CAFE - Formation sur les enjeux que soulèvent les pratiques collaboratives et les médias sociaux pour les praTIC communautaires
1. 1
Une formation surUne formation sur
les enjeux que soulèventles enjeux que soulèvent
les pratiques collaborativesles pratiques collaboratives
et les médias sociauxet les médias sociaux
pour les praTIC communautairespour les praTIC communautaires
Conçue et animée par : Sylvie Jochems,
Professeure, École de travail social, UQAM
Co-animée par :
Katherine Macnaughton-Osler,
Coordonnatrice du projet
BlocIBlocI
2. 2
Une formation conçue à l’intérieur du projet
Soigner ses TIC communautaires, développé et
réalisé sous la direction de Sylvie Jochems
dans le cadre de
En partenariat avec :En partenariat avec :
c
3. 3
But de la formationBut de la formation
Initier les participantEs
aux praTIC collaborativespraTIC collaboratives,
aux médias sociauxmédias sociaux
et à leurs enjeuxc
4. 4
5 objectifs5 objectifs
1. Initier les participantEs à l'histoire du
développement des TIC dont Internet afin
de mieux saisir leurs rôles et utilités.
2. Exposer les participantEs aux nouveaux
discours : introduire les termes :
• « conjoncture post-industrielle »
• « société de l'information »
• « société du/des savoir/s »
• « capitalisme cognitif »
… qui sont de plus en plus utilisés par les
politiques et programmes gouvernementaux
et les analystes.
5. 5
Objectifs (suite)
3. Proposer des concepts et une typologie
pour mieux analyser ce que sont les
usages des TIC dans les mouvements
communautaires et féministes.
4. Amorcer une réflexion critique sur les
enjeux que supposent les praTIC
collaboratives des actrices /teurs des
milieux communautaires et féministes.
5. Développer des habiletés techniques pour
que les participantEs s'approprient des outils
du Web 2.0 pour les groupes des milieux
communautaires et féministes au Québec.
6. 6
Cadre de la formation
Le site Web « PraTIC communautaires »« PraTIC communautaires »
www.pratic.uqam.c
a
7. 7
Cadre de la formation
La pageLa page FacebookFacebookwww.facebook.com/PraTICcom
m
9. 9
Contexte de la formation 2010-20112010-2011
Un projet-pilote financé par le Comité du
Service aux collectivités de l’UQAM
3 formations « pilote » : un réel succès!
CFRL Février 2011 à Repentigny
Relais-femmes Avril 2011 à Montréal
FAFMRQ Avril 2011 à Québec
1 formation en supplémentaire!
AGIR Novembre 2011 à Gatineau
10. 10
Contexte de la formation 2012-20142012-2014
Un projet financé par le MELS, réalisé
dans le cadre du Service aux
collectivités de l’UQAM
Phase 1 : printemps, été et
automne 2013
Formation 1 « Soigner ses TIC
communautaires » :
6 groupes participants de différentes
régions du Québec
11. 11
Contexte de la formation 2012-20142012-2014
Phase 2 : printemps, été et
automne 2013
Expérimentation :
accompagnement par Katherine
Macnaughton-Osler dans
l'expérimentation des praTIC auprès
des agentes multiplicatrices
Vous aurez à remplir un formulaire
en ligne avec vos choix d’outils Web
12. 12
Phase 3 : automne 2013 et hiver
2014
Formation 2, webinaire/séminaire :Formation 2, webinaire/séminaire :
« Les PraTIC collaboratives »« Les PraTIC collaboratives »
Une demi-journée ensemble en préparation à la
participation au Forum sur les PraTIC
communautaires
- Dropbox, Google Drive,Dropbox, Google Drive, ...
- Skype, Adobe Connect,Skype, Adobe Connect, ...
- Production de capsules vidéoProduction de capsules vidéo ...
+ Accompagnement par Katherine!+ Accompagnement par Katherine!
Contexte de la formation 2012-20142012-2014
13. 13
Phase 4 : printemps 2014
Forum « PraTIC communautaires »
Grand rassemblement en ligne de toutes/tous
les participantEs des 6 régions du Québec.
Par webinairePar webinaire
Discussions et analyses collectives sur les
enjeux des usages des TIC pour les
groupes de femmes et familles du Québec
Identification de défis à relever!
Contexte de la formation 2012-20142012-2014
14. 14
Plan de la formationPlan de la formation
Bloc 1 TIC et Web 2.0TIC et Web 2.0
Introduction à la formation
Définitions et statistiques
Explorations : Pinterest, YouTube,
SlideShare, blogue, Facebook, Twitter.
Bloc 2 Des connaissances utilesDes connaissances utiles
Postulats des usages des TIC/Web 2.0
Introduction à l'analyse des PraTIC
Exploration : Google Drive, Dropbox
Bloc 3 Ateliers et plénièreAteliers et plénière
Discussion en ateliers sur les enjeux
sociaux, économiques, politiques, éthiques
Planification de l'expérimentation 2013-2014
16. 16
Un peu de votre histoire !Un peu de votre histoire !
Vous souvenez-vous de ...
• La 1ère
fois que vous avez pitonné sur un
clavier d’ordinateur ?
• Votre 1er
ordinateur ?
• Du traitement de texte que vous utilisiez ?
• Du 1er
courriel que vous avez envoyé ?
• De votre 1er
téléphone sans fil ?
