S ’approprier le vocabulaire spécifique et commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de toute l ’équipe de soins (transmissions…)
S ’approprier le vocabulaire spécifique et commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de toute l ’équipe de soins (transmissions…)
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)SANAA TOUZAMI
Cours enseigné et élaboré par TOUZAMI Sanaa (Enseignante permanente à l'ISPITS de Settat)
Cette partie comporte les soins infirmiers généraux ou bien standards en chirurgie (Soins préopératoires , soins peropératoires , et soins postopératoires)
ce cours est destiné aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie. il résume les aspects épidémiologiques, cliniques, diagnostic et thérapeutiques relatifs aux hépatites virales
Cours soins infirmiers en chirurgie (3éme partie)SANAA TOUZAMI
Cours enseigné et élaboré par TOUZAMI Sanaa (Enseignante permanente à l'ISPITS de Settat)
Cette partie comporte la prise en charge infirmière devant quelques pathologies chirurgicales
Surveillance d'un patient sous plâtre (rôle de l'aide-soignant)Dr. Yassine BEZZIANE
La contention plâtrée a pour but d'immobiliser le foyer d'une fracture en attendant sa consolidation. Celle-ci s'effectue toujours dans une position adaptée pour reconstituer un axe osseux fonctionnel.
La contention plâtrée est un moyen simple, efficace et non invasif qui peut être utilisé pour :
- Contenir et assurer la consolidation d’une fracture stable et réduite;
- Permettre la cicatrisation ligamentaire d’une entorse ou d’une luxation;
- Protéger une ostéosynthèse après intervention.
Pour que la consolidation soit efficace, il faut :
- Une immobilisation des articulations sus-jacentes et sous-jacentes à la fracture pour éviter un déplacement;
- Une immobilisation des articulations en position de fonction pour éviter les raideurs.
N.B :
• La confection d’un appareil plâtré est un acte médical qui obéit à des règles thérapeutiques strictes.
• La responsabilité médicale du praticien est directement engagée+++ pour dépister et traiter précocement certaines complications sous plâtre qui peuvent être redoutables.
Cours soins infirmiers en chirurgie (Première partie)SANAA TOUZAMI
Cours enseigné et élaboré par TOUZAMI Sanaa (Enseignante permanente à l'ISPITS de Settat)
Cette partie comporte les soins infirmiers généraux ou bien standards en chirurgie (Soins préopératoires , soins peropératoires , et soins postopératoires)
ce cours est destiné aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie. il résume les aspects épidémiologiques, cliniques, diagnostic et thérapeutiques relatifs aux hépatites virales
Cours soins infirmiers en chirurgie (3éme partie)SANAA TOUZAMI
Cours enseigné et élaboré par TOUZAMI Sanaa (Enseignante permanente à l'ISPITS de Settat)
Cette partie comporte la prise en charge infirmière devant quelques pathologies chirurgicales
Surveillance d'un patient sous plâtre (rôle de l'aide-soignant)Dr. Yassine BEZZIANE
La contention plâtrée a pour but d'immobiliser le foyer d'une fracture en attendant sa consolidation. Celle-ci s'effectue toujours dans une position adaptée pour reconstituer un axe osseux fonctionnel.
La contention plâtrée est un moyen simple, efficace et non invasif qui peut être utilisé pour :
- Contenir et assurer la consolidation d’une fracture stable et réduite;
- Permettre la cicatrisation ligamentaire d’une entorse ou d’une luxation;
- Protéger une ostéosynthèse après intervention.
Pour que la consolidation soit efficace, il faut :
- Une immobilisation des articulations sus-jacentes et sous-jacentes à la fracture pour éviter un déplacement;
- Une immobilisation des articulations en position de fonction pour éviter les raideurs.
N.B :
• La confection d’un appareil plâtré est un acte médical qui obéit à des règles thérapeutiques strictes.
• La responsabilité médicale du praticien est directement engagée+++ pour dépister et traiter précocement certaines complications sous plâtre qui peuvent être redoutables.
Colocación de sonda Foley en hombre y mujer (Sondaje Vesical)Tania Chavez
TÉCNICA DE COLOCACIÓN DE SONDA FOLEY EN HOMBRE Y MUJER (SONDAJE VESICAL).
TANIA CHAVEZ RIVERO.
UNIVERSIDAD NACIONAL AUTÓNOMA DE MÉXICO.
ESCUELA NACIONAL DE ENFERMERÍA Y OBSTETRICIA.
Le 5 avril 2007, l'AFH Nord - Pas de Calais a réunis des infirmières et des médecins scolaires afin de les informer sur l'hémophilie, comment la maladie est transmise, le traitement indiqué, comment réagir à des accidents hémorragiques, ce qu'il faut faire ou ne pas faire et les sports conseillés ou non.
Un programme d'information très complet et précis.
