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A.CANCER DE L’ESTOMAC Des procédés palliatifs non chirurgicaux peuvent
Conditions précancéreuses être utilisés dans le cancer du cardia
Gastrite chronique atrophique ; ulcère gastrique ; Une association chimio-radiothérapie est réalisée
moignon de gastrectomie ; maladie de Ménétrier ; dans les cancers T3 et/ou N+M0
polypes adénomateux gastriques. La survie globale à 5 ans après exérèse curative est de
L’Helicobacter pylori favorise le cancer gastrique par 35 à 40% ; une intervention curative est pratiquée
la gastrite chronique qu’il induit. Il est retrouvé dans chaque foie que la tumeur semble extirpable en
84% des Kc gastriques. dehors de métastase.
Une alimentation riche en viandes, poissons,
féculents, favorise la survenue de Kc gastrique ; de B.CANCER DE L’ŒSOPHAGE
même que les aliments grillés ou fumés. Les carcinomes épidermoïdes représentent plus de
Les nitrites favorisent probablement la survenue du 90% de cancers oesophagiens. Ils siègent dans la
Kc de l’estomac. majorité des cas au niveau des tiers moyens et
Dans les lymphomes de bas grade, l’éradication inférieur de l’œsophage.
Helicobacter pylori peut faire régresser le processus Il s’agit le plus souvent d’une forme infiltrante
tumoral. Les adénocarcinomes (5 à 10%) se développent pour
Anatomie pathologie moitié sur endobrachyœsophage. Leur localisation
50% dans l’antre. préférentielle est le tiers inférieur de l’œsophage.
La linite est une forme particulière Extension en profondeur et en hauteur.
d’adénocarcinome avec infiltration massive et L’alcool et le tabac sont des facteurs étiologiques
circonférentielle de la paroi par une sclérose majeurs du cancer de l’œsophage. Les effets de ces
inflammatoire contenant des cellules en bague à deux facteurs sont synergiques. L’opium.
chaton. Le pronostic est mauvais (extension Facteurs alimentaires : boissons chaudes ; carence en
lymphatique et métastatique rapide). vitamines A-E-C ; carence en protéines animales ;
Il s’agit le plus souvent d’un adénocarcinome régime pauvre en fruits et en légumes ; taux excessif
L’examen d’au moins 15 ganglions est nécessaire à de nitrates dans l’alimentation.
l’évaluation correcte de l’extension ganglionnaire (N3 Rôle des papillomavirus (HPV).
> 15 ADP). Pathologies favorisantes : achalasie ; lésions
Syndrome paranéoplasique caustiques oesophagienne ; diverticules
Thrombophlébite migratrice ; acanthosis negricans ; œsophagiens ; dysphgie sidéropénique (syndrome de
neuromyopathie ; dermatomyosite. Plummer-Vinson ou de Kelly-Paterson).
Bilan d’extension La panendoscopie ORL complète systématique
Bilan hépatique ; dosage de l’ACE ; du CA 19-9 ;
(cancer ORL dans 5 à 13% des cas).
échographie hépatique ; radio du thorax. Scanner
Le tiers supérieur s’étend de la bouche
abdominal (si tumeur volumineuse)
œsophagienne à la crosse de l’aorte ; le tiers moyen
En cas de linite, le TOGD → aspect figé et rétréci de
de la crosse à la bifurcation trachéale ; le tiers
l’estomac.
inférieur de la bifurcation trachéale au cardia.
Traitement
Complications : hémorragies (occultes) ; fistule œso-
Gastrectomie des 2/3 (réalisées pour les tumeurs
trachéale (toux ou dyspnée aiguë à chaque ingestion
antrales)
alimentaire).
Gastrectomie totale + exérèse de D1 et curage
Colorants : bleu de toluidine, lugol → fibroscopie
ganglionnaire (tumeurs médiogastriques).
(cancers superficiels)
Œsogastrectomie polaire supérieur ou totale
Le cancer ORL ne contre-indique pas l’exérèse
(tumeur du cardia).
œsophagienne ;
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Les indications du traitement curatif sont : pas de L’immense majorité des CCR sont des
métastase ni ADP ; Tr extirpable (pas d’extension adénocarcinomes lieberkuhnien (80%).
trachéobronchique) ; état général acceptable ; pas de 75% siègent dans le rectum ou le sigmoïde
cirrhose. Il s’agit le plus souvent d’une forme ulcéro-
Chirurgie curative : œsophagectomie subtotale + infiltrante
médiatinoscopie postérieure + curage coronaire –Classification histopronostique
stomachique + œsophagoplastie + pyloroplastie (ou (classification de Dukes)
coloplastie ou une anse jéjunale en Y). Ses meilleures
TNM
indications sont les cancers du tiers inférieur.
