».
Ses acquisitions de l’époque –
notamment Instagram, WhatsApp,
Oculus VR et ProtoGeo OY– ont
continué à fonctionner comme
des applications autonomes, sans
connexion apparente à Facebook.
L’idée était de se diversifier en
faisant entrer chacune de ces
activités dans les habitudes :
diviser pour mieux régner en
somme. Un positionnement
payant.
La stratégie de Zuckerberg a
consolidé Facebook dans sa place
de leader mondial incontesté
des réseaux sociaux. Mais pour
combien de temps ? Car dans le
monde impitoyable du numérique,
rien n'est acquis...
Ainsi, le réseau des jeunes,
Snapchat, pourrait bien venir
mettre un peu de piment dans le
paysage social. Certes, sa base
d’utilisateurs atteint à peine
20 % de celle de Facebook,
mais Snapchat sait exploiter
sa petite taille en engrangeant
du contenu vidéo, qui fait
écho chez les 18-24 ans. Un
environnement que Facebook
voudrait bien dominer.
Pour l’heure et selon la dernière
étude Infinite Dial, Facebook
(y compris Messenger) reste
la plateforme sociale la plus
populaire chez les Américains
de 12 à 24 ans, dont 32 %
affirment utiliser la firme de
Marck Zuckerberg en priorité.
Snapchat arrive deuxième
avec 26 %. Ce qu’il faut
retenir cependant, c’est que
Snapchat est passé devant
Instagram en gagnant 11 %
d'utilisateurs en un an, alors
que Facebook a perdu 11 % sur
la même période. Imaginez ce
que l’avenir réserve pour cet
outsider, à une époque où les
jeunes utilisateurs recherchent
constamment des nouveaux
terrains d’expression.
Malgré ces bons auspices,
Snapchat ne s’endort pas sur
ses lauriers. La marque s’est
rebrandée « Snap » et s’est
lancée dans le hardware avec
le lancement de Spectacles, des
lunettes de soleil connectées,
diversifiant par la même
occasion son activité au-delà
de son application phare
1
5. (exactement comme Facebook).
Dans un article sur leur blog,
le CEO Evan Spiegel expliquait
dernièrement que
« maintenant que nous
développons de nouveaux produits
comme Spectacles, nous avons
besoin d’un nom qui aille au-delà
d’un seul produit–mais sans perdre
la familiarité et l’humour de notre
équipe et notre marque. » De quoi
ouvrir la voie vers de nouvelles
activités pour cette jeune et
ambitieuse société.
La stratégie de Snapchat est
d’ailleurs représentative d'une
tendance croissante : les réseaux
cherchent désormais à gommer
l’étiquette « sociale » qui leur
colle à la peau. Pinterest souhaite
être perçu comme un « catalogue
d'idées » plutôt qu’un réseau
social. De même, en avril dernier
Twitter a changé de catégorie
dans l’Apple Store passant ainsi de
« Réseau social » à « News ».
Qu'est-ce qui se cache derrière ce
changement de stratégie ?
Ne plus être perçu comme
une distraction mais comme
un usage indispensable du
quotidien…
Il y a plusieurs routes que les
réseaux sociaux pourraient
prendre pour atteindre ce niveau
d'importance. Ils pourraient
fusionner en conglomérats
existants (Linkedin acquis par
Microsoft), construire leur propre
empire grâce à la diversification
(Facebook ou Snap), ou tenter leur
chance en existant comme petit
outsider.
Une chose est certaine : ils
comptent aller au delà du « social
» à l’instar de modèles tout-en-
un comme WeChat en Chine, et
devenir ainsi des véritables « super
apps » du quotidien.
Si le paysage des réseaux sociaux
était jusqu’ici fragmenté, le temps
de la consolidation est arrivé.
8 | | 9
6. 10 | | 11
« Super réalité » :
100% UX
L’essor du web
ambiant
Oculus Rift, PlayStation VR,
Gear VR, HTC Vive … Ces noms
vous sont peut-être inconnus, et
pourtant, ces casques de réalité
virtuelle (VR) viendront bientôt
frapper à votre porte. Pour les
non-initiés, la réalité virtuelle est
une expérience d’immersion
dans laquelle les mouvements de
votre tête sont retracés dans un
monde en trois dimensions grâce
à un casque et des appareils
mobiles.
Et cette année, TOUS les grands
joueurs, depuis les GAFA jusqu’aux
médias mainstream comme le
New York Times, veulent croquer
une bouchée de ce juteux marché !
Le succès phénoménal de
PokemonGo cet été a donné aux
joueurs rien de moins qu'un avant-
goût de réalité augmentée... Et
attisé un peu plus leur appétit !
