2. Diaporama mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons
Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 France
RESSOURCES NUMERIQUES EN BIBLIOTHÈQUE
1. Ressources numériques : les tendances
2. Stratégies alternatives : ressources libres et gratuites
3. Signalement et médiation des ressources numériques
3. Remerciements
Les diaporamas de l'ensemble de ce stage doivent
beaucoup aux présentations et/ou blogs de collègues avec
qui je collabore dans le cadre d'autres formations, et en
particulier le cycle Biblioquest :
Renaud Aïoutz : http://ruralsmart.net/
Lionel Dujol : http://fr.slideshare.net/hulot
Lionel Maurel : http://scinfolex.wordpress.com
Silvère Mercier : http://www.bibliobsession.net/
Thomas Fourmeux : http://biblionumericus.fr/
Christophe Robert : http://fr.slideshare.net/Aspergillus1
Xavier Galaup : http://fr.slideshare.net/xgalaup
Thomas Chaimbault : http://www.vagabondages.org/
Franck Queyraud : http://fr.slideshare.net/memoire2silence
Julien Devriendt : http://www.animtic.fr/#bloganimtic
17. L'économie de l'attention
Sur le web, ce qui est rare,
ce ne sont plus les contenus,
mais le temps disponible
pour les consulter…
A lire :
Pourquoi je suis « ami » avec mes étudiants. Affordance, 31/03/10
18.
19. Le ContentShock ou les dangers de l'infobésité
La surcharge informationnelle ou infobésité, désigne le fait que nous avons
tous accès à une multitude de canaux, radio, internet, télévision, portable,
instantanément et en continu. Nous sommes ainsi pris sous une avalanche
d’informations que nous avons l’impression de pouvoir gérer, sans se rendre
compte que leur nombre nous fait perdre la notion de leur valeur. Et cela n’est
pas sans conséquences.
20. Le monde à travers mes amis : mode
d'accès à l'information qui devient
dominant
21. « […] la bibliothèque campe
fondamentalement sur un principe
de rareté : rareté du stock, rareté
des exemplaires, rareté des lieux et
rareté des horaires.
La bibliothèque est un univers de
non-disponibilité, radicalement
inverse de celui qui naît avec la
logique du numérique.
C’est pourquoi, bien que relevant
d’un service public non marchand,
elle est un avatar de l’économie de
la rareté.
La bibliothèque de l’abondance
reste donc encore à inventer […]
http://www.flickr.com/photos/automatt/117413934/
Dominique Lahary - http://www.adbdp.asso.fr/spip.php?article991
22. Une réponse,
la bibliothèque hybride ?
« On présente la bibliothèque hybride comme la figure
de l'avenir. Soit. Mais distinguons. La bibliothèque
hybride est très facile à concevoir dans le domaine
universitaire, où d'ailleurs le concept est né vers 1998
au Royaume-Uni. Parce que, dans ce contexte, y sont
proposées à la fois des ressources matérielles et des
ressources dématérialisées, ce qui peut entraîner une
complexification de la mise en œuvre technique et
juridique de l'offre, le modèle économique demeure en
partie le même. Un modèle classique : celui de la
rareté.
La bibliothèque achète des livres, denrée rare car
chaque exemplaire repose sur une propriété exclusive.
Elle achète des accès aux ressources, dont le
fournisseur organise la rareté par contrat et mot de
passe. La seule différence, qui n'est pas mince, est celle
qui fait passer de l'économie du stock, où on achète
des objets, à l'économie de l'accès, décrite par Jeremy
Rifkin (L'Âge de l'accès, éd. la Découverte). »
Dominique Laharay - http://tinyurl.com/bok22yh
23. Une réponse,
la bibliothèque hybride ?
« La bibliothèque hybride est plus
difficile à concevoir dans le domaine
des bibliothèques publiques.
C'est que les biens dématérialisés qui
intéressent le grand public relèvent
pour l'essentiel, légalement
(l'internet gratuit) ou non (le
téléchargement dit illicite) d'un
univers de l'abondance, qui est aussi
celui de la désintermédiation. »
Dominique Laharay - http://tinyurl.com/bok22yh
24. Les produits culturels à
l'épreuve du
dématérialisé
Source : Image CC-BY Ken Lude
http://www.flickr.com/photos/kenlund/
25.
26. Source : Etude La filière culturelle et créative aurait-elle trouvé la formule pour se développer à l'ère du numérique ? / Kurt Salomon
http://www.kurtsalmon.com/fr-fr/Corporate/vertical-insight/1469/La-fili%C3%A8re-culturelle-et-cr%C3%A9ative-aurait-elle-trouv%C3%A
27. Source : Etude La filière culturelle et créative aurait-elle trouvé la formule pour se développer à l'ère du numérique ? / Kurt Salomon
http://www.kurtsalmon.com/fr-fr/Corporate/vertical-insight/1469/La-fili%C3%A8re-culturelle-et-cr%C3%A9ative-aurait-elle-trouv%C3%A
32. Source : Global Music Report 2016
http://www.snepmusique.com/actualites-du-snep/global-music-report-2016-synthese-francaise/
33.
