L'impact du numérique sur la banque et ses clientsJimmy Huang
This 10-min presentation briefs the impacts of digitalization on bank and its clients. It was also my personal presentation in the course "Économie Numérique" in Sciencespo Paris.
- Intro: From now to 2020, FinTech companies launch itself principally into retail banking and transfer&payment market.
- Part1: New technologies disrupt the value chain of banks.
- Part2: How to react? The banking sector has to engage itself in the digital transformation.
- Part3: Do the banks have to collaborate or compete with FinTech companies?
- Wrap up: Some traditional business models are not the guarantee of a stable future, while it's necessary to endeavor to take advantage of digitalisation opportunities.
L'impact du numérique sur la banque et ses clientsJimmy Huang
This 10-min presentation briefs the impacts of digitalization on bank and its clients. It was also my personal presentation in the course "Économie Numérique" in Sciencespo Paris.
- Intro: From now to 2020, FinTech companies launch itself principally into retail banking and transfer&payment market.
- Part1: New technologies disrupt the value chain of banks.
- Part2: How to react? The banking sector has to engage itself in the digital transformation.
- Part3: Do the banks have to collaborate or compete with FinTech companies?
- Wrap up: Some traditional business models are not the guarantee of a stable future, while it's necessary to endeavor to take advantage of digitalisation opportunities.
Quand les consommateurs sont de plus en plus enclins à changer de banque (tournants dans leur vie, facilité des démarches et arrivée de la concurrence des pure-players), comment les banques peuvent-elles fidéliser et développer les comptes clients tout en recrutant ? Aujourd’hui, on ne choisit pas une banque « car on aime la marque » mais plutôt car les offres nous correspondent, que l’on a entendu parler d’elle ou qu’un de nos proches y est déjà client.
Alors comment, grâce au digital, réussir à créer cette préférence de marque ? Comment se différencier ? Mais également comment instaurer une relation de proximité entre la banque et ses clients ?
Tout au long de cette étude, Vanksen présente sa vision sur l’utilisation du digital pour le secteur bancaire dans le but d’améliorer à la fois son image de « marque » et son relationnel client, agrémentée d’exemples concrets, français et étrangers.
Mémoire sur le thème des Fintech:
L’objectif va être d’expliquer ce changement d’habitude de consommation constaté, notamment chez les milléniaux, en déterminant l’impact des innovations Fintech sur son écosystème.
Un travail qui fera aussi l'objet d'un éclairage sur les évolutions réglementaire qui accompagnent les startups Fintech dans leur développement.
Groupama banque - Stratégie Digitale point presse 22 mai 2014Antoine Wintrebert
- Un client équipé en bancassurance est 4 fois plus fidèle qu’un client équipé uniquement en assurance
- Des offres couplées banque et assurance qui couvrent de
larges univers de besoins et favorisent le multi-équipement
Dans 7 cas sur 10, un produit bancaire est vendu en complément d'un produit d'assurance
- Une approche d’épargne globale développée par tous les
réseaux commerciaux proposant une gamme complète de
produits
- intégration plus forte du métier bancaire dans les réflexes
de vente
- Une digitalisation avancée des back offices de la banque
- De nouvelles fonctionnalités pour l'appli mobile en octobre 2014
- En juin 2014, positionnement sur les réseaux sociaux
Règlementer le métier de conseiller en gestion de patrimoine
Le rapport présenté par Louis Giscard d’Estaing a été établi après consultation des acteurs de marchés et des régulateurs.
Il propose qu'un cadre législatif vienne encadrer la profession de conseiller en gestion de patrimoine.
http://www.economie.gouv.fr/consultation-publique-sur-les-conseillers-en-gestion-de-patrimoine-rapport
FinTech & Marketing : Comment le secteur bancaire a t-il été contraint d'opte...EuraTechnologies
À l'occasion de mon master en marketing digital (MBA DMB), je vous propose de découvre mes recherches sur le marketing et les Fintech.
Découvrez comment les banques ont du s'adapter aux changements financiers avec l'arrivée des startups de la finance, flexibles et conscientes des besoins et demandes de leurs utilisateurs.
Parcourez également dans ce rapport les différences entre les cultures : L'Europe et la RGPD, le développement rapide des banques mobiles et du mobile first sur le continent africain ou encore la frénésie autour des innovations FinTech en Chine et en Inde.
Face à ces nouveaux enjeux, comment réagissent les banques et quelles évolutions sont possibles ?
Retrouvez les interviews de Adelin Pyfferoën, responsable Social Media & Brand Content influence chez Ma French Bank, la banque mobile fraîchement arrivée sur le marché bancaire française ; et celle de Julien Trucy, startup manager de FALC, l'incubateur FinTech, AssurTech, LegalTech & Cybersécurité à EuraTechnlologies, incubateur de startups, qui côtoie chaque jour les pépites de la finance et de la tech.
Contactez moi pour échanger : juliette.begue@gmail.com
Twitter : @JulietteBegue_
#MBADMB #Fintech #Marketing #WebMarketing #Finance #banques #EuraTechnologies #MaFrenchBank
Webographie et bibliographie en annexe de ce rapport.
Partie rapport de stage confidentielle
Résume de l’économie monétaire s3 2017
Chapitre I : Le Système financier : Rôle et Organisation.
