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Etude d'installation électrique et réalisation de l'armoire électrique TGBTSadokZgolli
Etude d'installation d'éclairage, prise de courants, dimensionnement de circuits et réalisation pratique d'un TGBT du restaurant KFC rapport et annexe
Contact :
https://www.linkedin.com/in/sadok-zgolli/
zgollisadok@yahoo.com
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Pfe version final(scripte matlab de simulation des panneau pv)mustaphamoufassih
Un générateur photovoltaïque peut fonctionner dans une large gamme de tension et de courant de sortie, mais il ne peut délivrer une puissance maximale que pour des valeurs particulières du courant et de la tension. En effet la caractéristique I(V) du générateur dépend de l'éclairement solaire et de la température. Ces variations climatiques entraînent la fluctuation du point de puissance maximale [3]. Dans ce contexte, de nombreux chercheurs se sont attachés à inventer des commandes permettant de récupérer toujours le maximum d'énergie Ces commandes sont, connus sous le nom de MPPT (Maximum Power Point Tracking). Pour cela notre travail concerne la conception et implémentation intelligente d'une commande MPPT de la puissance maximale des module PV de poursuite du point de la puissance maximale de générateur photovoltaïque (GPV) quelque soient les conditions météorologique (la température et l'irradiation).pour une bonne exploitation et aussi pour avoir un grand rendement.
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Etude et analyse de la commande des onduleurs Multi-niveaux par MLI sinusoïdaleabdelghani1993
Ce présent travail est une contribution à l’analyse des onduleurs multi-niveaux alimentent une machine asynchrone et une présentation de la commande de Modulation en Largeur d'Impulsion Sinusoïdale, a pour objectif de réduire les harmoniques, donc l’obtention d’une tension (ou un courant) sinusoïdale à la sortie de ces convertisseurs et d’améliorer les performances de la machine. Pour cela on va traiter ce travail sur deux axes le premier sur l’utilisation des topologies multi-niveaux de l’onduleur, et le seconde porte sur les techniques de l’ouverture et de la fermeture des semi-conducteurs (Transistors) qui formant l’onduleur. Donc, le système étudié dans notre travail, se compose d’un onduleur triphasé à trois niveaux de tension de type NPC commandé par MLI sinusoïdale (Sinusoïdal Pulse with Modulation). Pour aboutir à cette fin nous comptons de développer un algorithme de commande de l’onduleur basé sur cette technique de modulation.
Pfe version final(scripte matlab de simulation des panneau pv)mustaphamoufassih
Un générateur photovoltaïque peut fonctionner dans une large gamme de tension et de courant de sortie, mais il ne peut délivrer une puissance maximale que pour des valeurs particulières du courant et de la tension. En effet la caractéristique I(V) du générateur dépend de l'éclairement solaire et de la température. Ces variations climatiques entraînent la fluctuation du point de puissance maximale [3]. Dans ce contexte, de nombreux chercheurs se sont attachés à inventer des commandes permettant de récupérer toujours le maximum d'énergie Ces commandes sont, connus sous le nom de MPPT (Maximum Power Point Tracking). Pour cela notre travail concerne la conception et implémentation intelligente d'une commande MPPT de la puissance maximale des module PV de poursuite du point de la puissance maximale de générateur photovoltaïque (GPV) quelque soient les conditions météorologique (la température et l'irradiation).pour une bonne exploitation et aussi pour avoir un grand rendement.
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Etude et analyse de la commande des onduleurs Multi-niveaux par MLI sinusoïdaleabdelghani1993
Ce présent travail est une contribution à l’analyse des onduleurs multi-niveaux alimentent une machine asynchrone et une présentation de la commande de Modulation en Largeur d'Impulsion Sinusoïdale, a pour objectif de réduire les harmoniques, donc l’obtention d’une tension (ou un courant) sinusoïdale à la sortie de ces convertisseurs et d’améliorer les performances de la machine. Pour cela on va traiter ce travail sur deux axes le premier sur l’utilisation des topologies multi-niveaux de l’onduleur, et le seconde porte sur les techniques de l’ouverture et de la fermeture des semi-conducteurs (Transistors) qui formant l’onduleur. Donc, le système étudié dans notre travail, se compose d’un onduleur triphasé à trois niveaux de tension de type NPC commandé par MLI sinusoïdale (Sinusoïdal Pulse with Modulation). Pour aboutir à cette fin nous comptons de développer un algorithme de commande de l’onduleur basé sur cette technique de modulation.