34. Source : Etude du volume de consommation des biens et services culturels dématérialisés / Hadopi, octobre 2015
http://www.hadopi.fr/sites/default/files/HADOPI%20-%20Etude%20carnets%20de%20consommation%20-%20rapport%20complet%
35.
36. 24 au 26 juin 2013 INSET Nancy - CC BY Renaud Aïoutz 36
Lire...
Quelques éléments sur le livre à l'ère numérique
39. En 2014 :
63,8 millions
de chiffre d'affaire
45 %
de croissance par
rapport à 2013
8,3 millions
de titres téléchargés
En 2015 :
79 millions
de chiffre d'affaire
24 %
de croissance par
rapport à 2014
10,7 millions
de titres téléchargés
En 2013 :
44 millions
de chiffre d'affaire
110 %
de croissance par
rapport à 2012
5 millions
de titres téléchargés
Le marché du livre numérique
40. Source : Etude La filière culturelle et créative aurait-elle trouvé la formule pour se développer à l'ère du numérique ? / Kurt Salomon
http://www.kurtsalmon.com/fr-fr/Corporate/vertical-insight/1469/La-fili%C3%A8re-culturelle-et-cr%C3%A9ative-aurait-elle-trouv%C3%A
55. Source : Global Music Report 2016
http://www.snepmusique.com/actualites-du-snep/global-music-report-2016-synthese-francaise/
56.
57.
58. Source : Global Music Report 2016
http://www.snepmusique.com/actualites-du-snep/global-music-report-2016-synthese-francaise/
Les revenus du streaming ont dépassé ceux du téléchargement dans plus
de 43 pays, et représentent 43% du chiffre numérique mondial.
61. Source : Etude La filière culturelle et créative aurait-elle trouvé la formule pour se développer à l'ère du numérique ? / Kurt Salomon
http://www.kurtsalmon.com/fr-fr/Corporate/vertical-insight/1469/La-fili%C3%A8re-culturelle-et-cr%C3%A9ative-aurait-elle-trouv%C3%A
63. Source : http://www.lagazettedescommunes.com/166470/les-evenements-musicaux-resistent-bien-a-la-crise/
+ 14 % en 5 ans : telle est la progression des droits collectés par la
Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem)
entre 2008 (69,4 millions d’euros) et 2012 (79,4 millions d’euros) sur
les spectacles musicaux (festivals, concerts, ballets, cafés-concerts,
cabarets, tournées d’artistes). De 2011 à 2012, cet indicateur a
enregistré une hausse de 3 % et on compte en moyenne 262
spectacles chaque jour en France.
Les événements musicauxLes événements musicaux
résistent bien à la criserésistent bien à la crise
76. Presse écrite : le papier s'effondre, le numérique s'envole
5,3% de baisse sur le total des ventes de la presse
écrite française en 2013 = 8,25 milliards €
(incluant achats au numéro, abonnements papier et numériques et ventes aux
tiers)
Les recettes numériques ne représentent que 5,2%
du CA
Chute de 15,3% des ventes en kiosque
Stabilité des abonnements (papier et numérique)
39% de hausse sur les abonnements numériques
77.
78. Le casse-tête des modèles économiques
Comment arriver à monétiser des contenus immatériels ?
http://www.flickr.com/photos/sravishankar/3460495/
80. Songeons y un instant, si l’on se donne tant de mal pour imaginer
un modèle d’affaire viable pour une filière industrielle de
numérisation, c’est peut-être parce que le numérique, de manière
tendancielle, ne vaut rien.
Le numérique a un coût, surtout lorsqu’on doit numériser, mais, une
fois l’investissement réalisé, financièrement et en tant que tel, il ne
vaut plus rien. Soyons plus précis : un fichier numérique ne vaut
rien.
Un fichier numérique en circulation, c’est de la
nitroglycérine pour celui qui en attend une source de
revenu.
Christian Fauré
Monétiser l'immatériel
82. 24 au 26 juin 2013 INSET Nancy - CC BY Renaud Aïoutz 82
Stratégie de verrous numériques = les contenus ne peuvent être lus
qu'avec des logiciels ou des supports autorisés.
DRM Adobe pour les e-books (logiciel ADE)
Fichiers chronodégradables (Numilog)
Format AZW ou KF8 des e-books d'Amazon...
85. 4 grands types de modèles économiques
http://www.flickr.com/photos/cutthemcoupons/5598245619/
86. Payer par acte d'achat
Un modèle économique qui a aussi encouragé le
développement de l'achat au morceau (disparition de l'ancien
single) ou au chapitre (pour le livre scolaire, pratique...).
87. La location
Le chiffre d’affaires généré en France par la VoD a reculé de 10 % sur un an
en janvier 2012 et février 2013 (en volume, la chute est même de 16,9 %).
L’offre elle-même pose aussi question, les prix étant peu attractifs (5 euros
en moyenne pour la location d’une nouveauté). Source : Les Échos
88. L'abonnement
Des pure players producteurs de contenus peuvent aussi opter pour
ce modèle : Mediapart a dépassé les 100 000 abonnés (coût de 9 €
par mois). Edwy Plenel : “Nous avons inventé notre propre
marketing, chez nous indissociable du contenu.”
