Malgré quelques passages plus frais, le mois de mars a été doux (+1,1 °C par rapport aux valeurs de saison pour un mois de mars). À l’exception du sud du pays, les cumuls de précipitations ont été importants et ont permis de compenser, au moins en partie, le déficit observé en sortie d’hiver. Au 1er avril, l’indice d’humidité des sols était proche voire supérieur aux valeurs de saison, sauf dans les départements du sud de la France où les sols restent secs. Les précipitations du mois de mars ont eu peu d’impact sur les nappes souterraines qui restent pour les trois quarts en dessous des normales.
Le retour des pluies à partir du 8 mars a dégradé les conditions de portance mais a permis une accélération de la pousse de l'herbe : les niveaux de croissance moyens début avril s’échelonnaient entre 30 kgMS/ha/jour et plus de 50 kgMS/ha/jour à l’échelle nationale, excepté en région PACA qui continue à souffrir du manque d’eau. Le printemps 2023 est dans la moyenne des dernières années, le retard de mars a été rattrapé. Les mises à l’herbe ont été retardées par la pluie mais seront terminées dans la majorité des régions avant mi-avril.
L’année 2022 a été marquée par une flambée des charges dans la filière laitière et une inflation alimentaire record qui se poursuit en 2023. Le prix du lait conventionnel a été revalorisé quand les autres segmentations n’ont pas bénéficié de revalorisations similaires. La hausse des prix alimentaires a conduit certains consommateurs à chercher des alternatives plus abordables remettant en question la demande des segments premium, tels que le bio ou les AOP.
Dans ce contexte, le positionnement des segmentations visant à mieux valoriser les produits laitiers suscite des interrogations. Quel avenir pour ces marchés segmentés ? quel est le consentement du consommateur à payer les surcouts liés à ces démarches ?
Afin de comprendre les tendances actuelles, nous proposons de porter des regards croisés sur les dynamiques de consommation et les stratégies de segmentation présentes dans les filières lait et vin. L’analyse et la confrontation des expériences de segmentation dans la filière viticole seront particulièrement intéressantes et instructives en comparaison avec la filière laitière.
Des travaux de l’Institut de l’Élevage et de l’Institut Français du vin seront présentés. La laiterie de Saint Denis de l’Hôtel engagée dans plusieurs démarches de segmentations du lait de consommation livrera son analyse de la situation et des perspectives. Avec l’ensemble des participants à cette conférence, nous proposons d’engager un échange qui ouvre des perspectives.
Autonomie protéique, économie : quelles stratégies à adopter ? Au quotidien, faire évoluer mes pratiques de distribution : ça change quoi ? Retour sur les essais des projets Cap’Protéines et MaxForGoat.
De nouvelles références sur les propriétés antiparasitaires du sainfoin, de la chicorée et du plantain accompagnées de leurs intérêts zootechniques, environnementaux et sanitaires.
Malgré quelques passages plus frais, le mois de mars a été doux (+1,1 °C par rapport aux valeurs de saison pour un mois de mars). À l’exception du sud du pays, les cumuls de précipitations ont été importants et ont permis de compenser, au moins en partie, le déficit observé en sortie d’hiver. Au 1er avril, l’indice d’humidité des sols était proche voire supérieur aux valeurs de saison, sauf dans les départements du sud de la France où les sols restent secs. Les précipitations du mois de mars ont eu peu d’impact sur les nappes souterraines qui restent pour les trois quarts en dessous des normales.
Le retour des pluies à partir du 8 mars a dégradé les conditions de portance mais a permis une accélération de la pousse de l'herbe : les niveaux de croissance moyens début avril s’échelonnaient entre 30 kgMS/ha/jour et plus de 50 kgMS/ha/jour à l’échelle nationale, excepté en région PACA qui continue à souffrir du manque d’eau. Le printemps 2023 est dans la moyenne des dernières années, le retard de mars a été rattrapé. Les mises à l’herbe ont été retardées par la pluie mais seront terminées dans la majorité des régions avant mi-avril.
L’année 2022 a été marquée par une flambée des charges dans la filière laitière et une inflation alimentaire record qui se poursuit en 2023. Le prix du lait conventionnel a été revalorisé quand les autres segmentations n’ont pas bénéficié de revalorisations similaires. La hausse des prix alimentaires a conduit certains consommateurs à chercher des alternatives plus abordables remettant en question la demande des segments premium, tels que le bio ou les AOP.
Dans ce contexte, le positionnement des segmentations visant à mieux valoriser les produits laitiers suscite des interrogations. Quel avenir pour ces marchés segmentés ? quel est le consentement du consommateur à payer les surcouts liés à ces démarches ?