Facebook pour sa part, se place
encore une
fois en méga-
influenceur.
Lors de sa
conférence
F8 qui s’est
tenue en avril,
la société a
dévoilé sa
feuille de route
pour les 10 prochaines années.
Comme on pouvait s’y attendre,
elle est fortement axée sur
l’intelligence artificielle/la réalité
virtuelle et la réalité augmentée.
Avec l’acquisition du pionnier de la
2 VR Oculus Rift, la firme de Menlo
Park a déjà avancé ses pions.
Mais il reste encore beaucoup
à venir. Grâce à l'acquisition de
Two Big ears (une entreprise
d'audio spatial) elle
est en train de créer
un « web ambiant
» dans lequel les
gens puiseront si
facilement leur
quotidien que
l’expérience coulera
de source.
Mark Zuckerberg a
également annoncé
que les futurs casques de réalité
virtuelle auront la taille d’une
paire de lunettes classiques et
gèreront en même temps réalité
augmentée et réalité virtuelle.
Une annonce qui trouve aussi
écho chez le CEO de Google,
Sundar Pichai. Selon lui, nous
allons passer d’un monde mobile
first à un monde AI first.
Mais ce n’est rien comparé
à l’objectif intermédiaire de
Zuckerberg : la « téléportation »
d’ici 2025... Oui, vous avez bien
lu.
Facebook n’est pas le seul à avoir
des projets audacieux. Snapchat
a toujours utilisé des filtres
inspirés de la réalité augmentée.
Et il se murmure aujourd’hui que
l'entreprise aurait de gros projets
en cours, dans la lignée de ses
dernières acquisitions :
le développeur de lunettes
connectées Vergence Labs
en 2014, et le lancement de
Spectacles en septembre.
Facebook est en
train de créer un
web ambiant
7. 12 | | 13
Même Twitter, qui semblait
silencieux sur le sujet, a
embauché un directeur de VR
- AR pour « se valoriser dans
la révolution de l’informatique
spatiale », dixit la page
LinkedIn du directeur.
Que doivent retenir les
marques ? Que les réseaux
sociaux ne sont plus juste
des « apps » dédiées à un
seul usage. Ils s’apparentent
davantage à l'électricité -
moins visible et encore plus
profondément ancré dans la
vie des gens.
Comme Dan
Lynch (Interop et
SRI International)
l’a écrit, «
l'impact le
plus utile est
la possibilité
de connecter
les gens. De
cela, tout coule.
» Les marques
devront s’adapter
à ce nouvel «
environnement
ambiant de l'information »
en intégrant de nouvelles
technologies telles que le VR,
AR, et l’IA.
Le défi sera de se concentrer
sur la création de cette «
empathie digitale » forte et de
connecter les humains plus
en profondeur.
Bienvenue dans l’ère de la
narration immersive !
Les réseaux
sociaux ne sont
plus juste des
apps dédiées à
un seul usage.
8. 3
14 | | 15
La Révolution du
Distributed Media
Vers une atomisation
des contenus
Depuis quelques années, les
moteurs de recherche et les
médias sociaux tendent à se
substituer aux sites web d’éditeurs
médias pour diffuser (et partager
en masse !) les dernières news
mises en ligne.
L'étape suivante n'était plus qu'une
question de temps : pourquoi
servir uniquement de canal pour
partager des liens, quand vous
pouvez pousser vous-même les
éditeurs à publier leur contenu
directement via votre plateforme ?
Le cheminement est simple :
les contenus créent des
habitudes, les habitudes amènent
les internautes à revenir sur votre
plateforme, où se crée alors
l’engagement. Et l’engagement,
n'est-ce pas le Graal des réseaux
sociaux, en quête permanente de
monétisation de leurs services ? La
boucle est belle et bien bouclée.
Forts de ce constat, les GAFA,
ces géants de la Silicon Valley,
multiplient les initiatives : Apple
News, Google Amp, Linkedin
Pulse ou même Twitter Beyond
10K… Tous se rêvent désormais en
éditeurs de contenus.
Dans ce nouveau paysage,
Facebook Instant Articles ne fait
pas figure de précurseur.
Pourtant, il est le réseau qui
pourrait bien marquer un
tournant. La raison ? Son audience
gigantissime, véritable nerf de
la guerre. Car le réseau créé par
Mark Zuckerberg représente à
lui tout seul, nous l’avons dit,
1,8 milliard d'utilisateurs actifs
dans le monde. Il est en capacité
de démocratiser de nouveaux
usages, à très grande échelle et
à très grande vitesse. D’autant
que Facebook n'est jamais à la
traîne en termes de prouesses
technologiques.
