On commence par intégrer la dimension interculturelle dans le marketing international afin d'avoir une meilleure compréhension du sujet et des problématiques.
Cours information communication : le marketing interculturelAdrien Quenette
Module n°4 du cours "Stratégie de communication", Semestre 3 DUT information-communication - IUT de Montreuil, Université Paris 8 - 2018-2019 (c) Adrien QUENETTE
Réussir à s’imposer sur les marchés internationaux dans un contexte sans cesse imprévisible, voilà un défi pour l’entrepreneur! Le commerce international, 3e édition demeure un outil incontournable pour ceux et celles qui désirent s’initier aux notions théoriques et à la pratique du domaine. De la préparation d’un plan d’affaire à l’étude de marché, du financement aux stratégies de commercialisation, en passant par l’adaptation du produit et la négociation commerciale, l’ouvrage présente les rouages, les enjeux et les techniques propres au commerce international.
Chaque chapitre de l’ouvrage débute par une mise en situation illustrant une facette propre au commerce international. Dans un langage clair et accessible, les notions clés sont ensuite développées et accompagnées de nombreux exemples d’entreprises d’ici. Le lecteur retrouvera en fin de chapitre un résumé de ces notions essentielles, ainsi que des exercices qui lui permettront de faire le point sur les connaissances nouvellement acquises.
Les stratégies marketing à l'internationalMariem SELLAMI
Cette présentation traite la question de la stratégie marketing à mettre en œuvre par une organisation afin de réussir en dehors de son marché national.
Veille StratéGique,Cas Du Cabinet Dexpert C OmptableTarek Abdellatif
IntroductionI - LA VEILLE STRATEGIQUE: Définition et objectifs II – les composantes clés de la veille stratégique iii – processus de la veille stratégique
Cours information communication : le marketing interculturelAdrien Quenette
Module n°4 du cours "Stratégie de communication", Semestre 3 DUT information-communication - IUT de Montreuil, Université Paris 8 - 2018-2019 (c) Adrien QUENETTE
Réussir à s’imposer sur les marchés internationaux dans un contexte sans cesse imprévisible, voilà un défi pour l’entrepreneur! Le commerce international, 3e édition demeure un outil incontournable pour ceux et celles qui désirent s’initier aux notions théoriques et à la pratique du domaine. De la préparation d’un plan d’affaire à l’étude de marché, du financement aux stratégies de commercialisation, en passant par l’adaptation du produit et la négociation commerciale, l’ouvrage présente les rouages, les enjeux et les techniques propres au commerce international.
Chaque chapitre de l’ouvrage débute par une mise en situation illustrant une facette propre au commerce international. Dans un langage clair et accessible, les notions clés sont ensuite développées et accompagnées de nombreux exemples d’entreprises d’ici. Le lecteur retrouvera en fin de chapitre un résumé de ces notions essentielles, ainsi que des exercices qui lui permettront de faire le point sur les connaissances nouvellement acquises.
Les stratégies marketing à l'internationalMariem SELLAMI
Cette présentation traite la question de la stratégie marketing à mettre en œuvre par une organisation afin de réussir en dehors de son marché national.
Veille StratéGique,Cas Du Cabinet Dexpert C OmptableTarek Abdellatif
IntroductionI - LA VEILLE STRATEGIQUE: Définition et objectifs II – les composantes clés de la veille stratégique iii – processus de la veille stratégique
Réussir à s’imposer sur les marchés internationaux dans un contexte sans cesse imprévisible, voilà un défi pour l’entrepreneur! Le commerce international, 3e édition demeure un outil incontournable pour ceux et celles qui désirent s’initier aux notions théoriques et à la pratique du domaine. De la préparation d’un plan d’affaire à l’étude de marché, du financement aux stratégies de commercialisation, en passant par l’adaptation du produit et la négociation commerciale, l’ouvrage présente les rouages, les enjeux et les techniques propres au commerce international.