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Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique, un levier majeur pour les enjeux à venir (Mathieu Foucault)
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
JTC_2024_TC Bâtiment et bien-être estival.pdfidelewebmestre
Le changement climatique s’exprime de plus en plus par la manifestation d’épisodes caniculaires et par la diminution de la ressource fourragère en été, ce qui contraint les éleveurs à rentrer leur troupeau plus fréquemment. Les animaux logés en bâtiment pendant la période estivale sont exposés à un stress thermique qui peut altérer leur bien-être et leurs performances à court et moyen terme. La conception du bâtiment ou certains équipements peuvent permettre de réduire ce stress pour assurer un meilleur confort aux animaux pendant les périodes de fortes chaleurs.
2024 03 27 JTC actualités C Perrot (idele).pdfidelewebmestre
Quelque que soit les secteurs de production, les pyramides des âges des agriculteurs français (chefs et coexploitants) présentent presque toujours un double déséquilibre : i) en faveur des classes d’âges à partir de 50-55 ans, ii) en défaveur des femmes, surtout de moins de 40 ans. Si le secteur caprin est une exception à cette règle, c’est principalement grâce aux producteurs qui transforment du lait à la ferme. Cette sous population présente le même équilibre, en classe d’âge et en sex ratio, que la population active française en emplois tous secteurs économiques confondus. C’est légèrement moins vrai pour les classes d’âge les plus jeunes (moins de 30 ans) : le métier d’éleveur.se est un métier d’indépendant alors que les jeunes actifs français sont salariés. Cet équilibre parfait du secteur caprin fermier s’explique par une forte attractivité. 40% des éleveur.se.s présents en 2020 s’étaient installés depuis 2010 ! Deux fois plus que dans les autres secteurs de l’élevage. Bien que pour l’instant stable (taux de remplacement des départs, entrées/sorties, proche de 100%), la sous population des éleveurs qui livrent du lait de chèvre est plus fragile. Compte tenu d’un très faible taux de renouvellement (nombre d’entrées/nombre de présents), elle vieillit et pourrait finir par diminuer. Néanmoins comme les besoins de recrutement sont bien moins élevés qu’en bovins lait par exemple, les marges de manoeuvre pour la filière semblent plus accessibles.
2. S.C. ULFG2-2009
2
Introduction:
Ce projet a pour but l'étude de la commande d'une machine a courant
continu a vitesse variable.
L'alimentation de cette machine, sera à travers un pont redresseur
commandé qui fournira à cette machine un courant continu.
Nous cherchons dans ce travail à asservir deux paramètres de la machine:
le courant absorbéqui ne doit pas dépasser en aucun cas le courant
maximale supportepar la machine; ainsi que la vitesse de rotation qu'on
cherche à varier.
Dans ce but là; ce projet comporteratrois parties principales:
1- Choix et modélisation de la machine
2- Modélisation du convertisseur utilisé (pont redresseur a thyristors)
3- Correction du système asservi.
I- Choix et modélisation de la machine a courant
continu.
1- Modélisation et schéma bloc.
La commande de cette machine est effectuée à travers la variation
de la tension d'induit; le flux inducteur est donc considéré constant
égale au flux maximal.
- Machine fonctionnant a vide:
Deux équations fondamentales régissent le fonctionnement d'une
machine à courant continu:
3. S.C. ULFG2-2009
3
Soit E la force électromotrice à vide; Ω la vitesse de rotation du
rotor; Ce le couple électromagnétique développé par la machine; et
Ia le courant circulant dans l'induit.
Ia.kCe
.kE
max
max
Avec c
te
maxmax kk
La tension Va aux bornes de l'induit serait:
dt
dI
LIREV a
aaaa
Appliquons la transformée de Laplace sur ces équations:
)()().()(
)(.)(
)(.)(
max
max
pEpIpLRpV
pIkpC
pkpE
aaaa
ae
D’où le schéma bloc de la machine a courant continu a vide
commande par la tension d'induit
- Machine fonctionnant en charge:
L'équation mécanique fondamentale régissant la rotation de l'arbre du
moteur en charge s'écrit:
4. S.C. ULFG2-2009
4
dt
d
JCCe tresis tan Avec CrfC tresis .tan
Ou :
f est le coefficient de frottement fluides de l'ensemble moteur + charge
J est le moment d'inertie de l'ensemble moteur + charge
- Schéma bloc final:
Le schéma bloc fonctionnel du moteur a courant continu pilote par
tension d'induit est le suivant:
2- Simulation du modèle de la machine sur Matlab-Simulink
Pour simuler le modèle de la machine nous allons appliquer comme
entrée du système une tension en échelon et visualiser comme sortie la
vitesse de rotation ainsi que le couple fourni par la machine et le courant
absorbe. Les caractéristiques de la machine choisie sont:
- Tension d'alimentation nominale: Un=260V
- Vitesse de rotation nominale: Nn=2150 tr/min= 225 rad/s
- Résistance d'induit: Ra=1.26 Ω
- Inductance d'induit: La=34 mH
- Couple nominal fourni par la machine en charge: Cn=14 N.m
- Courant nominal absorbeIan=13.5 A
- Coefficient de frottement visqueux f = 0.01
- Moment d'inertie du rotor J = 0.02 kg.m2
8. S.C. ULFG2-2009
8
Dans la suite du travail nous allons modéliser la machine par un
'subsystem' dontles entrées sont la tension d'alimentation et le couple de
charge les sorties étant la vitesse de rotation, le couple et le courant.
