L’asthme constitue , un grand problème de santé publique,
malgré les énormes progrès réalisés au niveau de sa connaissance,
son traitement , l’asthme demeure une affection sous diagnostiquée.
L’asthme constitue , un grand problème de santé publique,
malgré les énormes progrès réalisés au niveau de sa connaissance,
son traitement , l’asthme demeure une affection sous diagnostiquée.
L'asthme est une maladie inflammatoire des voies respiratoires, surtout au niveau des bronches et des bronchioles (voir schéma).
L’équilibre ou la diminution de l’activité neurologique du système nerveux autonome sympathique diminue l’état inflammatoire des bronches.
Les ajustements vertébrales chiropratique des subluxations rétablie cette équilibre et par le fait même soulage l’asthme.
L'asthme est un syndrome multifactoriel dont les principales caractéristiques sont la chronicité, la variabilité et la réversibilité, Il faut donc raisonner en terme de stratégie, c'est à dire que le médecin et son malade doivent s'adapter aux différentes manifestations cliniques. La mise en place du traitement doit être fondée sur une bonne analyse physiopathologique et une bonne évaluation des différents facteurs étiologiques
S ’approprier le vocabulaire spécifique et commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de toute l ’équipe de soins (transmissions…)
L'asthme est une maladie inflammatoire des voies respiratoires, surtout au niveau des bronches et des bronchioles (voir schéma).
L’équilibre ou la diminution de l’activité neurologique du système nerveux autonome sympathique diminue l’état inflammatoire des bronches.
Les ajustements vertébrales chiropratique des subluxations rétablie cette équilibre et par le fait même soulage l’asthme.
L'asthme est un syndrome multifactoriel dont les principales caractéristiques sont la chronicité, la variabilité et la réversibilité, Il faut donc raisonner en terme de stratégie, c'est à dire que le médecin et son malade doivent s'adapter aux différentes manifestations cliniques. La mise en place du traitement doit être fondée sur une bonne analyse physiopathologique et une bonne évaluation des différents facteurs étiologiques
S ’approprier le vocabulaire spécifique et commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de toute l ’équipe de soins (transmissions…)
Les opinions exprimées dans ces exposés sont celles des auteurs et ne représentent pas nécessairement les points de vue du gouvernement du Canada. Les exposés sont diffusés dans leur format original, tel que nous les avons reçus des présentateurs.
Les exposés présentés lors de la Conférence en vue d’élaborer un cadre fédéral relatif à la maladie de Lyme sont la propriété de l’auteur, à moins d’indication contraire. Si vous faites référence au travail de l’auteur, vous devez nommer l’auteur et le titre de son exposé, ainsi que le lieu et la date de l’exposé.
Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le secrétariat de la Conférence sur la maladie de Lyme à l’adresse maladie_lyme_disease@phac-aspc.gc.ca
L’étude OpinionWay/Welcoop "Patients et Observance" est réalisée en partenariat avec la FNIM (Fédération Nationale de l'Information Médicale) et présentée en ouverture du Festival de la Communication Santé, le 28 novembre à Deauville. Si plus de la moitié des Français ont suivi un traitement au cours des 6 derniers mois, seuls 42% ont intégralement respecté leur traitement (l'ont suivi jusqu'à la fin, ont respecté la posologie et n'ont jamais oublié de le prendre).
Observance, la grande enquête - Welcoop / Opinion WayGroupe Welcoop
Quel est le comportement des français face à l'observance ? Quels freins et quelles motivations pour un meilleur suivi du traitement ? Tous les chiffres clés de l'observance.
Hépastat : Etude des caractéristiques de la population d’hépatiques traités ...ghassan El malki
étude de 143 cas de patients marocains traités par bithérapie (interferon alpha2a+Ribavirine 200 mg) entre 2011 et 2012, suivis pendant une période de 18 mois incluant la durée du traitement.