Chaque chapitre de l’ouvrage débute par une mise en situation illustrant une facette propre au commerce international. Dans un langage clair et accessible, les notions clés sont ensuite développées et accompagnées de nombreux exemples d’entreprises d’ici. Le lecteur retrouvera en fin de chapitre un résumé de ces notions essentielles, ainsi que des exercices qui lui permettront de faire le point sur les connaissances nouvellement acquises.
Comment faire vivre une expérience client mémorable qu'on a envie de partager ? voici quelques éléments de réponses au travers de 4 questions clés : Qu'est ce que l'expérience client ? pourquoi c'est clé ? comment font les leaders ? quels sont les 6 leviers majeurs de transformation ?
Vendre et négocier 2 - techniques de venteCyrille Morel
Vendre et négocier nécessite de bien maîtriser ses techniques de base. Vente en magasin ou vente auprès de entreprises les règles n'ont pas changées depuis des siècles.
Cours IFAG RÉUNION - Stratégie Commerciale - aout 2015Remy EXELMANS
Définir sa stratégie commerciale. Les 3 étapes clés pour développer une stratégie commerciale efficace : Étude de marché - Objectifs - Plan d'actions - Cours IFAG Réunion - Aout 2015 - Intervenant : Rémy Exelmans - Consultant Expert en Pilotage Stratégique et Organisationnel
INTRODUCTION
I. MONDIALISATION DE L’ECONOMIE
II. STRATEGIE INTERNATIONALE DE L’ENTREPRISE
III. LES MODES D’IMPLANTATION A L’ETRANGER
IV. LES ENJEUX DU MARKETING INTERNATIONAL
V. L'ETUDE DES MARCHES ETRANGERS
VI . LES 4 P DU MARKETING MIX:
LA POLITIQUE DE PRODUIT
LA POLITIQUE DE PRIX
LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION
LA POLITIQUE DE COMMUNICATION
CONCLUSION
Réussir à s’imposer sur les marchés internationaux dans un contexte sans cesse imprévisible, voilà un défi pour l’entrepreneur! Le commerce international, 3e édition demeure un outil incontournable pour ceux et celles qui désirent s’initier aux notions théoriques et à la pratique du domaine. De la préparation d’un plan d’affaire à l’étude de marché, du financement aux stratégies de commercialisation, en passant par l’adaptation du produit et la négociation commerciale, l’ouvrage présente les rouages, les enjeux et les techniques propres au commerce international.
Chaque chapitre de l’ouvrage débute par une mise en situation illustrant une facette propre au commerce international. Dans un langage clair et accessible, les notions clés sont ensuite développées et accompagnées de nombreux exemples d’entreprises d’ici. Le lecteur retrouvera en fin de chapitre un résumé de ces notions essentielles, ainsi que des exercices qui lui permettront de faire le point sur les connaissances nouvellement acquises.
Comment faire vivre une expérience client mémorable qu'on a envie de partager ? voici quelques éléments de réponses au travers de 4 questions clés : Qu'est ce que l'expérience client ? pourquoi c'est clé ? comment font les leaders ? quels sont les 6 leviers majeurs de transformation ?
Vendre et négocier 2 - techniques de venteCyrille Morel
Vendre et négocier nécessite de bien maîtriser ses techniques de base. Vente en magasin ou vente auprès de entreprises les règles n'ont pas changées depuis des siècles.