• De votre 1er
téléphone cellulaire ?
17. 17
Un peu d'histoire des TICUn peu d'histoire des TIC
1940 : le début de l'informatique
1945 : le premier micro-ordinateur
1965 : l'hypertexte (Ted Nelson)
1969 : Arpanet, le premier Internet
1975 : Création de la compagnie Microsoft
1981 : MS-DOS
1985 :
• le réseau des superordinateurs
(backbone)
• Projet GNU et Free Software Fondation
(Richard Stallman)
18. 18
1990 : Windows 3.0
1994 : World Wide Web (Tim Berners-Lee)
1996 : premiers navigateurs, explosion de
l'Internet
1999 : 1er
téléphone Blackberry
2004 : Facebook
2006 : Twitter
2009 : 1ère
génération iPad
Un peu d'histoire des TICUn peu d'histoire des TIC
19. 19
Le Web 2.0, c’est ...Le Web 2.0, c’est ...
Source : flowerng.wordpress.com
20. 20
Le Web 2.0 ...Le Web 2.0 ...
• L'expression « Web 2.0 » a été
proposée pour désigner ce qui est
perçu comme un renouveau du Web
• L'évolution ainsi qualifiée concerne aussi bien les
technologies employées que les usages
• En particulier, on qualifie de Web 2.0 les interfaces
permettant aux internautes d'interagir à la fois avec
le contenu des pages mais aussi entre elles
• L'expression est réputée avoir été lancée par Tim
O'Reilly en 2004, et s'est imposée à partir de 2007
21. 21
Web 1.0 :Web 1.0 :
Passif
Lecture
Statique
Contibution de l’organisme
Posséder
Unidirectionnel
Codage HTML
Web 2.0 :Web 2.0 :
Actif
Écriture/lecture
Dynamique
Contribution des usagères
Partager
Interactif
Traitement de texte
Le Web 2.0 ...Le Web 2.0 ...
24. 24
Le Web 2.0 ...Le Web 2.0 ...
YouTube : http://www.youtube.com/
• Faites une recherche de vidéos avec le
mot-clé « féminisme »
• Consultez 1 ou 2 exemples de vidéos de
groupes de femmes ou d’organismes
communautaires
• Réfléchissez à quoi pourrait servir
YouTube pour votre groupe ? Pour votre
implication communautaire ?
25. 25
Le Web 2.0 ...Le Web 2.0 ...
SlideShare : http://fr.slideshare.net/
• Faites une recherche de présentations
avec le mot-clé « féminisme »
• Consultez 1 ou 2 exemples de
présentations de groupes de femmes ou
d’organismes communautaires
• Réfléchissez à quoi pourrait servir
SlideShare pour votre groupe ? Pour
votre implication communautaire ?
26. 26
Le Web 2.0 ...Le Web 2.0 ...
Pinterest : http://pinterest.com/
(si vous n’avez pas de compte, explorez à partir de
http://www.pinterest.com/cintl/)
• Faites une recherche d’images avec le
mot-clé « féminisme »
• Consultez 1 ou 2 exemples d’images de
groupes de femmes ou d’organismes
communautaires
• Réfléchissez à quoi pourrait servir
Pinterest pour votre groupe ? Pour votre
implication communautaire ?
27. 27
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
Les Québécois toujours adeptes des médias sociaux en
2012 :
près de 8 internautes* sur 10 (ou 78,1 %, ce qui
correspond à 64,2 % des adultes québécois) utilisent
les médias sociaux. Ils étaient 73,3 % en 2011.
Les activités préférées des internautes sont :
• la consultation de contenu (69,3 %)
• le maintien d’un profil d’utilisateur actif (63,8 %)
• le partage de contenu (54,1 %)
• l’interaction avec d’autres utilisateurs (52,8 %)
• la création de contenus (32,2 %)
Source : Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des Québécois. CEFRIO :
NeTendances, volume 3, numéro 1, 2012.
* Définition du mot « internautes » : personnes de 18 ans et plus qui utilisent Internet.
28. 28
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
Des constats généraux sur l’utilisation des médias
sociaux :
• Une saturation chez les jeunes
• Une progression chez les personnes plus âgées
• Création de contenus sur les médias sociaux par 2
hommes sur 5, contre 1 femme sur 4!
• L’âge, la scolarité et le revenu expliquent les différences
dans l’utilisation d’Internet
• Le lieu de résidence joue un rôle relativement mineur
dans l’utilisation d’Internet (les personnes résidant en ville
vs les personnes vivant en région), contrairement à ce
qu’on pense!
Sources : Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des
Québécois. CEFRIO : NeTendances, volume 3, numéro 1, 2012
et
Les régions moins connectées ? CEFRIO, 2012.
29. 29
Source : Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des Québécois.
CEFRIO : NeTendances, volume 3, numéro 1, 2012.
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
30. 30
Source : Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des Québécois. CEFRIO : NeTendances, volume 3(1), 2012.
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
31. 31
Qu'est-ce qu'un site de réseautage ?
Au Québec, en 2012... en pourcentage %
• Combien d'adultes québécois
ont visité un site de réseautage ?
• Combien d'adultes québécois
ont participé à un site de réseautage ?
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
32. 32
Source : Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des Québécois.
CEFRIO : NeTendances, volume 3, numéro 1, 2012.
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
33. 33
Explorons ensemble Facebook ...Explorons ensemble Facebook ...