Surveillance du déploiement des combinaisons thérapeutiques pour le traitement du paludisme. Intérêt de la pharmacovigilance - Conférence de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Philippe BRASSEUR - Institut de Recherche pour le Développement - Sénégal - brasseur.pmg@wanadoo.fr
LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE, UNE AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE AVEC NOTAM...Khadija Moussayer
La polyarthrite rhumatoïde atteint surtout les femmes et se révèle assez souvent invalidante en rendant pénible les gestes élémentaires de la vie quotidienne. L’amélioration de sa prise en charge a cependant réduit de moitié en 20 ans ses conséquences douloureuses. Des thérapeutiques, récentes mais encore coûteuses, permettent d’envisager une vie quasi normale dans un avenir assez proche.
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie inflammatoire chronique d’origine auto-immune où le système immunitaire s’attaque principalement aux articulations. Tout le monde peut être touché mais elle est beaucoup plus fréquente chez les femmes (dans une proportion de presque 3 femmes pour seulement 1 homme). Elle survient entre 35 et 50 ans en général.
LES SYMPTÔMES D’ALERTE DE LA POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
Les premiers signes qui permettent d’évoquer la maladie se manifestent notamment par des gonflements douloureux au niveau des mains, poignets et genoux. La personne est également réveillée par des douleurs articulaires et ressent, le matin, un engourdissement et une raideur de ces articulations pendant un certain temps
LA PRISE EN CHARGE SPECIFIQUE
Outre un médecin généraliste, la prise en charge du malade est assurée généralement soit par :
– un rhumatologue (spécialiste des articulations et des os) ;
– un spécialiste en médecine interne, encore appelé « interniste », une spécialité méconnue au Maroc : il soigne notamment les patients qui présentent plusieurs organes malades, ou atteints simultanément de plusieurs maladies ;
– un pédiatre chez les enfants pour une forme différente, l’arthrite juvénile, susceptible d’évoluer plus tard en polyarthrite rhumatoïde.
LE DIAGNOSTIC : UN EXAMEN CLINIQUE, UN BILAN BIOLOGIQUE ET DES RADIOGRAPHIES OSSEUSES
Le diagnostic se fonde sur un ensemble de preuves obtenues par :
– l’examen clinique et l’interrogatoire permettant de suspecter la maladie par la localisation des atteintes et leur caractère chronique ;
– un bilan sanguin mettant ensuite en évidence la présence de substances spécifiques : les anticorps anti CCP ;
– une échographie pour confirmer l’inflammation et une radiographie enfin laissant voir des érosions osseuses et un pincement des lignes articulaires.
L’EVOLUTION DE LA PATHOLOGIE : LONGUE, IMPREVISIBLE ET DOULOUREUSE
Son évolution est imprévisible. Elle se fait sur des décennies, avec des périodes de poussées (des crises douloureuses) et de rémission (au cours de laquelle les symptômes sont moins intenses et peuvent même disparaître).
En règle générale, la maladie tend à s’aggraver, à atteindre et endommager de plus en plus d’articulations qui finissent par se déformer. Les doigts dévient sur le côté et se replient sur eux-mêmes. À un stade avancé, des atteintes peuvent toucher d’autres organes tels que les poumons, les yeux et le cœur. Si elle n’est pas correctement traitée, la polyarthrite rhumatoïde peut devenir très invalidante et douloureuse.