Le rôle de tout système financier est de permettre un financement efficace de
l’économie.
Ce financement peut se faire de deux manières différentes:
soit il est indirect et il passe par l’intermédiaire.
soit il est direct et il passe dans ce sens par les marchés des capitaux.
Section I : La notion d’intermédiation financière.(l’apport
théorique de Gurley et show)
1°L’intermédiation s’explique avant tout par la nécessité de permettre aux
agents non financiers un accès
aux moyens de financement. Le principe de l’intermédiation repose sur le fait
que les agents à capacité
de financement déposent leurs avoirs auprès des banques qui à leur tour
offrent des crédits
aux agents à besoin de financement.
2°L’existence des intermédiaires financiers s’explique par l’imperfection des
marchés, qui n’arrivent pas
à une allocation optimale des ressources financières en fonction des besoins
exprimés par les agents non financiers.
3°On retrouve ici la notion d’asymétrie de l’information, c'est-à-dire que
l’information sur les besoins de financement
n’arrive pas rapidement et précisément aux agents à capacité de financement.
Paragraphe 1 : Capacités et Besoin de financement.
Les agents à capacité de financement:(ACF)
C'est-à-dire peuvent avoir plein de liquidité puisque le position nette positive,
ses dépenses < ses Ressource
En généralement on parle sur les Ménages.
Les agents à besoins de financement:(ABF)
Ce sont des agents ayant une position nette négative, ses dépenses > ses
Ressource
On considère généralement les entreprises et l'Etat comme agents à besoin de
financement.
Paragraphe 2 : Finance directe et indirecte.
On parlera de finance directe lorsque le financement d’un agent à besoin
de financement passe par le marché.
Cet agent rencontra un agent à capacité de financement, qui lui avancera
La dématérialisation et la digitalisation des documents et procédures (CAS DG...Badr Mouhaid
Mémoire Fin d'Etude licence fondamental 2018 , La dématérialisation et la digitalisation des documents et procédures (CAS DGI) par hiba fetheddine et badr mouhaid
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
Transformation digitale : les défis de la distribution bancairesab2i
Le digital révolutionne le modèle de distribution bancaire. Certaines banques ont déjà anticipé cette révolution. Découvrez les grands chantiers qui attendent les banques dans ce processus de transformation profonde ...
Quand les consommateurs sont de plus en plus enclins à changer de banque (tournants dans leur vie, facilité des démarches et arrivée de la concurrence des pure-players), comment les banques peuvent-elles fidéliser et développer les comptes clients tout en recrutant ? Aujourd’hui, on ne choisit pas une banque « car on aime la marque » mais plutôt car les offres nous correspondent, que l’on a entendu parler d’elle ou qu’un de nos proches y est déjà client.
Alors comment, grâce au digital, réussir à créer cette préférence de marque ? Comment se différencier ? Mais également comment instaurer une relation de proximité entre la banque et ses clients ?
Tout au long de cette étude, Vanksen présente sa vision sur l’utilisation du digital pour le secteur bancaire dans le but d’améliorer à la fois son image de « marque » et son relationnel client, agrémentée d’exemples concrets, français et étrangers.
Mémoire sur le thème des Fintech:
L’objectif va être d’expliquer ce changement d’habitude de consommation constaté, notamment chez les milléniaux, en déterminant l’impact des innovations Fintech sur son écosystème.
Un travail qui fera aussi l'objet d'un éclairage sur les évolutions réglementaire qui accompagnent les startups Fintech dans leur développement.
Groupama banque - Stratégie Digitale point presse 22 mai 2014Antoine Wintrebert
- Un client équipé en bancassurance est 4 fois plus fidèle qu’un client équipé uniquement en assurance
- Des offres couplées banque et assurance qui couvrent de
larges univers de besoins et favorisent le multi-équipement
Dans 7 cas sur 10, un produit bancaire est vendu en complément d'un produit d'assurance
- Une approche d’épargne globale développée par tous les
réseaux commerciaux proposant une gamme complète de
produits
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de vente
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- De nouvelles fonctionnalités pour l'appli mobile en octobre 2014
- En juin 2014, positionnement sur les réseaux sociaux
Règlementer le métier de conseiller en gestion de patrimoine
Le rapport présenté par Louis Giscard d’Estaing a été établi après consultation des acteurs de marchés et des régulateurs.
Il propose qu'un cadre législatif vienne encadrer la profession de conseiller en gestion de patrimoine.
http://www.economie.gouv.fr/consultation-publique-sur-les-conseillers-en-gestion-de-patrimoine-rapport
FinTech & Marketing : Comment le secteur bancaire a t-il été contraint d'opte...EuraTechnologies
À l'occasion de mon master en marketing digital (MBA DMB), je vous propose de découvre mes recherches sur le marketing et les Fintech.
Découvrez comment les banques ont du s'adapter aux changements financiers avec l'arrivée des startups de la finance, flexibles et conscientes des besoins et demandes de leurs utilisateurs.
Parcourez également dans ce rapport les différences entre les cultures : L'Europe et la RGPD, le développement rapide des banques mobiles et du mobile first sur le continent africain ou encore la frénésie autour des innovations FinTech en Chine et en Inde.
