Le patient traceur : une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité des...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Certification des établissements de ...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
Evolution du métier d’anesthésie-réanimation - Délégation de tâche pour la p...Réseau Pro Santé
Revue SNPHARE 75, juin - juillet 2016
Le protocole 51 de la Loi HPST a été déployé pour déléguer la réalisation d’un acte médical au personnel paramédical, sous réserve d’une procédure validée garantissant une formation spécifique et d’un système d’assurance qualité. Le SNPHAR-E a rencontré les Pr Claude Ecoffey (Président du CNP-AR) et Francis Bonnet (Président de la SFAR) afin qu’ils nous expliquent leur position sur la délégation de tâches pour la pose de voies veineuses centrales par les infirmiers et quels sont les risques de dérives selon eux.
PHAR-E : Cette modalité de délégation a été appliquée pour la pose des voies veineuses centrales (VVC) par des IDE sous la responsabilité d’un anesthésiste-réanimateur. Quelle est votre position sur cette modalité de délégation ?
Pr Francis Bonnet :Si l’on considère l’évolution de la profession d’infirmier, par rapport aux nouvelles tâches éventuelles apparaissant au fur et à mesure de l’évolution de la médecine, on ne peut voir les choses que positivement. Une profession qui reste figée, qu’elle soit médicale ou paramédicale, est en inadéquation avec l’évolution des besoins des patients et avec la nécessité d’organiser les soins de la façon la plus efficiente possible, d’un point de vue économique certainement mais pas uniquement, le plus important étant de donner un soin de qualité au patient.
En ce qui concerne la mise en place de VVC, il faut distinguer le geste technique lui-même et l’indication du geste, son contrôle, son suivi qui sont autant d’éléments, certes complémentaires, mais pas forcément associés. Un geste technique correctement enseigné qui se pratique dans un cadre normalisé, peut être confié à un professionnel qui aura suivi une formation ciblée répondant le mieux possible aux impératifs techniques, notamment sous l’angle de la sécurité du patient (fiabilité du geste et possibilité de complications). (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
L’accréditation des chirurgiens par l'has peut elle tenir ses promesses Réseau Pro Santé
Depuis 4 ans, l’HAS s’est lancée dans une démarche d’accréditation des spécialités médicales à risques, dont la chirurgie. Démarche louable dans sa finalité, elle a écarté deux structures existantes du contrôle de la qualité de la formation continue des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualification administrative des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualication administrative des médecins. Pour asseoir son autorité et faire avancer les médecins dans cette démarche, elle valide annuellement cette accréditation autorisant alors le remboursement partiel de l’assurance professionnelle. L’HAS s’appuie sur les sociétés savantes des « spécialités à risques » et c’est bien. (Il faudra un jour définir les rôles et fonctions de chacun, car les recouvrements de mission deviennent de plus en plus fréquents, mais là n’est pas mon propos).
Elle peine, malgré les efforts permanents de ses promoteurs à acquérir une réelle autorité. L’HAS doit impérativement intégrer dans sa réflexion les freins à une saine intégration de cette accréditation an qu’elle ne se désintègre pas sous les coups de butoir de la réalité. Pour notre spécialité chirurgicale, la portée de cette accréditation est actuellement dérisoire face à notre réalité hospitalière :
reseauprosante.fr
Le patient traceur : une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité des...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Certification des établissements de ...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
Evolution du métier d’anesthésie-réanimation - Délégation de tâche pour la p...Réseau Pro Santé
Revue SNPHARE 75, juin - juillet 2016
Le protocole 51 de la Loi HPST a été déployé pour déléguer la réalisation d’un acte médical au personnel paramédical, sous réserve d’une procédure validée garantissant une formation spécifique et d’un système d’assurance qualité. Le SNPHAR-E a rencontré les Pr Claude Ecoffey (Président du CNP-AR) et Francis Bonnet (Président de la SFAR) afin qu’ils nous expliquent leur position sur la délégation de tâches pour la pose de voies veineuses centrales par les infirmiers et quels sont les risques de dérives selon eux.
PHAR-E : Cette modalité de délégation a été appliquée pour la pose des voies veineuses centrales (VVC) par des IDE sous la responsabilité d’un anesthésiste-réanimateur. Quelle est votre position sur cette modalité de délégation ?
Pr Francis Bonnet :Si l’on considère l’évolution de la profession d’infirmier, par rapport aux nouvelles tâches éventuelles apparaissant au fur et à mesure de l’évolution de la médecine, on ne peut voir les choses que positivement. Une profession qui reste figée, qu’elle soit médicale ou paramédicale, est en inadéquation avec l’évolution des besoins des patients et avec la nécessité d’organiser les soins de la façon la plus efficiente possible, d’un point de vue économique certainement mais pas uniquement, le plus important étant de donner un soin de qualité au patient.