Afin de comprendre les tendances actuelles, nous proposons de porter des regards croisés sur les dynamiques de consommation et les stratégies de segmentation présentes dans les filières lait et vin. L’analyse et la confrontation des expériences de segmentation dans la filière viticole seront particulièrement intéressantes et instructives en comparaison avec la filière laitière.
Des travaux de l’Institut de l’Élevage et de l’Institut Français du vin seront présentés. La laiterie de Saint Denis de l’Hôtel engagée dans plusieurs démarches de segmentations du lait de consommation livrera son analyse de la situation et des perspectives. Avec l’ensemble des participants à cette conférence, nous proposons d’engager un échange qui ouvre des perspectives.
Autonomie protéique, économie : quelles stratégies à adopter ? Au quotidien, faire évoluer mes pratiques de distribution : ça change quoi ? Retour sur les essais des projets Cap’Protéines et MaxForGoat.
De nouvelles références sur les propriétés antiparasitaires du sainfoin, de la chicorée et du plantain accompagnées de leurs intérêts zootechniques, environnementaux et sanitaires.
Face aux étés de plus en plus secs et chauds, des études sont menées depuis plusieurs années en AuRA pour trouver des leviers d’adaptation.
Au programme : pâturage d’arbres fourragers, double culture méteil puis sorgho, implantation de mélanges prairiaux et de plantes fourragères estivales.
webinaire organisé dans le cadre d’InnOvin était sous le thème des maladies métaboliques en fin de gestation. Laurent Saboureau, vétérinaire, a abordé les mécanismes, les moyens de prévention et de soins des toxémies de gestation, acidose et prolapsus.
Parce qu’il affecte les systèmes fourragers et les performances des animaux, le changement climatique impacte les résultats technico-économiques des exploitations laitières. Pour réduire ces effets, deux études, initiées par le Cniel et pilotées par Idele, ont été menées : l’une sur les impacts du changement climatique sur les fourrages et les voies d’adaptation possibles (CLIMALAIT), l’autre sur les techniques permettant de limiter le stress thermique auquel peuvent être soumises les vaches laitières en bâtiment.
Au programme de cette conférence : état des lieux des résistances en strongles digestifs et coccidies, comment les détecter dans votre élevage, des solutions pour les éviter et les alternatives lorsqu’une résistance est avérée.
Le parasitisme par les strongles gastro-intestinaux est fortement pénalisant pour les chèvres au pâturage. L’arsenal thérapeutique se restreignant, il est nécessaire d’optimiser le diagnostic et prévenir les contaminations. Présentation de résultats sur l’état des résistances aux anthelminthiques en AuRA, la fiabilisation des coprologies et la prévention au pâturage.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Des rappels sur la physiologie de la reproduction, les résultats de récents essais sur les critères de réussite des luttes naturelles de printemps et un point sur les études en cours pour remplacer la PMSG sont abordés dans ce webinaire.
L’année 2021 a été marquée par une nette progression du prix des agneaux, de
la collecte et du prix du lait, mais aussi par une forte augmentation du coût des
matières premières (aliments, carburants…), qui ne fait que s’accélérer depuis le
24 février 2022. Après avoir présenté l’estimation des coûts de production 2021,
nous tenterons d’évaluer l’impact de la crise actuelle sur les résultats 2022.
La conjoncture des marchés des bovins comme des céréales s’est nettement améliorée en 2022. Cependant, la hausse des charges a pesé fortement sur le revenu des exploitations selon leur système. Les spécialisés, naisseurs intensifs comme extensifs, n’améliorent pour ainsi dire pas leur revenu. Les naisseurs-engraisseurs bénéficient quant à eux d’une amélioration. À l’inverse, les éleveurs spécialisés de veaux sous la mère subissent une hausse des charges bien supérieure à celle de leurs produits. Cependant que les diversifiés grandes cultures, qu’ils soient naisseurs ou naisseurs-engraisseurs, bénéficient de la hausse concomitante des produits des culture de vente et des bovins viande, face à des charges qui ont progressé bien moins vite.
Les revenus des systèmes spécialisés ont été pénalisés par la sécheresse en 2022. Si cette dernière a affecté l’ensemble du territoire national, les effets ont été très marqués dans le Sud-Ouest, le sud du Massif central et la région AURA et se cumulent à la hausse des principaux intrants. Les aides exceptionnelles débloquées en urgence pour les 12 départements les plus touchés n’en compenseront qu’en partie les impacts.
Après de nombreuses années de baisse structurelle des revenus, les résultats des éleveurs diversifiés avec cultures et des naisseurs engraisseurs de jeunes bovins profitent d’une embellie en 2021 et retrouvent des revenus supérieurs à 30 000 €/UMO. A contrario, les naisseurs et naisseurs engraisseurs de veaux sous la mère ont depuis 2017 des revenus inférieurs à 20 000 €/UMO.
L’amélioration de la conjoncture de tous les gros bovins et des cultures de vente tirent nettement les produits à la hausse. La situation demeure morose pour les animaux maigres.
