studying the market of powder milk in different times at 2013 and the difference in 2016 and the main factors which effect this market like what happen between new Zealand and china
Etude de cas marketing/Brand Book sur McDonald's réalisée à l'IAE de Toulouse.
Il s'agit d'une étude détaillée et approfondie de McDonald's, avec une analyse interne et externe. Après avoir fait un diagnostic et identifier une problématique, l'enjeu était de développer une stratégie et le marketing-mix correspondant.
Etude de cas marketing/Brand Book sur McDonald's réalisée à l'IAE de Toulouse.
Il s'agit d'une étude détaillée et approfondie de McDonald's, avec une analyse interne et externe. Après avoir fait un diagnostic et identifier une problématique, l'enjeu était de développer une stratégie et le marketing-mix correspondant.
I-typologie des risques et d’avaries
II-processus de gestion de risque
III-Le transfert de risque: incoterms
IV-techniques et méthodes pour limiter les risques
Depuis l’antiquité le commerce international existe, « Il y a eu des économies – mondes depuis toujours, pour le moins depuis très longtemps » « Position des règles d’origine dans le processus d’importation » et donc il y’avait perpétuellement des normes conditionnant ses multiples facettes. Présentement la plupart des nations ont manifesté un intérêt graduel aux règles d'origine.
I-typologie des risques et d’avaries
II-processus de gestion de risque
III-Le transfert de risque: incoterms
IV-techniques et méthodes pour limiter les risques
Depuis l’antiquité le commerce international existe, « Il y a eu des économies – mondes depuis toujours, pour le moins depuis très longtemps » « Position des règles d’origine dans le processus d’importation » et donc il y’avait perpétuellement des normes conditionnant ses multiples facettes. Présentement la plupart des nations ont manifesté un intérêt graduel aux règles d'origine.
The document provides an executive summary of a study on functional food innovation conducted for Company X. Key findings from the study include:
- Trends in more sustainable, nutritious eating, but also continued unhealthy behaviors like fast food consumption and snacking.
- Major nutrition issues like obesity, deficiencies in vitamins/minerals, and poor overall diet quality for both children and adults.
- Mixed awareness and opinions on functional foods, with concerns about added ingredients versus whole foods.
- Research on behaviors like earlier weight management and poor eating habits influencing children's development.
- Identification of opportunities like personalized nutrition using mobile technologies.
Etude marketing - les Drive shoppers : une nouvelle opportunité pour les marquesOpened Mind
Suite à la demande de directeurs commerciaux de Marques Nationales, nous vous proposons une étude en multi-souscription dont l'objectif principal est de déterminer les enjeux et les opportunités pour les Marques de ce canal de distribution en pleine émergence qu'est le DRIVE.
Nous avons pris le parti d'étudier en profondeur la relation du "Drive Shoppers" à la Marque.
=> Une phase qualitative exploratoire de 27 entretiens semi-directifs afin de mettre en exergue les changements qu'opère ce mode d'achat sur le comportement des acheteurs que sur leur relation à la marque
=> Une phase quantitative on-line de 600 interviews pour dresser une typologie de ces acheteurs et révéler leur relation à la marque
(Etude réalisée sous réserve d'un minimum de participants - Inscription du 11 au 21 octobre 2011)
Le département Economie de l’Institut de l’Élevage a constitué une base de données qui permet de quantifier la destination du lait de vache collecté et transformé en France selon les débouchés (achats des ménages, restauration hors-domicile, agro-alimentaire et exportations). La communication présente les premiers résultats obtenus pour l’année 2017 et quantifie l’ampleur des flux de produits laitiers vers le Royaume-Uni à la veille du Brexit.
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage, en partenariat avec les Chambres d'agriculture, et présidée par Martial Marguet, Président de l’Institut de l’Élevage et Christophe Sablé, Responsable du Comité de Pilotage Bovins Lait des Chambres d’agriculture des Pays de la Loire.