Cours IFAG RÉUNION - Stratégie Commerciale - aout 2015Remy EXELMANS
Définir sa stratégie commerciale. Les 3 étapes clés pour développer une stratégie commerciale efficace : Étude de marché - Objectifs - Plan d'actions - Cours IFAG Réunion - Aout 2015 - Intervenant : Rémy Exelmans - Consultant Expert en Pilotage Stratégique et Organisationnel
INTRODUCTION
I. MONDIALISATION DE L’ECONOMIE
II. STRATEGIE INTERNATIONALE DE L’ENTREPRISE
III. LES MODES D’IMPLANTATION A L’ETRANGER
IV. LES ENJEUX DU MARKETING INTERNATIONAL
V. L'ETUDE DES MARCHES ETRANGERS
VI . LES 4 P DU MARKETING MIX:
LA POLITIQUE DE PRODUIT
LA POLITIQUE DE PRIX
LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION
LA POLITIQUE DE COMMUNICATION
CONCLUSION
1 - Introduction de la Notion Etablissement de Crédit
2 - Introduction de la Notion Banque Universelle
3 - Le réglementation de la relation Banque / Client
4 - La protection de la clientèle des Etablissements de Crédit
A) Le Droit Au Compte
B) Le Relevé de compte
C) Taux maximum des intérêts conventionnels
Marketing stratégique : l'analyse des objectifsFred Colantonio
Le marketing stratégique permet de définir les objectifs de l'entreprise ; il repose sur la définition de l'entreprise, son business et son environnement
Plan marketing: Definir la strategie marketingVincent KADIO
Il y a 2 choses à faire pour élaborer sa stratégie marketing: une bonne analyse du marché et une excellente définition des objectifs. Plus d'infos sur PlanMarketing.ivoire-blog.com
Support de mon intervention aux Arts et Métiers, le 15 mars 2018. La présentation aborde les dimensions culturelles, l'anticipation des risques, la communication et le leadership. D'après "Alice au pays des projets", le livre que j'ai co-écrit avec David Colliquet, éditions AFNOR 2017.
Les habiletés à développer pour devenir une bonne communicatrice ou un bon...Schallum Pierre
Qu’est-ce qu’animer ? ;
Qualités d’une bonne animatrice ou d’un bon animateur ;
Communication chaude, froide et mixte ;
Que faire devant les conflits ? ;
Comment circule la communication dans les groupes, selon Christophe carré ?
Définir les valeurs d’un groupe
Qu’est-ce qu’une communicatrice ou un communicateur empathique ?
Présentation donnée à la French-British Chamber of Commerce du livre "Alice au pays des projets" sur la gestion des projets en contexte interculturel, co-écrit avec David Colliquet. le livre, écrit sous la forme d'un récit agrémenté de nombreuses fiches pratiques, raconte l'histoire d'Alice chef de projet qui va devoir mener à bien cette aventure et va développer son leadership en relevant les nombreux défis que lui présentent des situations interculturelles complexes.
Lors de sa publication, un livre voit bien souvent certains de ses passages être coupés, quelques uns de ses chapitres retirés, le plus souvent en raison de contraintes éditoriales, comme un nombre de pages à respecter. Ces coupes ne signifient pas que les pages écartées soient de moindre intérêt ou mauvaises.
L’ouvrage Le Journal de BJ au bureau, publié en 2003 aux éditions Maxima, 320 pages, traduit en chinois et en coréen, n’a pas échappé à cette règle.
Ce document est l’un de ces passages.
Pour acheter Le Journal de BJ au bureau, cliquez ici.
Negociation internationale des projets commerciauxMoovaxis
La priorité de tout commercial doit donc être… convaincre, sans avoir à négocier.
Les attentes du client / prospect
Les styles sociaux pour mieux adapter sa communication
- Comment traiter son prospect / client de la façon dont il a BESOIN d’être traité ?
- Comportement et style social
- Présentation des styles sociaux
- Que devons-nous connaître des autres cultures pour faire du business ?
Le système boursier 7 - Les agences de notation et EuronextEsteban Giner
Le système boursier possède ses propres moyen d'évaluation. Dans cette présentation, nous nous intéressons premièrement aux agences de notation, véritables entités juges des marchés financiers
Que sont finalement les actions ? Ce sont tout simplement des promesses énonçant qu'une entreprise vous doit de l'argent. Certes, mais encore, les actions sont des créances qu'un actionnaire possède auprès d'une entreprise. Toute créance apporte un revenu, et celui-ci se définit comme le dividende que nous étudions ici.
Le système boursier 5 - Les offres publiquesEsteban Giner
On aborde dans cette présentation le système boursier, quel est son rôle ? Ses Objectifs ? Comment est-il organisé ?