Nous sommes en train de
vivre une mutation profonde
du paysage média, et ce
changement devrait avoir des
répercussions très importantes sur
le marché publicitaire.
Si pour l’heure Facebook et ses
Instants Articles laissent le choix
aux médias de commercialiser
eux-même leurs espaces
publicitaires (et garder la totalité
des revenus) ou de monétiser le
stock invendu avec des publicités
de Facebook Audience Network
(qui empochera au passage 30%
de commission sur les revenus
générés), le modèle pourrait
évoluer.
Fin octobre Snapchat a défrayé
la chronique en annonçant
qu’il envisageait de modifier le
modèle économique de Discover
(même concept que Instant
Articles) en arrêtant de partager
les revenus publicitaires avec les
médias partenaires. La firme de
Evan Spiegel souhaiterait ainsi
se rapprocher des pratiques
télévisuelles, à savoir, acheter du
contenu à un certain prix pour
récupérer ensuite la totalité des
9. 16 | | 17
Le meilleur moyen
d'atteindre son
audience est encore
d'aller là où elle se
trouve.
revenus générés par l’annonceur.
Les annonceurs toucheraient ainsi
un revenu fixe mensuel, selon les
modalités stipulées par le contrat.
De quoi bouleverser les règles
économiques.
Reste une interrogation de taille :
cette « plateformisation » des
contenus ne pourrait-elle pas - à
long terme - nuire aux marques et
aux éditeurs ?
Y penser est légitime : plus la
consommation d’information
migre vers les réseaux sociaux et
vers les nouveaux canaux (VR,
IoT, Messaging
Apps etc.) et plus
le phénomène
de dépendance
s’installe.
Mais si la
question d'une
indépendance
relative mérite
d’être posée, est-
elle pour autant
un frein ? Car on
le sait : le meilleur
moyen d'atteindre son audience
est encore d'aller là où elle se
trouve.
C’est en tout cas le pari fait par des
médias tels que Minute Buzz ou AJ+
qui ont supprimé site et blog pour
publier uniquement sur les réseaux
sociaux. Un choix audacieux ou
suicidaire, quand les deux modèles
pourraient co-éxister ?
Rendez-vous en 2017 pour les
premiers retours d'expérience.
10. 4 à accepter de converser avec un
robot quotidiennement ? -
Cependant, avant de mettre tous
vos oeufs dans le même panier,
il serait prudent de prendre en
considération les points suivants :
La connexion humaine :
Les marques ont tout
intérêt à combiner l'IA
avec l'expertise humaine.
Par exemple, l’assistant M de
Facebook est mi-humain mi-
robot, ce qui permet à la firme
de Menlo Park de limiter les ratés
qui peuvent nuire à la marque.
Cela permet également d’offrir
un aperçu plus authentique des
désirs de ses utilisateurs.
Les chatbots comme
co-star :
Malgré l'engouement
qu'ils suscitent, ne
perdez pas de vue que les
chatbots ne sont qu'un outil
dans votre arsenal marketing.
Lorsque vous ciblez le Dark
Social (le partage qui se déroule
en privé notamment via les
canaux de messaging apps),
ce ne sont plus les marques
qui initient le dialogue avec
leurs consommateurs, mais
les utilisateurs qui initient un
dialogue avec les marques.
C’est un changement important
qui oblige les marques à cultiver
une connexion humaine plus
personnalisée, tout en respectant
Les ChatBots ne sont
pas seuls…
Lumière sur le
Dark Social
2014 est l’année où, pour la
première fois, les marques ont
atteint les consommateurs via
des applications de messagerie.
Des sociétés comme Feeligo ont
démocratisé l’usage de stickers
de marques dans les espaces
de conversation privée, afin de
connecter les annonceurs à leur
public.
Ces émoticons brandés et
personnalisés plongent les
consommateurs dans l’univers
de la marque, et sont disponibles
gratuitement sur les plateformes.
Pourquoi ce changement soudain ?
Parce que les consommateurs
désertaient déjà les réseaux
traditionnels en faveur des
applications de messagerie. Il ne
restait plus qu’à saisir au vol leurs
préférences.
En 2016, les services de
ChatBots, aussi appelés agents
conversationnels, se sont invités
sur bon nombre de messageries et
ont amorcé une nouvelle grande
tendance. Intuitives et ludiques,
ces applications reproduisent
les codes d’une conversation de
façon à générer automatiquement
une communication. Grâce aux
ChatBots, il est désormais possible
de commander un Uber, gérer des
réservations, prendre des billets
d’avion etc.
Pratique, rapide et accessible via
smartphone, les bots pourraient
bien révolutionner les ventes en
ligne et donner naissance à un
« e-commerce conversationnel »
– Serions-nous pour autant prêts
18 | | 19
2
1
11. 20 | | 21
l’intimité de leurs utilisateurs.