Conférence organisée par l'Institut de l'Elevage, en partenariat avec les Chambres d'agriculture, et présidée par Martial Marguet, Président de l’Institut de l’Élevage et Christophe Sablé, Responsable du Comité de Pilotage Bovins Lait des Chambres d’agriculture des Pays de la Loire
L’année 2022 a été marquée par une flambée des charges dans la filière laitière et une inflation alimentaire record qui se poursuit en 2023. Le prix du lait conventionnel a été revalorisé quand les autres segmentations n’ont pas bénéficié de revalorisations similaires. La hausse des prix alimentaires a conduit certains consommateurs à chercher des alternatives plus abordables remettant en question la demande des segments premium, tels que le bio ou les AOP.
Dans ce contexte, le positionnement des segmentations visant à mieux valoriser les produits laitiers suscite des interrogations. Quel avenir pour ces marchés segmentés ? quel est le consentement du consommateur à payer les surcouts liés à ces démarches ?
Afin de comprendre les tendances actuelles, nous proposons de porter des regards croisés sur les dynamiques de consommation et les stratégies de segmentation présentes dans les filières lait et vin. L’analyse et la confrontation des expériences de segmentation dans la filière viticole seront particulièrement intéressantes et instructives en comparaison avec la filière laitière.
Des travaux de l’Institut de l’Élevage et de l’Institut Français du vin seront présentés. La laiterie de Saint Denis de l’Hôtel engagée dans plusieurs démarches de segmentations du lait de consommation livrera son analyse de la situation et des perspectives. Avec l’ensemble des participants à cette conférence, nous proposons d’engager un échange qui ouvre des perspectives.
2. 2. Introduction
* 2016
*2013
*2016
5. Le problème qui confronte l’économie mondiale du lait.
* La sécheresse en Nouvelle-Zélande fait flamber les prix mondiaux du lait
Résumé
4. * 2016
*2013
*2016
5. Le problème qui confronte l’économie mondiale du lait.
* La sécheresse en Nouvelle-Zélande fait flamber les prix mondiaux du lait
Résumé
5. 2. Introduction
• C’est la diminution de la quantité d’eau de lait est donc augmenter la quantité de matière sec dans le
lait
• Il est beaucoup facile si on concentre le lait
• Le lait en poudre est un produit solide obtenu par élimination de l'eau du lait, du lait entièrement ou
partiellement écrémé, de la crème ou d'un mélange de ces produits, et dont la teneur en eau n'excède
pas 5 % en poids du produit fini.
6. “Poudre de la lait” ou “Farine de lait” = lait déshydraté (entier, partiellement écrémé ou écrémé)
auquel on peut éventuellement ajouter des sucres ou des additifs
(ex: stabilisants, émulsifiants, vitamine D)
• 3% d’eau
• Conservation température ambiante
• Milieu sec
• Reconstitution avec de l’eau tiède
(entre 35°C et 45°C) ou du lait frais
7. 1. Le lait en poudre riche en matières grasses ou poudre de lait riche en matières grasses : lait déshydraté contenant,
en poids, au moins 42 % de matières grasses.
2. Le lait en poudre entier ou poudre de lait entier : lait déshydraté contenant, en poids, au moins 26 % et moins de
42 % de matières grasses.
3. Le lait en poudre partiellement écrémé : lait déshydraté dont la teneur en matières grasses est, en poids, supérieure
à 1,5 % et inférieure à 26 %.
4. Le lait en poudre écrémé ou poudre de lait écrémé : lait déshydraté contenant, en poids, au maximum 1,5 % de
matières grasses.
8. 1. Le lait à un grand % d’eau alors c’est plus logique de l’exporter en poudre et avec un
moins % d’eau.
2. la durée de Conservation de lait est très importante pour l’quantité de l’eau qui lui
contient (activité d’eau) de lait en poudre.
3. Progrès des quantités de lait pour les pays qui ont une faible production de lait.
4. Dans de cas de l’inde il Ya des régions qui sont pauvre en la production du lait et des
régions qui sont riche et alors pour transporter le lait de l’autre région ils on a besoin de
routes et les routes la sont dans un cas très faible.
9.
10. 2. Introduction
* 2016
*2013
*2016
5. Le problème qui confronte l’économie mondiale du lait.
* La sécheresse en Nouvelle-Zélande fait flamber les prix mondiaux du lait
Résumé
11.
12.
13. 2. Introduction
*2013
*2016
5. Le problème qui confronte l’économie mondiale du lait.
* La sécheresse en Nouvelle-Zélande fait flamber les prix mondiaux du lait
Résumé
14.