Face à ces nouveaux enjeux, comment réagissent les banques et quelles évolutions sont possibles ?
Retrouvez les interviews de Adelin Pyfferoën, responsable Social Media & Brand Content influence chez Ma French Bank, la banque mobile fraîchement arrivée sur le marché bancaire française ; et celle de Julien Trucy, startup manager de FALC, l'incubateur FinTech, AssurTech, LegalTech & Cybersécurité à EuraTechnlologies, incubateur de startups, qui côtoie chaque jour les pépites de la finance et de la tech.
Contactez moi pour échanger : juliette.begue@gmail.com
Twitter : @JulietteBegue_
#MBADMB #Fintech #Marketing #WebMarketing #Finance #banques #EuraTechnologies #MaFrenchBank
Webographie et bibliographie en annexe de ce rapport.
Partie rapport de stage confidentielle
Résume de l’économie monétaire s3 2017
Chapitre I : Le Système financier : Rôle et Organisation.
Le rôle de tout système financier est de permettre un financement efficace de
l’économie.
Ce financement peut se faire de deux manières différentes:
soit il est indirect et il passe par l’intermédiaire.
soit il est direct et il passe dans ce sens par les marchés des capitaux.
Section I : La notion d’intermédiation financière.(l’apport
théorique de Gurley et show)
1°L’intermédiation s’explique avant tout par la nécessité de permettre aux
agents non financiers un accès
aux moyens de financement. Le principe de l’intermédiation repose sur le fait
que les agents à capacité
de financement déposent leurs avoirs auprès des banques qui à leur tour
offrent des crédits
aux agents à besoin de financement.
2°L’existence des intermédiaires financiers s’explique par l’imperfection des
marchés, qui n’arrivent pas
à une allocation optimale des ressources financières en fonction des besoins
exprimés par les agents non financiers.
3°On retrouve ici la notion d’asymétrie de l’information, c'est-à-dire que
l’information sur les besoins de financement
n’arrive pas rapidement et précisément aux agents à capacité de financement.
Paragraphe 1 : Capacités et Besoin de financement.
Les agents à capacité de financement:(ACF)
C'est-à-dire peuvent avoir plein de liquidité puisque le position nette positive,
ses dépenses < ses Ressource
En généralement on parle sur les Ménages.
Les agents à besoins de financement:(ABF)
Ce sont des agents ayant une position nette négative, ses dépenses > ses
Ressource
On considère généralement les entreprises et l'Etat comme agents à besoin de
financement.
Paragraphe 2 : Finance directe et indirecte.
On parlera de finance directe lorsque le financement d’un agent à besoin
de financement passe par le marché.
Cet agent rencontra un agent à capacité de financement, qui lui avancera
La dématérialisation et la digitalisation des documents et procédures (CAS DG...Badr Mouhaid
Mémoire Fin d'Etude licence fondamental 2018 , La dématérialisation et la digitalisation des documents et procédures (CAS DGI) par hiba fetheddine et badr mouhaid
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
Transformation digitale : les défis de la distribution bancairesab2i
Le digital révolutionne le modèle de distribution bancaire. Certaines banques ont déjà anticipé cette révolution. Découvrez les grands chantiers qui attendent les banques dans ce processus de transformation profonde ...
L'étude des étudiants du MBADMB: la transformation digitale de la banque en France.
La chaîne de valeur du secteur bancaire, l'impact des nouvelles technologies et sa transformation numérique.
Les Francais et les plateformes communautaires de marquesspintank
Le discours sur l’entreprise 2.0 est volontiers prophétique. L’internaute serait un nouveau consommateur citoyen, avide d’expression en réseau, que l’on pourrait mobiliser, appeler à la participation, à la co-création.
Et dans la réalité ?
Où en sont les Français ? Que font-ils quand ils s’expriment en ligne, à l’égard des entreprises ? Se rendent-ils sur les plate-formes proposées par les marques ? Sont-ils prêts à participer ? A quelles conditions ? Nous sommes allés les interroger avec OpinionWay;
Résultat : Les Français boudent les plateformes communautaires de marques.
Etude sur les réseaux sociaux et les sites Media en Janvier 2014AT Internet
La part de visites du site Facebook en tant qu’affluent d’un site web d’actualité français a plus que doublé en un an pour atteindre 7,1% en janvier 2014.
Webinar: Estrategias para integrar el Email con los Medios SocialesMasterBase®
En vez de hacer email una herramienta obsoleta, los medios sociales han hecho al email un canal aún más poderoso. LOs usuarios lo valoran más, además de compartirlo. Aprenda de interesantes estrategias.
Les Cahiers Lasaire
Laboratoire social d’actions, d’innovations, de réflexions et d’échanges
La collection des Cahiers Lasaire vise à faire réfléchir, ensemble, les partenaires économiques et sociaux sur les problématiques liées à l’emploi, au travail et à l’Europe sociale.
Le n°43 : un intense renouveau de la négociation interprofessionnelle en France
(avril 2011)
http://www.lasaire.net/cahiers.php
Projet de loi de Finances
- principales mesures fiscales
Attention ces mesures doivent encore être amendées, votées et ne pas être censurées par le Conseil Constitutionnel pour devenir applicable.