Les aides sécheresses, nécessaires ces dernières années pour soutenir les revenus impactés par les aléas climatiques, ne sont pas renouvelées en 2021 du fait d’absence d’aléas climatique. Une aide COVID, versée en décembre 2021 fait en revanche son apparition pour soutenir les plus bas revenus (inférieurs à 11 000 €/UMO en 2020 ).
Les charges opérationnelles sont contenues grâce à l’absence d’aléas mais la forte augmentation du carburant induit une hausse des charges de structure.
Face aux étés de plus en plus secs et chauds, des études sont menées depuis plusieurs années en AuRA pour trouver des leviers d’adaptation.
Au programme : pâturage d’arbres fourragers, double culture méteil puis sorgho, implantation de mélanges prairiaux et de plantes fourragères estivales.
webinaire organisé dans le cadre d’InnOvin était sous le thème des maladies métaboliques en fin de gestation. Laurent Saboureau, vétérinaire, a abordé les mécanismes, les moyens de prévention et de soins des toxémies de gestation, acidose et prolapsus.
Parce qu’il affecte les systèmes fourragers et les performances des animaux, le changement climatique impacte les résultats technico-économiques des exploitations laitières. Pour réduire ces effets, deux études, initiées par le Cniel et pilotées par Idele, ont été menées : l’une sur les impacts du changement climatique sur les fourrages et les voies d’adaptation possibles (CLIMALAIT), l’autre sur les techniques permettant de limiter le stress thermique auquel peuvent être soumises les vaches laitières en bâtiment.
Au programme de cette conférence : état des lieux des résistances en strongles digestifs et coccidies, comment les détecter dans votre élevage, des solutions pour les éviter et les alternatives lorsqu’une résistance est avérée.
Le parasitisme par les strongles gastro-intestinaux est fortement pénalisant pour les chèvres au pâturage. L’arsenal thérapeutique se restreignant, il est nécessaire d’optimiser le diagnostic et prévenir les contaminations. Présentation de résultats sur l’état des résistances aux anthelminthiques en AuRA, la fiabilisation des coprologies et la prévention au pâturage.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Des rappels sur la physiologie de la reproduction, les résultats de récents essais sur les critères de réussite des luttes naturelles de printemps et un point sur les études en cours pour remplacer la PMSG sont abordés dans ce webinaire.
L’année 2021 a été marquée par une nette progression du prix des agneaux, de
la collecte et du prix du lait, mais aussi par une forte augmentation du coût des
matières premières (aliments, carburants…), qui ne fait que s’accélérer depuis le
24 février 2022. Après avoir présenté l’estimation des coûts de production 2021,
nous tenterons d’évaluer l’impact de la crise actuelle sur les résultats 2022.
La conjoncture des marchés des bovins comme des céréales s’est nettement améliorée en 2022. Cependant, la hausse des charges a pesé fortement sur le revenu des exploitations selon leur système. Les spécialisés, naisseurs intensifs comme extensifs, n’améliorent pour ainsi dire pas leur revenu. Les naisseurs-engraisseurs bénéficient quant à eux d’une amélioration. À l’inverse, les éleveurs spécialisés de veaux sous la mère subissent une hausse des charges bien supérieure à celle de leurs produits. Cependant que les diversifiés grandes cultures, qu’ils soient naisseurs ou naisseurs-engraisseurs, bénéficient de la hausse concomitante des produits des culture de vente et des bovins viande, face à des charges qui ont progressé bien moins vite.
Les revenus des systèmes spécialisés ont été pénalisés par la sécheresse en 2022. Si cette dernière a affecté l’ensemble du territoire national, les effets ont été très marqués dans le Sud-Ouest, le sud du Massif central et la région AURA et se cumulent à la hausse des principaux intrants. Les aides exceptionnelles débloquées en urgence pour les 12 départements les plus touchés n’en compenseront qu’en partie les impacts.
Après de nombreuses années de baisse structurelle des revenus, les résultats des éleveurs diversifiés avec cultures et des naisseurs engraisseurs de jeunes bovins profitent d’une embellie en 2021 et retrouvent des revenus supérieurs à 30 000 €/UMO. A contrario, les naisseurs et naisseurs engraisseurs de veaux sous la mère ont depuis 2017 des revenus inférieurs à 20 000 €/UMO.
L’amélioration de la conjoncture de tous les gros bovins et des cultures de vente tirent nettement les produits à la hausse. La situation demeure morose pour les animaux maigres.
Les aides sécheresses, nécessaires ces dernières années pour soutenir les revenus impactés par les aléas climatiques, ne sont pas renouvelées en 2021 du fait d’absence d’aléas climatique. Une aide COVID, versée en décembre 2021 fait en revanche son apparition pour soutenir les plus bas revenus (inférieurs à 11 000 €/UMO en 2020 ).