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
34. Facebook… des pour et des contre!
Avantages
• Possibilité de rejoindre de
nouvelles personnes :
membres, partenaires,
alliées…
• Les femmes : majoritaires
sur Facebook et dans le
milieu communautaire!
• Diffusion conviviale de
photos, vidéos, images,
etc.
Inconvénients
• Création de compte
obligatoire pour consulter,
diffuser et échanger
• Facebook a le droit de
suspendre ou supprimer
un compte sans avis
• Peu de soutien
• Distinction pas claire
entre les 4 types d’outils
34
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
35. Distinguer les 4 types d’outils Facebook :
• Profil personnel (on a des « ami-e-s ») :
– pour les individuEs
– confidentialité à paramétrer
• Page associative : (on a des adeptes – des fans
- qui nous « aiment ») :
– publique
– offre des statistiques et des fonctionnalités spécifiques
• Groupe : ouvert ou fermé (sur invitation)
• Page dite « communautaire » : outil créé par
Facebook automatiquement, à partir des intérêts
indiqués sur les profils (en voie de disparition…)
35
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
36. • Allons ensemble à la page Facebook du projet :
https://www.facebook.com/PraTICcomm
• Identifier ce qui fait que c’est une page
associative et non pas un profil
• Trouver le nombre d’adeptes de la page
• À l’écran, voyons ensemble les statistiques et
les options de promotion d’une page Facebook
36
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
37. Essayons les pages associatives (diapo 1/2)
Celles et ceux qui ont un profil sur Facebook
(compte personnel) :
• Se connecter, et aller à la page Facebook du
projet : https://www.facebook.com/PraTICcomm;
« aimer » la page et y inscrire un commentaire
• Aller à :
http://www.facebook.com/pages/create.php
• Cliquer sur : « Créer une Page » pour une
entreprise, organisme ou association
• Sélectionner la catégorie, ex. : « organisme
communautaire », et créer une page provisoire
37
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
38. Essayons les pages associatives (diapo 2/2)
Celles et ceux qui n’ont pas de profil sur
Facebook :
• Suivre avec unE amiE Ou Créer un compte
personnel : http://www.facebook.com/
• Aller à la page Facebook du projet :
https://www.facebook.com/PraTICcomm; « aimer »
la page et y inscrire un commentaire
• Aller à : http://www.facebook.com/pages/create.php
• Cliquer sur : « Créer une Page » pour une
entreprise, organisme ou association
• Sélectionner la catégorie, ex. : « organisme
communautaire », et créer une page provisoire
38
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
39. Consulter une page Facebook d’un groupe de
femmes et laisser un commentaire, ex. :
• ConcertAction Femmes Estrie :
https://www.facebook.com/ConcertActionFemmesEstrie
• Centre des femmes La Parolière :
https://www.facebook.com/laparoliere
• Arrimage Estrie :
https://www.facebook.com/pages/Arrimage-
Estrie/439354572823903
• Femmes et politique municipale de l'Estrie :
https://www.facebook.com/pages/Femmes-et-politique-
municipale-de-lEstrie/162331427111933
39
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
40. 40
Qu'est-ce qu'un blogue ?
• Au Québec, en 2010 : 2,3 millions de
QuébécoiEs consultaient des blogues
• Combien d'adultes québécois ont
consulté un blogue ?
• Combien d'adultes québécois ont
écrit ou exprimé un commentaire
sur un blogue ?
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
41. 41
Source : L’explosion des médias sociaux au Québec. CEFRIO : NeTendances, vol. 1 (1), 2010.
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
43. 43
Qu'est-ce qu'un microblogue ?
• Au Québec, en 2012... 8,3 % des adultes
étaient des utilisateurs de Twitter
• Combien d'adultes québécois ont écrit un
message sur un microblogue ?
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
44. 44
Source : L’explosion des médias sociaux au Québec. CEFRIO : NeTendances, vol. 1 (1), 2010.
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
45. 45
Source : Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des
Québécois. CEFRIO : NeTendances, volume 3, numéro 1, 2012.
En 2012
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
47. Twitter… des pour et des contre!
Avantages
• Communications en
temps (quasi-)réel à
l’occasion d’événements
et d’actions collectives
• Liens directs avec les
journalistes et éluEs
• Applications telle que
pétition en ligne
Inconvénients
• Création de compte
obligatoire pour diffuser
et échanger (mais pas
pour consulter)
• Jargon et quelques sigles
à s’approprier
• Limite de 140 caractères
47
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
48. 1. Allons ensemble sur http://twitter.com/
2. Accédez à votre compte ou à celui du projet
(http://twitter.com/PraTICcomm - on vous
donnera les accès), ou créez-vous un compte
3. Recherchez le compte d’unE autre
participantE
4. Composez et envoyez un tweet à son
intention, en incluant dans le tweet :
• son identifiant Twitter (ex. : @praTICcomm)
• le mot-clic (« hashtag ») #praTICcomm
48
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
49. 5. Recherchez le compte d’un organisme et
abonnez-vous; consultez ensuite ses tweets
dans votre fil de nouvelles (« Accueil » en haut à
gauche)
6. Répondez à un tweet reçu
7. Consultez le fil des échanges du mot-clic
#praTICcomm (tapez le mot-clic dans le champ
« recherche » en haut à droite, puis appuyez sur
la touche Entrée/Retour)
49
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
50. Des exemples de comptes Twitter :
• https://twitter.com/Pepinesestrie
• https://twitter.com/ArrimageEstrie
• https://twitter.com/rc_estrie
50
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
51. Suggestion :
Utilisez un outil de gestion des tweets, plutôt
que d'aller sur le site de Twitter : permet
d'organiser les tweets, par thème, par liste, etc.
