Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage.
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage.
Ce diaporama présente les éléments fondamentaux et essentiels pour permettre de comprendre comment les marchés de la viande bovine, tant dans l'hexagone qu'en Europe et dans le mondese créent et se structurent.
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage.
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Emmanuel Bernard, Président du Comité de filière viande bovine de l’Institut de l’Élevage.
Ce diaporama présente les éléments fondamentaux et essentiels pour permettre de comprendre comment les marchés de la viande bovine, tant dans l'hexagone qu'en Europe et dans le mondese créent et se structurent.
Quels leviers pour une production de viande ovine dynamique en 2025 ?
Eva Groshens (Idele - Institut de l'Elevage)
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage et présidée par Claude Font, Secrétaire général adjoint de la FNO.
Pour chaque système laitier suivi, le résultat courant 2020 est estimé en baisse. Celle-ci paraît limitée pour les élevages des montagnes de l'Est spécialisés en AOP. Mais elle est beaucoup plus forte pour les systèmes mixtes avec cultures notamment. Les explications sont multiples, depuis l'érosion du prix payé pour le lait hors SIQO (il est stable en bio) jusqu'aux effets des sécheresses estivales récurrentes. Côté produits, ceux de la viande sont en baisse (prix de veau nourrisson et de la réforme laitière), y compris dans les ateliers joints (prix des jeunes bovins ou des broutards quand il y a des vaches allaitantes), de même que les ventes de céréales, faute de rendement. Côté charges, la baisse des prix des carburants et engrais a été loin de compenser la hausse des achats de fourrages, de concentrés voire de paille suite à la sécheresse. D'autant qu'aucune aide exceptionnelle du fond calamités au titre de 2020 n'avait encore été décidée au moment du bouclage de ce chapitre !
BioThémas 2016 - Conférence organisée par l'ITAB, en partenariat avec le pôle AB Massif Central
Pascale Le Mezec, Jean Guerrier (Idele - Institut de l'Elevage) Antoine Ronsard (ITAB)
Malgré la crise sanitaire, l’année 2020 s’est inscrite dans la continuité de la bonne année 2019. La collecte a progressé de 4%, le prix moyen du lait de 3,1% et le prix de vente des fromages par les transformateurs industriels (PVI) de 2,1%. Le marché s’est aussi renationalisé avec la chute des importations de caillé congelé. Si en 2021, les perspectives sont toujours positives pour la filière caprine, la dévalorisation du chevreau et la hausse du prix des matières premières impactent le revenu des éleveurs.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Ce diaporama présente les résultats de 22 entretiens auprès d'opérateurs intervenant dans la filière de commercialisation des agneaux biologiques. Pour les Organisations de Producteurs les leviers permettant une meilleure adéquation entre l'offre et la demande sont d'abord une incitation financière au dessaisonnement, la bonne connaissance des élevages, plus de régularité dans la qualité des agneaux. Pour les abattoirs, le premier leviers cité est la complémentarité entre les bassins de production, devant le dessaisonnement et l'accompagnement technique des éleveurs pour plus de qualité et de régularité. Ces entretiens ont été réalisés dans le cadre du projet Casdar RéVABio, et le diaporama a été présenté lors des BioThémas du Sommet de l'Elevage 2021.
Pour en savoir plus :
Idele.fr
Revenus des exploitations bovins viande, faits marquants et prévisions de 2023.
Courte rétrospective de l’année 2023 et présentation des estimations des revenus 2023 établis pour 6 systèmes d’exploitation bovins viande, à partir d’un panel de 180 exploitations des réseaux d’élevage.
Webinaire du 9 février 2024.
Quels leviers pour une production de viande ovine dynamique en 2025 ?
Eva Groshens (Idele - Institut de l'Elevage)
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage et présidée par Claude Font, Secrétaire général adjoint de la FNO.
Pour chaque système laitier suivi, le résultat courant 2020 est estimé en baisse. Celle-ci paraît limitée pour les élevages des montagnes de l'Est spécialisés en AOP. Mais elle est beaucoup plus forte pour les systèmes mixtes avec cultures notamment. Les explications sont multiples, depuis l'érosion du prix payé pour le lait hors SIQO (il est stable en bio) jusqu'aux effets des sécheresses estivales récurrentes. Côté produits, ceux de la viande sont en baisse (prix de veau nourrisson et de la réforme laitière), y compris dans les ateliers joints (prix des jeunes bovins ou des broutards quand il y a des vaches allaitantes), de même que les ventes de céréales, faute de rendement. Côté charges, la baisse des prix des carburants et engrais a été loin de compenser la hausse des achats de fourrages, de concentrés voire de paille suite à la sécheresse. D'autant qu'aucune aide exceptionnelle du fond calamités au titre de 2020 n'avait encore été décidée au moment du bouclage de ce chapitre !