II- Modélisation du convertisseur
1- Schéma du circuit
Le convertisseur utilisé n'est autre qu'un pont complet commande c.à.d.
un pont de six thyristors.
9. S.C. ULFG2-2009
9
De même nous allons utiliser un subsystempour modéliser ce circuit
2- Commande des thyristors
La commande des thyristors sera à travers un générateur de 6 pulses qui
fourni en sortie six vecteurs dont chacun commande un seul thyristor
R
S
T
Pulse1
Pulse2
Pulse3
Pulse4
Pulse5
Pulse6
V-
V+
ThyristorSubsystem
10. S.C. ULFG2-2009
10
De nouveau ce circuit sera regroupe en un subsystem
3- Simulation de l'ensemble
Simulons ce circuit à l'aide du logiciel Matlab-Simulink:
13. S.C. ULFG2-2009
13
4- Simulation du système complet (machine et convertisseur)
Pour mieux clarifier les idées nous allons utiliser ce bloc pour alimenter
la machine à courant continu et simuler notre système sans correction
Alpha_deg
R
S
T
V-
V+
mes_pulses
TriggeredPontThyristor
16. S.C. ULFG2-2009
16
III- Correction du système
1- Structure de la correction
La correction utilisée est une correction en cascade;les deux
grandeurs corrigées sont le courant et la vitesse de rotation du moteur
le système corrigé aura la forme suivante:
18. S.C. ULFG2-2009
18
Cahier de charge :
Boucle de courant :
tm=0.35ms
εs <4%
D%<10%
Boucle de Vitesse :
tm=0.2s
εs =0
D%<15%
Régulateurs :
Remarque : Lors de l'alimentation de l'inducteur d’une machine à courant
continu, les convertisseurs généralement utilisés sont de type hacheur ou
pont à thyristors. Ils sont généralement assimilés en première approcheà
un gain constant. On dit alors qu'onutilise un modèle à valeur moyenne
instantanée, c'est-à-dire que l'on assimile la tension de sortie sur une
période de fonctionnement du convertisseur à sa valeur moyenne. Un tel
type de modélisation est satisfaisant si le circuit alimenté par cette source
de tension présente une constante de temps relativement grande devant la
période de fonctionnement du convertisseur. Dans le cas contraire, il faut
rechercher une modélisation rendant compte du fonctionnement
échantillonné du convertisseur, ainsi que des retards pouvant être
introduit par le mode de commande.
Le principe du réglage est le suivant:
1- Introduction d'un correcteur proportionnel. C1(p) K
2- Réglage de K (temps de réponse, dépassement, marge de phase...)
3- Introduction d'un correcteur Proportionnel intégrale. C(p) =
1+τp
τp
4- Réglage de 1/τ à une valeur << c où creprésente la pulsation de
coupure en boucle ouverte du système avec la correction
proportionnelle.
Note : il est possible de prendre une valeur de 1/τ inférieur à
c/10, mais la vitesse d'intégration est alors plus lente, et on
obtient une réponse du type:
19. S.C. ULFG2-2009
19
Remarque : Il est alors plus simple de traiter l’asservissement comme un
système à retour unitaire, puis de prendre en comptedans un deuxième
temps le gain du capteur.
Etude de la boucle de courant :
Le schéma bloc suivant représentatif de la fonction de transfert en
courant du moteur :
A partir du schéma bloc au dessus il est possible de calculer (en
effectuant des simplifications) la fonction de transfert C(p)=I(p)/U(p),
représentative du comportement en courant de la machine :
C(p) = K0.