15.
16. 2. Introduction
* 2016
*2016
5. Le problème qui confronte l’économie mondiale du lait.
* La sécheresse en Nouvelle-Zélande fait flamber les prix mondiaux du lait
Résumé
17.
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19.
20.
21.
22.
23.
24.
25.
26.
27. 2. Introduction
* 2016
5. Le problème qui confronte l’économie mondiale du lait.
* La sécheresse en Nouvelle-Zélande fait flamber les prix mondiaux du lait
Résumé
28.
29. La production mondiale perd nettement en dynamisme, surtout en
Europe et dans l’hémisphère sud, pour enfin se stabiliser.
Les échanges internationaux, eux, se maintiennent grâce à une
demande, notamment brésilienne et chinoise.
Ces rééquilibrages impactent les cours mondiaux de produits
industriels
Après son pic printanier, la collecte européenne 2016 repasse sous
la courbe de l’an dernier, impactée par des prix du lait dissuasifs.
En effet, le fléchissement se confirme pour la plupart des Etats
Membres à l’exception de l’Irlande, des Pays-Bas et du Danemark
(respectivement + 10 %, + 11 % et + 4 % sur le premier semestre).
Les prix du lait sortie ferme en Europe se sont encore fortement
dégradés et se stabilisent à des niveaux historiquement bas cet été.
30.
31.
32.
33.
34. • Les prix mondiaux de l’ensemble des produits laitiers ont continué de reculer par rapport aux records atteints en
2013, notamment dans le cas du lait écrémé en poudre et du lait entier en poudre.
• Ce recul s’explique en grande partie par la baisse de la demande d’importations de la Chine, notamment de lait
entier en poudre, qui a chuté de 34 % par rapport à 2014.
• Parallèlement à ce déclin de la demande chinoise de produits laitiers, la production des principaux marchés
exportateurs a continué de croître entre 2014 et 2015, la production laitière totale augmentant de (4 % en Australie,
2 % en Union européenne, 1 % aux États-Unis et 5 % en Nouvelle-Zélande).
• La demande par habitant de produits laitiers dans les pays en développement devrait connaître une croissance
régulière à moyen terme, alimentée par l’augmentation des revenus et la baisse des prix par rapport à leur niveau
record de 2013.
• La consommation devrait fortement progresser sur plusieurs marchés du Moyen-Orient et de l’Asie, dont l’Arabie
saoudite, l’Égypte, l’Iran et l’Indonésie dans les pays en développement
35. la croissance de la consommation par habitant de produits laitiers,
minimale dans le cas du et maximale dans celui des produits
laitiers frais, devrait se situer entre .
À titre de comparaison , l’augmentation annuelle prévue de la
consommation par habitant dans devrait se situer
entre dans le cas et dans celui
du
par rapport à celle des années de référence (2013-15), soit
un rythme de croissance moyen de .
La majeure partie de cette croissance (73 %) devrait provenir des
pays en développement , notamment de .
À l’échelle mondiale, la production des 3 principaux produits laitiers
.
36.
37. L’appréciation du dollar des États-Unis et de l’euro freinera la croissance des exportations des États-Unis et de
l’Union européenne, moins compétitives sur le marché mondial.
À l’inverse, les exportateurs argentins, australiens et néo-zélandais devraient être plus compétitifs sur le marché
mondial en raison de la faiblesse relative de leur monnaie.
Les exportations de lait entier en poudre devraient progresser au rythme plus modeste de 1.8 % par an.
L’Union européenne sera le premier exportateur mondial de lait écrémé en poudre et de fromage, tandis que la
Nouvelle-Zélande occupera cette place pour le beurre et le lait entier en poudre .
38.
39. Le marché mondial des produits laitiers est sensible à la variabilité des , aux réformes de
l’action publique, et à l’ouverture ou la fermeture des échanges dans les pays clés. L’évolution du marché des
produits laitiers dépendra en grande partie de la demande d’importations de la Chine.
Les présentes Perspectives prévoient le renforcement de la demande des pays en développement et supposent que
les importations chinoises de lait écrémé en poudre et de fromage augmenteront au cours de la période considérée,
même si celles de lait entier en poudre et de beurre ne retrouveront pas leur niveau de 2014
car l’essentiel de la demande de ces produits sera
satisfaite en interne.