Les charges opérationnelles sont contenues grâce à l’absence d’aléas mais la forte augmentation du carburant induit une hausse des charges de structure.
Pour chaque système laitier suivi, le résultat courant 2020 est estimé en baisse. Celle-ci paraît limitée pour les élevages des montagnes de l'Est spécialisés en AOP. Mais elle est beaucoup plus forte pour les systèmes mixtes avec cultures notamment. Les explications sont multiples, depuis l'érosion du prix payé pour le lait hors SIQO (il est stable en bio) jusqu'aux effets des sécheresses estivales récurrentes. Côté produits, ceux de la viande sont en baisse (prix de veau nourrisson et de la réforme laitière), y compris dans les ateliers joints (prix des jeunes bovins ou des broutards quand il y a des vaches allaitantes), de même que les ventes de céréales, faute de rendement. Côté charges, la baisse des prix des carburants et engrais a été loin de compenser la hausse des achats de fourrages, de concentrés voire de paille suite à la sécheresse. D'autant qu'aucune aide exceptionnelle du fond calamités au titre de 2020 n'avait encore été décidée au moment du bouclage de ce chapitre !
La sensible hausse des cotations en maigre et gras s’est poursuivie tout le premier semestre 2023 et aura permis de conforter les revenus des éleveurs ayant commercialisé des animaux sur cette période. Toutefois en fin d’année, face à une demande moins soutenue, certains cours ont amorcé une baisse, signal d’un retour à une saisonnalité plus marquée comme avant 2020. Par conséquent, le produit bovin viande n’évoluerait que très peu (+4%) au second semestre pour la majorité des éleveurs. L’entrée en application de la nouvelle PAC, avec des montants unitaires révisés à la baisse par rapport au Plan Stratégique National, se traduit par une diminution marquée des aides PAC pour les éleveurs. Enfin, les produits des cultures de vente ont subi une baisse marquée estimée à plus de 30% des prix des céréales, protéagineux et oléagineux. Avec des charges opérationnelles contenues mais en hausse et des charges de structure en forte augmentation, les revenus des éleveurs ont nettement baissé par rapport à 2022 mais restent supérieurs à la moyenne sur la période 2013-2021.
Depuis quelques années, la filière lait de brebis subit l’inflation, et cela touche à la fois les charges des éleveurs mais aussi le portefeuille des clients. Voyons quelles modifications cette crise économique a-t-elle sur des facteurs tant macro (collecte, ventes, prix…) que microéconomiques (coûts de production, rémunération) au sein de la filière lait de brebis en France.
Revenus des exploitations bovins viande, faits marquants et prévisions de 2023.
Courte rétrospective de l’année 2023 et présentation des estimations des revenus 2023 établis pour 6 systèmes d’exploitation bovins viande, à partir d’un panel de 180 exploitations des réseaux d’élevage.
Webinaire du 9 février 2024.
La conjoncture des marchés des bovins à viande a fortement impacté les produits des exploitations. Les effets de la forte baisse des prix des jeunes bovins dès la fin février et du recul très marqué des prix des broutards à partir d’août n’ont pas été compensés par la bonne revalorisation du prix des vaches de réforme et des génisses depuis juin dernier. Ainsi les résultats courants/UMO exploitant seraient en baisse en 2020.
La PAC 2023 verra l’apparition d’un « éco-régime », qui doit valoriser les
pratiques favorables à l’environnement et au climat. Les couplages animaux
ovins et caprins, globalement reconduits dans leur contenu, se verront amputés
d’une part de leur enveloppe qui renforcera le soutien aux protéines végétales.
La convergence se poursuivra partiellement avec un impact contrasté selon les
systèmes.
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Webinaire santé prédation - Doré Nicolas Inrae 31 mai 2024.pdf
2023 Revenus des exploitations bovins lait 2022
1. Le revenu des
exploitations bovins
lait - 2022
2022 amplifie les tendances : les écarts de revenu se
creusent entre et au sein des systèmes laitiers
Mars 2022
Institut de l’Elevage
GEB
2. Sommaire
Source des informations (diapositives 3)
Faits marquants de l’année 2022 (diapositives 4 et 5)
Méthode (diapositives 6 à 16)
Résultats généraux (diapositives 17 et 18)
Estimations des revenus par système BL (diapositives 19 à 30) :
• Lait spécialisé de plaine (19-20)
• Lait et viande bovine de plaine (21-22)
• Lait et cultures de vente (23-24)
• Lait des montagnes de l’Est (25-26)
• Lait des montagnes et piémonts du sud (27-28)
• Lait bio de plaine (29-30)
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 2
3. Source des informations
• Des données issues du dossier annuel bovins
lait « économie de l’élevage » n° 537 :
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 3
Plus d’informations sur le site idele.fr
Les revenus sont
estimés à partir des
données issues de la
base nationale INOSYS
Réseaux d’élevage (*),
soit environ 300
exploitations laitières
choisies pour couvrir
la diversité des
systèmes bovins
laitiers français.