3. United States
United Kingdom
Argentina
Australia
Brazil Austria
Canada
Chile
Belgium
China
Denmark
Columbia
Croatia
Germany
Greece
Ireland
Italy
Syria
Hong Kong ROC
Japan
India
Korea
Kyrgyzstan
Moldova
Macedonia
Malta
Netherlands
New Zealand
Poland
Portugal
Georgia
Romania
Russia
Singapore
Slovakia
Slovenia Saudi Arabia
South Africa
Spain
Sweden
Thailand
Switzerland
Ukraine
Taiwan
Venezuela
Vietnam
Yugoslavia
Albania
Bangladesh
France
Mexico
Turkey Czech
Republic
Lebanon Pakistan
GINA Assembly
Israel
Philippines
Cambodia
Mongolia
Egypt
4. GINA Program Objectives
Increase appreciation of asthma as a global public
health problem
Present key recommendations for diagnosis and
management of asthma
Provide strategies to adapt recommendations to
varying health needs, services, and resources
Identify areas for future investigation of particular
significance to the global community
5. Global Strategy for Asthma
Management and Prevention
Evidence-based
Implementation oriented
Diagnosis
Management
Prevention
Outcomes can be evaluated
6. Global Strategy for Asthma
Management and Prevention
Definition and Overview
Diagnosis and Classification
Asthma Medications
Asthma Management and
Prevention Program
Implementation of Asthma
Guidelines in Health
Systems
7. Global Strategy for Asthma
Management and Prevention
Evidence Category Sources of Evidence
A Randomized clinical trials
Rich body of data
B Randomized clinical trials
Limited body of data
C Non-randomized trials
Observational studies
D Panel judgment consensus
8. Définition de l’asthme
• L’asthme est un désordre inflammatoire chronique des
voies aériennes dans lequel de nombreuses cellules et
éléments cellulaires jouent un rôle.
• Cette inflammation est responsable d’une
augmentation de l’hyperréactivité bronchique (HRB)
qui entraîne d’épisodes récurrents de respiration
sifflante, de dyspnée, d’oppression thoracique et/ou
de toux, particulièrement la nuit ou au petit matines.
• Ces épisodes sont habituellement marqués par une
obstruction bronchique, variable, souvent intense,
généralement réversible, spontanément ou sous l’effet
d’un traitement.
11. Prevalence of symptoms of wheeze in the past 12 months, 13–14 year age group in Africa.
(Allergy 2007:62:247-258)
casablanca 16/12/2009
12. Autres enseignements
diagnostic
• Maladie sous-diagnostiquée: 30à 55%
• Liée:
– Mauvaise perception des symptômes par le
malade
– Insuffisance de formation des médecins
– Sous-évaluation de la sévérité
• →augmentation de la sévérité et cout
13. Enquete AIRMAG
Respir Med. 2009 Dec;103 Suppl 2:S2-11. doi: 10.1016/S0954-6111(09)70022-8.
• étude épidémiologique transversale et
observationnelle,
• réalisée auprès d’un échantillon aléatoire en
population générale dans chacun des pays
participants à l’étude Algérie, Maroc et
Tunisie.
14. Prévalence par pays
• Algérie 3,45% (3,09-3,80%)
• Maroc 3,89% (3,52-4,27%)
• Tunisie 3, 53% ( 3,18-3,89%)
15. Qualité prise en charge Enquête AIRMAG
• Qui a diagnostiqué l’asthme la 1° fois:
– MG 42,7%
– MSp 41,3%
– Urgences 10%
• Hospitalisations 13,7%,(moy 6,8)
• Recours urgences 37,9% (moy 6)
• Absentéisme 34% (nb jour 19,6%)
• Suivi
– Régulier 34,8%
– En cas de problème:65,2%
16. EVALUATION DU CONTRÔLE
SELON L’ACT
Algérie
(N=154)
Score Effectif analysé 141
moyen Moyenne (±ET) 16,3 (± 3,8)
IC 95 % [15,7 - 16,9]
Médiane 17
Evaluation Patient totalement
contrôlé (25)
1 (0,7%)
du contrôle Patient partiellement
contrôlé (entre 20 et
24)
33 (23,4%)
Patient non contrôlé
(inférieur à 20)
107 (75,9%)
18. Facteurs de risque de mortalité
• Antécédents d’AAG durant l’année précédant le
décès(avec ou sans hospitalisation ou ventilation
mécanique
• Mauvaise estimation de la gravité de la maladie :
mauvaise perception, retard au diagnostic……
• Traitement insuffisant: utilisation insuffisante des