Voici les 2 principaux outils :
• Hootsuite - http://hootsuite.com/
• TweetDeck - http://www.tweetdeck.com/
51
Usages du Web 2.0 au QuébecUsages du Web 2.0 au Québec
52. 52
Une formation surUne formation sur
les enjeux que soulèventles enjeux que soulèvent
les pratiques collaborativesles pratiques collaboratives
et les médias sociauxet les médias sociaux
pour les praTIC communautairespour les praTIC communautaires
Conçue et animée par : Sylvie Jochems,
Professeure, École de travail social, UQAM
Co-animée par :
Katherine Macnaughton-Osler,
Coordonnatrice du projet
BlocIIBlocII
54. 54
Les TIC, qu’est-ce que ça change ?
Réf. : Jochems, 2011;
Cardon, 2010; Cardon et Granjon, 2010
Des connaissances utiles!Des connaissances utiles!
55. 55
Des connaissances utiles!Des connaissances utiles!
DépassonsDépassons
le « déterminisme technologique »!le « déterminisme technologique »!
• Les technologies ne déterminent pas
le comportement des humains!
– Évitons de penser « l'impact » des technologies
sur l'intervention, la société, …
• Les humains formatent les
technologies
– Les concepteurs de logiciels et de technologies
fabriquent ces objets et y inscrivent
volontairement ou non une culture, des rapports
de pouvoir, ...
11erer
postulatpostulat
56. 56
Source : CARDON, Dominique (2010). La démocratie Internet. Promesses et limites. Éditions Seuil,
p.43.
La notion d’espace public change!La notion d’espace public change!
4 formes de prise de parole en public
Des connaissances utiles!Des connaissances utiles!
57. 57
Les usagères des TIC sont à laLes usagères des TIC sont à la
fois :fois :
Lectrices et Auteures
Destinataires et Émettrices
Consommatrices Productrices
et d'informations
22ee
postulatpostulat
Des connaissances utiles!Des connaissances utiles!
58. 58
Les usages des TIC ont unLes usages des TIC ont un
senssens
On ne devrait pas présumer du
sens des usages des TIC par les
personnes
Les usages peuvent même avoir
des sens différents d’une
personne à une autre!
33ee
postulatpostulat
Des connaissances utiles!Des connaissances utiles!
59. 59
Les usagères des TIC peuventLes usagères des TIC peuvent
être des actrices socialesêtre des actrices sociales
Parler, écrire, communiquer = agir
Écrire sur les médias sociaux, n'est pas
« virtuel », c'est bien « réel »!
*Les liens sociaux sur le Web sont réelsLes liens sociaux sur le Web sont réels
Donc des connaissances utiles pour les praTICDonc des connaissances utiles pour les praTIC
communautaires...communautaires...
44ee
postulatpostulat
Des connaissances utiles!Des connaissances utiles!
61. 61
Une organisation 2.0Une organisation 2.0
Source : Livre blanc sur les nouveaux usages du Web 2.0 pour les organisations.
CEFRIO et Atelya expert conseil, 2011, p.12.
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
62. 62
Les organisationsLes organisations dans la mire des
internautes québécois sur les médias
sociaux
En 2011, 31 % des internautes québécois31 % des internautes québécois ontont
suivisuivi une entreprise, un organisme ou un
ministère sur les médias sociaux; 56 % de ces56 % de ces
personnes ont interagipersonnes ont interagi avec une entreprise, un
organisme ou un ministère sur un média social
Dans ce contexte, il est difficile pour les
organisations québécoises d’ignorer ce moyen
de communication privilégié auprès de leur
clientèle! Source : L’engouement pour les médias sociaux au Québec.
CEFRIO : NeTendances, volume 2, numéro 1, 2011.
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
63. 63
Source : Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des Québécois. CEFRIO :
NeTendances, volume 3, numéro 1, 2012.
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
65. 65
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Google Drive et Dropbox sont :Google Drive et Dropbox sont :
• Des outils de stockage de fichiers en ligne :
on y dépose des documents
• Permettent la synchronisation des fichiers
sur plusieurs plateformes Web (ordinateurs
de bureau, portable, téléphone intelligent…)
Mais Google Drive, en plus, est :Mais Google Drive, en plus, est :
• Une suite de bureautique sur le Web : on
peut créer des documents
66. en action communautaire
Avantages
• Très facile à utiliser!
• Permet d’accéder à des
documents où que nous soyons
• Nos changements sont mis à jour
automatiquement
• Archive les documents; la dernière
version du fichier est toujours en
ligne
• Permet de partager des
documents avec des collègues
sans passer par le compte courriel
• Conserve la mise en forme des
documents
Inconvénients
• Cela prend une connexion Internet
pour accéder aux fichiers et
assurer leur mise à jour
• Nécessaire de télécharger
Dropbox sur son ordinateur,
portable et autres appareils
(logiciel gratuit)
• Il faut se créer un compte
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
67. 67
Se créer un compte à
https://www.dropbox.com/ :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
68. 68
Consultez la présentation et téléchargez
Dropbox à https://www.dropbox.com/tour/0 :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
69. Google Drive en action communautaire
Avantages
• Très facile à utiliser!