(*) dispositif co‐piloté par l’Institut
de l’Élevage et les Chambres
d’agriculture
Elles sont reconnues pour leurs dimensions
et leurs performances technico‐
économiques au dessus de la moyenne des
exploitations laitières françaises (graph ci‐
contre).
Source : Agreste RICA‐GEB Institut de l’élevage d’après INOSYS réseaux d’élevage
6. Méthode
6
1 – Base de données des réseaux revenu 2021 (dates
de clôture +/‐ 4 mois)
2 – Niveau de résultat exprimé à travers le Résultat
Courant/UMO exploitant
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022
Prise en compte des
cotisations sociales
exploitant (calcul
triennal pour 2022)
Non prise en compte
des variations
d’inventaire
fourrages intra‐
consommés
(convention INOSYS)
7. Méthode
7
3 ‐ Exprimer les revenus 2022 par système par
rapport au revenu 2021 :
‐ 2.1 => Impact de la conjoncture charges/produits
‐ 2.2 => Impact aléas climatiques de l'année +
fluctuations de volumes de lait
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022
8. 8
Indices régionaux 2022
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022
Massif
central
Occitanie
Poitou‐Ch.
Limousin
Aquitaine
Montagne
s de l’Est
AOP
Grand Est
Nord
PDL
Bretagne
Normandie
Filières/
systèmes
‐3%
à
+ 2%
‐8% à +2%
‐8%
à
0%
+2%
0%
0%
Conv.
Livraisons
2022 /2021
(% par point
de collecte)
‐6%
‐12%
‐1%
à
‐3%
+ 35 €
à
+ 65 €
+50 €
à
+ 82 €
+ 0 €
à
+ 40 €
+ 60 €
+ 90 €
+ 75 €
à
+ 90 €
Conv.
Prix du lait
2022 /2021
(€/1000 l) ‐ 10€
0€
0€
Le revenu des exploitations bovins lait - 2021
Conv.plaine : 453 € à 463 €/1 000 l (liv.: +0,3 à 0,8%)
Montagnes Massif central : 453 €/1 000 l (liv.: -1,8%)
Bio : 484 €/1 000 l (liv.: -3,9%)
Est AOP : 705 €/1 000 l (liv.: -2,5%)
(40% Savoie / 60%FC)
9. 9
Indices régionaux 2022
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022
Massif
central
Centre‐
Ouest
Limousin
Aquitaine
Montagnes
de l’Est
AOP
Grand Est
Nord
PDL
Bretagne
Normandie
‐ 3%
à
2%
0% à 2%
3%
0%
+0%
0%
à
+ 8%
Conv.
Consommation
d’aliment
(%2022 /2021)
‐20%
‐20%
‐20%
‐20%
% 2022/2021
Conventionnels
IPAMPA
25,3%
Plaine herbagers
24,4%
Plaine herbe – maïs
24,7%
Plaine maïs
23,9%
Montagne herbagers
25%
Montagne herbe - maïs
Prix aliments (% 2022 /2021)
% 2022/2021
enquête
+24,4%
Plaine herbagers
Le revenu des exploitations bovins lait - 2021
Hausse de prix généralisée
Source : INOSYS Réseaux
d’élevage
10. Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 10
Impacts climatiques 2022
Pousse cumulée de l’herbe au
20 octobre. Indicateur de
rendements des prairies
permanentes
Achats de fourrages de substitution ou/et
avances de stocks 2021 + automne favorable
Achats de paille
Substitution maïs grain/maïs ensilage
Baisse de charges SFP : carburants, travaux
par tiers, fournitures…
Aides calamités
Aide calamité
estimée €/UGB
Départements
45 €
Lot
48 €
Cantal, Tarn, Tarn et G., Puy
de Dômes, Ardèche
50 €
Aveyron, Drome
55 €
Lozère, Loire, Rhône
60 €
Haute Loire
11. 11
Rendements des grandes cultures
Sources : Arvalis, Agreste et enquêtes régionales Réseaux Elevage
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022
Evolutions rendements grandes cultures 2022/2021 (conventionnel)
Des rendements 2022 en évolution variable mais
baisse généralisée et sensible pour le maïs grain
Rendements 2022
Blé tendre
2022 est.
(qx/ha)
Blé
tendre
ind. 2022
/2021
maïs grain
(sec et
irrigué) 2022
est. (qx/ha)
maïs
grain ind.
2022
/2021
pois 2022
est.
(qx/ha)
pois ind.