89. Free + Premium = freemium
Une offre d'entrée de gamme gratuite (avec publicité et souvent
soumise à une inscription préalable), combinée à une offre payante :
montée en gamme, pas de publicité, consultation en offline...
91. « Fausse gratuité » et recettes publicitaires
Profiter de l’économie de l’attention
http://www.flickr.com/photos/scott_blake/3371844862/
« Si tu ne paies pas pour le
produit, c’est que le produit,
c’est toi »
« La gratuité est encore un
modèle économique »
D. Lahary
92. 24 au 26 juin 2013 INSET Nancy - CC BY Renaud Aïoutz 92
Dans le domaine des biens culturels numériques, on
peut dire qu'on observe un hiatus entre les services
proposés et les services attendus, entre les usages
réels et les usages prescrits.
Alors devons-nous nous préoccuper uniquement des
contenus ou réfléchir aux usages ?
93. Quelle place pour les ressources
numériques en bibliothèques ?
http://www.flickr.com/photos/jeffmaurone/2505572445/
110. Les offres pour les bibliothèques
Quel positionnement pour les bibliothécaires ?
111. A propos de la qualité des catalogues
Source :Etude IDATE sur l'offre commerciale des livres numériques à destination des bibliothèques de lecture publique
114. 1. Subordonner l'attribution des aides à la numérisation à l'intégration des
ouvrages numérisés dans des offres destinées aux bibliothèques
Les éditeurs pourraient être encouragés à étoffer leurs offres à destination des
bibliothèques si les conditions d'éligibilité de l'aide à la numérisation du Centre
National du Livre incluaient la mise à disposition des ouvrages aidés dans des offres
destinées aux bibliothèques, dans un délai maximum à déterminer.
2. Définir des stratégies d'acquisition "livres numériques" dans les
bibliothèques
Il serait utile que les bibliothèques définissent explicitement leur stratégie de
constitution d'un fonds de livres numériques, au-delà du principe général d'accès à
l'ensemble des titres disponibles. Cette stratégie donnerait également une meilleure
visibilité aux éditeurs quant aux arbitrages des bibliothèques entre livre imprimé et
livre numérique, pourrait contribuer à définir des priorités pour la numérisation des
fonds et aiderait les éditeurs à "éditorialiser" leurs bouquets de titres.
3. Réaliser des économies d'échelle au niveau territorial
Il semble souhaitable que des économies d'échelle soient réalisées en évitant la
multiplication des lancements de services de prêt numérique par de trop petites
bibliothèques, qui peuvent être desservies par un service de prêt numérique
(éventuellement en marque blanche) développé par la bibliothèque départementale
de prêt.
Etude IDATE / Pistes de réflexion
115. 4. Intégrer le livre numérique dans la question générale de la rénovation des
SIGB des bibliothèques
La rénovation des SIGB des bibliothèques devrait explicitement intégrer la gestion
du livre numérique, selon plusieurs scénarios : la capacité du SIGB à s'interfacer
avec les plates- formes externes ; la capacité du SIGB à accueillir des fichiers
numériques.
5. Définir des modèles d'offres types entre bibliothèques et éditeurs
Un cadre commun de définition d'offres, stabilisant les différents concepts
(perpétuel, limité, téléchargement, consultation en ligne) devrait être établi entre
représentants des bibliothèques et des éditeurs.
6. Clarifier les relations contractuelles entre plates-formes et bibliothèques
Les plates-formes de distribution vers les bibliothèques pourraient être incitées à
clarifier leurs offres. Des recommandations pourraient être émises sur les
principales clauses des contrats, notamment en ce qui concerne la différentiation
entre prestations techniques et acquisition de licences, et le statut des licences
acquises en cas de résiliation du contrat. Ceci implique notamment de poursuivre la
clarification du statut juridique du livre numérique.
7. Expérimenter en vraie grandeur sur des offres réelles
En l'absence de retours d'usages probants, il serait utile à l'ensemble de la
profession de déployer une offre complète (y compris les nouveautés) sur un
nombre limité de sites. D'autre part, il serait utile que les différentes plates-formes
acceptent de mutualiser leurs données statistiques d'usages.
122. Pour pouvoir télécharger des
livres numériques sur votre
liseuse, tablette ou smartphone :
Consultez notre guide.
http://mediatheques.agglo-pau.fr/UserFIles/file/livret-numer
128. Quelle valeur ajoutée pour les bibliothèques ?
http://www.flickr.com/photos/timtom/2926928691/
Avec un peu de recul, la situation actuelle revient
à acheter pour d’autres des accès rares pour des
contenus “naturellement” cachés derrière des murs
payants, qu’on s’épuise ensuite à valoriser.
“Le web” a compris depuis bien longtemps que le
meilleur moyen de “valoriser” (faire connaître) des
contenus est de laisser l’accès libre quitte à vendre des
services ensuite (= freemiun).
Faire le contraire a des conséquences lourdes :
difficulté d’accès à un monde clos, hétérogène, exclusif
à certains moyens techniques et sélectionnés par un
bibliothécaire inconnu.
Silvère Mercier
129. 24 au 26 juin 2013 INSET Nancy - CC BY Renaud Aïoutz 129
L'impossible équation ?