• Permet d’accéder à des documents
de travail où que nous soyons
• Nos changements sont mis à jour
automatiquement
• On travaille directement en ligne!
• Archive les documents; la dernière
version du fichier est toujours en
ligne
• Permet de partager des documents
avec des collègues sans passer par
le compte courriel
• Favorise le travail collaboratif; par
exemple, co-rédiger le rapport
annuel!
Inconvénients
• Connexion Internet nécessaire pour
assurer la mise à jour des fichiers
partout et pour y accéder, à moins
d’avoir installé l’option « Hors
connexion » au préalable
• Importation problématique de
fichiers Microsoft Office (Word, etc.)
• Nécessaire de se créer un compte
• Il arrive parfois que l’on ait des
problèmes techniques, surtout si on
utilise le navigateur Internet
Explorer. Pour plus de convivialité,
utilisez Firefox ou Chrome :
69
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
70. 70
Exercices d'introduction en 4 étapes : *
1. Avoir accès à Google Drive
2. Créer, nommer, importer et exporter un
document
3. Collaborer : partager et co-écrire!
4. Classer les documents dans vos collections
* On réalisera ensemble l’étape numéro 3. Les numéros 1, 2
et 4 sont pour vous dans vos milieux.
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
71. 71
Étape 1 : Avoir accès à Google Drive
• Pour accéder à toutes les fonctionnalités de
Google Drive, il faut ouvrir un compte Google.
• Vous avez un courriel électronique Gmail ? Vous
avez déjà un compte Google par défaut!
• Sinon, vous pouvez utiliser n’importe quelle
autre adresse courriel pour créer un compte
Google.
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
72. 72
Comment ouvrir un compte Google ?
1. Rendez-vous sur http://docs.google.com/ et
cliquez sur le bouton rouge « Inscription »
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
73. 73
2. Cliquez sur le lien de confirmation qui sera
envoyé à votre boîte de courrier électronique
3. Retournez à http://docs.google.com/ et
connectez-vous à votre nouveau compte
4. Configurez le compte en langue française, en
allant à « Paramètres » :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
#1
#2
74. 74
Étape 2 : Créer, nommer, importer et
exporter un document
CRÉER un document texte :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Cliquez sur « Créer », puis « Document texte »
75. 75
NOMMER un document texte :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Cliquez sur « Document sans titre »
et donnez un titre à votre document
77. 77
IMPORTER un fichier de votre ordinateur :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Pour télécharger un document de votre
ordinateur : cliquez sur le bouton « importer »
et sélectionnez le fichier ou le dossier désiré
78. 78
EXPORTER un fichier de votre ordinateur :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
#2
#1
1. Avec le clic droit de la souris,
choisissez un document à télécharger
2. Avec le clic gauche de la souris
choisissez « Télécharger »
79. 79
Étape 3 - Collaborer :
Partager et co-écrire un document!
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Vérifiez qu’on a partagé un document avec vous!
1. Affichez
tous vos
docs. et
fichiers
Google
Drive
2. Trouvez le document partagé avec
vous par quelqu’une d’autre
80. 80
Partager vos propres documents (diapo 1/2) :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
#1
#2#3
1. Avec le clic droit de la souris, choisir un fichier à partager
2. Avec le clic gauche de la souris, choisissez « partager »
3. Et encore « partager »
81. 81
Partager vos propres documents (diapo 2/2) :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
4. Insérez l’adresse courriel
de la personne avec qui
vous voulez partager le
document
5. Décidez du nouveau
d’autorisation :
(a)lecture seulement
(b)commentaire seulement ou
(c)modifications autorisées
82. 82
Co-écrire un document (diapo 1/2) :
La co-écriture est une activité que vous faites déjà
dans les groupes communautaires et de
femmes. Vous êtes plusieurs à rédiger un
rapport d’activités annuel, des demandes de
subvention, et autres
Mais le problème habituel, c’est d’avoir toujours la
dernière version modifiée. Google Drive règle ce
problème!
On essaie ensemble ?
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
85. 85
Collaborer par la co-écriture :
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
On voit que
quelqu’une
d’autre a ouvert
ce même
document
L’autre personne rédige ici, en temps réel
Ici, on peut clavarder
avec l’autre personne
86. 86
Étape 4 : Classer les documents dans des
dossiers (diapo 1/2)
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Créez un nouveau dossier et donnez-lui un titre
87. 87
Étape 4 : Classer les documents dans des
dossiers (diapo 2/2)
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Sélectionnez votre document et
cliquez sur « Déplacer vers »
88. 88
Gérer vos dossiers
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Avec le clic droit de la souris,
choisissez un dossier, puis
avec le clic gauche de la souris,
choisissez « Modifier la couleur »
89. 89
Partager un dossier
PraTIC communautairesPraTIC communautaires
Suivez le processus déjà expliqué
pour le partage d’un document
90. 90
Une formation surUne formation sur
les enjeux que soulèventles enjeux que soulèvent
les pratiques collaborativesles pratiques collaboratives
et les médias sociauxet les médias sociaux
pour les praTIC communautairespour les praTIC communautaires
Conçue et animée par : Sylvie Jochems,
Professeure, École de travail social, UQAM
Co-animée par :
Katherine Macnaughton-Osler,
Coordonnatrice du projet
BlocIIIBlocIII
92. 92
ATELIERS :ATELIERS : Enjeux des praTIC communautairesEnjeux des praTIC communautaires
EnjeuxEnjeux
sociauxsociaux
EnjeuxEnjeux
économiqueséconomiques
EnjeuxEnjeux
politiquespolitiques
EnjeuxEnjeux
éthiqueséthiques
Consultez le cahier de la participante!Consultez le cahier de la participante!