Le secteur bancaire, et singulièrement la banque de détail, poursuit à grande vitesse les transformations engagées depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, dans un contexte international d’accélérations, tous domaines confondus, la crise financière et ses conséquences influent sur ce processus de changement : crise de confiance et d’image, concurrence accrue, modification des équilibres économiques mondiaux.
Il est probable que l’on assiste à une « redistribution des cartes » dans les métiers de demain – un « demain » déjà là – et, partant, dans la préparation des collaborateurs. C’est ce à quoi ont voulu réfléchir les IUP Banque Finance au travers d’un débat initié par Revue Banque avec le soutien du CFPB et de la FBF, à l’occasion du XIe Forum des Auteurs. Banquiers et universitaires ont une fois de plus abordé le futur ensemble afin de déterminer les axes de coopération à venir.
Ce numéro rend compte des réflexions menées collectivement et, au-delà, aborde les thématiques directement liées à la formation bancaire, notamment celles mises à jour par les protagonistes des tables rondes : le retour à la dimension conseil dans l’agence, l’entretien d’une relation de proximité, physique mais aussi distancielle via les technologies à disposition, la montée en puissance du rôle managérial. Le CFPB fait constamment évoluer son offre de formation pour être en phase avec les besoins du secteur. Il est prêt à relever une fois de plus avec l’énergie et la créativité nécessaires les défis qui l’attendent, au service de la profession.
Michel Piano
Directeur général du CFPB
Formation Fondamentaux sur le crédit aux particuliersActions-Finance
Actions-Finance propose la formation Fondamentaux sur le crédit aux particuliers
Cette formation en finance permet notamment de:
•Apprendre à connaître les caractéristiques des prêts et les différents types de prêts aux particuliers.
•Comprendre la classification des clients et leur solvabilité ainsi que les modalités de décision d’attribution des prêts.
•Connaître les modalités de lutte contre le blanchiment.
Pour plus de renseignements sur la formation Fondamentaux sur le crédit aux particuliers, N’hésitez pas à nous contacter par téléphone au + 33 (0)1 47 20 37 30, ou par email sur contact@actions-finance.com
Dans un paysage bancaire déjà en voie d’Uberisation sur le front des paiements, la Banque a-telle
les moyens de se réinventer pour faire face aux GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon)
et aux Fintechs qui menacent son modèle ? La confiance des clients est potentiellement la
seule véritable barrière, à la condition que les banques génèrent du progrès par la création
de nouveaux produits et services, par l’apport de simplification client, par une position
d’agrégateur de services autour de moments de vie. La Banque Numérique est aujourd’hui
devenue une réalité, mais nécessite néanmoins d’aller plus loin dans l’évolution des modèles
internes, de s’uberiser de l’intérieur mais aussi d’accepter d’uberiser son propre écosystème.
Quel rôle et quel modèle pour les banques françaises ?jricher
Dans le contexte des crises financières et des évolutions réglementaires, ce point de vue entend dépasser le débat
d’actualité pour éclairer la réflexion sous deux angles :
• Reposer les fondamentaux du système d’intermédiation
bancaire afin de mieux analyser les implications des
mutations en cours
• Etudier les inflexions stratégiques et opérationnelles
nécessaires afin de dessiner un agenda de transformation
pour les banques françaises.
Quel rôle et quel modèle pour les banques françaises ?jricher
Dans le contexte, des crises financières et des évolutions réglementaires, ce point de vue entend dépasser le débat
d’actualité pour éclairer la réflexion sous deux angles :
• Reposer les fondamentaux du système d’intermédiation
bancaire afin de mieux analyser les implications des
mutations en cours
• Etudier les inflexions stratégiques et opérationnelles
nécessaires afin de dessiner un agenda de transformation
pour les banques françaises.
Formation Titrisation pour les entreprises : mécanismes et applications prati...Actions-Finance
Actions-Finance propose la formation Titrisation pour les entreprises : mécanismes et applications pratiques
Cette formation en finance permet notamment de:
• Appréhender les principaux types de titrisation.
• Comprendre les mécanismes communs à tous les montages de titrisation.
• Détailler les motivations des émetteurs et des investisseurs.
• Comprendre les enjeux et les perspectives du marché des titrisations.
Pour plus de renseignements sur la formation Titrisation pour les entreprises : mécanismes et applications pratiques, N’hésitez pas à nous contacter par téléphone au + 33 (0)1 47 20 37 30, ou par email sur contact@actions-finance.com
Formation Environnement et réglementation bancaireActions-Finance
Actions-Finance propose la formation Environnement et réglementation bancaire
Cette formation en finance permet notamment de:
•Faire comprendre l’environnement bancaire.
•Positionner votre société et ses spécificités dans cet environnement.
•Donner des repères sur la réglementation bancaire.
•Sensibiliser aux risques.
Pour plus de renseignements sur la formation Environnement et réglementation bancaire, N’hésitez pas à nous contacter par téléphone au + 33 (0)1 47 20 37 30, ou par email sur contact@actions-finance.com
LE BTS Banque permet d'exercer une activité dans le secteur bancaire: banques, coopératives ou mutualistes, caisse d'épargne et de prévoyance et toutes instiutions financière spécialisées.