BioThémas 2016 - Conférence organisée par l'ITAB, en partenariat avec le pôle AB Massif Central
Pascale Le Mezec, Jean Guerrier (Idele - Institut de l'Elevage) Antoine Ronsard (ITAB)
Malgré la crise sanitaire, l’année 2020 s’est inscrite dans la continuité de la bonne année 2019. La collecte a progressé de 4%, le prix moyen du lait de 3,1% et le prix de vente des fromages par les transformateurs industriels (PVI) de 2,1%. Le marché s’est aussi renationalisé avec la chute des importations de caillé congelé. Si en 2021, les perspectives sont toujours positives pour la filière caprine, la dévalorisation du chevreau et la hausse du prix des matières premières impactent le revenu des éleveurs.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Ce diaporama présente les résultats de 22 entretiens auprès d'opérateurs intervenant dans la filière de commercialisation des agneaux biologiques. Pour les Organisations de Producteurs les leviers permettant une meilleure adéquation entre l'offre et la demande sont d'abord une incitation financière au dessaisonnement, la bonne connaissance des élevages, plus de régularité dans la qualité des agneaux. Pour les abattoirs, le premier leviers cité est la complémentarité entre les bassins de production, devant le dessaisonnement et l'accompagnement technique des éleveurs pour plus de qualité et de régularité. Ces entretiens ont été réalisés dans le cadre du projet Casdar RéVABio, et le diaporama a été présenté lors des BioThémas du Sommet de l'Elevage 2021.
Pour en savoir plus :
Idele.fr
Revenus des exploitations bovins viande, faits marquants et prévisions de 2023.
Courte rétrospective de l’année 2023 et présentation des estimations des revenus 2023 établis pour 6 systèmes d’exploitation bovins viande, à partir d’un panel de 180 exploitations des réseaux d’élevage.
Webinaire du 9 février 2024.
Crise de l'élevage : causes conjoncturelles et structurelles - Diaporama de la Chambre d'Agriculture Pays de la Loire projeté lors du petit-déjeuner de conjoncture du 8 juillet 2016
Conférence co-organisée par l'Institut de l’Elevage et les Chambres d'agriculture d'Auvergne et présidée par Michèle Boudoin, Secrétaire générale de la FNO et Présidente du Corel ovin-CRAA
Après une évaluation des effets de la flambée des aliments sur le revenu des éleveurs, des leviers pour les contrer tels que l’allotement, la durée des luttes et le rationnement des agnelles sont abordés.
2024 03 27 JTC actualités C Perrot (idele).pdfidelewebmestre
Quelque que soit les secteurs de production, les pyramides des âges des agriculteurs français (chefs et coexploitants) présentent presque toujours un double déséquilibre : i) en faveur des classes d’âges à partir de 50-55 ans, ii) en défaveur des femmes, surtout de moins de 40 ans. Si le secteur caprin est une exception à cette règle, c’est principalement grâce aux producteurs qui transforment du lait à la ferme. Cette sous population présente le même équilibre, en classe d’âge et en sex ratio, que la population active française en emplois tous secteurs économiques confondus. C’est légèrement moins vrai pour les classes d’âge les plus jeunes (moins de 30 ans) : le métier d’éleveur.se est un métier d’indépendant alors que les jeunes actifs français sont salariés. Cet équilibre parfait du secteur caprin fermier s’explique par une forte attractivité. 40% des éleveur.se.s présents en 2020 s’étaient installés depuis 2010 ! Deux fois plus que dans les autres secteurs de l’élevage. Bien que pour l’instant stable (taux de remplacement des départs, entrées/sorties, proche de 100%), la sous population des éleveurs qui livrent du lait de chèvre est plus fragile. Compte tenu d’un très faible taux de renouvellement (nombre d’entrées/nombre de présents), elle vieillit et pourrait finir par diminuer. Néanmoins comme les besoins de recrutement sont bien moins élevés qu’en bovins lait par exemple, les marges de manoeuvre pour la filière semblent plus accessibles.