a. VOS QUESTIONSVOS QUESTIONS
extraites du questionnaire
pré-formation
b. ATELIERS :ATELIERS :
exploration et discussion
sur les problèmes et défis
dans vos praTIC
c. PLÉNIÈRE:PLÉNIÈRE:
•trucs
•références
•connaissances
complémentaires
•etc...
d. OBJECTIFSOBJECTIFS
2013-20142013-2014
•nb: le projet développera des outils
pour répondre à plusieurs de vos
questions.
94. 94
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRESQUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES
1. L’INTERVENTION SOCIALE1. L’INTERVENTION SOCIALE
• Peut-on faire de l’intervention socialeintervention sociale par le biais des
outils Web ? Quelles balises pour l’intervention ?
• Quelles sont les limites des formations en ligneformations en ligne ?
Comment concevoir un atelier en ligne, un site Web
qui fonctionne ? Comment développer le sens critique
via le Web ?
• Comment continuer à briser l’isolementbriser l’isolement si le canal
devient virtuelvirtuel ?
Enjeux sociaux
95. 95
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES
2. LIENS AVEC LA POPULATION
• Comprendre comment le Web peut-il nous aider à
mieux faire connaître notre missionmieux faire connaître notre mission ? Comment
développer les moyens pour faire connaître et
promouvoir les services de notre organisme par
l'intermédiaire des outils ?
• Quel accès aux TICaccès aux TIC pour les personnes en situationsituation
de pauvretéde pauvreté ?
• Les forums de discussion sur le Web sont-ils
toujours un atout ?
Enjeux sociaux
96. 96
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES :
3. LIENS AVEC NOS MEMBRES
• L’usage de ces outils Web comporte-t-il des avantages etavantages et
des inconvénients pour la vie associativedes inconvénients pour la vie associative de notre
groupe ?
• Devrait-on inscrire l'organisme sur Facebookl'organisme sur Facebook afin de
rejoindre le plus de membres possibles et faire la promotion
des activités de l'organisme ?
• Décalage générationnelDécalage générationnel : Nos membres plus âgées et/ou
moins à l'aise avec la technologie se sentiraient-elles
laissées pour compte ?
• Consultation-démocratieConsultation-démocratie :: Comment faire pour m'assurer
que j'ai l'avis de toutes mes membres via le Web et non pas
juste d'une personne d'un groupe ?
Enjeux sociaux
97. 97
La responsabilité sociale et pertinence professionnelle de s'en
préoccuper :
« Le travail social n’est pas à l’écart des influences de la société
de l’information, même s’il n’en prend pas une conscience nette,
même s’il n’en perçoit pas toutes les interpellations et même s’il se
positionne encore sur certains sujets de manière défensive. Il doit
pourtant s’interroger, de sa place, sur le concept même de société
de l’information :
« Société de l’information pour qui ? Pour servir quelles
finalités ? Avec quels types d’appropriation sociale ? Pour
quels usages ? Au service de quels besoins sociaux ? Pour
quelles opportunités ? Avec quels dangers et donc quelles
précautions à prendre ? Avec quels risques en termes
d’exclusions ou de nouvelles exclusions ? »
(Source : Conseil du travail social, France, 2001)
Enjeux sociaux
101. 101
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES
1. BUDGET DE L’ORGANISME
• Peut-on faire des économies de temps, d’argentéconomies de temps, d’argent
avec le Web ?
• Quels sont les coûts reliés à l'utilisationles coûts reliés à l'utilisation des médias
sociaux ? Est-ce que cela réduit réellement les coûts
des publicitéspublicités ? Difficultés de publication dans les
médias communautaires ? DélaisDélais des publications ?
Réduction des coûts des envois postauxenvois postaux ?
• Vu la grandeur du territoirela grandeur du territoire peut-on communiquer
efficacement ?
• Comment trouver des subventionstrouver des subventions pour permettre le
développement de notre organisme ?
Enjeux économiques
102. 102
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES
2. ALTERNATIVES2. ALTERNATIVES
• Y a-t-il moyen de faire des campagnes de financementcampagnes de financement
efficaceefficaces via les outils Web ?
• Que sont les logiciels libreslogiciels libres ? Le partage de logicielpartage de logiciel,
donc économie pour l'organisme ?
3. ORGANISATION DU TRAVAIL3. ORGANISATION DU TRAVAIL
• Quel temps de travailtemps de travail consacré à sa mise à jour ?
• Je représente un organisme communautaire qui s’est inscrit
récemment à des réseaux sociaux tels que Twitter et
Facebook. Nous souhaitons évaluer la pertinence
d’investir du tempsinvestir du temps à ce type de ressources pour un
organisme communautaire qui a peu de ressources.