1 +
p
w1
(1 +
p
w4
). (1 +
p
w3
)
Avec W1 = 1/τm = f/J = 0.5 rd/s
CeN (rd/s)
1
Ia
1
J.s+f
Transfer Fcn1
1
La.s+Ra
Transfer Fcn
K
Kmax1
K
Kmax
1
U
20. S.C. ULFG2-2009
20
W2 = Sqrt( Kmax2 +Rf / LJ ) = 44 rd/s [=(W3+W4)/2]
W3 = 1/τe = R/L = 37 rd/s
W4 = 1/τem = Kmax2/RJ = 52.5 rd/s
K0 = f/Kmax2 = 7.56e-3
Les diagrammes asymptotiques de Bode sontalors les suivants :
Sur MatLab:
>> H = TF([15.12e-3 7.56e-3] , [5.15e-4 0.046 1])
Transfer function:
0.01512 s + 0.00756
--------------------------
0.000515 s^2 + 0.046 s + 1
>> bode(H)
Va Donner :
21. S.C. ULFG2-2009
21
Le schéma bloc de la boucle de courant est donné ci-dessous
On assimilera le convertisseur à un gain de valeur Go, le correcteur à un
gain de valeur Kp et le capteur de courant à un gain unitaire. Il est alors
possible d’évaluer la fonction de transfert en boucle fermée H(p)=I(p) /
Ic(p).
Notons Kbo=Kp.Go.Ko (gain boucle ouverte), il vient alors :
-50
-40
-30
-20
-10
0
Magnitude(dB)
10
-2
10
-1
10
0
10
1
10
2
10
3
10
4
-90
-45
0
45
90
Phase(deg)
Bode Diagram
Frequency (rad/sec)
e
I*
ec U I
1
I
In1 Out1
Correcteur de courant
In1 Out1
Convertisseur
In1Out1
Capteur
In1 Out1
C(p)
1
Ic
22. S.C. ULFG2-2009
22
H(p) =
1
(1 +
w1p
Kbo. (w2)2)
Il apparaît que la fonction de transfert en boucle fermée est de type
premier ordre, dont la constante de temps est :
Pour obtenir un temps de monté tm=0.35ms c.à.d. s Wc= 8.8Krd/s, Il
Faut Choisir :
Kp.Go = 300.
D’où Kbo= 2.268 ( = 7.11db)
Diagramme de bodede la boucle ouverte de courant corrigée par un
correcteur proportionnel simulé sur matlab :
Pour annuler l’erreur statique en courant on ajoute un correcteur Pi.
Tic est calculé de sorte que le système sera plus prochede l’ordre 1.
Soit Tic = τe = 0.027 = 1/w3
(Voire Bode asymptotique : La pente entre W1 et W3 Devient 0)
10
-2
10
-1
10
0
10
1
10
2
10
3
10
4
-90
-45
0
45
90
Phase(deg)
0
10
20
30
40
Magnitude(dB)
System: untitled1
Frequency (rad/sec): 8.8e+003
Magnitude (dB): 0.00421
Bode Diagram
Frequency (rad/sec)
23. S.C. ULFG2-2009
23
Ci(p) =
1 + τip
τip
Transfer function of PI:
Tic s + 1
----------- =
Tic s
0.027 s + 1
-----------
0.027 s
Diagramme de bodede la boucle ouverte de courant corrigée par le
correcteur proportionnel Integrale PI simulé sur matlab :
La réponse (du boucle de courant corrigé) à un échelon va donner :
0
20
40
60
80
Magnitude (dB)
10
-2
10
-1
10
0
10
1
10
2
10
3
-90
-45
0
Phase (deg)
Bode Diagram
Frequency (rad/sec)
24. S.C. ULFG2-2009
24
On remarque que le temps de monté tm=0.35ms (plus ou moins car
calcule approché) et l’erreur Statique est nulle ce qui vérifie le calcule
déjà fait.
Remarque : Sans le correcteur PI l’erreur statique est de 2% (très
acceptable) donc on peut seulement utiliser un correcteur Proportionnel P
pour réguler le courant.
Etude de la boucle de vitesse
Le schéma bloc de la boucle de vitesse est donné ci-dessous :
En reprenant l’application du principe fondamental de la dynamique, et
en supposantle correcteur de type proportionnel, on obtient le schéma
bloc suivant :
0 0.001 0.002 0.003 0.004 0.005 0.006 0.007 0.008 0.009 0.01
0
0.1
0.2
0.3
0.4
0.5
0.6
0.7
0.8
0.9
1
Temps en s
Courant
(A)
25. S.C. ULFG2-2009
25
En boucle ouverte, la fonction de transfert de vitesse est donc :
𝛺(𝑝)
𝛺𝑐(𝑝)
=
1
𝑓 + ( 𝑓𝜏 𝑒
′ + 𝐽) 𝑝 + 𝜏 𝑒
′ 𝐽𝑝2
Rappelons que la fonction de transfert en boucle fermée du courant est :
H(p) =
1
(1 +
w1p
Kbo. (w2)2)
Avec :
Il est alors possible de calculer la fonction de transfert en boucle fermée
/c:
Il apparaît alors un dilemme entre stabilité et précision. En effet, une
augmentation de KBO, ayant pour objectif de réduire l’erreur statique
entraîne une diminution de z, et donc déstabilise le système. Il va donc
26. S.C. ULFG2-2009
26
être nécessaire d’introduire un le correcteur PI ayant pour rôle d’annuler
l’erreur statique, sans pour autant déstabiliser le système.