Il me semble que, trop souvent, au nom de l’idée
séduisante et rassurante d’une collection, pour
« donner accès à » nous acceptons des restrictions
d’usages insupportables pour bon nombre
d’internautes !
Silvère Mercier
http://www.bibliobsession.net/2011/03/23/comment-les-bibliotheques-sepuisent-a-rendre-des-forteresses-seduisantes/
LicenceCCBYhttp://www.flickr.com/photos/t_e_brown/8677750589
130. En France depuis 10 ans, de nombreuses expériences…
Mais des résultats parfois décevants :
Enquête annuelle 2013 Vodeclic : « selon 62% des répondants,
moins de 10% des inscrits utilisent les ressources numériques »
http://business.vodeclic.com/fr/evenements/enquetes/barometre-2013-des-ressources-numeriques-dans-les-bibliotheques
http://www.flickr.com/photos/8781729@N04/3289260179/
131. TD : analyser les offres à destination des
bibliothèques pour présenter une synthèse
Quelle offre de livres numériques ?
Quelle offre d'abonnements de presse ?
Quelle offre de contenus musicaux ?
Quelle offre de contenus vidéo ?
Quelle offre de ressources d'autoformation ?
136. Les offres de ressources d'autoformation
Digital
Learning
137. Diaporama mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons
Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 France
RESSOURCES NUMERIQUES EN BIBLIOTHÈQUE
1. Ressources numériques : les tendances
2. Stratégies alternatives : ressources libres et gratuites
3. Signalement et médiation des ressources numériques
138. Stratégies alternatives ?
Les ressources libres et gratuites
http://www.flickr.com/photos/nickwheeleroz/2220008689/sizes/z/in/photostream/
144. Le droit d'auteur
Copyright =
Tous droits réservés
Tout usage nécessite
en principe une
autorisation préalable
Sauf si on
se trouve
dans le
cadre
d’une
exception législative
…
145. La licence Creative Commons
« Tout ce qui n’est pas
interdit est permis »
Pas
d’autorisation à
demander tant
qu’on reste dans
le cadre de la
licence
Il faudra conclure un contrat pour
lever une restriction posée par la
4 conditions et
6 contrats
184. « Lorsque vous soumettez
du contenu sur YouTube,
vous concédez [...] à chaque
utilisateur du Service, le
droit non exclusif, à titre
gracieux, et pour le monde
entier d’accéder à votre
contenu via le Service et
d’utiliser, de reproduire, de
distribuer, de réaliser des
œuvres dérivées, de
représenter, d’exécuter le
contenu dans la mesure
autorisée par les
fonctionnalités du Service
et par les présentes
Conditions. »
CGU Youtube
Mais limité en
général à un usage
« personnel non-commercial »
Utiliser la possibilité de faire des « embed »
« Lorsque vous soumettez du
contenu sur YouTube, vous
concédez [...] à chaque
utilisateur du Service, le droit
non exclusif, à titre gracieux, et
pour le monde entier d’accéder à
votre contenu via le Service et
d’utiliser, de reproduire, de
distribuer, de réaliser des
œuvres dérivées, de
représenter, d’exécuter le
contenu dans la mesure
autorisée par les
fonctionnalités du Service et
par les présentes Conditions. »
185. Diaporama mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons
Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 France
RESSOURCES NUMERIQUES EN BIBLIOTHÈQUE
1. Ressources numériques : les tendances
2. Stratégies alternatives : ressources libres et gratuites
3. Signalement et médiation des ressources numériques
203. L'authentification unique
http://www.flickr.com/photos/23658497@N00/4423375434/
L’authentification unique ou
Single Sign-On (SSO) est la
fonction qui permet aux utilisateurs de
s’authentifier une seule fois pour toute
la durée d’une session,
indépendamment du nombre
d’applications qui nécessitent une
authentification.
Ils peuvent alors accéder à leurs
données en toute transparence, sans
contrainte de ressaisie d’un nouveau
couple nom d’utilisateur / mot de
passe.
204. Ce besoin de cohérence des systèmes d’authentification dans
les applications web de l’établissement est renforcé dans le
cadre du déploiement de portails web d’établissements. En
effet ceux-ci visent à présenter tous les outils mis à disposition
de l’utilisateur de façon homogène et cohérente, alors que les
applications sont très hétérogènes.
226. Affiches
BU LYON 3 MANUFACTURE
Affiche : signalétique sur intervalle de
collection accessible en ligne
BU LYON 3 MANUFACTURE
Affiche valorisation codes en ligne
236. Technologie NFC
A library in Hanno, Japan is a NFC
tagged library that lets you
research books with your
smartphone before you borrow
237. Fantômes
BIU CUJAS
Ebook matérialisés sous forme de
boîtiers DVD et intégrés à une table de
valorisation
BU LYON 3 MANUFACTURE
Ebook matérialisé avec boîtier
DVD
246. Bibliobox
Une Bibliobox est un outil de stockage et partage de documents. Elle
est dérivée de la Piratebox, qui permet aux usagers, en plus du
téléchargement, de déposer eux-mêmes des fichiers. Elle a une
portée de 15 à 30 mètres. La confidentialité est assurée car aucune
donnée n’est collectée lorsqu’un usager se connecte à la Bibliobox.