Si le nombre d’exploitations produisant du lait de brebis décroit dans les 3 bassins traditionnels de production, ce n’est pas le cas dans le reste de la France où le nombre d’exploitations « hors bassins » progresse à contre-courant.
« Chasse au gaspillage », amélioration de l’autonomie avec des exemples concrets sont abordées après des évaluations par bassins de l’impact de l’augmentation des intrants sur le revenu des éleveurs.
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
6. Exploitations ayant plus de 20 vaches allaitantes
Naisseurs‐engraisseurs
de très jeunes bovins
Des régions plus ou moins spécialisées,
des marchés et des systèmes différents
15. 340
350
360
370
380
390
400
410
420
430
D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
Une quasi‐stabilité autour de 400 kg qui cache des
évolutions : moins de taurillons d’herbe, moins de
broutards « de 300 kg » (standardisation)
Kg de
poids vif
Evolution du poids moyen
des mâles maigres charolais
17. 0%
5%
10%
15%
20%
25%
30%
35%
3% 6%
12%
28%
33%
13%
5%
% des effectifs
vendus
D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
Moyenne 2011 à 2014
150 000 têtes /an
Répartition des lots de mâles maigres
charolais selon les classes de poids…
73 %
18. 0
3000
6000
9000
12000
15000
18000
21000
Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
Broutards Taurillons d'herbe
Poids moyen
411 412 408 401 403 404 398 400 398 393 392 406
Moyenne 2011 à 2014
D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
Nb têtes
Saisonnalité, trois conduites complémentaires
en fonction des périodes de vêlages : broutards,
broutards repoussés et taurillons maigres
19. 0
3000
6000
9000
12000
15000
18000
21000
Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
Broutards Taurillons d'herbe Moyenne 2011 à 2014
Prix moyen
kg vif
2,44 2,44 2,48 2,55 2,56 2,64 2,64 2,67 2,62 2,56
2,48 2,47
D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
Nb têtes
Saisonnalité, trois conduites complémentaires
en fonction des périodes de vêlages : broutards,
broutards repoussés et taurillons maigres
20. Les principaux débouchés
• Le marché italien :
• devrait rester, pour le maigre, largement dominant en volume dans
les prochaines années
• moins de preneur pour le maigre lourd (durée d’engraissement en
Italie, poids à l’abattage…)
• une gamme de poids optimum : 400 – 430 kg
• une saisonnalité à améliorer
• Des marchés émergents à confirmer/stabiliser :
• à ce jour, des volumes modestes comparativement aux marchés
italien et espagnol,
• des maigres plus légers par rapport à la production actuelle : 280‐
300 kg
Quelles conséquences au niveau des choix de production
à l’échelle des exploitations ?
23. D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
Moyenne 2011 à 2014
3
21
€ / kg vif
2,20
2,30
2,40
2,50
2,60
2,70
2,80
2,90
3,00
Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Janv
280 - 320 kg 320 - 360 kg 360 - 400 kg 400 - 440 kg 440 - 480 kg > 480 kg
3
21
Dynamique des prix au kg
des broutards charolais selon
les classes de poids
24. 2,20
2,30
2,40
2,50
2,60
2,70
2,80
2,90
3,00
Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil
280 - 320 kg 320 - 360 kg 360 - 400 kg 400 - 440 kg 440 - 480 kg > 480 kg
D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
1
Moyenne 2011 à 2014
€ / kg vif
De janvier à juin : une dynamique de
prix à la hausse, la situation la plus
favorable à la repousse
26. D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
2
Moyenne 2011 à 2014
€ / kg vif
2,20
2,30
2,40
2,50
2,60
2,70
2,80
2,90
3,00
Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
280 - 320 kg 320 - 360 kg 360 - 400 kg 400 - 440 kg 440 - 480 kg > 480 kg
2
D’août à novembre : une dynamique
de prix à la baisse, la situation la
moins favorable à la repousse
27. Exemples + 40 kg en 1 mois
Poids et mois de
vente
300 kg en
août
340 kg en
