Dans le cadre de son plan de filière, l’Association Nationale Interprofessionnelle Caprine (ANICAP) souhaite mettre à disposition des éleveurs et des techniciens l’outil CAP’2ER® afin d’initier une démarche environnementale au sein des exploitations caprines. Concrètement, cet outil permet d’évaluer les performances environnementales d’une exploitation (impacts et contributions positives) dans le but de coconstruire avec l’éleveur un plan d’action permettant de réduire son impact environnemental et de valoriser à termes ses réductions d’émissions de carbone (crédit carbone).
Cette étude a été réalisée dans le cadre du projet FranceAgriMer DEO (Durabilité en Elevage Ovin) dont l'objectif du projet était de mettre au point d’une méthodologie simplifiée d’évaluation de la durabilité (DEO Niveau 1), de créer et informatiser, pour l'axe environnemental, l’outil CAP’2ER Niveau 1 en ovin et de réaliser une évaluation de la base de données INOSYS Réseaux d'Elevage afin de créer un référentiel relatifs aux principaux systèmes d’élevage ovin en France.
la méthode Carbon Agri, les étapes et démarches à conduire pour accompagner un agriculteur qui souhaite mettre en place un projet de réduction des émissions de GES et de stockage carbone sur son exploitation.
Présentation réalisée par Eric Royer dans le cadre du webinaire de l'UMT Pilotage de la Santé des Ruminants, le 18 Juin 2021.
Le réseau européen DISARM vise à promouvoir une utilisation responsable des antibiotiques en élevage en élevage en identifiant, partageant et transférant les meilleures pratiques.
Après une présentation du réseau et de ses productions, un focus est fait sur une approche d'accompagnement des éleveurs et de leurs conseillers et vétérinaires ("coaching") mise en œuvre en France, dans 5 exploitations du bassin de Roquefort. A la suite d'un audit de biosécurité, il s'agissait de concevoir des plans de progrès visant à réduire l'usage des antibiotiques dans les domaines jugés comme prioritaires par les producteurs. Ces expériences réalisées en parallèle dans 5 autres exploitations de brebis laitières dans le Péloponnèse et la Thessalie en Grèce, montrent l'intérêt de travailler en équipe pour l'amélioration de la santé animale.
Présentation Étienne Wurz CEA - INES - projet COMEPOSArnoudeth Traimany
Dans le cadre du programme des Investissements d'avenir, un séminaire a eu lieu le 8 novembre 2017 sur le thème "Quels retours d’expériences pour les investissements d’avenir dans le bâtiment ?" A cette occasion,Etienne Wurz présente le projet COMEPOS.
Dans le cadre de son plan de filière, l’Association Nationale Interprofessionnelle Caprine (ANICAP) souhaite mettre à disposition des éleveurs et des techniciens l’outil CAP’2ER® afin d’initier une démarche environnementale au sein des exploitations caprines. Concrètement, cet outil permet d’évaluer les performances environnementales d’une exploitation (impacts et contributions positives) dans le but de coconstruire avec l’éleveur un plan d’action permettant de réduire son impact environnemental et de valoriser à termes ses réductions d’émissions de carbone (crédit carbone).
Cette étude a été réalisée dans le cadre du projet FranceAgriMer DEO (Durabilité en Elevage Ovin) dont l'objectif du projet était de mettre au point d’une méthodologie simplifiée d’évaluation de la durabilité (DEO Niveau 1), de créer et informatiser, pour l'axe environnemental, l’outil CAP’2ER Niveau 1 en ovin et de réaliser une évaluation de la base de données INOSYS Réseaux d'Elevage afin de créer un référentiel relatifs aux principaux systèmes d’élevage ovin en France.
la méthode Carbon Agri, les étapes et démarches à conduire pour accompagner un agriculteur qui souhaite mettre en place un projet de réduction des émissions de GES et de stockage carbone sur son exploitation.
Présentation réalisée par Eric Royer dans le cadre du webinaire de l'UMT Pilotage de la Santé des Ruminants, le 18 Juin 2021.
Le réseau européen DISARM vise à promouvoir une utilisation responsable des antibiotiques en élevage en élevage en identifiant, partageant et transférant les meilleures pratiques.
Après une présentation du réseau et de ses productions, un focus est fait sur une approche d'accompagnement des éleveurs et de leurs conseillers et vétérinaires ("coaching") mise en œuvre en France, dans 5 exploitations du bassin de Roquefort. A la suite d'un audit de biosécurité, il s'agissait de concevoir des plans de progrès visant à réduire l'usage des antibiotiques dans les domaines jugés comme prioritaires par les producteurs. Ces expériences réalisées en parallèle dans 5 autres exploitations de brebis laitières dans le Péloponnèse et la Thessalie en Grèce, montrent l'intérêt de travailler en équipe pour l'amélioration de la santé animale.