La Banque Populaire existe depuis 1926 au Maroc, crée à l'époque sur le modèle Français institué par le dahir du 25 mai 1926, portant sur l'organisation du crédit au petit et moyen commerce et industrie, et ce par la création des sociétés à capital variable dite « Banque Populaire ».
2. Brevet Bancaire
Vous assistez, aujourd’hui,
Vous assistez, aujourd’hui,
à la journée d’animation
à la journée d’animation
consacrée à la 5ème Partie
consacrée à la 5ème Partie
de votre manuel,
de votre manuel,
L’ ENVIRONNEMENT DE LA BANQUE
L’ ENVIRONNEMENT DE LA BANQUE
Journée d'animation n°3
2
4. Brevet Bancaire
Questions n°1 :
Recenser de manière synthétique, à travers
un tableau, les caractéristiques ainsi que
les enjeux de chaque marché sur lequel
intervient la banque :
Marché des Particuliers
Marché des Professionnels
Marché des Entreprises
Journée d'animation n°3
4
5. Brevet Bancaire
Réponse n°1:
→ Marché des Particuliers
Caractéristiques Enjeux
• Nombre important de clients. • Marché convoité par toutes les
• Définition du particulier : personne banques.
physique qui exprime des besoins • Marché pourvoyeur de ressources non
bancaires à titre privé. rémunérées.
• Besoins des particuliers : sécurité, • Marché constituant un matelas de
commodité, épargne, crédit et ressources stables.
conseil. • Marché générateur de commissions
• Bonne division des risques sur ce • Marché générateur de rentabilité à
marché travers le développement de la
Mais : distribution de crédits aux particuliers.
• Difficulté pour les banques de
recruter de nouveaux clients, en
raison de la faible bancarisation de
la population marocaine (taux
d’analphabètes important).
Journée d'animation n°3
5
6. Brevet Bancaire
Réponse n°1 (suite):
→ Marché des Professionnels
Caractéristiques Enjeux
• Marché important, diversifié et en • Marché convoité par toutes les
pleine évolution. banques, en ce qui concerne les
• Définition du professionnel : affaires professions libérales.
à caractère personnel et individuel, • Nécessité d’interlocuteurs
organisées autour d’une seule spécialisés.
personne et de taille réduite. • Exigences multiples de ces clients :
• Clientèle des professionnels : nécessité pour la banque de mettre
professions libérales + C.A.A. + en place des structures dédiées.
entreprises individuelles. • Clients demandeurs de crédit, mais
• Besoins des professionnels : la banque doit procéder, au préalable,
reconnaissance, conseil et besoins à une analyse fine du risque.
bancaires classiques (commodité, • Marché pourvoyeur de ressources :
épargne, crédit). les professionnels disposent souvent
d’avoirs importants et souhaitent les
placer à court ou moyen terme.
Journée d'animation n°3
6
7. Brevet Bancaire
Réponse n°1 (suite) :
→ Marché de l’Entreprise
Caractéristiques Enjeux
• Marché « traditionnel » des • Marché très concurrentiel
banques. • Importante demande de crédit,
• Marché constitué par : les grandes notamment par les PME/PMI.
entreprises et les institutionnels, les • Nécessité pour la banque d’une
PME/PMI.
organisation commerciale dédiée
• Besoins des entreprises : et spécialisée du risque.
Financement de la trésorerie à court • Mais nécessité d’analyse très
terme, financement en devises des
fine du risque, car il peut être
opérations commerciales, création
important sur un nombre réduit
et développement d’unités de
production, introduction en bourse de clients.
et conseils, gestion optimale des
liquidités, produits de banque à
distance.
Journée d'animation n°3
7
8. Brevet Bancaire
Question n°2:
Comment se manifeste la concurrence actuelle qui se joue entre
les sociétés de financement et les banques ? Donner un exemple
précis en le commentant.
Réponse n°2:
Il existe actuellement une forte concurrence entre les banques et les
sociétés de financement, par exemple : pour la distribution des
crédits à la consommation, malgré des taux élevés qui sont
pratiqués, elles attirent les clients particuliers en raison :
d’une extrême rapidité de traitement des dossiers et d’octroi de
crédit,
de conditions d’octroi de crédit et de critères de sélection de la
clientèle plus simples,
de campagnes de communication importantes.
Journée d'animation n°3
8
9. Brevet Bancaire
Réponse n°2 (suite) :
Exemple :
Ainsi, on voit fleurir à toutes les périodes de l’année (rentrée scolaire,
vacances, fêtes de l’Aid El Kebir) des offres promotionnelles de la part des
sociétés de crédit à la consommation, qui utilisent toutes les
techniques du marketing pour attirer des clients potentiels (jeux,
tombolas,…). Les salariés de l’administration publique ne sont pas
oubliés : des crédits à taux préférentiels sont offerts, moyennant des
prélèvements à la source.qdfkljklqdfsjjqmldskfjqldmskfjqlkdjfqlkdjflmqdkjflq
Les banques, elles aussi, commencent à mettre à contribution les
mêmes techniques du marketing-produit pour le développement de la
distribution de crédit à la consommation à leurs clients particuliers, tout en
pratiquant des analyses de risques plus fines.