En ce qui concerne la mise en place de VVC, il faut distinguer le geste technique lui-même et l’indication du geste, son contrôle, son suivi qui sont autant d’éléments, certes complémentaires, mais pas forcément associés. Un geste technique correctement enseigné qui se pratique dans un cadre normalisé, peut être confié à un professionnel qui aura suivi une formation ciblée répondant le mieux possible aux impératifs techniques, notamment sous l’angle de la sécurité du patient (fiabilité du geste et possibilité de complications). (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
L’accréditation des chirurgiens par l'has peut elle tenir ses promesses Réseau Pro Santé
Depuis 4 ans, l’HAS s’est lancée dans une démarche d’accréditation des spécialités médicales à risques, dont la chirurgie. Démarche louable dans sa finalité, elle a écarté deux structures existantes du contrôle de la qualité de la formation continue des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualification administrative des médecins : l’Université qui assure la formation des étudiants et la spécialisation des internes et le Conseil de l’Ordre qui enregistre les diplômes et donne la qualication administrative des médecins. Pour asseoir son autorité et faire avancer les médecins dans cette démarche, elle valide annuellement cette accréditation autorisant alors le remboursement partiel de l’assurance professionnelle. L’HAS s’appuie sur les sociétés savantes des « spécialités à risques » et c’est bien. (Il faudra un jour définir les rôles et fonctions de chacun, car les recouvrements de mission deviennent de plus en plus fréquents, mais là n’est pas mon propos).
Elle peine, malgré les efforts permanents de ses promoteurs à acquérir une réelle autorité. L’HAS doit impérativement intégrer dans sa réflexion les freins à une saine intégration de cette accréditation an qu’elle ne se désintègre pas sous les coups de butoir de la réalité. Pour notre spécialité chirurgicale, la portée de cette accréditation est actuellement dérisoire face à notre réalité hospitalière :
reseauprosante.fr
Après avoir présenter les risques de l'exposition au rayons X, Edouard Geoffroy présente la solution de Général Electrique "DoseWatch" qui permet de contrôler les rayonnement subit par un patient.
Cette base de données est malheureusement installée dans chaque hôpital sans connexion avec d'autres établissement de santé, contrairement à ce qui se passe dans les autres pays.
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
19èmes journées de la SFNV - Communications paramédicales libres 2 - S. VIAUD...sfnv
Démarche qualité de gestion des risques adaptée au parcours des patients victimes d'AVC sur le territoire de recours (département de la Vendée) appliquée au CHD Vendée - S. VIAUD (La Roche-sur-Yon)
Les projections en termes de démographie médicale sont pessimistes : le nombre de médecins en exercice décroîtra régulièrement sur les 30 prochaines années dans toutes les spécialités. Dans le but d’optimiser les ressources médicales et de redistribuer l’offre de soins de manière plus homogène, la télémédecine dont la téléradiologie fait partie est en cours d’évaluation.
Ces deux termes regroupent un vaste ensemble de pratiques, dont une activité nouvelle en France par certains aspects : le télé diagnostic. La mise en place, de cette dernière forme d’exercice, suscite une polémique quant à des dérives éventuelles : perte du contrôle des indications, radiologue « imageur » prestataire de service, interprétations exportées à l’étranger, … mais aussi quant à la faisabilité de tels examens et à une éventuelle perte de chance pour le patient.
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
Résultats
La Classification Commune des Actes Médicaux (CCAM) (utilisée pour l’exploitation des
données de la CPAM par l’ARS) est très complexe :
Il existe 16 codes pour « embolisation », 13 pour « dilatation »…
Chiffres « du terrain » (recueillis par les référentes régionales de la FRI) :
Non exhaustifs ;
4000 actes endo-vasculaires ; 5277 gestes guidés par l’imagerie (hors ostéoarticulaire)
; 9268 gestes en Radiologie Interventionnelle ostéo-articulaire (62 % sous
TDM ; prédominant en libéral).
Chiffres de l’ARS :
Largement dominés par la sclérothérapie (25 000 avec des cotations pour la
radiofréquence ; activité importante à récupérer pour les jeunes selon le Pr Vernhet-
Kovacsik car bien cotée) ;
A noter 1326 thermo-coagulations, gestes souvent réalisés par des non radiologues
(des neurochirurgiens pour ne pas les citer dans le cas des rhizolyses par radiofréquence).
reseauprosante.fr
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Sécurité du patient, des défis à rele...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
L’interopérabilité, socle pour le développement à grande échelle du télésuivi...Alain Tassy
Orange Healthcare est la filiale eSanté d’Orange Business Services.
Orange Healthcare connecte et collecte de façon sécurisée les données des dispositifs médicaux.
Continua, standard industriel et opérationnel.