Présentation Étienne Wurz CEA - INES - projet COMEPOSArnoudeth Traimany
Dans le cadre du programme des Investissements d'avenir, un séminaire a eu lieu le 8 novembre 2017 sur le thème "Quels retours d’expériences pour les investissements d’avenir dans le bâtiment ?" A cette occasion,Etienne Wurz présente le projet COMEPOS.
Revenus des exploitations bovins viande, faits marquants et prévisions de 2023.
Courte rétrospective de l’année 2023 et présentation des estimations des revenus 2023 établis pour 6 systèmes d’exploitation bovins viande, à partir d’un panel de 180 exploitations des réseaux d’élevage.
Webinaire du 9 février 2024.
La sensible hausse des cotations en maigre et gras s’est poursuivie tout le premier semestre 2023 et aura permis de conforter les revenus des éleveurs ayant commercialisé des animaux sur cette période. Toutefois en fin d’année, face à une demande moins soutenue, certains cours ont amorcé une baisse, signal d’un retour à une saisonnalité plus marquée comme avant 2020. Par conséquent, le produit bovin viande n’évoluerait que très peu (+4%) au second semestre pour la majorité des éleveurs. L’entrée en application de la nouvelle PAC, avec des montants unitaires révisés à la baisse par rapport au Plan Stratégique National, se traduit par une diminution marquée des aides PAC pour les éleveurs. Enfin, les produits des cultures de vente ont subi une baisse marquée estimée à plus de 30% des prix des céréales, protéagineux et oléagineux. Avec des charges opérationnelles contenues mais en hausse et des charges de structure en forte augmentation, les revenus des éleveurs ont nettement baissé par rapport à 2022 mais restent supérieurs à la moyenne sur la période 2013-2021.
Intervention de Ph. Chotteau (responsable du département Economie - GEB) au CA idele du 14/04 2022
La forte hausse des prix des matières premières tout au long de l’année 2021 et début 2022 s’est transformée en véritable flambée au lendemain de l’invasion russe de l’Ukraine. La présente note vise à évaluer l’impact de la hausse des coûts sur 3 postes particuliers : aliments achetés ; carburant et travaux par tiers ; engrais de synthèse sur les différents systèmes d’élevage ruminant.
Face à la volatilité des marchés, nous avons choisi de construire 2 jeux d’hypothèses de prix et d’en calculer l’impact toutes choses égales par ailleurs sur les élevages spécialisés : bovins lait ; bovins viande ; ovins viande ; ovins lait et caprins, au sein de l’échantillon des élevages suivis dans le Réseau INOSYS. Rappelons à ce sujet que cet échantillon est construit pour sélectionner des fermes aux performances technico-économiques bien supérieures à la moyennes des fermes françaises.
Ces impacts sont établis en € par 1000 l de lait ou par kg de viande. Ils sont aussi comparés aux revenus par UMO estimés en 2021. Enfin, pour faciliter les calculs selon les variations ultérieures des cours des matières premières, ils sont exprimés relativement à une variation de 10 cts/l de GNR, ou de 100 € par tonne d’aliment acheté ou d’engrais azoté.
Est-ce rentable d’engraisser des chevreaux à la ferme ?
Dans le cadre du projet ValCabri l’intérêt économique de l’engraissement des chevreaux à la ferme a été évalué à partir d’une trentaine d’élevages, aux dimensions, itinéraires techniques et circuits de commercialisation très divers.
Annuaire des réseaux de chaleur et de froid en Île de FranceVia seva
Consultez l’édition Île de France de l’annuaire Via sèva des réseaux de chaleur et de froid et obtenez toutes les informations utiles des réseaux de la région: longueur du réseau, livraisons de chaleur et de froid, le mix-énergétique du réseau, présence ou non de cogénération, le contenu en CO2 du réseau …
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique, un levier majeur pour les enjeux à venir (Mathieu Foucault)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique s’adapte à la demande de la filière ovine (Gilles Lagriffoul)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génomique, un outil pour la sélection des ovins (Diane Buisson,Valérie Loywyck)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La sélection pour la résistance au parasitisme (Jean-Michel Astruc)
Provinlait 2024-Leviers fourrages - Madrid Aurélie Frayssinhes, Sandra (Cha...idelewebmestre
Les éleveurs ovins sont confrontés aux impacts du changement climatique sur leurs fermes et mettent en place des leviers d'adaptation dont certains ont été présentés lors du salon Provinlait : prairies multi-espèces, sursemis, méteils et dérobées estivales.