2022
/2021
oléagineux
2022 est
(qx/ha)
oléagineux
ind. 2022
/2021
Alsace 73 1,014 109 0,932 35 1,167 39 1,083
Aquitaine 52 0,963 86 0,754 20 1,250 26 0,963
Auvergne 47 0,825 92 0,868 20 0,952 26 0,929
Basse Normandie 82 1,123 82 0,854 36 1,200 40 1,081
Bretagne 76 1,056 92 0,979 41 1,108 40 1,143
Centre 68 0,944 82 0,781 30 1,034 35 1,000
Champagne Ardennes 81 1,038 72 0,727 29 0,967 41 1,414
Franche Comté 69 1,113 67 0,691 26 2,364 35 1,129
Haute Normandie 92 1,150 77 0,906 35 1,207 43 1,194
Lorraine 64 0,970 55 0,604 24 0,889 35 1,346
Midi Pyrénées 45 0,918 77 0,726 23 0,852 26 1,040
Nord Pas de Calais 96 1,185 87 0,821 43 1,433 47 1,382
Pays de la Loire 70 0,986 70 0,700 35 1,061 34 0,944
Picardie 88 1,060 80 0,808 40 1,290 45 1,324
Poitou Charentes 54 0,857 67 0,705 23 0,885 30 0,789
Rhône Alpes 56 0,875 76 0,679 26 0,867 32 0,970
Source : agreste & experts Arvalis
Betterave
sucrière
‐16% à +12%
Pomme de terre
‐25% à ‐10%
Lin textile
+0% à +40%
Source : INOSYS Réseaux
d’élevage
12. 12
Prix des grandes cultures
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022
Blé tendre panifiable 235 € 295 € 60 € 1,255
Blé tendre fourrager 205 € 285 € 80 € 1,390
Blé tendre moyen France 232 € 294 € 62 € 1,267
Blé dur 360 € 410 € 50 € 1,139
OH fourrager 205 € 255 € 50 € 1,244
OH brassicole 225 € 295 € 70 € 1,311
OP brassicole 245 € 330 € 85 € 1,347
Maïs (à 15% d’humidité) 230 € 295 € 65 € 1,283
Triticale 195 € 250 € 55 € 1,282
Pois protéagineux 270 € 330 € 60 € 1,222
Féverole (alim. Animale) 280 € 330 € 50 € 1,179
Colza 620 € 635 € 15 € 1,024
Tournesol 540 € 630 € 90 € 1,167
Prix (€/t)
ind.2022
/2021
Définitif 2021
ARVALIS
Prix prévisonnels
retenus 2022
Ecart entre prix
définitif 2021 et
prix prévisionnels
2022
Source : ARVALIS (décembre 2022)
Une évolution de conjoncture (très) favorable.
Indices prix GCU bio : Blé : 0,91 / Maïs 1,2 / Céré.Printemps : 1,18 / Protéagineux : 1,06
Oléagineux : 1,18
Betterave
sucrière
+33% à +38%
Pomme de terre
+30% à +60%
Lin textile
+0% à +35%
Source : INOSYS Réseaux
d’élevage
Source : INOSYS Réseaux
d’élevage
13. 13
Les autres indices de charges
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022
Indices 2022/2021
Bio
Conventionnel
Charges surfaces
+2,9%
+72,3% (*)
Engrais et
amendements
+1,3%
+1,3% (*)
semences
0% (*)
0% (*)
Protection des cultures
+18,8% (*)
+18,8% (*)
autres ch. opé. surfaces
Frais d’élevage
+4,3% (*)
véto
+2,3% (*)
autres F Elevage
Mécanisation
+14,2% (*)
Travaux par tiers
+58,8% (*)
Carburant et lubrifiants
+5,9% (*)
entretien matériel
+17,7% (*)
achat petit matériel
+3,1% (*)
amortissement mat
Bâtiments
+1,5% (*)
Eau
+7,6% (*)
Electricité
+5,2% (*)
entretien bâtiments
+3,4% (*)
Amort. Bât.
frais généraux
+3,55% (***)
Fermage réel
+5,2% (***)
Salaires + cs
IPAMPA lait de vache : + 18,8%
(nov 2022)
(*) source IPAMPA
(**) sources enquêtes
(***) autres sources
Campagne
culturale (juin
2021‐mai
2022)
14. Les prix de la viande bovine
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 14
Source : GEB‐Idele (actualisation novembre 2022)
Les produits
viande
estimés en
nette
hausse en
2022
Evolutions
2022 /2021
Typologie systèmes bovins viande
25%
Eng. de Bœufs et JB
17%
Naisseurs
25%
Naisseurs engraisseurs Bœufs et JB
17%
NE de Jeunes bovins avec achats
Source Idele « estimations revenus bovins viande 2022 »
16. Particularités de l’année 2022
• Forte hausse du prix du lait conventionnel hors SIQO et
hausse plus modérée pour AOP/IGP
• Stabilité du prix du lait bio (écarts entre collecteurs)
• Collecte laitière nationale en baisse
• Cotations viande bovine en très forte hausse
• Des rendements SCOP hétérogènes, mais plutôt en baisse
et des prix élevés
• Une année climatique défavorable à la production
fourragère et aux grandes cultures
• Un IPAMPA lait de vache au plus haut depuis 2015
(rebasement) : +18,8 % de hausse en un an (carburants,
engrais, aliments, matériaux de construction)
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 16
17. Estimation des revenus – Résultats
généraux
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 17
Estimation des Résultats Courants (RC) des principaux systèmes d’élevage bovins lait ‐ 2022
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
50% de l’échantillon entre les deux bornes,
25% au‐delà et 25% en deçà des limites sup. et inf.