Journée d'animation n°3
9
10. Brevet Bancaire
Thème de la journée
Thème de la journée
L’environnement de la banque
Journée d'animation n°3
10
11. Brevet Bancaire
Objectifs du thème
Il s’agit d’appréhender l’environnement de la banque
dans toutes ses composantes :
1. l’environnement « immédiat » de la banque :
ce sont ses clients
2. l’environnement auquel elle est confrontée :
ce sont les autres banques ;
ce sont les sociétés de financement.
Journée d'animation n°3
11
12. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SON ENVIRONNEMENT
La partie consacrée à l ’Environnement de la
Banque se décompose, comme suit :
LA BANQUE ET SES CLIENTS
→ La nécessité de définir une approche par marché
(Particuliers, Professionnels, Entreprises)
→ La nécessité d’adopter une approche « CLIENT »
LA BANQUE ET LA CONCURRENCE
→ La concurrence interbancaire
→ La banque en concurrence avec les autres établissements
de crédit
Journée d'animation n°3
12
13. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
La nécessité de définir une approche par
marché
Distinction de la clientèle sous forme de
trois marchés :
Le Marché des Particuliers
Le Marché des Professionnels
Le Marché des Entreprises
Journée d'animation n°3
13
14. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
Le Marché des Particuliers
Définition des clients particuliers
Personnes physiques qui expriment des besoins bancaires en
dehors de toute activité professionnelle, à titre personnel et privé.
Distinction des personnes physiques par ces critères (L’état civil, le
patrimoine, la capacité civile).
Nécessité pour les personnes physiques de justifier d’un numéro
d’identifiant national : le Numéro de la carte d’identité national (C.I.N).
Quels sont les besoins des Particuliers ?
Besoin de sécurité
Besoin de commodité avec mise à disposition de moyens de
paiement
Besoin d’épargne.
Besoin de crédit.
Besoin de conseil.
Journée d'animation n°3
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15. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
Le Marché des Particuliers
Réponses de la banque
Besoin de sécurité : service Caisse, coffre-fort, produits de
Bancassurance.
Besoin de commodité : mise à disposition de moyens de paiement :
chéquier,cartes de retrait et de paiement.
Besoin d’épargne : compte d’épargne, compte rémunéré,
placements des produits bancaires et non bancaires, OPCVM, valeurs
mobilières (actions, obligations).
Besoin de crédit : facilité de caisse, crédit à la consommation, crédit
logement.
Besoin de conseil : mise en place d’une organisation spécialisée
dédiée aux attentes des particuliers au sein des agences bancaires.
Journée d'animation n°3
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LA BANQUE ET SES CLIENTS
Le Marché des Particuliers
Marché des Particuliers : Enjeux pour les banques :
source de collecte de dépôts non rémunérés,
emprunteurs de capitaux à taux rémunérateurs,
risque sain : risque divisé de crédit sur cette clientèle,
utilisateurs de services générateurs de commissions.
concourt à l’amélioration de la structure du PNB des
banques.
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17. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
Le Marché des Professionnels
Clients Professionnels :
Entrepreneurs individuels,
ayant une affaire personnelle,
travaillant pour leurs propres comptes,
Micro-sociétés organisées autour d’une seule personne et de
taille réduite.
Marché composé de deux segments :
Professions libérales (Ex. prestataires de services,
percepteurs d’honoraires).
Commerçants, artisans et agriculteurs (Ex. entrepreneurs
individuels, agriculteurs exploitants,…).
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18. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
Le Marché des Professionnels
Besoins des Professionnels
Besoins de reconnaissance : valorisation par le banquier
Besoin de conseil et de qualité de service : clientèle exigeante
Besoins bancaires classiques : sécurité des fonds, commodité
des moyens de paiements, épargne, crédit, conseil.
Réponses de la Banque :
Organisation commerciale spécialisée et dédiée aux attentes des
Professionnels au sein des agences bancaires.
Besoin de sécurité : Service Caisse, produits de bancassurance,
Besoin de commodité (Mise à disposition de moyens de
paiement) : Chéquier, Cartes de retrait et de paiement,
Besoin d’épargne : placement à court ou moyen terme, OPCVM et
souscription en valeurs mobilières,
Besoin de crédit : Facilité de caisse, besoin de fonds de roulement
et crédits d’investissement.
Besoin de conseil : Mise en place au sein des agences des
chargés de clientèle.
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19. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
Le Marché des Professionnels
Grande interaction entre le Marché des professionnels et celui
des particuliers.
Marché des Professionnels : Enjeux pour les banques
un marché important en pleine évolution
un potentiel certain de ressources stables et non
rémunérées
une clientèle avide de conseils et qui accepte de régler des
commissions en contrepartie de services ou de prestations
rendues.
Mais, ce marché nécessite une analyse de risque assez fine et
mesurée en raison de l’extrême dépendance des activités des
professionnels vis-à-vis de la conjoncture économique.
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20. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
Le Marché des Entreprises
Le Marché des Entreprises : Marché « traditionnel » des banques
Marché composé de 2 segments
grandes entreprises multinationales,
des petites et moyennes entreprises.
Besoins du Marché des Entreprises
crédits d’investissement,
crédits fonctionnement,
crédits à l’export,
financement de marché et d’entreprise,
placement et gestion de la trésorerie.