Enjeux économiques
103. 103
Gérer et partager des documents,
pour une synchronisationsynchronisation Web des fichiers
Enjeux économiques
106. 106
Logiciels libresLogiciels libres :
Logiciels dont la licence
donne à tous le droit de
l'utiliser, le modifier, etc.,
sans frais. Une alternative
aux logiciels «propriétaires»,
qu’on doit utiliser tels quels,
et qui sont souvent payants.
Enjeux économiques
107. 107
Coopérative de travail du Web Koumbit pour les logiciels libresKoumbit pour les logiciels libres
et la gestion des ressources informatiqueset la gestion des ressources informatiques
Enjeux économiques
108. 108
OBNL qui fait la promotion des logiciels libreslogiciels libres :: FACILFACIL
Enjeux économiques
109. 109
Creative commons :Creative commons : donne des moyens simples standardisés
pour accorder des permissions de droits d’auteur à nos oeuvres
Enjeux économiques
110. 110
Réduire les coûtsRéduire les coûts
de la téléphonie et
des déplacements
de représentation
Enjeux économiques
113. 113
COMMENTAIRES :
• Cela me semble intéressant, mais paintéressant, mais paSS une prioritéune priorité!
• Pas d'intérêt
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES
1. GOUVERNANCE INTERNE1. GOUVERNANCE INTERNE
• Est-ce que notre groupe peut avoir plus de pouvoirplus de pouvoir ?
• Peut-on favoriser la démocratie à l’intérieur de notredémocratie à l’intérieur de notre
groupgroupe ?
Enjeux politiques
114. 114
2. ACTION PUBLIQUE2. ACTION PUBLIQUE
• Quels sont les avantages et inconvénients à mobiliser etmobiliser et
organiser une action collectiveorganiser une action collective via le Web ? Quel est le
meilleur moyen de mobiliser la population avec ce type
d’outils ? Quelle est l'utilité d'un blogue pour un
organisme comme le nôtre, comme outil de mobilisation ?
Faire signer des pétitions et faire des j'aime sur certains
sujets, est-ce que cela peut vraiment changer la
monde ?......
• L'accès à la classe politique, le pouvoir acquis par
Internet est-il réel ?
• Qu'est-ce que la société de l'information et desQu'est-ce que la société de l'information et des
savoirs ?savoirs ? La société de l'information et du savoir passe-t-
elle par Facebook ? Quelle est la place des femmes aula place des femmes au
sein de la société de l'informationsein de la société de l'information (celle qu'on ne nous
donne pas vs. celle qu'on choisirait de ne pas prendre) ?
Enjeux politiques
115. 115
Prendre la parole et publier sur un blogue,
c’est prendre du pouvoir
Enjeux politiques
116. 116
« Prenez le contrôle de la technologie ! » : des pratiques de
sécurité en ligne, et pour protéger la vie privéeprotéger la vie privée
Enjeux politiques
119. 119
Enjeux des PraTIC communautairesEnjeux des PraTIC communautaires
EnjeuxEnjeux
sociauxsociaux
EnjeuxEnjeux
économiqueséconomiques
EnjeuxEnjeux
politiquespolitiques
EnjeuxEnjeux
éthiqueséthiques
120. 120
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES
1. ÉCRIRE SUR LES MÉDIAS SOCIAUX
QUELLES INFORMATIONS TRANSMETTRE ?
• Quelles sont les informationsinformations que nous pouvons transmettretransmettre sur
Facebook, Twitter, notre site Web, etc. ?
– Quelles limiteslimites à respecter dans la diffusion de l’information ?
Quels sont les dangersdangers ?
– À qui appartientÀ qui appartient le contenu transmis sur Facebook, Twitter,
etc. ?
• Sur Facebook, par exemple, il faut décider de qui on accepte les
demandes d'amitié, sans vraiment savoir de quel individu ou de
quel groupe il s'agit. Or, il est souvent très fastidieux de faire lesfastidieux de faire les
recherches appropriéesrecherches appropriées pour mieux connaître les organismes ou
les individus en question. Les commentaires négatifscommentaires négatifs sur le
babillard sont également compliqués à gérercompliqués à gérer..
Enjeux éthiques
121. 121
QUESTIONS DES ACTEURS COMMUNAUTAIRES
2. CODES ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE2. CODES ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE
• Comment ne pas franchir la ligne entre vie personnelle etvie personnelle et
professionnelleprofessionnelle ?
• Les propos tenuspropos tenus par les membres sont-ils endossésendossés
automatiquement par l’organismeautomatiquement par l’organisme ?
• Possibilité de faire revivre à des femmes des expériencesexpériences
traumatisantestraumatisantes (un trolltroll qui mettrait un lien vers l'image
d'un foetus par exemple). Comment se prémunir des
masculinistesmasculinistes ?
• Comment se protéger ?
Enjeux éthiques
122. 122
2. CODES ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE2. CODES ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE
(suite)(suite)
CONFIDENTIALITÉ ET RESPONSABILITÉCONFIDENTIALITÉ ET RESPONSABILITÉ
• Confidentialité des membresConfidentialité des membres : règles à suivre... Nous sommes
préoccupées si conflit existerait entre la clause de confidentialité et
l'objectif premier de Facebook. Réflexion sur la confidentialitéconfidentialité
dans les échangesdans les échanges et dans les messages transmis, ex. : écrire
sur le « mur » Facebook d’une personne ou en privé ?