18. Estimation des revenus – Résultats
généraux
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 18
Source : GEB‐Institut de l’Elevage
d’après Inosys Réseaux d’élevage
Evolution des RC/UMO
exploitant des principaux
systèmes d’élevage bovin
viande
La discontinuité entre 2013 et
2014 illustre le changement
d’échantillon.
19. Lait spécialisé de plaine
Une nouvelle hausse des revenus qui redonne de l’attractivité à
l’élevage laitier
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 19
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
Localisation des
89 exploitations
Evaluation estimée des résultats économiques
entre 2021 et 2022
DONNÉES REPÈRES
• 2,37 UMO totale dont 1,84 UMO exploitant
• 113 ha de SAU dont 85 ha de SFP
• 91 vaches laitières/713 000 l de lait vendus
20. Lait spécialisé de plaine
Une nouvelle hausse des revenus qui redonne de l’attractivité à
l’élevage laitier
• Bilan fourrager : les excédents de 2021 bienvenus
• Une année de hausse généralisée pour les charges et les produits
• Les éleveurs laitiers restent prudents et consolident leurs résultats
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 20
Résultat courant (RC)/UMO exploitant
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
21. Lait et viande bovine de plaine
Des résultats exceptionnels grâce au prix du lait et de la viande
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 21
Localisation des
36 exploitations
Evaluation estimée des résultats économiques entre
2021 et 2022
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
DONNÉES REPÈRES
• 3,01 UMO totale dont 2,27 UMO exploitant
• 194 ha de SAU dont 154 ha de SFP
• 101 vaches laitières/751 000 l de lait vendu
• 76 UGB viande
22. Lait et viande bovine de plaine
Des résultats exceptionnels grâce au prix du lait et de la viande
• Des bilans fourragers bouclés grâce au report de stock
• Une forte hausse du produit permise par une conjoncture
favorable sur le lait et la viande bovine
• Une augmentation record de l’efficacité économique
• Face à la hausse des intrants et au climat défavorable, les éleveurs
ajustent leur conduite technique
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 22
Résultat courant (RC)/UMO exploitant
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
23. Lait et cultures de vente
Bond des résultats en 2022
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 23
Localisation des
46 exploitations
Evaluation estimée des résultats économiques
entre 2021 et 2022
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
DONNÉES REPÈRES
• 2,57 UMO totale dont 1,762 UMO exploitant
• 206 ha de SAU dont 124 ha de cultures de
vente
• 85 vaches laitières/725 000 l de lait vendus
24. Lait et cultures de vente
Bond des résultats en 2022
• Des rendements dans la moyenne
• Envol du prix des grandes cultures
• Forte hausse du prix du lait
• Les prix des intrants flambent aussi
• Une stagnation conjoncturelle et structurelle des volumes de lait
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 24
Résultat courant (RC)/UMO exploitant
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
25. Lait des montagnes de l’Est
Résultats économiques affectés par une année fourragère atypique
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 25
Localisation des
24 exploitations
Evaluation estimée des résultats économiques
entre 2021 et 2022
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
DONNÉES REPÈRES
• 2,46 UMO totale dont 2,18 UMO exploitant
• 116 ha de SAU dont 111 ha de SFP
• 70 vaches laitières/450 000 l de lait vendus
26. Lait des montagnes de l’Est
Résultats économiques affectés par une année fourragère atypique
• 2022, une année fourragère compliquée
• Une progression du prix du lait insuffisante au regard des charges
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 26
Résultat courant (RC)/UMO exploitant
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
27. Localisation des
58 exploitations
Lait des montagnes et piémonts du Sud
Des revenus en hausse mais des situations très hétérogènes