corticoïdes, inobservance, pas d’éducation
• Troubles psychosociaux: alcoolisme, chômage,
consommation psychotropes, dépression,
troubles de la personnalité
21. Couts
directs
• Hospitalisations
• Traitements en salle
d’urgence
• Consultations
• Frais de laboratoire
• médicaments
Indirects :pertes financières non
médicales /maladie 40 à 65%
• Absentéisme scolaire et
professionnel
• Perte de productivité
• Invalidité, décès
• Couts intangibles aspects
psychosociaux
22. Impact socio-economique
• Handicap: réduction de la qualité de vie
• Incapacité,
• Mort prematurée
• Diminution productivité
• Augmentation des couts pour la santé
23. Couts sociaux
• Altération de la qualité de vie: école, vie
familiale, activités sportives
• Absentéisme scolaire++++++++++
• USA :25% de l’absentéisme scolaire soit 10,1
millions de jours perdus
• Adulte 25% des asthmatiques ont au moins 1
à 4 j d’absence au travail
• Handicap directement proportionnel à la
sévérité
25. Définition de l’asthme
• L’asthme est un désordre inflammatoire chronique des
voies aériennes dans lequel de nombreuses cellules et
éléments cellulaires jouent un rôle.
• Cette inflammation est responsable d’une
augmentation de l’hyperréactivité bronchique (HRB)
qui entraîne d’épisodes récurrents de respiration
sifflante, de dyspnée, d’oppression thoracique et/ou
de toux, particulièrement la nuit ou au petit matines.
• Ces épisodes sont habituellement marqués par une
obstruction bronchique, variable, souvent intense,
généralement réversible, spontanément ou sous l’effet
d’un traitement.
28. Remodelage des voies aériennes
• Chez certaines personnes qui souffrent
d'asthme, l'obstruction bronchique peut
n’être que partiellement réversible.
• changements structurels permanents des
voies respiratoires
• perte progressive de la fonction pulmonaire
• activation de la plupart des cellules
structurelles
29. Susceptibilité à l’asthme
• Depend:
• Terrain et facteurs génétiques
• Environnement : allergénes, infections
,polluants
34. Asthme?
(questions à poser)
Épisodes repetés de sifflements
Toux nocturne
Toux ou sifflements aprés exercice
Toux,sifflements,gene aprés exposition à
des polluants ,des allergenes
Attraper “froid” necessité de +10 jours
pour degager
37. sévérité
• Initialement 4 niveaux (patients naïfs)
• Terminologie confuse decrit l’ampleur de
l’obstruction , ou l’intensité des symptômes
• Évaluation statique
• Période longue(mémorisation?)
• Faible prédiction du type de traitement
nécessaire et pas de possibilité de préjuger de
la réponse
38. sévérité
• Consensus: Basée essentiellement sur
l’intensité de la réponse au traitement
nécessaire au contrôle
– APB: fiables doses de corticoïdes inhalés, anti-
leucotriénes
– APS: traitement intense (niveau 4), ou contrôle
non obtenu malgré un traitement optimal
39. Classification de l’asthme par niveau de sévérité
(en l’absence de traitement +++)
Stade 1
Asthme
intermittent
Symptômes intermittents, moins d’1 fois par semaine
Exacerbations brèves
Symptômes d’asthme nocturne moins de 2 fois par mois
Patient asymptomatique et fonction respiratoire normale entre les
exacerbations
DEP ou VEMS ≥ 80 % de la valeur théorique avec une variabilité < 20
%
Stade 2
Asthme
persistant
léger
Symptômes survenant plus d’1 fois par semaine et moins d’1 fois par
jour
Les exacerbations peuvent gêner l’activité et le sommeil
Symptômes d’asthme nocturne plus de 2 fois par mois
DEP ou VEMS ≥ 80 % de la valeur théorique avec une variabilité de 20
à 30 %
Stade 3
Asthme
persistant
modéré
Symptômes quotidiens
Les exacerbations gênent l’activité et le sommeil
Symptômes d’asthme nocturne plus d’1 fois par semaine
Utilisation quotidienne de b2-stimulant inhalé d’action brève
DEP et VEMS entre 60 et 80 % de la valeur théorique avec une
variabilité > 30 %
Stade 4
Asthme
persistant
sévère
Symptômes permanents