Organisation commerciale spécifique dans les banques et
répondant aux besoins du marché de l’entreprise.
Marché extrêmement concurrentiel, porteur d’emplois directs et
extrêmement sensible à la conjoncture économique.
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21. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET SES CLIENTS
La nécessité d’adopter une approche «CLIENT»
Nécessité, dans les banques, d’une approche tournée vers le
client.
Approche client :
identification précise des besoins et des désirs du client,
adaptation des réponses bancaires pour produire les satisfactions
désirées.
Mise en place d’organisations commerciales dédiées : Spécialisation
des agences.
Mise en place de forces de vente formées et spécialisées.
Outils marketing utilisés : Segmentation de la clientèle (Découpage
d’un marché en plusieurs sous-groupes homogènes, quant à leur
processus d’achat, en vue de mettre en œuvre des actions adaptées).
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22. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET LA CONCURRENCE
La concurrence interbancaire
Etablissement d’un climat de concurrence entre les banques dès
la fin du désencadrement du crédit.
Mise en place de systèmes d’observatoires de la concurrence par
les banques.
Climat concurrentiel : climat sain qui vise à dynamiser le marché
dans son ensemble.
Néanmoins, en raison des opérations actuelles de concentration
dans le secteur bancaire à travers les fusions et absorptions :
crainte du recul du jeu concurrentiel,
risque de porter atteinte au pouvoir de négociation des
clients et ainsi de réduire considérablement leurs choix.
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23. Brevet Bancaire
LA BANQUE ET LA CONCURRENCE
La concurrence avec les sociétés de financement
Confrontation des banques à une concurrence accrue de la part des
sociétés de financement.
Concurrence concerne essentiellement :
les prêts à la consommation, à l’immobilier, et à l’équipement des
ménages,
le crédit bail (leasing),
les structures légères,
les organisations spécialisées.
Avantages des sociétés de crédit par rapport aux banques :
rapidité,
flexibilité.
Alors que les taux d’intérêt pratiqués sont supérieurs à ceux de la
banque.
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24. Brevet Bancaire
Cas n°1 :
Témoignage : le CRM chez BNP Paribas
Après avoir lu attentivement l’article, extrait de la revue « Banque
magazine » n°662 d’octobre 2004, vous êtes invités à répondre aux
questions suivantes :
1. Parallèlement à l’évolution considérable du marché des Particuliers et des
Professionnels, quelles sont les actions stratégiques qui ont été mises en
place par les banques marocaines ?
Plusieurs actions stratégiques ont été menées dont :
- l’élargissement et la modernisation du réseau d’agences (banques de proximité)
- l’organisation par lignes métiers (marché des particuliers et des professionnels,
banques des PME/PMI, banque des grandes entreprises),
- formation de chargés de clientèle,
- conception de nouveaux produits,
- segmentation de la clientèle,
- intégration des nouvelles de l’information et de la communication,
- communication multicanale,
- compagnes promotionnelles.
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25. Brevet Bancaire
Cas n°1 :
2. Que signifie la banque multicanale ?
Le développement de la banque multicanale date des années 1990. Elle
s’appuie sur l’utilisation de plusieurs canaux de communication dont :
- le téléphone et le fax, l’Internet,
- les centres d’appels et les services vocaux interactifs,
- le réseau d’agences,
- le mailing,les manifestations (relations publiques).
3. Le traitement des opérations classiques a-t-il été concerné par cette
évolution technologique ?
Cette évolution technologique a concerné également le traitement des
opérations classiques grâce :
- aux automates installées au sein des agences pour effectuer des opérations
en espèces, remises chèques, consultation des comptes,
- les distributeurs ou guichets automatiques bancaires,
- le développement de la banque à domicile.
Toutefois le développement technologique reste limité au Maroc en raison du
nombre élevé des analphabètes et de la faiblesse du taux de bancarisation.
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26. Brevet Bancaire
Cas n°1 :
4. Le développement technologique de la relation banque – Particuliers
n’engendre-t-il pas une suppression d’emplois ?
Cette évolution technologique se traduit par deux mouvements :
- la formation de chargés de clientèle dédiés à ce marché, ce qui va développer
les contacts avec les clients,
- le redéploiement des effectifs (en surplus) vers d’autres tâches commerciales
afin d’améliorer la réactivité et l’agressivité commerciale.
5. Quelles sont les actions menées par le BNP Paribas pour accompagner
le développement de la banque multicanale ?
Entamée en 1998,le programme de la banque de détail multicanale a été
accompagné par :
- une refonte des processus et des systèmes d’information afin de disposer en
temps réel d’une vision globale sur le client, ce qui devrait permettre à la
banque de lui proposer des solutions adaptées à ses besoins,
- actualisation des dossiers clients et des fiches d’information sur le catalogue
des produits de services offerts,
- l’optimisation de la Gestion Relation Clientèle (GRC) en s’orientant d’une
informatique produit à une informatique client.
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27. Brevet Bancaire
Cas n°1 :
6. Quels sont les objectifs recherchés à travers cette
modernisation ?