Ici nous abordons comment un agent sur le marché financier peut acquérir une entreprise ? Quelles sont les mécaniques de rachat d'entreprise ? Qu'est-ce qu'une OPA ? Est-ce bien ou mauvais ?
Le système boursier 4 - Les opérations sur titresEsteban Giner
On aborde dans cette présentation le système boursier, quel est son rôle ? Ses Objectifs ? Comment est-il organisé ?
Qu'est-ce qu'une opération sur titre ? Comment augmenter le nombre d'action ? Comment avoir de nouveaux actionnaires ? Voila les questions auxquelles nous répondons dans cette présentation.
Le système boursier 3 - Les indices boursiersEsteban Giner
On aborde dans cette présentation le système boursier, quel est son rôle ? Ses Objectifs ? Comment est-il organisé ?
Ici, nous abordons les indices boursiers, comment est calculé le CAC 40 ? Voila une question à laquelle nous répondons :)
Le système boursier 2 - La structure du marché françaisEsteban Giner
On aborde dans cette présentation le système boursier, quel est son rôle ? Ses Objectifs ? Comment est-il organisé ?
On cherche ici à analyser la structure du marché de Paris
méthodologie de la méthode hypothético-déductiveEsteban Giner
méthodologie de la méthode hypothético-déductive.
Dans cette présentation j'évoque la réalisation de mon mémoire qui s'est construit sur la base épistémologique de l'hypothèse-déduction. Ainsi, mon hypothèse était de montrer que la théorie schumpétérienne de l'entrepreneur est toujours pertinente mais a besoin d'être prolongée : ce que je fais selon un modèle classique de thèse/antithèse/synthèse.
Compte rendu de la plateforme eskola au 4 décembre 2014Esteban Giner
La plateforme eskola.franciaintezet.hu est une plateforme de cours pour les élèves hongrois francophones de la Budapest Business School. L'objectif de cette plateforme est de proposer un cursus distanciel en plus du cursus présentiel. De plus, cela permet de développer un ensemble de ressources éducatives francophones dans les domaines de l'économie et de la gestion.
Les fondements de la politique monétaireEsteban Giner
Les fondements de la politique monétaire trouvent leurs bases dans les problèmes récurrents lors des variations de l'activité économique. Dans ce powerpoint, nous exposons tout ce qu'il faut savoir sur la nécessité des politiques monétaires
Séance 5 - les fondements théoriques du libéralismeEsteban Giner
Les politiques économiques sont déterminées par deux courants de pensées : le libéralisme et le keynésianisme. Nous abordons dans cette présentation le premier courant de pensées, à savoir, le libéralisme. On aborde tout d'abord les différentes écoles de la pensée libérale puis on présente les différents piliers sur lesquels reposent les écoles du libéralisme
Séance 4 - les fondements de la politique monétaireEsteban Giner
Pour aborder les politiques monétaires et financières, il convient tout d'abord de rappeler quels sont les enjeux des politiques économiques. Pour cela, nous exposons les différentes sources de déséquilibre qui peuvent pousser un Etat à intervenir.
Doit on négocier avec des terroristes et autres principes de négociationEsteban Giner
La négociation est souvent considérer plus comme un art que comme une science. Vrai ou Faux, nous n'essayons pas de répondre à cette question mais nous donnons dans cette présentation une procédure, une méthode dans le but d'améliorer les négociations auxquelles vous ferez face dans le futur.
Séance bonus - les publicités qu'il ne faut plus jamais voirEsteban Giner
Présentation d'une série de publicités print dans le but de créer la discussion autour des clichés, du racisme et du sexisme extrêmement présent dans l'univers publicitaire. L'objectif est de créer le débat sur plusieurs sujet :
- le sexisme
- la femme objet
- la sursexualisation
- le racisme
- La misogynie
- l'homophobie
- les retouches d'image
M2i Webinar - « Participation Financière Obligatoire » et CPF : une opportuni...M2i Formation
Suite à l'entrée en vigueur de la « Participation Financière Obligatoire » le 2 mai dernier, les règles du jeu ont changé !