Tumeurs primitives ADP régionales
Les cancers de l’œsophage cervical et les Kc de
l’œsophage associés à un cancer ORL peuvent T1 : tumeur envahissant la sous- N1 : 1 à 3 ADP
justifier d’une pharyngolaryngectomie avec muqueuse N2 : 4 ou plus ADP
œsophagectomie totale. T2 : tumeur envahissant la
Traitement adjuvant : l’association radio- musculeuse
chimiothérapie semble augmenter la résécabilité ; T3 : tumeur envahissant la sous-
voie la survie des Kc de l’œsophage ; séreuse
T4 : organes de voisinage ou la
C.CANCER DU CÔLON séreuse.
Facteurs diététiques et métaboliques : un régime
Stade I Stade II Stade III Stade IV
riche en protéines animales et en graisses
T1-T2 N0 T3-T4 N0 N1-N2 M1
saturées pourraient favoriser la survenue du cancer
colorectal. L’aspirine et les AINS semblent exercer un Dukes Astler Cooler
effet protecteur. A A Muqueuse ; sous
–Etats précancéreux
B muqueuse
60 à 80% des CCR résultent de la transformation B1 ; B2 Musculeuse (B1) ;
d’une tumeur épithéliale bénigne, le polyadénome. C séreuse (B2)
Les adénomes sont des tumeurs bénignes à potentiel D C1 –GG proximaux ou
malin (10 à 15% des adénomes sporadiques C2 organes adjacents
dégénèrent). Le risque de dégénérescence de polypes –Ganglions distaux
dépend, de leur type histologique (villeux > D Métastases
tubuleux) ; et du degrés de dysplasie ; de leur tailles La coloscopie est l’examen de référence
(adénomes volumineux). Le délai pour qu’un polype L’ACE est le principal marqueur des CCR. Il est
dégénèrent est d’au moins 5 ans. Gène APC cependant peu sensible et peu spécifique ; son
Polyadénomatose familiales : 1% des CCR ; élévation après une résection chirurgicale signe la
transmission autosomique dominante ; évolue récidive et il apparaît 4 mois avant les signes
inéluctablement vers le Kc (constante au-delà de 30 cliniques.
ans). Une surveillance endoscopique régulière –Traitement
annuelle dés la puberté. Le traitement peut consister Cancer du sigmoïde : exérèse du mésocôlon ; section
en une colectomie préventive. Gène APC du côlon à la jonction côlon iliaque-côlon sigmoïde en
Syndrome de Lynch : (HNPCC) formes familiales passant à 5 cm du pôle inf de la tumeur.
héréditaires sans polypose (transmission Côlon gauche : hémicolectomie gauche
autosomique dominante). Syndrome de Lynch I (3 Côlon transverse droit : hémicolectomie droite
cas ou plus de CCR dans les antécédents familiaux ; Côlon transverse gauche : hémicolectomie gauche
CCR touchant au moins 2 générations ; cas de CCR Hémicolectomie droite avec anastomose iléo-
avant 50 ans) ; syndrome de Lynch II (association de transverse pour les cancers du cæcum, du côlon
Kc extracoliques : endomètre, appareil urinaire, voies ascendant et du côlon transverse droit.
biliaires, ovaires). Le rétablissement de la continuité est le plus souvent
Colite inflammatoire : RCUH et formes coliques de effectué dans le même temps en cas de chirurgie
la maladie de Crohn. programmée.
–Anatomopathologie
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La polypectomie endoscopique est le traitement des La rectoscopie doit être complété de coloscopie. La
adénocarcinomes intramuqueux si elle respecte les 3 coloscopie est l’examen de référence (elle doit être
critères suivants : exérèse complète avec marge > complète).
1mm ; bonne différenciation ; absence d’embols Lavement baryté (lorsque la coloscopie n’est pas
lymphatiques. complète).
Une chimiothérapie adjuvante systémique par la 5 Traitement
fluoro-uracile (5 FU) et acide folinique est envisagée Amputation abdomino-pelvienne : elle supprime
après chirurgie à visée curative dans le stade C l’anus et le sphincter anal avec exérèse en bloc du
Une chimiothérapie seule (5 FU et acide folinique) rectum et du mésorectum ; colostomie définitive ; elle
est proposée en cas de cancers avancés. concerne les cancers du bas rectum avec une distance
En cas de métastases hépatiques ou pulmonaires : les du pôle inférieur à la ligne pectinée < 2 cm (< 4 cm de
métastases doivent être réséqués chaque fois qu’elles la marge anale).
sont accessibles à la chirurgie Résection antérieure du rectum : avec conservation
–Protocole se surveillance : du sphincter anal et anastomose colorectale ou colo-
Clinique tous les 3 mois les 2 premières années, puis anale. Elle concerne les Kc du tiers moyen et inférieur
tous les 6 mois pendant 3 ans ; dont le pôle inf est situé à plus de 2 cm du plan des
Échographie abdominale tous les 3 à 6 mois pendant releveurs (au minimum à 4 cm de la marge anale). Une
les 3 premières années ; colostomie de protection est parfois utile à la cicatrisation
Radiographie thoracique annuelle pendant 5 ans de l’anastomose.