Pas franchement une stratégie
auxquelles les marques sont
habituées !
Le point clé à retenir ? Les
ChatBots sont utiles mais
ils ne peuvent pas tout faire.
Les marques ont besoin de
stratégies de marketing globales
et avant-gardistes sur ces
nouveaux canaux. Adidas est un
excellent exemple de marque qui
cherche à bousculer les codes
et à mettre en « lumière » ces
canaux Dark Social.
En mai, la marque de sport a
lancé des communautés pour
les fans hyper-connectés de
football. Ces communautés
baptisées « Tango Squads »
(environ 200 membres chacun,
l’objectif est d’en atteindre 500)
fonctionnent sur les applications
de messagerie directe tels
que Facebook Messenger,
WhatsApp, et Line.
Elles sont gérées par une équipe
Adidas en interne, qui partage
du contenu exclusif et des
nouveautés produit avec les
équipes avant toute diffusion
publique par les canaux Adidas
officiels.
Dans quel but ? Le directeur
de la communication globale,
Florian Alt, l’explique de cette
façon : « Ce n’est pas qu’une
question de portée. Ces fans
hyper-connectés apportent une
notoriété de masse. Ce sont les
gars qui vont pousser vos histoires
et votre contenu. Ils donnent de
la longévité et de l'authenticité
à vos news, parce qu'ils parlent
dans un environnement de
messagerie privée. Si l’information
se présente comme la référence
d’un ami, vous êtes beaucoup
plus susceptible de l’intégrer que
si elle provient d'une marque. »
Il a ensuite fait valoir que le
contenu est perçu comme
beaucoup plus authentique s’il
est distribué à 500 personnes
avec 2000 followers chacun,
que s’il est livré à un influenceur
mondial avec un million de fans.
12. 22 | | 23
Chaque année, une de nos
tendances vient d'Asie, et cette
année ne fait pas exception.
La Chine a récemment vu
l'adoption massive de nouveaux
services de questions/réponses
(Q & A).
« Demandez-moi tout ce que
vous voulez ! ». Telle est la
devise de sites très populaires
comme Fenda (分答) et Zhihu
Live (知乎) qui permettent
aux utilisateurs d’interagir en
direct avec des personnalités
chinoises. Fenda propose
aux utilisateurs de poser
des questions aux célébrités
et d’obtenir une réponse
moyennant rémunération.
Wang Sicong, (le fils de
l’homme le plus riche de
Chine), a ainsi recueilli plus de
30 000 euros en 20 minutes en
répondant simplement à des
ragots le concernant.
Autre plateforme en
vogue, Zhihu qui permet
aux internautes de s’offrir
des sessions privées avec
des experts de différentes
industries.
Ces modèles de Q&A sont-ils en
passe de s’exporter à l’Ouest ?
Tout porte à le croire ! Quora
et Jelly ne sont plus seuls sur
le créneau. L’américain Tiptalk
(semblable à Fenda) s’est déjà
positionné sur le marché des
« people » en rémunérant les
célébrités au texto ou à la vidéo
demandés par les fans.
Le monde professionnel
n’est pas en reste : Wiselike
(semblable à Zhihu) mais aussi
Linkedin se sont lancés dans
le créneau du Q&A. En août
dernier, LinkedIn a d’ailleurs
lancé son application mobile
dédiée à son groupe des TOP
500 influenceurs baptisée
Record. Le principe ? Les
influenceurs accèdent à une
liste de questions posées par
les utilisateurs sur leur page
de profil. Ils peuvent ensuite
enregistrer une courte vidéo
(30 secondes maximum) pour
répondre aux interrogations
de la communauté LinkedIn.
Enfin, cette dernière est
intégrée directement depuis
l’application au fil d’actualité
de l’utilisateur. En introduisant
cet outil d’interactivité
avancée, LinkedIn compte bien
évidemment stimuler l’activité
et l’échange sur ses pages.
Mais ce déploiement, pour
l’heure limité, pourrait offrir de
nombreuses perspectives si la
fonctionnalité devait s’ouvrir
à tous. Avec son gisement
d’experts en tout genre,
imaginez un peu les possibilités
que LinkedIn pourrait offrir...
Les employés d'une entreprise
pourraient, par exemple,
s’imposer comme autant
d’ambassadeurs d’une bonne
stratégie de marque.
Nul doute que le phénomène
« Q&A » déjà particulièrement
dynamique en Chine pourrait
apparaître comme une grande
tendance en 2017 ou dans les
années à venir, aussi bien pour
le monde des influenceurs mais
aussi des célébrités.