Pour les entreprises, cette révolution du dispositif est l'occasion de revoir sa stratégie de formation pour co-construire avec ses salariés un plan de formation alliant performance de l'organisation et engagement des équipes.
Au cours de ce webinar de 20 minutes, co-animé avec la Caisse des Dépôts et Consignations, découvrez tous les détails actualisés sur les dotations et les exonérations, les meilleures pratiques, et comment maximiser les avantages pour les entreprises et leurs salariés.
Au programme :
- Principe et détails de la « Participation Financière Obligatoire » entrée en vigueur
- La dotation : une opportunité à saisir pour co-construire sa stratégie de formation
- Mise en pratique : comment doter ?
- Quelles incidences pour les titulaires ?
Webinar exclusif animé à distance en coanimation avec la CDC
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 03-06-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Bonne lecture et bienvenue aux activités proposées.
#Agriculture #Wallonie #Newsletter #Recherche #Développement #Vulgarisation #Evènement #Information #Formation #Innovation #Législation #PAC #SPW #ServicepublicdeWallonie
2. Introduction
• Les acteurs sont souvent mal sensibilisés aux
différences interculturelles qui existent t à leurs
conséquences sur les affaires.
• La dimension interculturelle reste assez mal maitrisée :
apparition de dysfonctionnements .
• Nécessité cruciale de prendre en compte la culture :
– Lors de négociations commerciales internationales
– Lors de la définition des éléments du marketing mix
– Lors du management d’une structure implanté sur le marché
3. Introduction
• Qu’est ce qu’une culture ?
• En sociologie, la culture est définie comme "ce qui est
commun à un groupe d'individus" et comme "ce qui le soude".
Ainsi, pour une institution internationale comme l'UNESCO : «
Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd'hui être
considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels
et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une
société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les
lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être
humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les
croyances. »1 Ce "réservoir commun" évolue dans le temps
par et dans les formes des échanges. Il se constitue en
manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de
communiquer.
• La culture est acquise et non innée.
4. Introduction
• Comment se manifeste une culture ?
– L’environnement
– Les us et coutumes
– Les normes
– Les valeurs
– L’Histoire
– La langue et la cognition
– L’Art
– Les comportements productifs et commerciaux
5. 1. Les différences
culturelles
• Prendre en compte les différences culturelles en
négociation commerciale internationnale
• 1er problème : La langue
• L’anglais, la langue commune => distance
relationnelle, méfiance réciproque.
• Le négociateur craint de ne pas avoir bien fait passer
ses idées ou de mal comprendre celles de son
interlocuteur.
6. 1. Les Différences
Culturelles
Emetteur du Message
1. L’émetteur désire communiquer une idée
bien précise.
2. L’émetteur s’exprime dans une autre
langue que sa langue d’origine.
3. Ce que le récepteur entend.
4. Ce que le récepteur écoute.
5. Ce que le récepteur comprend du
message.
Récepteur du Message
Perte
D’informations
8. 1. Les Différences
Culturelles
• Dans une communication interculturelle, le récepteur doit
pouvoir aussi interpréter les nuances, sous entendus du
message verbal, mais aussi les gestes, comportements,
l’intonation de son interlocuteur…
• Les mêmes gestes peuvent avoir des significations
totalement différentes selon la culture.
9. 1. Les Différences
Culturelles
• Le dialogue à distance physique réduite, pratiqué au
Moyen-Orient, peut-être considéré comme une quasi-
agression physique par les allemands et les anglo-
saxons.
• Dans certains pays d’Asie du Sud-Est
(Thailande, Malaisie), désigner quelqu’un du pied est un
manque de respect puisque c’est la partie la moins noble
du corp.
11. A. La relation au temps
• L’économicité du temps : le temps est-il précieux ou
pas ?
• Pour certaines cultures, le temps est une denrée
rare, avec une vision monétaire du temps qui passe et y
attacher une importance de premier ordre.