Un module statistique permet de connaitre le nombre de
téléchargement pour chaque fichier.
249. Source : blog BiblioNumericus
http://biblionumericus.fr/2016/03/14/overdrive-media-station-interface-de-mediation-des-ressources-numeriques-en-bibliotheque/
OverDrive Media Station
250. Manivelle
Source : blog BiblioNumericus
http://biblionumericus.fr/2016/03/14/overdrive-media-station-interface-de-mediation-des-ressources-numeriques-en-bibliotheque/
251. Image : hawaii (flickr) cc-by-nc-sa
Ateliers, cafés numériques
252. Quelle articulation avec la stratégie d’ensemble de l’établissement ?
http://www.flickr.com/photos/barbaracoughlin/5325745734/
253. Quelle stratégie adopter par rapport aux ressources
numériques ?
- intégrer les ressources numériques au sein de la
politique documentaire (choix et suivi par les chargés de
domaines)
- signaler (dans le catalogue et sur le portail) et
rematérialiser dans les espaces de la bibliothèque
- développer la médiation numérique au sein des 3
communautés (usagers et partenaires / territoire / intérêt)
sur place et à distance
- développer la formation à l'utilisation de ces ressources
(présentation, ateliers, intégration dans l'action culturelle)
et la considérer comme une activité permanente de la
254. Ressources
Baromètre des usages du livre numérique en France Vague 6 – mars 2016
http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/notices/66003-barometre-des-usages-du-livre-numerique-vague-6
Etude des perceptions et usages du livre numérique – Etude Hadopi octobre 2014
http://hadopi.fr/actualites/actualites/etude-des-perceptions-et-usages-du-livre-numerique
Les 15-24 ans et le livre numérique, quels usages ? - note d'analyse Hadopi septembre 2015
http://www.hadopi.fr/actualites/actualites/quels-usages-du-livre-numerique-chez-les-15-24-ans-une-note-danalyse-pour-y-re
Le livre numérique, planche de salut pour la lecture ? – Communication de Vincent Chabault du 4 février 2015
https://hal.inria.fr/hal-00998304v3/document
Le livre numérique en bibliothèque : état des lieux et perspectives / Laurent Soual – Cercle de la Librairie, 2015
http://www.electrelaboutique.com/ProduitECL.aspx?ean=9782765414773
Faire vivre les ressources numériques dans la bibliothèque physique. Le cas des bibliothèques universitaires –
Mémoire de conservateur de Frédéric Souchon, janvier 2014
http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/64182-faire-vivre-les-ressources-numeriques-dans-la-bibliotheque-physique
Le numérique et le nomade – Etude sur les usages du livre numérique dans les bibliothèques publiques de la région
Rhône-Alpes
http://www.enssib.fr/recherche/enssiblab/les-billets-denssiblab/livre-numerique-usages-nomadisme-mobilite-lecteurs
Etude 2015 sur les bibliothèques américaines et les ebooks
http://biblionumericus.fr/2015/10/28/etude-annuelle-sur-les-bibliotheques-americaines-et-les-ebooks/
La valorisation du livre numérique dans les bibliothèques universitaires françaises et américaines- article sur le blog
enssibmasterpbd du 28 janvier 2016
https://enssibmasterpbd.wordpress.com/2016/01/28/la-valorisation-du-livre-numerique-dans-les-bibliotheques-universitaire
…une condition de partage qui nous incite parfois à écouter une musique en ligne même quand nous possédons le support physique.
Effet majeur du numérique : copie sans perte. Pas plus cher de multiplier les exemplaires.
Bibliothèque : en situation de concurrence avec les industries culturelles (à la différence des musées par ex, ou des archives, qui sont touchés par le num mais ont un contenu exclusif).
La presse est en même situation par rapport à Internet.
l’économiste Herbert Simon (Wikipédia) datant de 1971 : “Ce que l’information consomme est assez évident : l’information consomme l’attention de ceux qui la reçoivent. Du même coup, une grande quantité d’information créée une pauvreté de l’attention et le besoin de répartir efficacement cette attention entre des sources très nombreuses au milieu desquelles elle pourrait se dissoudre.”
biens public rivaux et non rivaux
http://www.demainlaveille.fr/2010/08/29/infobesite-arretez-avec-ce-non-sens/
Aujourd’hui je reviens à la charge en affirmant encore une fois que l’infobésité relève plutôt du non-sens puisque c’est une caractéristique intrinsèque de l’évolution de l’Homme et de son rapport à la connaissance. Récemment, le New York Times a publié un article invitant ses lecteurs à faire des pauses régulières dans l’utilisation des terminaux électroniques : iPad, Smartphone, Laptop… Selon le journal, le cerveau a besoin d’un temps de repos, (ah bon! je le savais pas!) et ce de manière régulière, pour éviter le burnout, et lui préserver toutes ses capacités de « calcul ».