AN : K= 0.7 τe’= 3.69e-4
Reprenons l’étude de la fonction de transfert de vitesse en boucle
ouverte :
𝛺(𝑝)
𝛺𝑐(𝑝)
=
1
𝑓 + ( 𝑓𝜏 𝑒
′ + 𝐽) 𝑝 + 𝜏 𝑒
′ 𝐽𝑝2
=
1
0.01 + 0.02𝑝+ (7.378𝑒 − 006)𝑝2
Calcule du correcteur de vitesse :
peut prendre 1/Tv =15.7rd/s ou Tv = 0.06
pour réduire le temps de monté qui est 0.05s a 0.02s par exemple on peut
ajoute un correcteur proportionnel qu’on peut encore calculer
graphiquement :
À 157 rd/s on a -9.95 db donc il faut ajouter 9.95 db d’où Kp =3.14
On peut prendre 1/Tv = Wc/10 =15.7rd/s ou Tv = 0.06
D’où le correcteur PI de Vitesse :
C(p) = Kp
1+τvp
τvp
= 3.14
1+0.06p
0.06p
10
-2
10
-1
10
0
10
1
10
2
10
3
10
4
10
5
-180
-135
-90
-45
0
Phase(deg)
-100
-50
0
50
Magnitude(dB)
System: G
Frequency (rad/sec): 49.9
Magnitude (dB): 0.0125
Bode Diagram
Frequency (rad/sec)
27. S.C. ULFG2-2009
27
Bode de la boucle de Vitesse corrigée est alors :
La réponse à un échelon de Wc (consigne) nous donne :
On remarque que le tm= 0.02s, εs =0 et le dépassement est de 6%
(acceptable)
10
-2
10
-1
10
0
10
1
10
2
10
3
10
4
10
5
-180
-135
-90
Phase(deg)
-100
-50
0
50
100
150
System: untitled1
Frequency (rad/sec): 136
Magnitude (dB): 1.27
System: untitled1
Frequency (rad/sec): 157
Magnitude (dB): 0.0586
Magnitude(dB) Bode Diagram
Frequency (rad/sec)
0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 0.14 0.16 0.18 0.2
0
0.2
0.4
0.6
0.8
1
1.2
1.4
28. S.C. ULFG2-2009
28
Dans ce cas la réponse du courant (à vide) devient :
I* : le courant de consigne (a la sortie du régulateur de vitesse)
I : le courant absorbépar la machine.
Si on ajoute un couple 4 N.m après 0.5 secondes les courbes seront :
0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 0.14 0.16 0.18 0.2
-0.5
0
0.5
1
1.5
2
2.5
3
I*
I
29. S.C. ULFG2-2009
29
Avec « Saturation block » :
Si on ajoute un couple 4 N.m après 2.5 secondes et pour Nc=100rd/s, les
courbes seront :
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
-0.5
0
0.5
1
1.5
2
2.5
3
3.5
4
Temps en s
CourantenA
I
I*
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
0
0.2
0.4
0.6
0.8
1
1.2
1.4
Temps en s
Nenrd/s
N
N*
30. S.C. ULFG2-2009
30
Ic : le courant de consigne (a la sortie du régulateur de vitesse)
I : le courant absorbépar la machine.
Nc: Vitesse de consigne en rd/s
N : Vitesse de rotation de la machine
« Saturation block » : Limite Ic entre 0 et 13 A
Finalement on a obtenu :
Boucle de courant :
Tm = 0.35ms
εs =2% (si correction proportionnelle), εs =0% (si correction PI)
Pas de dépassement lorsqu’onapplique un échelon (I*=U(t) page 23)
Le courant de consigne sera limité par un « Saturation block »
Boucle de Vitesse :
Tm = 0.02s sans « Saturation block » (ou pour I*<Ilimite si avec)
Entre 0.02s et 0.25s avec « Saturation block »
εs =0
D% = 6%
0 1 2 3 4 5
0
50
100
150
200Vitesseenrd/s
0 1 2 3 4 5
-5
0
5
10
15
Temps en s
courantenA
N
Nc
Ic
I