• Exemple : le monde anglo-saxon
12. A. La relation au temps
• D’autres cultures ont une vision plus élastique du temps
: l’important dans ces régions est de prendre son temps
pour prendre la bonne décision.
• Ma patience est une vertu très forte : les choses doivent
être faites, c’est cela qui compte et l’efficacité n’est pas
évaluée par la notion temporelle.
• Exemple : La Chine et les entreprises chinoises
demandent à instaurer une relation de confiance avant
d’entreprendre une démarche commerciale avec une
fournisseur étranger.
13. A. La relation au temps
Economie faible
Temps peu précieux : le temps est un
outil au service de l’événement
Economie Forte
Temps très précieux :
l’efficacité passe par
l’économie du temps.
14. A. La relation au temps
• Le monochromisme versus le multichromisme.
• Culture monochronique : le temps est linéaire et
conditionné. Les tâches sont traitées de façon
séquentielle.
• Culture polychronique : se caractérise pour une
souplesse d’activité et une gestion simultannée des
tâches.
15. B. L’établissement de la
confiance
• On distingue :
– Les cultures avec des systèmes d’établissement de la confiance
« à posteriori » : l’établissement de la confiance ne peut se faire
qu’après une relative interpénétration des vies privées. Chaque
protagoniste doit « se livrer » afin de gagner l’amitié de l’autre au
sens fort.
– Les cultures affichant une confiance « à priori » : les
interlocuteurs font confiance dès le départ. L’interpénétration est
inutile, voire considérée comme parasite.
16. B. L’établissement de la
confiance
• La crédibilité
• La crédibilité que l’on accorde est une notion subjective
et intimement culturelle.
• L’âge, le sexe, la taille, l’embonpoint peuvent être tour à
tour des avantages ou des inconvénients à priori.
17. B. L’établissement de la
confiance
• Les stéréotypes nationaux
• Les stéréotypes interfèrent dans le choix des partenaires
commerciaux lors de négociations ou de la gestion
d’implantations locales.
Image prise sur jayworld.com
18. B. L’établissement de la
confiance
• L’accord crédible : écrit ou oral ?
• Dans les cultures dites du nord, l’écrit est naturel, très
précis et indispensable. => L’accord est écrit et explicite.
• Dans les cultures dites du sud, l’écrit est considéré
comme secondaire et découlant des facteurs de
confiance plus informels. => L’accord est oral et
implicite.
19. B. L’établissement de la
confiance
• Conséquence sur la rédaction du contrat :
• Avec certaines cultures, il faut privilégier les facteurs
informels et laisser un relatif flou sur certaines clauses
pour éviter de pousser au non respect.
• Les cultures anglo-saxonnes par contre vont avoir
tendance à formaliser par l’écrit de manière exhaustive.
20. 2. Les modes de
Management et Culture
• Il existe des différences dans les modes de management
des entreprises en fonction de a culture nationale, même
si chaque entreprise a sa propre culture, sa propre
histoire et ses systèmes de valeur.
• Travaux de Geert Hofstede et Philippe d’Iribarne
21. A. La distance
hiérarchique
• Selon G. Hofstede, la distance hiérarchique est définie
comme « la mesure dans laquelle les individus les moins
puissants des entreprises et des autres organismes
acceptent le fait que le pouvoir soit distribuée de façon
inégale ». En d'autres termes, les personnes dans les
cultures à forte distance hiérarchique acceptent
davantage les différences de statuts que les personnes
dans les cultures à faible distance hiérarchique.
22. A. La distance
hiérarchique
• Traduction dans les organisations
– Dans les entreprises à forte distance hiérarchique, on valorise
une poignée de leaders.
– Dans les entreprises à faible distance hiérarchique, on privilégie
une décentralisation des tâches et la recherche de consensus.
– Exemple de pays à faible distance hiérarchique : La Norvège, la
Finlande ou encore la Suède.
– Exemple de pays à forte distance hiérarchique : La France, La
Chine…
23. A. La distance
hiérarchique
• En terme de négociation, il faudra porter une attention
particulière à mettre en face à face des interlocuteurs de
niveau hiérarchique similaire.