40. La baisse de la demande et la hausse de la production observées à
l’échelle mondiale ont entraîné la chute des prix du lait et des
produits laitiers en 2014-15.
La demande mondiale de produits laitiers transformés a baissé sous
l’effet du recul des importations de la République populaire de
Chine essentiellement de lait entier en poudre et de lait écrémé en
poudre.
À moyen terme, la demande de lait et de produits laitiers des pays
en développement devrait progresser sous l’effet de la population ,
et de l’évolution de l’alimentation.
1.
41.
42. 2. Production mondiale de lait en poudre
C’est en Inde que la production laitière augmentera le plus sensiblement et ce pays ravira à l’Union
européenne la place de premier producteur mondial.
Elle sera suivie par le Pakistan, qui enregistrera une hausse moyenne de 3.4 % par an.
En Nouvelle-Zélande, pays qui exporte le plus de lait, le taux de croissance de la production devrait
descendre à 2.1 % par an, contre 5.1 % durant la décennie précédente.
Premier exportateur de lait entier en poudre, la Nouvelle-Zélande est particulièrement sensible à la
chute des importations chinoises de ce produit, qui a entraîné la baisse des prix à la production.
Cette situation, associée aux conditions météorologiques défavorables et aux pressions sur
l’environnement, a réduit le potentiel de production.
43.
44.
45. Le lait est majoritairement consommé sous la forme de produits frais, qui représentent 52 % environ de la
production mondiale totale.
Ce pourcentage atteint 54 % au cours des dix prochaines années, conséquence de la hausse de la production laitière
dans les pays en développement.
Dans les pays en développement, la consommation par habitant devrait augmenter chaque année, en moyenne, de
, , et
.
Dans les pays en développement, la consommation des différents produits laitiers transformés restera plus élevée
dans les pays d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient et d’Amérique du Sud
3. Consommation
46.
47. 4. Échanges
Les échanges de produits laitiers devraient se développer au cours des dix années à venir. Les taux
de progression annuelle varieront selon les produits :
.
En 2025, la part globale de ces quatre acteurs (
) dans les exportations mondiales atteindra 70 % pour le fromage, 75 % pour le lait
entier en poudre, 80 % pour le beurre et 86 % pour le lait écrémé en poudre.
50. Le problème qui confronte l’économie mondiale du lait.
Le rôle de la Chine, principal importateur de nombreux produits laitiers, suscite de grandes
incertitudes quant à l’avenir du marché mondial.
Cela étant, la Chine pourrait devenir plus autonome et augmenter sa production intérieure pour
répondre à l’essentiel de la demande, bien que les faibles prix actuels.
L’Union européenne a abandonné à la fin de mars 2015 son régime de quotas laitiers.
Depuis, la production laitière a augmenté dans certains États membres, notamment en Allemagne,
en Irlande, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni.
La production laitière européenne devrait dépendre de plus en plus de l’évolution du marché
mondial.
51.
52. Le prix de la poudre de lait est au plus haut depuis cinq ans en Nouvelle-Zélande, frappée par la sécheresse.
La production laitière de la Nouvelle-Zélande est très dépendante de la météo puisque le cheptel se nourrit dans les
pâturages et, depuis la fin de l'année dernière, ces pâturages ont manqué d'eau.
La production de lait est médiocre en cette fin de saison ; or la Nouvelle-Zélande fournit les deux tiers de la poudre
de lait qui s'échange sur la planète.
En face, la demande chinoise est de plus en plus forte, elle a été multipliée par 10 en cinq ans ! Les Chinois ont
tellement peur des contrefaçons dans la poudre de lait fabriquée chez eux, qu'ils se ruent sur la poudre de lait néo-
zélandaise ; rien qu’en janvier, ils ont dépassé tout leur quota annuel !
C'est pourquoi les prix flambent aux enchères de Fonterra, la plus grande coopérative laitière néo-zélandaise, qui
dicte le prix de référence mondial : la tonne de poudre de lait entier dépasse les 5 000 dollars la tonne, elle a gagné
60% depuis le début de l'année.