Affaire à suivre...
Le Boom des
réseaux de Q&A
Célébrités et
influenceurs vont
vous répondre
5
13. 24 | | 25
Prescription,
glamour... et
business
La Trust Economy, plus
qu’une tendance
L’identité de marques a été
transformée. Elle n’est plus
seulement le fruit de son
positionnement, mais se trouve
façonnée par l’expérience
collective des consommateurs et
des fans qui suivent la marque.
Or, les techniques traditionnelles
de marketing/communications
sont insuffisantes pour
retranscrire ce type de
connexions. Voilà pourquoi le
marketing d'influence est
amené à briller en 2017.
Il suffit d’ailleurs de voir le
nombre vertigineux de sociétés
qui existent autour du marketing
d’influence pour comprendre
l’importance que cela prend.
En 2016, on s’est rendu compte
de l’importance des employés
comme catégorie d’influenceurs.
En 2017, l’élite de ces
influenceurs sera érigée au
statut de thought leaders pour
la marque.
La Sharing
Economy
caractéristique
de notre
époque
est ainsi
intimement
liée à la notion
de trust ou de
confiance.
La notion de
confiance
est alimentée par de bonnes
critiques ou notes, et par
l'influence en général. Mais la
confiance pourrait bientôt
être un produit que les
consommateurs exigent de
leurs marques et des personnes
avec lesquelles ils interagissent,
et non plus une simple
commodité.
Et les réseaux
sociaux
veulent
devenir le
foyer même
de cette
économie de
confiance. A
l’image de
Google qui
a lancé une
étiquette
Fact Check
pour Google Actualités, Twitter
qui a simplifié la procédure
pour avoir un compte certifié
ou Youtube qui a lancé en
octobre une nouvelle mention
indiquant les partenariats avec
les marques, tout est fait pour
renforcer la crédibilité.
En Chine (toujours un foyer
d'innovation numérique), les
célébrités sociales, appelées
« Wang Hong », sont en train
de devenir des investissements
attractifs dans le monde des
Key Opinion Leaders (KOL).
Papi Jiang, une célébrité du
net autodidacte, a récolté 12
millions de yuans (HK
$14,4 millions) en financement
capital risque afin de l’aider à
promouvoir ses contenus sur les
réseaux sociaux. Elle est, de fait,
devenue un modèle de business
indépendant.
Comment les célébrités
sociales réussissent-elles cela ?
En transformant leurs followers
en consommateurs et en créant
des marques personnelles
La Sharing Economy
caractéristique de
notre époque est
ainsi intimement liée
à la notion de trust
6
14. 26 | | 27
uniques. Certains Wang Hong font
même appel à des agences pour
gérer la promotion de leur marque
depuis les plateformes.
Autre élément qui démontre le
dynamisme et le potentiel du
secteur : le lancement d’écoles
d’influence. En France, Youtube
s’est associé avec L’Oréal et a
lancé BeautyTube, une nouvelle
école en ligne de vlogging beauté.
Dix personnes sélectionnées ont
passé 6 mois à apprendre les
astuces marketing du succès
des influenceurs. Ceci inclut la
production vidéo, les techniques
d’engagement social et pas mal
d’autres choses. À la fin du stage,
les étudiants ont reçu un certificat
BeautyTube attestant leurs
nouvelles compétences.
La prochaine étape dans
l'évolution du marketing
d’influence réside dans une
certaine standardisation des coûts
et des moyens.
Aux Etats-Unis, une blogueuse
a ainsi lancé un tumblr,
whopaysinfluencers.com afin de
recenser les marques qui font
appel à des influenceurs, et surtout
d'en connaître les coûts.
Que faut-il en retenir ? Que
l’industrie du marketing d’influence
se professionnalise et se précise.
Elle va devenir un outil de plus en
plus courant dans les stratégies
marketing des marques.
Un exemple en guise de conclusion
: Facebook, himself, aurait dépensé
2,2 millions de dollars afin que des
influenceurs postent des vidéos
au sein de sa plateforme de live
stream...
Le lancement d’écoles
d’influence
15. 28 | | 29
Réseaux sociaux/TV,
un couple d’avenir
Vers une nouvelle
génération de
téléspectateurs
Les réseaux sociaux ont toujours
partagé une liaison forte avec
la TV et la vidéo. La Social TV
désigne généralement l’utilisation
faite des réseaux sociaux pour
enrichir l’expérience liée à la
consommation d’un programme
TV sur les réseaux sociaux ou sur
des applications de type « second
écran ». Ou autrement dit, les
commentaires et partages faits
autour de l’émission via les réseaux
sociaux.