• Exemple : en Malaisie, le fait d’envoyer un commercial
sans grand pouvoir décisionnel pour concrétiser un
accord commercial avec un directeur important sera très
mal perçu et peut entrainer un blocage.
24. B. L’individualisme
• L’index d’individualisme mesure à quel point les liens entre les
individus sont distendus, chacun ne pouvant compter que sur
soi ou sa famille très proche.
• Culture individualiste : elle favorise la prise de décision par
une seule personne. L’individu agit dans son propre intérêt, il
faudra le valoriser, différencier plus fortement les
salaires, développer la formation.
• Culture communautaire : elle valorise plus le groupe que
l’individu. Les décisions seront prises de manière concertée
par une pluralité d’acteurs. Le recrutement devra fortement
tenir compte du relationnel de l’individu, du groupe voire la
famille desquels il est issu et éviter autant que possible les
conflits.
25. C. L’aversion pour
l’incertitude
• L’index d’évitemment de l’incertitude mesure à quel point
les membres d’une culture sont effrayés par les
situations ambiguës ou inconnues.
26. C. L’aversion pour
l’incertitude
• Conséquence pour les relations commerciales : la
qualité de prudence peut être perçue par les
négociateurs des cultures de la prise de risque comme
un manque d’ambition dans les projets, voire un manque
de courage.
• => D’où l’importance de montrer un élan entrepreneurial
fort, une compréhension sans crainte de la prise de
risque.
27. D. La masculinité
• L’index de masculinité mesure à quel point les rôles
émotionnels sont distribués en fonction du sexe : les
hommes sont supposés être assertifs, durs et
concentrés sur le succès matériel, alors que les femmes
sont supposées être réservées, fragiles et concernées
par la qualité de la vie.
• Culture féminine : la modestie, mise en avant des
relations personnelles plus que l’argent, le souci de la
qualité de vie, l’entraide, la préservation.
• Culture masculine : la parade, recherche de pouvoir, de
reconnaissance, l’ambition.
28. 3. Tentative de classement
par zones géographiques
• 6 mondes :
– Le monde anglo-saxon
– Le monde germanique
– Le monde latin
– Le monde arabe
– Le monde africain
– Le monde asiatique
29. Le monde
• L’entreprise est souvent perçue comme une
communauté : la légitimité doit être démocratique et
concertée.
• Pour convaincre, il faut obtenir l’adhésion du groupe plus
que di seul interlocuteur, à l’aide d’une préparation
méthodique et rigoureuse des rencontres avec un
maximum d’éléments formalisés par écrit, qui seront très
sérieusement étudiés et commentés avant la
confrontation.
• Forte présence des syndicats à la gestion de
l’entreprise.
30. Le monde
• L’entrepris e est une sorte de confrérie, de famille,
dominée par un homme : mythe du père fondateur =
management paternaliste.
• Décision prise par le leader historique de l’entreprise : il
est donc important de l’identifier et d’avoir un contact
direct avec lui.
• Les cadeaux et les distinctions honorifiques sont
fréquents et considérés comme faisant partie de la
relation d’affaire. Or les partenaires occidentaux auraient
tendance à considérer cela comme de la corruption ou
du favoritisme.
31. Le monde
• Le propriétaire de l’entreprise a un rôle central : l’équipe
dirigeante est souvent amenée à rendre de nombreux
comptes à ceux qui les nomment et possèdent
l’entreprise.
• L’entreprise comme un nœud de contrat : chaque
personne se sent véritablement liée à la structure
organisationnelle par un contrat.
32. Le monde
• La hiérarchie joue un rôle important. La légitimité est liée
à la grandeur, à l’honneur.
• La mise en valeur du rang dans l’organisation, de la
réussite sociale ou encore des diplômes obtenus
permettent de s’attirer la sympathie du décideur.
• Aspect affectif : être souvent « amis » avant d’être
collaborateurs, interprénétrations de la vie privée comme
professionnelle.