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Le billet mensuel
Un manager aujourd’hui prend en une journée autant de décisions
qu’un manager en prenait en un mois il y a 100 ans. Le monde du
travail devient de plus en plus complexe. Aujourd’hui la complication
est la réponse à la complexité.
N°18 – Juin 2017
Gérer la Complexité
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Courriel: contact@pbrhconsulting.com
Subir, fuire ou assumer
La stratégie de la distraction
Assumer la complexité et
rejeter la complication
Transformer
l’incertitude
extérieure en
quiétude
intérieure
Le crédo du manager de demain
Face à cette nouvelle complexité
le manager à 3 attitudes possible
La mission du manager de demain

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Décoder l'organisation et les
rôles Créer de la valeur, pour le management, c'est être en mesure de démultiplier l'intelligence
et l'énergie des équipes et accepter, dans le même temps, de perdre en contrôle. Il faut
inciter les managers à comprendre ce qui se passe dans l'entreprise. « Comment les
collaborateurs coopèrent-ils ? Comment trouvent-ils des ressources et résolvent-ils ou bien
échouent-ils à résoudre leurs problèmes ? » Il leur faut comprendre qu'« attitudes et
comportements sont des réponses rationnelles à un problème ». Question de contexte.
Nommer des « intégrateurDévelopper la réciprocité
« Augmenter la quantité
totale de pouvoir permet de
donner à chacun celui dont il
a besoin. » Le pouvoir élargi,
explique le consultant, doit
permettre aux managers de
penser et d'agir sur ce qui est
nécessaire à la performance.
Ce pouvoir supplémentaire,
pas toujours stratégique à
première vue, a un impact en
termes d'efficacité.,
Il s’agit d'éliminer les
monopoles internes, voire de
supprimer des ressources pour
faire naître la réciprocité.
Autrement dit, la
reconnaissance que chacun
dépend de l'autre pour réaliser
l'objectif de l'entreprise.
Resserrer la boucle du feed-
back Il s'agit de confronter les
collaborateurs aux
conséquences de leurs actes.
Mieux, de les mettre en
situation de les expérimenter :
un ingénieur développement
passerait ainsi par le service
après-vente.
Reconnaître ceux qui
coopèrent
Moins on coopère, moins on a de ressources.
Coopérer, c'est « accepter de dégrader sa
performance individuelle mesurable, au profit de
la performance collective ». Pour obtenir le
miracle de la coopération multiplicatrice
d'intelligence, l'entreprise doit l'évaluer. Et la
récompenser.
Rester compétitif dans un contexte
difficile exige un changement de
paradigme. Yves Morieux, directeur
associé senior du cabinet conseil en
stratégie Boston Consulting Group
propose 5 règles .