Au Royaume-Uni, où cette
tendance perdure depuis plusieurs
années, la surveillance des
discussions s’étend désormais
au-delà de la fenêtre de diffusion
de l'émission. Et surprise ! Les
conversations hors de la
fenêtre de diffusion deviennent
plus importantes que les
conversations au cours de la
fenêtre de diffusion. Par exemple,
les données du Royaume-Uni en
septembre dernier, ont montré
que 43% des Tweets sur les
programmes de télévision ont
eu lieu pendant les fenêtres de
diffusion. En Espagne, il était de
54% et au Brésil 55%. De quoi
parlent-ils ? En creusant un peu
plus, nous avons examiné les
programmes les plus discutés et
avons constaté que Netflix était
la quatrième chaîne de télévision
la plus tweetée en Septembre,
avec notamment Stranger Things
et Narcos.
Tant de discussions qui ont lieu
hors de la fenêtre de diffusion et de
manière omniprésence démontrent
à quel point le format vidéo est
important. Et ça, les réseaux
sociaux l’ont bien compris et en ont
fait une priorité.
Le VP EMEA de Facebook, Nicola
7 Mendelsohn estime que « l’écrit va
disparaître de la plateforme dans
les 5 ans ». Et d’ajouter : « Chaque
année, nous voyons une diminution
du texte… Si je devais parier sur
quelque chose, je dirais : la vidéo,
la vidéo, la vidéo ».
Facebook ne se contente donc plus
seulement de pousser la vidéo dans
ses algorithmes mais a également
entrepris de démocratiser la live
vidéo en l’intégrant en natif. Ainsi,
une fois que vous avez l'application
Facebook, nul besoin d'une
application supplémentaire, telle
que Périscope, pour accéder à la
fonctionnalité.
Twitter, de son côté, a retransmis
en direct son premier match de
football américain en septembre
dernier. La rencontre entre les Bills
de Buffalo et les Jets de New York
était disponible via Twitter.com,
l’application mobile de Twitter, et
trois applications TV - Apple TV,
Amazon Feu TV et Xbox One de
Microsoft. Quelle différence? Alors
que Twitter commente la télévision
en direct depuis une décennie, le
match Bills - Jets était, lui, diffusé
pour la première fois à côté d'un
flux en direct de tweets.
Que faut-il en retenir ? Les réseaux
sociaux ne veulent pas uniquement
servir de « second écran » sur
lequel ses utilisateurs commentent
en direct ; mais aspirent à devenir
de véritables acteurs crédibles dans
la télévision en direct, et à terme,
dans la télévision tout court. Pour
preuve ?
Facebook qui permet désormais
à ses utilisateurs de profiter des
vidéos du réseau social sur le
téléviseur grâce à la prise en
charge des protocoles Google Cast
et AirPlay.
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Le Search vous
prend au mot
Les assistants
personnels veulent
devancer vos désirs
8Les requêtes vocales ont
doublé entre 2014-2015 et,
comme l’explique Benjamin
Thiers, spécialiste en SEO, le
search traditionnel évolue vers
une approche toujours plus
conversationnelle.
Ce n’est pas nouveau. Google
développe depuis des années
des mises à jour apportant
une dimension contextuelle, et
même prédictive, à ses résultats.
Par exemple, la mise à jour
Venice permet depuis 2012
de personnaliser les résultats
en fonction de la position
géographique : il suffit de taper
« femme de ménage » ou
« restaurant », sans ajouter sa ville,
pour que l’algorithme comprenne
que vous voulez bénéficier de
résultats locaux.
Depuis 2013, Hummingbird s’efforce
de comprendre l’intention de
recherche pour mieux répondre
aux besoins réels des utilisateurs :
il ne cherche pas forcément les
pages qui contiennent vos mots-
clés, mais celles qui possèdent les
éléments de réponses à la question
posée. On s’achemine déjà
depuis des années vers un moteur
de réponses plus qu’un simple
moteur de recherche. Il faut aussi
voir la multitude d’éléments du
Knowledge Graph, qui apportent
directement en première page les
informations désirées.
Facebook, qui n’a jamais
caché son ambition de venir
concurrencer Google, a pour but
de fournir un service de recherche
et de questions-réponses qui
supplantera tout autre moteur
de recherche. Les spéculations
vont bon train et insistent sur le
fait que le leader incontesté des
réseaux sociaux souhaite mettre
un nouvel accent sur la recherche
vocale grâce à son assistant
personnel « M ».
En effet, les services de
conciergerie représentent un
challenge pour la suprématie
des moteurs de recherche. Mais
il y a la crainte que ces services
perturberaient l'ensemble
du modèle de recherche, en
commençant par le modèle
publicitaire (Cf, si je ne tape plus
ma requête je ne verrai plus les
liens sponsorisés). A y regarder de
plus près, ce ne sera sans doute
pas le cas.