Or, il faut savoir que déjà, à l’ère des livres, les mêmes problèmes se posaient aux utilisateurs et lecteurs : comment éviter les maux de tête et la fatigue pour trouver, lire et exploiter les bonnes ressources documentaires ? Robert Burton, dès 1621
C’est plutôt la conscience du fait qu’on a une capacité limitée de consommation qui nous « oblige » à s’organiser pour éviter de tomber dans l’excès (sauf exception bien sûr).
Dominique Lahary, pionnier de la réflexion sur le num en bib.
Les fournisseurs reconstituent une économie de la rareté même avec le numérique. Pas d’économie en dehors de la rareté.
C’est pour cela que nos ressources sont si difficiles à utiliser. Ex Numilog : reconstitue une logique d’exemplaire papier dans le domaine numérique.
Idem pour les modèles économiques (tarification à l’acte).
Au contraire, les BU sont dans une logique contraire (Springer, accessible uniquement en BU). Leur stratégie est de construire un concurrent avec les fournisseurs, avec l’open acess.
15% des gens ne consultent la presse qu’en numérique.
Nouveaux acteurs : les pure players, Slate, Rue89, Mediapart, Owni. A la recherche de nouveaux modèles. 30% du revenu de Rue89 est de la formation sur les contenus numériques. Rue89 envisage de demander les dons volontaires sur le site.
Brider la reproduction des contenus : DRM.
Stratégie désastreuse pour l’utilisateur : achat d’un contenu qui ne peut être utiliser sur tous les appareils (itune). Mais la musique a fini par abandonner les DRM.
Les gros éditeurs papier du SNE reproduisent la même erreur.
S’emparer de tous les secteurs de la chaîne : ex Amazon, distributeur, libraire, et maintenant éditeur. Fermeture par format fermé (pas epub). C’est ce qui a fait le succès d’Appel avec Itunes.
Vente à l’acte.
Abonnements. (Canal plus va en faire une). Marche beaucoup pour la musique.
Pub : marche mal (ex presse).
Freemium : accès illimité au contenu gratuit + contenu payant au-delà d’une certaine limite. Encore fragile économiquement.
Fausse gratuité / récupération des données personnelles : Google. Facebook.
Coût plus élevé dans l’accès à distance, questions techniques plus complexes (identifiants…)
Streaming pour éviter les DRM (ex Publie.net). A ses limites pour certains supports nomades (liseuses).
Streaming vidéo ADAV à Grenoble : Grenoble a dû créer sa propre plateforme.
Pouvoir choisir « titre à titre » comme dans le mécanisme de poldoc en collections physiques (Numilog) ?
Au contraire, MusicMe (Calice68) donne accès à toute la base. La sélection concerne la valorisation et non plus l’acquisition.
Cyberlibris tarife selon le nb de bibliothèques dans un réseau.
Une situation paradoxale où il n’a jamais été aussi facile techniquement de diffuser la culture et le savoir, et où le contexte juridique est le plus restrictif sur ce sujet.
Pourquoi faire la médiation des ressources gratuites et libres ?
D’abord parce que ce sont les seules qui permettent de le faire en s’intégrant à l’écosystème du web.
Les contenus payants sont très problématiques pour la médiation :
« Les ressources numériques traditionnellement proposées aux bibliothèques (par exemple, Bibliomedias dans le domaine de la musique) présentent trop souvent le désavantage de « couper » la bibliothèque du web, en obligeant les utilisateurs à passer par une identification sur le portail, pour ensuite accéder à des contenus difficilement manipulables à cause des DRM qui les verrouillent. Les contenus ne sont pas ou difficilement exploitables directement en ligne, ce qui fait que la ressource peut rester invisible et compliquée à faire connaître. Elle est difficilement intégrable au dispositif de médiation que l’établissement peut mettre en place par ailleurs (blogs, page Facebook, profil Twitter, etc). » (Lionel Maurel)
Les œuvres libres ne sont pas nécessairement gratuites, même si c’est le cas le plus fréquent.
Autre exemple : Framabook
Les principales licences de libre diffusion : Creative Commons
et Art Libre
● Elles s'inscrivent dans un cadre juridique : pas de renonciation aux droits d'auteur mais levée de certaines restrictions. Liberté, mais « liberté conditionnelle » selon antoine Viry
● Le droit moral reste inaliénable.
Pour commencer : le creative commons (créé en 2004)
Par défaut, tout est interdit
Ex de licence libre : Creative commons. Par défaut, seuls certains droits sont réservés.
SA share alike : si je modifie, je dois mettre tout le support sous licence similaire. Mais si je ne modifie pas une image SA, je peux la réutiliser.
Flickr : plusieurs centaines de millions sous licence cc.
Beaucoup et en même temps très peu par rapport à l’ensemble des images dispos sur Flickr : 3% (=> méconnaissance des CC)
Wikimedia commons : 10 millions de fichiers. Licence CC-BY-SA.
Deviantart : pas de moteur de recherche avancé pour trouver les contenus en CC
Fotopedia : photos de voyages sous cc, avec une application sur Ipad.
http://www.bibliobsession.net/2012/12/03/ou-trouver-des-images-reutilisables-sur-internet-2/?doing_wp_cron=1354547007.6331300735473632812500
…mais le meilleur est le pire (surtout Dogmazic), importance accrue d’une médiation (Ziklibrenbib, @diffuser.net)
Soundcloud pas de moteur pour les CC
Bandcamp
La SACEM interdisait jusqu’à 2012 l’usage des licences libres à ses adhérents Borne Automazic.