septembre
Prix au kg 2,77 € 2,66 €
Prix / tête 831 € 904 €
Plus‐value /tête 73 €
Valorisation des kg
supplémentaires
1,83 €
+ 80 kg en 2 mois
300 kg en
août
380 kg en
octobre
2,77 € 2,54 €
831 € 965 €
134 €
1,68 €
Sur cette période, une diminution du poids des broutards aura des
conséquences sur le résultat économique global, sauf en situation où les
charges d’alimentation sont faibles
Fourchette charges de production : 1,4 à 1,9 € par kg de gain
‐0,11
Moyenne 2011 à 2014
D’août à novembre : une dynamique
de prix à la baisse, la situation la
moins favorable à la repousse
‐ 0,23
29. -60
-40
-20
0
20
40
60
0,00 -0,05 -0,10 -0,15 -0,20 -0,25 -0,30
Ecarts entre les
prix des broutards
de 300 kget 340 kg
le mois suivant en
€/kg
Plus-value –
charges de
production
en € / tête
Favorable
Défavorable
-0,20 -0,25 -0,30
Base de calcul : - charges de production 1,4 € (aliment fermier)
- conjoncture : moyenne 2011-2014
Quelques repères sur l’intérêt de la repousse
sur 1 mois pour un gain de poids de 40 kg
33. 0
3000
6000
9000
12000
15000
18000
21000
Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
Broutards
Saisonnalité des broutards et
broutards repoussés
D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
Moyenne 2011 à 2014
Nb têtes
411 411 407
400
375 379 384
395 395 392 392
405
Poids moyen
34. 0
3000
6000
9000
12000
15000
18000
21000
Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
Broutards
Saisonnalité des broutards et
broutards repoussés
D'après données structures commerciales
Traitement : Réseau d’Elevage Charolais
Moyenne 2011 à 2014
Nb têtes 2,44 2,44 2,49 2,56
2,64 2,72 2,68 2,69 2,63 2,57
2,48 2,47
Prix moyen
kg vif
38. … d’où de nouveaux marchés qui
émergent pour le maigre français
Exportations françaises de maigres hors UE
Source : GEB-Institut de l’Elevage, d’après Douanes françaises et Eurostat
Des nouveaux marchés à confirmer/stabiliser
Une demande de broutards dans une gamme de poids souhaitée de 280 à 320 kg
39. Quelques repères sur l’intérêt de la repousse
sur un mois pour un gain de poids de 80 kg
Un écart entre le prix au kg des broutards de 280 – 320 kg à un
mois donné et le prix attendu des broutards de 360-400 kg le mois
suivant :
• de l’ordre de 0,27 € permet juste de couvrir les charges de
production liées à l’alourdissement en situation « aliment
fermier »
• de l’ordre de 0,17 € permet juste de couvrir les charges de
production liées à l’alourdissement en situation « aliment du
commerce »
40. -40
-30
-20
-10
0
10
20
30
40
Défavorable
0,00 -0,05 -0,10 -0,15 -0,20
Ecarts entre les
prix des broutards
de 300 kget 340 kg
le mois suivant en
€/kg
Plus-value –
charges de
production
en € / tête
Quelques repères sur l’intérêt de la repousse
sur 2 mois pour un gain de poids de 40 kg
Base de calcul : - charges de production 1,9 € (aliment du commerce)
- conjoncture : moyenne 2011-2014
Favorable
Défavorable
-0,15 -0,20
41. De novembre à février : une dynamique de prix stable,
une situation intermédiaire pour la repousse
3
Moyenne 2011 à 2014
€ / kg vif
2,20
2,30
2,40
2,50
2,60
2,70
2,80
2,90
3,00
Oct Nov Déc Janv Fév Mars
280 - 320 kg 320 - 360 kg 360 - 400 kg 400 - 440 kg 440 - 480 kg > 480 kg
42. De novembre à février : une dynamique de prix stable,
une situation intermédiaire pour la repousse
Exemples + 40 kg en 1 mois
Poids et mois de
vente
300 kg en
décembre
340 kg en
janvier
Prix au kg 2,64 € 2,54 €
Prix / tête 792 € 864 €
Plus‐value /tête 72 €
Valorisation des kg
supplémentaires
1,80 €
+ 80 kg en 2 mois
300 kg en
décembre
380 kg en
février
2,64 € 2,48 €
792 € 942 €
150 €
1,88 €
Sur cette période, une diminution du poids des broutards aura des
conséquences limitées sur le résultat économique global, hormis les
situations où tous les aliments concentrés sont achetés
Moyenne 2011 à 2014
‐ 0,10 ‐ 0,16
Fourchette charges de production : 1,4 à 1,9 € par kg de gain