Opération de Hartmann : résection colorectale sans
Coloscopie à 3 ans ; puis tous les 5 ans. Si la
rétablissement de la continuité intestinale ; il est
coloscopie a montrée 3 adénomes ou plus dont un
réalisé une colostomie iliaque gauche, et le moignon
plus de 1 cm ou ayant un contingent villeux, la
rectal distal est fermé dans la cavité pelvienne. Elle
coloscopie sera effectuée à un an.
–PRÉVENTION
s’applique au sujets âgés ; aux patients présentant
La recherche d’un saignement occulte dans les selles d’emblée un syndrome occlusif ou une tumeur
(dépistage de masse) perforée.
PAF : rectosigmoïdoscopie annuelle à partir de la La radiothérapie : constitue un élément essentiel du
puberté et jusqu’à 40 ans traitement local des cancers du bas et du moyen
HNPCC : coloscopie totale tous les 2 ans dès l’âge de rectum. Doit être actuellement réalisée dans les
25 ans. Examen gynécologique annuel à partir de 30 tumeurs localement avancées (T3 ou T4)
ans.
E.CARCINOME HÉPATOCELLULAIRE
FGOD/2 ans ; examen des voies urinaires
Le CHC peut métastaser aux poumons ; aux
(échographie et UIV).
surrénales ; au péritoine et aux os
Antécédents familiaux de CCR avant 60 ans →
La cirrhose post-hépatite C se complique de CHC
coloscopie à partir de l’âge de 45 ans
dans 20 à 40% des cas
La cirrhose post-hépatite B se complique de CHC
D.CANCER DU RÉCTUM dans 15 % des cas
Les cancers du rectum représentent 35% des cancers La cirrhose alcoolique dans 10 à 20 % des cas
colorectaux L’hémochromatose dans 10 à 20 % des cas
L’extension ganglionnaire suit la vascularisation : les Le facteur V est souvent élevé se contrastant avec la
branches de l’artère mésentérique inférieure pour la diminution du TP ;
partie supérieure du rectum ; les branches de l’artère Il existe souvent un syndrome inflammatoire
hypogastrique pour la partie moyenne et inférieur du Syndrome paranéoplasique : polyglobulie,
rectum. hypoglycémie, hypercalcémie, hypercholestérolémie.
Classification : T3 (graisse périrectale) ; T4 (organe Dosage de l’alphafoetoprotéine : un taux > 500 mg/
de voisinage) mL chez un cirrhotique permet de faire le Dc avec
Les rectorragies est le signe révélateur le plus une spécificité de 100%. Mais un CHC sur 2
fréquent s’accompagne de d’un taux élevé d’AFP. Elle dépend
Le TR permet de faire le diagnostic dans les formes de la taille de la tumeur.
basses (< 10 cm)
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Echographie abdominale : nodule(s) le plus souvent Les adénomes seraient à l’origine de trois quarts des
hypoéchogène et homogène. En cas de doute le cancers colorectaux
scanner doit être réalisé (lésions hypodenses avec La plus part du temps asymptomatiques
rehaussement post-injection). 75% des cancers colorectaux auraient pour origine
La biopsie a pour inconvénient de disséminer le Kc. un adénome. 5 à 10% des adénomes dégénèrent (en 5
En cas de signes d’appel : scintigraphie osseuse ; à 10 ans)
scanner cérébral. les adénomes villeux en nappe ont un taux de
La chimio-embolisation est contre-indiquée en cas dégénérescence de 40%
d’envahissement de la veine porte ou une branche la polypectomie endoscopique est le traitement
principale de la VP (risque de nécrose hépatique habituel. Coloscopie de contrôle 1 an plus tard.
massive) et si la bilirubine totale est > 50µmol/l.
Autres tumeurs malignes du foie 3-Syndrome de Peutz-Jeghers
Carcinome fibrolamellaire : 90% des cas avant 25 Polypose hamartomateuse à transmission
ans ; AFP normal ; tumeur hypervascularisée de autosomique dominante, de pénétrance variable et
composante graisseuse et d’évolution lente qui incomplète. Prédomine dans le grêle proximal.
survient sur un foie normale. Lentiginose péri-orificielle (inconstante) ;
Cholangiocarcinome : représente 10 % des Kc du invagination intestinale aiguë à répétition ;
foie ; développée à partir des cellules épithéliales des hémorragie digestive aiguë
voies biliaires intrahépatiques ; l’antigène carcino- Les hamartomes sont des lésions bénignes, mais des
embryonnaire (ACE) est augmenté dans 70% des cas. foyers adénomateux peuvent être à l’origine d’un
Angiosarcome : induit par des inhalations répétées cancer.
de chlorure de vinyl ou du thorostrat.