Réunion des Infirmières - JCHB 2020
PEC d’un patient transplanté pancréas et rein - Prise en charge et surveillance post-opératoire d'un patient transplanté du pancréas - Yohan VALET, Yohann LASSERRE
Jeudi 30 janvier 2020
Particularité de transfusion au niveau du service d'oncologie -HUDERFMohammed Lotfi
Rapport de mon stage en qualité d'infirmier en oncologie. c'est une comparaison entre 2 service l'un se trouve à l Hôpital d'enfant -Rabat et l'autre appartient à Hôpital Universitaire d'enfant Reine Fabiola-Bruxelles
Accès graves de paludisme : espèces autres que P. falciparum - Conférence de la 8e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - DURAND Rémy - France - remy.durand@avc.aphp.fr
4. Une transfusion de sang peut s'avérer
nécessaire dans de nombreuses situations,
notamment lors de la prise de certains
traitements.
5. La transfusion sanguine consiste à transférer,
au moyen d'une injection par intraveineuse, un
produit sanguin dans l'organisme d'un patient.
Le sang et ses dérivés proviennent
généralement d'un donneur anonyme, mais
peuvent également provenir du patient lui-
même. La transfusion sanguine permet de
transmettre une partie du sang, du
même que le patient, à savoir
des du ou des
. La transfusion sanguine est préconisée
dans le cadre de perte sanguine importante ou
de pathologies, telles que la .
6. - coagulopathies graves de consommation
avec effondrement de tous les facteurs de
coagulation,
- hémorragies aiguës, avec déficit global des
facteurs de coagulation,
- déficits complexes rares en facteurs de
coagulation, lorsque les fractions coagulantes
spécifiques ne sont pas disponibles.
7. - au cours des échanges plasmatiques s'il y a
un risque hémorragique, dans le purpura
thrombotique thrombocytopénique et le
syndrome hémolytique et urémique,
- en néonatologie, dans les déficits en
vitamine K et la maladie hémorragique du
nouveau-né dans l'attente de l'effet curatif de
la vitamine K, les CIVD et en transfusion
massive (1 masse sanguine en 24 heures) en
cas de persistance de l'hémorragie.
Lors d'une coagulopathie constituée
cliniquement ou en voie de l'être, alors qu'une
hémostase chirurgicale est impossible.
8. l'âge : être mineur ou avoir plus de 70
ans pour le sang ou plus de 65 ans pour le
don de plasma ou plaquettes
le poids : peser moins de 50kg
biologiques : avoir un taux d'hémoglobine,
de protéines ou de plaquettes insuffisants
selon le don
Personne ayant un traitement par
antibiotiques (il faudra attendre 7 jours
après l'arrêt du traitement pour pouvoir
donner de nouveau)
Personne ayant eu des soins dentaires.
9. Avoir eu des épisodes infectieux ou de la fièvre
dans les 14 derniers jours
Ayant été vacciné dans les 4 dernières semaines
Avoir eu un contact récent avec une personne
atteinte de maladie contagieuse (délai variable)
Avoir fait dans les 4 derniers mois un voyage
dans les pays où sévit le paludisme.
Avoir subi une intervention chirurgicale
importante (hospitalisation supérieure à 24h)
Avoir fait un piercing ou un tatouage dans les
4 derniers mois
Antécédent de paludisme de moins de trois ans
après la dernière crise
10.
11. prescription médicale du produit sanguin
labile.
La fiche de distribution nominative.
Le dossier transfusionnel du patient avec
l’immuno-hématologie en cours de validité.
12. Le produit sanguin labile à transfuser.
Le dispositif de transfusion spécifique muni
d’un filtre et d’un perforateur.
Le dispositif de contrôle ultime.
13. Le patient est informé sur les modalités de
la transfusion.
L’état initial du patient (pouls, tension
artérielle, température).
Une voie veineuse est réservée à la
transfusion du produit sanguin labile.
14. Prise des constantes initiales
Vérif de l'abord veineux
voie uniquement destinée à la transfusion
-procéder avec asepsie
port de gant obligatoire
présence de l ' ide au lit du patient au
moins durant les 10 premières minutes
débit lent au début puis accéléré si pas de
pb durée : environ 1h30 (1 ml = 15 gttes)
15. -des constantes tous les quart d'heure voire toutes les demi heure
selon l'état du patient
-des urines ( couleur et diurèse)
-du point de ponction (rougeur et ou douleur(
-de signes cutanés anormaux
-des saignements
-de sensations anormales (sueurs, chaleur, malaise,angoisse, douluer
lombaires)
-poursuivre la surv après la transfusion.
-tubulure à filtre "noyé" et sans prise d'air
16. ARRETER:
-arret de la transfusion (mais conserver la poche)
-garder la veine avec du sérum phy, mais changer
la tubulure.
EVALUER :
- prendre les constantes du patient
-rassurer
PREVENIR:
-rester près du patient
-faire prevenir le Dr
17. CONSERVER
-la poche de sang en clampant la tubulure
RECHERCHER la cause et la traiter
-plvmt à réaliser sur PM ( RAI, hémoc et coombs :
mise en évidence dans le sérum de certain Ac spéciaux
que la réaction ordinaire ne décèle pas)
-refaire le test de Beth vincent et reprendre les
controles effectués avant
-puis ttt spécifique selon étiologie
NOTER:
inscrire l'incident sur le dossier transfusionnel