Avènement d’un modèle économique en 2017.
Continua, colonne vertébrale de la télésurveillance médicale et de la continuité des soins hôpital - domicile.
Les multiples bénéfices de Continua.
L’interopérabilité, c’est un peu comme la vaccination, elle doit être adoptée par tous !
Application de l’intelligence artificielle à la prédiction et au diagnostic e...Alain Tassy
Le cancer est en forte croissance dans le monde comme en france (385 000 nouveaux cas en 2016). Son traitement fait appel à de nombreux intervenants et le partage des information est insuffisant. On assiste à une explosion des données générées pour le traitement.
Le machine learning en médecine va permettre de dépasser les capacité cognitives humaines (traitement 5 facteurs maximum en même temps). Il va permettre d'améliorer le diagnostique et la prédiction qui amènera une personnalisation des traitements.
Le projet Big Data pour la radiothérapie est soutenu par BPI et implique entre autre plusieurs hopitaux, Atos et Télécom Paristech. Il est original car les données resteront dans les hôpitaux et ce sont les algorithmes qui vont apprendre localement.
Similaire à Le rôle du paramédical dans la démarche multidisciplinaire de la radioprotection patient en cardiologie interventionnelle (20)
Application de l’intelligence artificielle à la prédiction et au diagnostic e...
Le rôle du paramédical dans la démarche multidisciplinaire de la radioprotection patient en cardiologie interventionnelle
1. « le rôle du paramédical dans la
démarche multidisciplinaire de la
radioprotection patient en cardiologie
interventionnelle »
S. CARPENTIER, cadre de Santé
Projet en partenariat avec :
4. 4
Prédiction des
risques
Gestion des
risques à
postériori
Mise en
place d’un
suivi médical
personnalisé
du patient
Optimisation
des pratiques
RP patients : démarche de maitrise des risques
radiologiques en cardiologie interventionnelle
Avant Pendant Après l’intervention
5. 5
La radioprotection patient, une culture a développer qui
nécessite une démarche multidisciplinaire dont le rôle du
paramédical est essentiel….
6. 6
La gestion paramédicale RP patients :
Avant la procédure : consentement éclairé / risque RI
CHEMIN
CLINIQUE
7. 7
Pour toute procédure : information dosimétrique dans
compte-rendu examen ( arrêté 22 septembre 2006) :
PDS (avec son unité) + identification DMERI
8. 8
Pour les examens très irradiants (CTO) :Renseignement fiche
de suivi dosimétrique du patients:
Poids (91kg) + taille (173cm)
J-CTO score (3)
Doses antérieures (<3mois) (PDS:92Gycm²/AK:1.9Gy)
Facteurs radiosensibilité : aucun
Dose prévisionnelle : 3.10 Gy bénéfice/risque ; DIV?
Surveillance AK,PDS,Temps
exposition(incidence)
Seuil alerte : seuil 1= 300 Gycm² seuil 2 = 500 Gycm²
Surveillance AK %2Gy
AK > 3Gy : Fiche information patient + suivi médicale
(consultation) si AK > 5Gy
Dosimétrie in-vivo : PSD = 2Gy
9. 9
Application protocole optimisation dose ( aide-opératoire):
Privilégier si possible une incidence peu irradiante (OAD)
Respect DFI (distance foyer image) à 100 cm si possible
Variation des incidences si possible (traçabilité)
Adapter protocole d’acquisition scopie + graphie
Collimation + éviter zoom
Surveillance indicateurs dosimétriques (PDS , AK, temps scopie)
…..
10. 10
Gestion paramédicale post interventionnelle (cadre) :
Centralisation suivi dosimétrique de tous les patients ayant
subis une CTO ( partage sur plateforme collaborative ) +
gestion lettres information patient (seuil 1(3Gy) /seuil 2
(5Gy))
11. 11
Gestion paramédicale post interventionnelle (cadre) :
Model lettre AK > 3Gy Model lettre AK > 5Gy
12. 12
Gestion paramédicale post interventionnelle (cadre) :
Gestion des alertes dans DOSITRACE (DACS): validation +
statistiques
EPP ( évaluation pratique professionnelle) : suivi évolution
NRI local CTO, requêtes sur DACS,…
0
500
2010 2011 2012 2013 2014 2015
Evolution sur 5 années
NRI local des CTO Gycm²
NRI local CTO
13. 13
Conclusion
Finalité :
Assurer une maitrise des risques
globale et automatisée
en radiologie interventionnelle
Amélioration du capital
confiance avec le patient
RP patients = Démarche multidisciplinaire
Relevés des données dosimétriques (automatisés)
Analyse des pratiques : mise en place de NRI locaux
Optimisation de la dose délivrée
Gestion des risques à postériori et suivi médical personnalisé