Les annonces publicitaires vont
juste devenir plus contextuelles et
utiles pour l'utilisateur. Donc, si je
suis à la recherche d'un restaurant,
par exemple, mon assistant de
recherche pourrait me proposer un
résultat « naturel » en plus d'une
suggestion « parrainée ».
Evolution ou révolution ?
Pour Benjamin Thiers les assistants
personnels virtuels de Facebook,
de Microsoft ou de Google devront
s’appuyer sur des algorithmes
infaillibles pour convaincre au-
delà des technophiles : « Mes
parents, mon plombier, ou mon
coiffeur utiliseront-ils dès 2017 les
fonctionnalités avancées de
« M », « Cortana » ou « Now » ? Je
n’en suis pas sûr. Et ils reviendront
bien vite aux bons vieux moteurs
de recherche après deux ou trois
déceptions.
Je pense qu’il faudra encore un
an ou deux ans pour imposer ces
nouvelles interfaces auprès du plus
grand nombre. »
Une chose est sûre cependant :
les requêtes vocales sont 30 fois
plus susceptibles d'être orientées
vers l'action que les requêtes
tapées. Un format qui offre donc
de nombreuses perspectives.
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Le Social Commerce
dans le flou
Pinterest pourrait
bien amorcer le
tournant
Le Social Commerce a également
animé l’année 2016. Mais force est
de constater que nous sommes
encore loin d’un succès fulgurant.
Le bouton « acheter » en vogue
sur les réseaux sociaux peine à
exploser dans les usages.
Cela a forcé les réseaux à
expérimenter d'autres approches
et d’autres outils pour transformer
une découverte en achat de
produits sur leurs plateformes.
De son côté, Facebook a
récemment annoncé de
nouveaux outils pour faciliter
les achats en ligne sur sa
plateforme originale Facebook
et sur Facebook Messenger. Il a
également commencé à tester
une fonctionnalité expérimentale
qui permet aux Pages Entreprises
d’étiqueter leurs produits. Quand
un produit étiqueté est cliqué,
les utilisateurs atterrissent sur
une page dédiée au contenu
pertinent et engageant. La firme
californienne a également lancé
une plateforme de vente entre
particuliers nommée Marketplace
pour concurrencer des acteurs
comme Le BonCoin ou Ebay.
Quant aux autres acteurs, ils
emboîtent le pas. Instagram
se lance également dans l’e-
commerce et met l'accent sur
les outils de conversion directe.
Jusqu’à présent les marques
souhaitant vendre sans passer
par la pub devaient faire
appel à des sociétés comme
Chirpify, Soldie et liketoknow.
it, qui se greffaient à Instagram.
Ces services fonctionnent
généralement par le biais de
liens ou de hashtags.
Si vous exprimez un intérêt
pour un produit qui est porté
ou promu par une marque ou
un influenceur, vous recevez un
courriel envoyé à votre boîte de
réception avec un lien direct à
l'achat. Bien qu’intéressants, ils se
révélaient encore complexes dans
le parcours utilisateurs (il fallait
que l’utilisateur s’inscrive sur une
plateforme supplémentaire) et
surtout rajoutaient des clics.
Tout cela devrait se simplifier
rapidement ! Début novembre,
Instagram a ainsi annoncé qu’elle
permettrait à ses utilisateurs
de s’informer sur les produits
découverts sur sa plateforme,
et de les acheter bien plus
facilement. La filiale de Facebook
teste actuellement un bouton
intégré aux photos donnant
des informations précises sur
le produit (comme le prix). Un
bouton « shop now » permettra
l’achat direct sur le site de la
marque et surtout une expérience
de vente « sans couture ».
Pour l’heure, les fonctionnalités se
multiplient mais plutôt en mode
test et sans vraiment atteindre la
consécration.
Pourquoi ? Parce qu'à la
base, des plateformes comme
Facebook ou Instagram sont
principalement axées sur la
connexion des gens, et non sur la
génération des ventes.
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En fin de compte, Pinterest, petit
acteur discret, pourrait bien se
révéler être l’acteur du social
commerce par excellence, celui
qui va montrer le chemin. Après
tout, son objectif principal est de
découvrir de nouveaux produits, et
de planifier de futurs achats.
Cette année, il a déployé de
nombreuses fonctionnalités pour
accueillir chaque étape du cycle
d'achat du client, y compris un
moteur de recommandation,
des buyables pins, c’est-à-dire
des boutons acheter sur les
épingles, des épingles enrichies
qui contiennent des informations
supplémentaires (il en existe six
types : pour les applications, les
films, les recettes, les produits,
les articles et les lieux), un panier
d’achat et même une boutique
multimarques dédiée Pinterest
Shop.