- une vision globale sur la clientèle,
- une offre adaptée de produits et services générateurs de commissions,
- une optimisation des ressources humaines dans une optique d’une
meilleure productivité,
- une très forte réactivité de la banque par rapport à son marché ,
- une intégration ‘’intelligente’’ des nouvelles technologies,
- une fiabilisation du système global d’information,
- une adaptation permanente aux mutations en cours.
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28. Brevet Bancaire
Cas n°1 :
7. Les nouveaux canaux vous paraissent-ils satisfaisants ?
Les chiffres communiqués (voir encadré : les flux actuels) constituent un
motif de satisfaction, ce qui offre de nouvelles perspectives au
développement de cette banque.
8. les banques marocaines sont-elles inscrites dans la logique de
modernisation ?
Opérant dans un environnement en profondes mutations (économique,
commerciale, technique, internationale, socioculturelle), les banques
marocaines se sont inscrites dans cette logique de la modernisation et
ont conçu pour la plupart des banques marocaines, le même modèle de
développement que celui de BNP Paribas. L’évolution du système
bancaire marocain est inéluctable.
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29. Brevet Bancaire
Cas n°2 :
Répondre aux questions après lecture des 2 articles :
Bienvenue dans l’ère de l’agence agile.
Redistribution des cartes dans la monétique.
1. D’après ces deux articles de la revue ‘’banque magazine’’, le
développement technologique en cours menace-t-il l’agence
bancaire de la disparition ?
Pour s’adapter aux nouvelles exigences de la clientèle et aux
mutations en cours, les banques consacrent des budgets colossaux
aux investissements technologiques, néanmoins l’agence bancaire
demeure le canal privilégié de la clientèle et le passage à l’agence
est devenu ancré dans les habitudes des clients.
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30. Brevet Bancaire
Cas n°2 :
2. Quelles conséquences pour les banques françaises ?
agencements et aménagement des agences avec amélioration de
leur design afin de les rendre attrayantes,
débarrassées de la lourdeur des tâches administratives et des
opérations classiques prises en charge par le système
d’information et les automates, les banques se consacrent au
RELATIONNEL,
mise en place de structures dédiées, telles que les chargés de
clientèle (après formation),
augmentation du taux d’équipement de la clientèle,
gestion du patrimoine,
développement de l’activité conseil.
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31. Brevet Bancaire
Cas n°2 :
3. Quelles sont les deux principales actions stratégiques que doit prendre
la banque moderne actuelle ?
Le texte cite 2 grandes actions pour maintenir l’avantage concurrentiel :
• investir en permanence dans les nouvelles technologies,
• concevoir rapidement de nouveaux produits adaptés.
Ce sont les mêmes défis que doit relever les banques marocaines.
4. D’après ces articles, quelles sont les solutions envisagées pour faire
supporter au personnel en agence le développement et la complexité
des nouveaux produits et services ?
L’article cite une série de solutions technologiques :
• la formation en line favorisée par l’évolution des réseaux de
télécommunication,
• la messagerie instantanée et la vidéo conférence,
• l’utilisation des centres d’appel.
On peut intégrer également :
• l’externalisation de certaines tâches,
• le développement de la banque à domicile.
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32. Brevet Bancaire
Cas n°2 :
5. Cette évolution n’affectera pas le comportement de la clientèle ?
Il est bien évident que les clients restent attachés à leur agence compte tenu
de la confiance établie avec le conseiller. Tout en manœuvrant pour préserver
la satisfaction de leurs clients, les banques se déploient pour faire évoluer le
comportement de la clientèle à travers l’usage des automates, des Kiosques
Internet, la mise en place de certaines plates-formes, le développement de la
banque à domicile, etc.
6. En France et aujourd’hui au Maroc, certaines banques offrent des
cartes sans obligation de disposer d’un compte. Quels sont les objectifs
recherchés ?
A travers ces nouveaux produits, la banque cherche :
à exploiter le nouveau design des agences pour créer un environnement
personnalisé propice à la convivialité et la vente,
convaincre les non clients à une entrée en relation avec la banque,
accroître le taux de notoriété de la banque.
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33. Brevet Bancaire
Cas n°2 :
7. - Quel est le principal mode de paiement en France ? Argumenter
- Comment se présente la situation au Maroc ?
Les banques françaises sont en avance dans le domaine de la monétique.
grâce aux investissements entrepris et aux innovations technologiques, la
carte bancaire constitue aujourd’hui le premier mode de paiement et le
premier canal de communication avec le client. Elle sert également comme
support de multiples services,
au Maroc, des blocages socioculturelles et la faible bancarisation, limite
encore l’usage de la carte bancaire.
Néanmoins, la monétique a enregistré ces dernières années une évolution
considérable et fait partie de l’offre globale des banques marocaines.
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34. Brevet Bancaire
Cas n°2 :
8. La conception des cartes est-elle encore le monopole des
banques ?
Les banques sont certes très en avance dans le domaine de la
monétique en exploitant les nouvelles avancées technologiques et en
industrialisant leurs systèmes d’information monétique, néanmoins ce
domaine enregistre l’arrivée de nouveaux opérateurs tels que les
grandes surfaces, les sociétés de distribution de carburant.
Les avantages offerts par ces évolutions technologiques en
terme de commodité et de sécurité créent un enthousiasme et
suscitent l’adhésion d’autres opérateurs ce qui crée une nouvelle
dynamique du secteur.
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