300 000 musiques sur Jamendo, le plus gros en musique libre.
+ Free music archive.
Au lancement : par le club de lecteurs, par des relais (enseignants…)
Les livres payants : peu de modèles prévus pour les bibs : Numilog, L’Harmathèque
Certaines bibs prennent des libertés en passant directement par les libraires qui utilisent l’offre pour les particuliers :
Ex d’Albi qui passe par une librairie s’approvisionnant sur Epagine : http://www.crl-midipyrenees.fr/tabenbib/Blog/?p=793
« Un même titre, lorsqu’il contient une DRM, peut être copié sur 5 liseuses (+ l’ordinateur avec lequel on l’a téléchargé). Il faut savoir qu’une liseuse doit toujours garder le même identifiant Adobe pour que les livres « DRMisés » restent lisibles. […] 24 liseuses ; Un fichier peut être copié sur 5 machines maximum ; Nous avons donc besoin de 5 comptes Adobe pour gérer les DRM (5×5=25) »
Cette solution juridiquement « borderline » reste aujourd’hui le meilleur moyen de proposer une offre suffisamment diversifiée.
Youtube a récemment ouvert (été 2011) un espace creative commons.
Idem pour la musique classique, dont de nombreux enregistrements appartiennent maintenant au domaine public, malgré la directive européenne sur l’allongement des droits voisins, à effet rétroactif
http://www.netvibes.com/musicaficta#Musique_libre_de_droits_%28sites%29
Musopen, ClassicCat etc.
C’est aussi le cas de nombreux cours en vidéo accessibles sur Canal-U
Le mouvement des MOOC (Massive Open Online Course), qui s’inscrit dans une logique d’open access, prépare sans doute à la naissance d’un « google des cours ».
Au sens plus large, recherche sur les ressources libres :
http://search.creativecommons.org/?lang=fr
Intégrable dans les moteurs personnalisés sous firefox
Il y a maintenant des contenus sous licence ouverte dans tous les domaines, y compris les recettes de cuisine (cuisine-libre.fr) ou les objets (thingiverse)
Remet à son tour les contenus produits (chroniques) sous licence ouverte (permettant par exemple à une autre bibliothèque de les imprimer et les exploiter pour valoriser les contenus en question).
Remet à son tour les contenus produits (chroniques) sous licence ouverte (permettant par exemple à une autre bibliothèque de les imprimer et les exploiter pour valoriser les contenus en question).
Remet à son tour les contenus produits (chroniques) sous licence ouverte (permettant par exemple à une autre bibliothèque de les imprimer et les exploiter pour valoriser les contenus en question).
Remet à son tour les contenus produits (chroniques) sous licence ouverte (permettant par exemple à une autre bibliothèque de les imprimer et les exploiter pour valoriser les contenus en question).
Remet à son tour les contenus produits (chroniques) sous licence ouverte (permettant par exemple à une autre bibliothèque de les imprimer et les exploiter pour valoriser les contenus en question).
Remet à son tour les contenus produits (chroniques) sous licence ouverte (permettant par exemple à une autre bibliothèque de les imprimer et les exploiter pour valoriser les contenus en question).
Remet à son tour les contenus produits (chroniques) sous licence ouverte (permettant par exemple à une autre bibliothèque de les imprimer et les exploiter pour valoriser les contenus en question).
Une condition qui est la norme dans l’ère de l’économie de l’attention, en musique notamment grâce aux services de streaming gratuit
Internet Archive : sur un serveur OAI, donc moissonnable.
Youtube le premier moteur de recherche musical, même dans des domaines de niche (introuvables en musique électroacoustique, par ex)
Possibilité d’intégrer des players audio légalement : Spotify, FreeSound, BandCamp
Bien distinguer gratuit / libre, parfois les deux, parfois l’un et pas l’autre.
Dans les DGU, « usage personnel », ce qui empêcherait l’utilisation par une bib. Mais pas de jurisprudence pour le moment.
Deezer, idem si on utilise le player deezer sur un blog. Mais pas pour sonoriser un espace en tout cas.
Dans un contexte d’abondance où la bibliothèque se trouve en situation de concurrence avec d’autres médias, la visibilité et la facilité d’accès sont d’autant plus importantes.
De plus en plus de ressources sont accessible uniquement en numérique. Depuis longtemps en BU, mais de plus en plus dans les domaines concernant les BM (fiction, BD, musique…)
Comment les signaler ?
Comment permettre aux lecteurs de les découvrir, d’y flâner avec la même facilité que dans nos rayonnages matériels ?
Problème de la veille et de la propreté du catalogue : comme les ressources sont par abonnements, il faut veiller à les supprimer à l’expiration de l’abonnement. (Cyberlibris : automatique)
Ex BM Grenoble, BU Paris 12 (par notices simplifiées sous tableau Excel converti en format compatible avec le SIGB)
Recherche fédérée :
montrer l’exemple de Levallois-Perret, lancer recherche « Obama », ou site Ermes de Archimed.