Le cabinet d'études Kantar
Millward Brown a rapporté que
96 % des visiteurs de Pinterest
ont utilisé le site pour planifier
un achat, et que 87 % ont
effectivement fait un achat
après avoir vu quelque chose
qu'ils aimaient. Ainsi, la capacité
de Pinterest pour convertir
les ventes est un facteur clé
de différenciation pour leur
plateforme.
En somme, gardez l'œil sur
Pinterest en 2017 ! Sous ses airs de
petite entreprise sans prétention
(selon Kantar Media, en 2015 aux
USA Pinterest a investi en publicité
26 fois moins que Twitter et 20
fois moins que Facebook. Et alors
que Facebook a augmenté ses
investissements publicitaires en
2015 de 81% et Twitter de 167%,
Pinterest lui est à -23% par rapport
a 2014) le petit « tableau de
tendances » pourrait bien devenir
la nouvelle go-to plateform pour le
commerce social.
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Office War !
Avis de tempête
pour Slack &
consorts
10Le 10 octobre 2016, Facebook
annonçait la sortie de
Workplace – déclinaison du
réseau social à destination
des entreprises, qui prétend
notamment rivaliser avec les
intranets et les boîtes mail en
optimisant la communication
entre salariés. Objectif :
atteindre la dernière dimension
de votre vie qui lui échappait,
votre travail.
Mais cette fois-ci, Facebook
arrive en terre conquise. Du
moins, en apparence.
Slack y fait figure de leader
depuis son lancement sur le
marché en 2014, et peut se
targuer de rassembler déjà plus
de 3 millions d’utilisateurs actifs
et plus de 900.000 comptes
payants. Le secteur compte
également Yammer, qui se bat
pour gagner du terrain, avec
un réel avantage : il est détenu
par le poids lourd Microsoft. Un
point clé, puisque à partir du 1er
janvier 2017, Yammer Entreprise
ne sera plus proposé comme
un outil seul, mais consolidé et
inclus dans Office 365.
Et pourtant, Facebook
Workplace pourrait sortir du lot.
Comment ? Tout d’abord grâce
à sa simplicité d’utilisation et
son design, quasi clone de sa
solution phare grand public – à
l’exception de la couleur. Le bleu
est remplacé par le gris, sans
doute plus corporate. A noter
également que la firme de
Marck Zuckerberg a également
joué la prudence, en dissociant
spécifiquement sphère privée et
sphère professionnelle, puisque
chaque utilisateur disposera
d’un accès bien distinct.
À y regarder de plus près, on
s’aperçoit que malgré l’effet
d’annonce dans la presse, la
comparaison avec des outils
comme Slack et Yammer n’a
pas vraiment lieu d’être.
Slack par exemple, tire sa force
de cette capacité à s'ouvrir à
d’autres environnements :
+ de 500 intégrations d’autres
applications ou sites, comme
Google Drive ou Dropbox, soit
un écosystème particulièrement
riche. Par ailleurs, il est
principalement axé sur le
document de travail, le chat y
est presque secondaire. De ce
fait, il se positionne davantage
comme un instrument
marketing, c’est-à-dire un
outil de productivité et de
coordination.
Facebook Workplace, pour
sa part, s’annonce comme
un « réseau d’entreprise » au
sens premier du terme. Il se
positionne avant tout comme
un outil de communication,
avec notamment des profils
beaucoup plus détaillés, et des
fonctionnalités de live stream et
vidéo en temps réel.
Autre point différenciateur
capital : pour l’heure, Facebook
n’a pas de connecteurs avec
des applications tierces et ne
semble pas avoir la même
politique d’ouverture vers
d’autres écosystèmes.
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Peut-on pour autant dire que
la guerre des réseaux pros n’aura
pas lieu ? Rien n’est moins
sûr. D’autres acteurs, comme
Hipchat (Atlassian), mettent
également l’accent sur la
communication (mais pas que !)
et ont su creuser leur propre
niche au sein des entreprises
technologiques.
Que peut-on en retenir ?
Que dans l’univers de la
communication au travail,
le marché se diversifie et la
concurrence va devenir de
plus en plus rude. Ce qui était
jusqu’à présent un usage
de early adopter va devenir
la norme. Attendez-vous à
une adoption massive des
outils de collaboration et de
communication sociale. Nous
voguons vers une véritable
révolution dans notre façon de
papoter au travail.
Alors, si vous n’êtes pas encore
montés à bord du navire, il est
temps de réveiller le millenial
qui sommeille en vous et de
vous mettre à jour.
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