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 27
Evaluation estimée des résultats économiques
entre 2021 et 2022
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
DONNÉES REPÈRES
• 2,06 UMO totale dont 1,88 UMO exploitant
• 95 ha de SAU dont 85 ha de SFP
• 68 vaches laitières/487 000 l de lait vendus
28. Lait des montagnes et piémonts du Sud
Des revenus en hausse mais des situations très hétérogènes
• Revenus en hausse
• Prix du lait, stratégie d’approvisionnement et avances
de stock très discriminants en 2022
• Revenus en hausse mais en deçà de 2 SMIC/UMOex
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 28
Résultat courant (RC)/UMO exploitant
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
29. Localisation des
45 exploitations
Lait bio de plaine
Forte baisse du revenu
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 29
Evaluation estimée des résultats économiques
entre 2021 et 2022
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
DONNÉES REPÈRES
• 2,47 UMO totale dont 1,77 UMO exploitant
• 139 ha de SAU dont 123 ha de SFP
• 89 vaches laitières/463 000 l de lait vendus
30. Lait bio de plaine
Forte baisse du revenu
• Des nouvelles orientations envisagées
• L’optimisation des produits et la maîtrise des charges sont des voies à
explorer
• Plaidoyer pour le prix du lait bio
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 30
Source : GEB‐Institut de l’Elevage d’après Inosys Réseaux d’élevage
Résultat courant (RC)/UMO exploitant
31. Contributeurs
• Cette publication a mobilisé :
• Estimation des revenus Bovins lait :
• Inosys Réseaux d’élevage : ABGRALL Nadine (CRAB), ANDRIEU Angélique (CA 05), BALME Jean-
Louis (CRA Occitanie), BERAT Héloïse (CA59/62), BODIN Tanguy (CRAB), BONESTEBE Mathilde (CA 15), BOUCHARD
Véronique (CA 69), BOUCHARD Yann (CA 15), BOUCHARIN Emilie (CA 48), BROSSILLON Vincent (CRA PDL), BRUNET
Sébastien (CA 47), BUREL Séverine (CRA Normandie), CARRERE François (CA 64), CHARPIOT Aurore (CA 39), CHEMIN
Anthony (CA 80), CHEVALIER Guillaume (CRA PDL), CHRETIEN Philippe (CA01), COTILLON Ludovic (CA 79), DEBOUT Gauthier
(CA 55), DEJEAN Olivier (CA 24), DELARUE Estelle (CA 15), DELMAS Benoît (CA 12), DURAND Martine (CA 23), DURANT Solène
(CA 86), FERRAND Nathalie (CA 18), FERRY Camille (CA 52), FOLLET Denis (CRAB), FOULON François (CA 60), GABORIAU
Laurent (CRA PDL), GANGNERON Alexis (CA 81), GARNIER Cédric (CRA Normandie), GARNIER Jean-Philippe (CA 03), GOMAS
Anne Laure (CA 17/79), GAYRAL Thierry (CA 46), GELINEAU Silvère (CRA PDL), GEORGEL Rémi (CA 88), GERVAIS Florine (CRA
Normandie), GIRARDOT Jennifer (CRA IDF), GOURMANEL Richard (CA 31), HUCHON Jean-Claude (CRA PDL), LACOUR
Clémentine (CA 63), LARDEREAU Audrey (CIA 25/90), LEBORGNE Gaëtan (CA 02), LEFEVRE Laurent (CA 71), LE GALL Anne (CA
57), LEGAY Aurélien (CA 40/64), LERAY Fanny (CA 14), LEROUGE Adélaïde (CA 14), MAYER Anne Laure (CDA Alsace), MONIER
Jean-Pierre (CA 42), MONSALLIER Françoise (CA 15), MORIN Charlotte (CA 53), NAEL Elsa (GAB 44), PASQUIER Diane (CA 16),
PERRET Justine (CA 63), PIOCHE Marie-Christine (CA 70), QUINETTE Mickaël (CRA Normandie), (ROCHE Claude (CA 43),
RONDEAU Domitille (CA 72), SABATTE Nathalie (CA 73/74), SERVANS Camille (CRA PDL), SIMONIN Viviane (CRA Normandie),
THIOU Pascal (OCL 37), TIRARD Sophie (CRAB), VAYE Hugo (CE 37), VERMEULEN Alexandre (CA 08), VIDAL Jean-Christophe
(CA 12), VIGOUREUX Audrey (CA 38), VIVANT Marthe (CA 41), ZIELINSKI Coralie (CRA PDL), ZSITKO Jean-Marc (CA 54).
• Institut de l’Elevage : MENET Amandine, ELLUIN Gwendoline, JOUFFROY Mathilde, DUTERTRE Anne
Laure, LAVEDRINE Franck, LAURENT Monique, RUBIN Benoît, PECHUZAL Yannick.
• Les éleveurs suivis dans le cadre des Réseaux d’élevage.
Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 31
32. Le revenu des exploitations bovins lait - 2022 32
Yannick PECHUZAL : yannick.pechuzal@idele.fr
Benoît RUBIN : benoit.rubin@idele.fr
Anne‐Laure DUTERTRE : anne‐laure.dutertre@idele.fr
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