Exacerbations fréquentes
Symptômes d’asthme nocturne fréquents
Activités physiques limitées par les symptômes d’asthme
DEP et VEMS < 60 % de la valeur théorique avec une variabilité > 30%
40. contrôle
• Contrôle d’une maladie : prévenir, guérir
• Mais pour l’asthme : contrôle ,maitrise des
manifestations de la maladie
• DYNAMIQUE
43. contrôle
• Manifestations
cliniques:
– Symptômes
– Réveils nocturnes
– Besoin en β2
– Activités
– Fonction respiratoire
• Mais aussi
• Risques futurs:
– Exacerbations
– Déclin accéléré de la
fonction respiratoire
– Effets secondaires du
traitement
44. Patient à risque
– Faible contrôle
– Exacerbations fréquentes au cours de l’année
écoulée
– Admission en Soins intensifs
– VEMS bas
– Exposition tabac
– Nécessité de fortes doses
45. Asthma Management and Prevention Program
3:evaluer,traiter,surveiller
• Contrôle
– Objectif principal de la prise en charge
– Peut être obtenu chez la majorité des patients
– Avec une stratégie thérapeutique développée en
partenariat par le patient, sa famille et le
personnel de sante
47. Levels of Asthma Control
(Assess patient impairment)
Characteristic
Controlled
(All of the following)
Partly controlled
(Any present in any week)
Uncontrolled
Daytime symptoms
Twice or less
per week
More than
twice per week
3 or more
features of
partly
controlled
asthma
present in
any week
Limitations of
activities
None Any
Nocturnal symptoms
/ awakening
None Any
Need for rescue /
“reliever” treatment
Twice or less
per week
More than
twice per week
Lung function
(PEF or FEV1)
Normal
< 80% predicted or
personal best (if
known) on any day
Assessment of Future Risk (risk of exacerbations, instability, rapid decline in lung
function, side effects)
48. Assessment of Future Risk
Risk of exacerbations, instability, rapid decline
in lung function, side effects
Features that are associated with increased
risk of adverse events in the future include:
Poor clinical control
Frequent exacerbations in past year
Ever admission to critical care for asthma
Low FEV1, exposure to cigarette smoke,
high dose medications
Devant toute
exacerbation réajuster
le traitement
49. le choix therapeutique est basé sur:
Niveau de controle
Traitement actuel
Propriétés pharmacologiques et
disponibilité,considerations économiques
Preferences culturelles, systéme de soins
traitement
50. controlled
partly controlled
uncontrolled
exacerbation
LEVEL OF CONTROL
maintain and find lowest controlling
step
consider stepping up to gain
control
step up until controlled
treat as exacerbation
TREATMENT OF ACTION
TREATMENT STEPS
REDUCE INCREASE
STEP
1
STEP
2
STEP
3
STEP
4
STEP
5
REDUCEINCREASE
53. Estimate Comparative Daily Dosages for
Inhaled Glucocorticosteroids by Age
faibleDose (g) MoyeneDose (g) forte Dose (g)
> 5 y Age < 5 y > 5 y Age < 5 y > 5 y Age < 5 y
Beclomethasone 200-500 100-200 >500-1000 >200-400 >1000 >400
Budesonide 200-600 100-200 600-1000 >200-400 >1000 >400
Budesonide-Neb
Inhalation Suspension
250-500 >500-1000 >1000
Ciclesonide 80 – 160 80-160 >160-320 >160-320 >320-1280 >320
Flunisolide 500-1000 500-750 >1000-2000 >750-1250 >2000 >1250
Fluticasone 100-250 100-200 >250-500 >200-500 >500 >500
Mometasone furoate 200-400 100-200 > 400-800 >200-400 >800-1200 >400
Triamcinolone acetonide 400-1000 400-800 >1000-2000 >800-1200 >2000 >1200
54. Shaded green - preferred controller options
TO STEP 3 TREATMENT, SELECT
ONE OR MORE:
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
55. Shaded green - preferred controller options
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
TO STEP 3 TREATMENT,
SELECT ONE OR MORE:
56. Step 1 – traitement symptomatique
Symptomes occasionnels brefs, peu frequents
β2-agonist action rapide(Evidence A)
Si frequents et/ou deterioration frequente
necessité d’un traitement regulier (step 2 ou +)
OBTENIR LE CONTROLE
57.