Métastases hépatiques : sont les plus fréquentes des 4-Syndrome de Gardner
tumeurs du foie. de l’ACE dans 80% des cas. Ou polypose adénomateuse familiale ou polypose
rectocolique familiale
Tumeurs bénignes Le nombre de polypes adénomateux rectocolique est
du foie
théoriquement > 100.
Peuvent être responsable de
Hémangiomes Transmise sur le mode autosomique dominant ;
thrombopénie et de
fibrinopénie (syndrome de Kasabach- La dégénérescence des polypes est fatale mais plus
Meritt) ; abstention thérapeutique. ou moins précoce (l’âge moyen d’apparition de
cancer est de 40 ans).
Traitement : arrêt des contraceptifs
Adénome du Délétion sur le bras long du chromosome 5,
oraux ; exérèse chirurgicale
foie systématique (risque de intéressant le gène APC
dégénérescence et de rupture Le risque relatif de cancer duodénal, gastrique et
hémorragique) (hétéroéchogène) surtout d’ampullome vatérien est plus élevé est plus
Hyperplasie Tumeur polylobée ; isoéchogène ;
élevé.
nodulaire focale abstention thérapeutique. Lésions oculaires (hypertrophie de l’épithélium
pigmentaire de la rétine) ; ostéomes mandibulaires ;
F.POLYPOSE tumeurs épidermoïdes ; tumeurs desmoïdes
1-Polype rectocoliquenon néoplasique fibromateuses ; tumeurs du SNC (syndrome de
Polypes hyperplasiques : augmentent de fréquence Turcot) ; tumeurs endocrines.
avec l’âge et seraient pour certains, un marqueur de Après 15 ans, la rectoscopie et la coloscopie
risque accru d’adénome et de cancer colorectaux. s’imposent.
Polypes juvéniles : nature inflammatoire (plutôt Traitement : coloprotectomie totale avec anastomose
qu’hamartomateuse) ; plus souvent uniques que oléo-anale.
multiples, pédiculés, tendance à l’élimination
spontanée. G.CANCER ANAL
–Ledrainage lymphatique des tumeurs de la marge
2-Polypes adénomateux rectocoliques anale et du canal sous-pectiné se fait vers les chaînes
inguinales ; puis iliaques externes. Celui des tumeurs
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sus-pectinées vers les chaînes pelviennes, puis les
ganglions pararectaux, hémorroïdaires supérieurs,
hypogastriques et iliaques internes.
–Les métastases viscérales sont rares.
–Cancer de la marge anale (zone cutanée s’étendant
dans un rayon de 5 cm de la ligne ano-cutanée) ;
cancer du canal anal (comprise entre la ligne ano-
cutanée et la jonction ano-rectale). L’épithélium sous-
pectiné est épidermoïde ; l’épithélium sus-pectiné
glandulaire de type rectal.
Carcinome épidermoïde du canal anal
Précession dans 40% des cas de lésions peu ou pas
malignes : maladie de Bowen, de Paget, condylomes
acuminés.
L’association chimiothérapie – radiothérapie externe
est couplée à une irradiation prophylactique des 2
régions inguinales pour les cancers ayant franchis la
jonction ano-rectale ou les Kc > 5 cm.
La chirurgie reste nécessaire en cas d’ADP
inguinales malignes ; en cas de tumeurs
circonférentielles T4 envahissant les structures
adjacentes. En cas de récidive locale ou régionale,
d’échec primaire ou de complication secondaire de la
curiethérapie.
L’association radiothérapie-chimiothérapie
complétée par la brachythérapie interstitielle donne
85% de guérison. La fonction sphinctérienne est
conservée chez 80% des malades guéris.
H.CANCER DU PANCRÉAS
Adénocarcinome
Facteurs de risque : tabagisme, pancréatite
chronique, sexe masculin et race noire,
Localisation céphalique dans 80% des cas.
La palpation d’une grosse vésicule tendue est
quasiment spécifique du diagnostic. On palpe aussi
une hépatomégalie mousse de cholestase.
L’ictère est tardif dans la localisation tumorale
corporéo-caudale (lié à la compression des VBP par
ADP ou métastase hépatique).
Marqueurs tumoraux : le CA19-9 est chez 80% des
patients (cholestase → faux positif).
Seulement 15% des tumeurs pancréatiques peuvent
faire l’objet d’une résection chirurgicale
Traitement curatif : duodéno-pancrétectomie
céphalique en cas de Kc céphalique. → Survie : 5% à
5ans.