Dans l’idéal, non seulement des titres présents dans les collections de la bibliothèque, non seulement enrichies par des couv., les 30 premières secondes du cd, etc., mais aussi par ex, des vidéos youtube, des articles wikipedia, des articles du Monde. Eventuellement désactivable par l’usager.
Intégrer au portail des connecteurs qui vont interroger d’autres bases.
Protocoles pour les ressources bibs : Z39.50 / SRU-SRW (les bases se parlent directement)
Protocoles pour les ressources bibs internationales : OAI (open archive initiative) : entrepôt.
+ des connecteurs spécifiques pour les ressources payantes (prestataires : Archimed (2500€ pour 10 connecteurs par an, assurent également la maintenance), Serial Solutions…)
Reprendre début intervention Emmanuelle Bermes sur différence protocole et OAI.
Index global :
Indexation de toutes les ressources disponibles. Prestataires : OCLC (worldcat local), (note : RDA : norme de catalogage dans le monde de l’édition en xml, opérationnel sans doute vers 2015). Va faire un catalogue dans le cloud, il n’y aura que les données local dans les catalogues locaux (cf. Kergomard).
Distinguer offre à distance et offre sur place uniquement.
Ces portails où sont présentées des ressources auxquelles on ne peut accéder que sur place : Cité de la Musique, textes sous droits dans les résultats de Gallica par défaut, etc.
Abattre la barrière du « web invisible » :
Catalogue de bibliothèque conçu pour empêcher les moteurs de recherche de l’interroger en permanence, ce qui le ferait tomber.
Sitemap : couche XML permettant aux moteurs de recherche d’interroger le catalogue, et d’en remonter les résultats dans Google.
Intéressant pour les documents patrimoniaux numérisés.
Outils nomades :
Smartphones : Android (70%) / IOS (20%) / les autres (Blackberry…).
Tablettes : IOS (90%)
La possibilité du partage est une condition sine qua non de l’existence et de l’utilisation des contenus en ligne. Proposer un contenu dans une « boîte noire », qu’un usager ne peut partager, au moins sous une forme d’url pérenne, est un non-sens. Et il sera impossible au bibliothécaire de faire son travail de médiation.
Sur facebook, twitter, médias sociaux, avec l’intégration de boutons.
Aussi utilisé sur le blog de Feedbooks : http://blog.feedbooks.com/fr/
http://blog.feedbooks.com/fr/index.php/2012/07/27/paris-litteraire-des-classiques-geolocalises-a-telecharger-gratuitement/
http://blog.feedbooks.com/fr/index.php/2012/09/05/le-roman-policier-nordique-a-lhonneur-sur-feedbooks/
(cliquer sur le tag « carte » dans un de ces billets du blog pour d’autres exemples)
Aussi utilisé sur le blog de Feedbooks : http://blog.feedbooks.com/fr/
http://blog.feedbooks.com/fr/index.php/2012/07/27/paris-litteraire-des-classiques-geolocalises-a-telecharger-gratuitement/
http://blog.feedbooks.com/fr/index.php/2012/09/05/le-roman-policier-nordique-a-lhonneur-sur-feedbooks/
(cliquer sur le tag « carte » dans un de ces billets du blog pour d’autres exemples)
Aussi utilisé sur le blog de Feedbooks : http://blog.feedbooks.com/fr/
http://blog.feedbooks.com/fr/index.php/2012/07/27/paris-litteraire-des-classiques-geolocalises-a-telecharger-gratuitement/
http://blog.feedbooks.com/fr/index.php/2012/09/05/le-roman-policier-nordique-a-lhonneur-sur-feedbooks/
(cliquer sur le tag « carte » dans un de ces billets du blog pour d’autres exemples)
Permet d’intégrer aux rayons les collections pour plus de cohérence intellectuelle, pour rendre visible la complémentarité papier-numérique dans certains domaines, etc.
Mais pose un certain nombre de problèmes :
Quelle forme ? Fantômes aux BM de Rennes, Poitiers
En test dans une médiathèque de quartier de Poitiers, fantômes pour signaler des sites internet de références (à partir des sitothèques BPI, BNF et autres médiathèques) : un boîtier DVD avec, sur le dos, le site et une cote et, dans le boîtier les URL sur plusieurs signets papier que le lecteur peut prendre. Pas tinyurl ou QRcode. Idée lancée par Joëlle Muller en formation ressources numériques.
Montpellier : boitiers VHS, encore : fiches plastifiées, livres postiches
Quelle pérennité ? (ressources moins pérennes que le papier, qui disparaissent dès que l’abonnement est expiré)
Quel descriptif ? La ressource numérique, dans certains domaines (encyclopédie) est par nature évolutive. La fixer sous une forme physique est difficile.
Ensuite c’est la médiation in situ qui prend le relais. Accompagner en présentiel les usagers dans la prise en main des ressources numériques : rendez-vous lors du prêt de la liseuse pour expliquer le maniement, ateliers de découverte des ressources en ligne, etc.
Ex : Ateliers de découverte web à la médiathèque du Chesnay. Public pas toujours au rdv…