58.
59. corticoïdes
Anti-inflammatoires de référence
• Efficacité repose sur leur capacité d’action sur
la majeure partie des cellules impliquées dans
la réaction inflammatoire notamment
allergique et sur les cellules de structure de la
bronche
60. Shaded green - preferred controller options
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
TO STEP 3 TREATMENT,
SELECT ONE OR MORE:
61. Shaded green - preferred controller options
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
TO STEP 3 TREATMENT,
SELECT ONE OR MORE:
62. Shaded green - preferred controller options
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
TO STEP 3 TREATMENT,
SELECT ONE OR MORE:
63. Effet additif LABA+CTC
• Les mécanismes qui sous-tendent l'effet additif
apparent des LABA et CTC sur le contrôle de
l'asthme ne sont pas encore totalement clarifiés.
• Une première explication possible est la
différence évidente dans le profil
pharmacologique entre les deux composés.
– ICS clairement anti-inflammatoire
– LABA: la relaxation des muscles lisses effet de
bronchodilatation prolongée et bronchoprotection
64.
65. Implications for practice
• “In symptomatic adults with mild to moderate
airway obstruction, who remain symptomatic
despite a low, moderate or high dose of inhaled
corticosteroids, the addition of a long-acting
beta2-agonist at licensed doses is superior for
– reducing the rate of exacerbations requiring oral
steroids,
– and for improving lung function,
– symptoms and quality of life, than remaining on
similar doses of inhaled corticosteroids as
monotherapy. “
66. Shaded green - preferred controller options
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
TO STEP 3 TREATMENT,
SELECT ONE OR MORE:
67. TO STEP 3 TREATMENT, SELECT
ONE OR MORE:
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
Shaded green - preferred controller options
68. TO STEP 3 TREATMENT, SELECT
ONE OR MORE:
TO STEP 4 TREATMENT, ADD
EITHER
Shaded green - preferred controller options
69. MAINTENIR LE CONTROLE
Une fois le controle obtenu:
- maintenir le controle
- rechercher plus faible dose pour le
maintien
70. • Rate of response of different measures of asthma control over 18 months of ICS
treatment AHR, airway hyperresponsiveness; FEV1, forced expiratory volume in 1 second;
ICS, inhaled corticosteroid; PEF, peak expiratory flow
AHR is a marker of inflammation
AHR
Rescue medication use
Impaired am PEF
Impaired FEV1
Start of treatment
(months)
%Reduction
2 4 6 18
Night
symptoms
Short term
ACHIEVE CONTROL
Long term
Maintain CONTROL
An ongoing requirement for rescue medication is a sign that the underlying inflammation is uncontrolled
Woolcock Clin Exp Allergy Rev 2001; GINA 2009
74. Traiter pour maintenir le controle
Diminuer une fois le controle obtenu
Si controle avec dose moyenne à fortes
doses diminuer de 50% à 3mois
d’intervalle (Evidence B)
Une fois controle obtenu, une
dosexJ(Evidence A)
75. Corticoides inhalés+LABA
Diminuer une fois le controle obtenu
Reduire dose CTC de 50% tout en maintenant
LABA(Evidence B)
Si controle obtenu reduire CTC et arreter les
LABA (Evidence D)