2024 03 27 JTC actualités C Perrot (idele).pdfidelewebmestre
Quelque que soit les secteurs de production, les pyramides des âges des agriculteurs français (chefs et coexploitants) présentent presque toujours un double déséquilibre : i) en faveur des classes d’âges à partir de 50-55 ans, ii) en défaveur des femmes, surtout de moins de 40 ans. Si le secteur caprin est une exception à cette règle, c’est principalement grâce aux producteurs qui transforment du lait à la ferme. Cette sous population présente le même équilibre, en classe d’âge et en sex ratio, que la population active française en emplois tous secteurs économiques confondus. C’est légèrement moins vrai pour les classes d’âge les plus jeunes (moins de 30 ans) : le métier d’éleveur.se est un métier d’indépendant alors que les jeunes actifs français sont salariés. Cet équilibre parfait du secteur caprin fermier s’explique par une forte attractivité. 40% des éleveur.se.s présents en 2020 s’étaient installés depuis 2010 ! Deux fois plus que dans les autres secteurs de l’élevage. Bien que pour l’instant stable (taux de remplacement des départs, entrées/sorties, proche de 100%), la sous population des éleveurs qui livrent du lait de chèvre est plus fragile. Compte tenu d’un très faible taux de renouvellement (nombre d’entrées/nombre de présents), elle vieillit et pourrait finir par diminuer. Néanmoins comme les besoins de recrutement sont bien moins élevés qu’en bovins lait par exemple, les marges de manoeuvre pour la filière semblent plus accessibles.
JTC_2024_TC Bâtiment et bien-être estival.pdfidelewebmestre
Le changement climatique s’exprime de plus en plus par la manifestation d’épisodes caniculaires et par la diminution de la ressource fourragère en été, ce qui contraint les éleveurs à rentrer leur troupeau plus fréquemment. Les animaux logés en bâtiment pendant la période estivale sont exposés à un stress thermique qui peut altérer leur bien-être et leurs performances à court et moyen terme. La conception du bâtiment ou certains équipements peuvent permettre de réduire ce stress pour assurer un meilleur confort aux animaux pendant les périodes de fortes chaleurs.
1. Système de chauffage au sol par rayonnement
pour poulaillers de chair au Portugal
Fátima Baptista*, Vasco Fitas da Cruz*, Dina Murcho* et
Asdrubal Neves+
* Université d’Évora et ICAAM, Portugal
+ Equiporave Ibérica
2. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 2
Sommaire
1. Considérations générales
2. Consommation énergétique
3. Système de chauffage au sol par rayonnement
4. Coup d’œil sur les résultats
5. Conclusions
3. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 3
Considérations générales
• Production aviaire au Portugal
– 6,7 % du produit agricole national ;
– 20 254 000 poulets de chair (60 % de la
production aviaire totale)
– Autosuffisance de la production portugaise
(volaille de chair)
4. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 4
Considérations générales
• L’énergie consommée pour la production de volaille de
chair se répartit comme suit :
– Production et transformation d’aliments
– Alimentation
– Ventilation
– Chauffage
– Éclairage
– Élimination du fumier
– Soin des animaux
– ...
5. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 5
Consommation énergétique
Consommation finale d’énergie (CFE) et CFE agricole (sylviculture incluse) pour les
années 1998 et 2008 d’après les données Eurostat (Gołaszewski et al., 2012)
Pays
CFE totale
en PJ
CFE agricole
en PJ
CFE agricole
en % de la CFE totale
1998 2008 1998 2008 1998 2008
27 pays de l’UE 46 658 49 205 1 257 1 071 2,7 2,2
Dannemark 630 649 31 29 5,0 4,5
Finlande 1 005 1 083 30 35 3,0 3,2
Allemagne 9 428 9 386 114 42 1,2 0,4
Grèce 761 890 45 46 6,0 5,1
Pays-Bas 2 082 2 139 157 132 7,5 6,2
Pologne 2 526 2 606 198 152 7,8 5,8
Portugal 2 526 2 606 25 15 1,0 0,6
6. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 6
Consommation énergétique
Les données Eurostat proposées ne suffisent pas à
décrire entièrement la consommation énergétique de
l’agriculture européenne pour divers motifs :
– Les statistiques Eurostat n’affectent pas l’ensemble des
énergies requises pour la production agricole au secteur
« agriculture/sylviculture » (ainsi, la CFE de la production
d’engrais est rattachée au secteur « industrie »).
– La production agricole fait appel à différentes formes
d’énergies telles que la chaleur, l’électricité ou encore le
carburant utilisé par les moteurs à combustion.
7. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 7
Consommation énergétique
www.dgeg.pt
8. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 8
Consommation énergétique
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Company costs Energy
Consumption
CO2eq
Other
Diesel and electricity
Feeding
Broilers
Contribution relative de divers facteurs en matière d’économie, de consommation énergétique et
d’émissions de gaz à effet de serre (GES). Poulailler de chair avec générateurs d’air chaud.
Les autres facteurs englobent notamment les aires paillées, les soins vétérinaires et l’eau (Meyer-
Aurich et al, 2012).
0,06 € par poulet
de chair
9. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 9
Système de chauffage au sol par rayonnement
Circuit d’eau chaudeDifférents
types de
chaudière : à
biomasse, au
gaz ou au fuel
10. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 10
Système de chauffage au sol par rayonnement
14. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 14
• L’exploitation aviaire se situe dans la région du
Ribatejo e Oeste et produit quelque 38 000 poulets par
troupeau à raison de 5,5 troupeaux par an ;
• Chaque cycle de production dure entre 31 et 36 jours
• À l’issue de chaque cycle, le fumier est curé, et le bâtiment nettoyé et
désinfecté.
• Le poulailler s’étend sur 1 920 m² et compte 20 poulets par m². Le
bâtiment est isolé au niveau des murs et du toit (résistance thermique de
2 m².K/W). Au sol, la litière est en balles de riz ;
• La régulation de l’environnement est obtenue à l’aide d’une ventilation
mécanique, d’un système de refroidissement avec tampons et
ventilateurs, et d’un chauffage au sol par rayonnement.
Coup d’œil sur les résultats
15. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 15
0%
66%
1%
0%
10%
1%
1%
21%
0%
Répartition de la consommation énergétique
Poultry
industrial feed
bedding straw
water use
buildings - electricity - ventilation
buildings - electricity - ilumination
buildings - electricity - heating
Biomass heating
manure
Coup d’œil sur les résultats
0,03 € par poulet de chair
16. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 16
Coup d’œil sur les résultats
0,0
2,0
4,0
6,0
8,0
10,0
12,0
14,0
Flock1 Flock2 Flock3 Flock4 Flock5
Énergie spécifique (GJ/t)
17. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 17
Coup d’œil sur les résultats
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
flock1 flock2 flock3 flock4 flock5
Transformation des aliments (kg/kg)
18. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 18
Coup d’œil sur les résultats
0,0%
1,0%
2,0%
3,0%
4,0%
5,0%
6,0%
flock1 flock2 flock3 flock4 flock5
Taux de mortalité
19. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 19
Coup d’œil sur les résultats
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
flock1 flock2 flock3 flock4 flock5
Poids moyen à l’abattage (kg)
20. Bâtiment de 120 x 16 m
Coût d’un système de chauffage standard (RAVICONFORT)
0,023 €
Enregistrement Poulets
Pellets
(kg)
Coût par
kg
Coût du chauffage
par troupeau
Coût moyen par
poulet et par
troupeau
04/04/2013 40 000 Troupeau 1 4 750 0,15 712,50 € 0,018
31/05/2013 40 000 Troupeau 2 6 320 0,15 948,00 € 0,024
19/07/2013 38 000 Troupeau 3 5 060 0,14 708,40 € 0,019
20/09/2013 37 500 Troupeau 4 6 490 0,14 908,60 € 0,024
28/11/2013 38 500 Troupeau 5 7 800 0,15 1 170,00 € 0,030
Données intégrées par : Gil Ribeiro ;
Amélia Moreira
Coup d’œil sur les résultats
21. CHAUFFAGE AU SOL PAR RAYONNEMENT
COMPARATIF DES COÛTS
SYSTÈME DE
CHAUFFAGE
INVESTISSEMEN
T (€)
COÛT par poulet sur
l’année (€)
Générateur d’air
chaud
11 500 0,05 – 0,10
Générateur et
échangeur
thermiques
25 500 0,025 – 0,05
Chauffage au sol par
rayonnement et
chaudière au gaz
44 800 0,01 – 0,03
Coup d’œil sur les résultats
22. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 22
Coup d’œil sur les résultats
• Taux d’évictions en abattoir
– Chauffage au sol par rayonnement : environ 1 %
– Générateurs d’air chaud Asdrubal
23. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 23
Coup d’œil sur les résultats
24. Lille – 22, 23 et 24 février 2017
Bâtiment d’élevage de demain 24
Conclusions
• Les systèmes de chauffage au sol par rayonnement
s’inscrivent comment une technologie prometteuse.
• Différentes études scientifiques systématiques
devraient être menées afin d’assurer la validation
expérimentale des critères suivants :
– Influence du système de chauffage sur la performance des
poulets de chair et la qualité de la viande
– Consommation et coût énergétiques
– Émissions de GES