• On se questionne beaucoup sur la pertinence de Facebook pour y
inscrire les organismes... quelques histoires d’horreur sur le
bitchagebitchage qui se fait et sur les problèmes de confidentialité que doit
gérer le groupe après
• Nous devons aussi savoir quels enjeux il y a au niveau de la
confidentialité et du contenu possible.confidentialité et du contenu possible. Par exemple, utilisation
d'un logiciel de statistiques par un serveurlogiciel de statistiques par un serveur (confidentialité et
responsabilités)
Enjeux éthiques
126. 126
Enjeux éthiques Ex. Auberges du coeur
Des zones à risque ce sont :
• Des zones grises
• Des comportements qui ne se justifient pas
• Un espace laissant place à une variété de conduites
professionnelles
• La présence de conflits de valeurs et de normes
• La difficulté à trouver le sens, car il y a absence de repères
communs
Ces zones à risque sont :
1. La gestiongestion et la responsabilité de l’Aubergeresponsabilité de l’Auberge
2. La limitelimite entre vie personnellevie personnelle et vie professionnellevie professionnelle
3. La confidentialitéconfidentialité et la vie privéevie privée
4. L’interventionintervention
4 zones identifiées à risque4 zones identifiées à risque
127. 127
Démarche du Regroupement des Auberges du coeurDémarche du Regroupement des Auberges du coeur
• Faut-il ou non des balises claires pour l’utilisation des médias sociaux
dans les Auberges? Ces balises doivent-elles êtreCes balises doivent-elles être communes pour
toutes les Auberges ou adaptées selon chacuneadaptées selon chacune ?
• Ce qui ressort des groupes de discussions et des séances de travail du
comité est plutôt de mettre l’accent sur la formation du personnel,mettre l’accent sur la formation du personnel,
mais aussi de mieux encadrer l’utilisation des médias sociaux, et
particulièrement Facebook, par des recommandations portant sur les
zones à risque. L’évaluation des risques permet de constater qu’un
encadrement tourné vers la sensibilisation et la formation s’avèrevers la sensibilisation et la formation s’avère
primordialprimordial..
• Le Comité souhaite que ce document soit une base de réflexion dansune base de réflexion dans
les Aubergesles Auberges afin d’aider à mieux baliser cette pratique d’intervention
émergente.
Référence : Langlois et Gendreau, 2013; 2012: p. 12
Enjeux éthiques Ex. Auberges du coeur
128. 128
Enjeux éthiques : Code criminel canadienCode criminel canadien
...
À propos de la cyber-intimidation ...À propos de la cyber-intimidation ...
Les DROITS et le code criminel canadienLes DROITS et le code criminel canadien
«« Le Code criminel canadien,Le Code criminel canadien, tel qu’il est actuellement
conçu, a tout ce qu’il faut pour que les policiers interviennent
lorsqu'une belle Rehtaeh Parsons vit ce qu'elle a vécu »
(Robert, 2013)
→ L'agression sexuelleL'agression sexuelle est un crime passible de dix ans de
prison qui fait l’objet d’accusations quotidiennes dans tous les
districts judiciaires du pays. Article 271 du Code criminel.
→ L'agression sexuelle commise par plus d'uneL'agression sexuelle commise par plus d'une
personnepersonne est une agression sexuelle du second degré, plus
grave encore donc, et passible d’un emprisonnement
maximal de quatorze ans. Article 272 du Code criminel.
129. 129
...
→ Encourager la commission d’une agression sexuelle enEncourager la commission d’une agression sexuelle en
prenant des photosprenant des photos fait du photographe un complice aussi coupable que
les agresseurs principaux et passible de la même peine. Article 21 du Code
criminel. (Parenthèse, juste au cas : une adolescente saoule ou gelée ne peut pas consentir
à avoir des relations sexuelles, tout simplement parce qu’elle est incapable de former le
consentement requis. Article 273.1 du Code criminel).
→ Prendre des photos d’une adolescente qui se fait violerPrendre des photos d’une adolescente qui se fait violer
constitue de la production pornographie juvénile passible d’une peine maximale
de dix ans. La peine minimale est d’un an de prison. Article 163.1 (2) du Code
criminel.
→ Publier les images de l’agression sexuelle d’une mineure, surPublier les images de l’agression sexuelle d’une mineure, sur
Facebook ou ailleurs,Facebook ou ailleurs, diffuser ces images par courriel ou par textos, et même
les distribuer en classe ou au parc, constitue de la publication de pornographie
juvénile, crime passible de dix ans de prison, la peine minimale étant d’une année.
Article 163.1 (3) du Code criminel.
→ Le simple fait de posséder, dans sa poche de jeans, dansLe simple fait de posséder, dans sa poche de jeans, dans
son cellulaire ou dans son ordinateur, des photos d’uneson cellulaire ou dans son ordinateur, des photos d’une
mineure qui se fait agresser sexuellementmineure qui se fait agresser sexuellement constitue de la possession
de pornographe juvénile, crime passible de cinq ans de prison, la peine minimale étant
de six mois d’emprisonnement. Article 163.1 (4) du Code criminel.
Enjeux éthiques : Code criminel canadienCode criminel canadien
130. 130
...
→ Écœurer une jeune femme par courriel, par message privé,Écœurer une jeune femme par courriel, par message privé,
sur Facebook ou ailleurs,sur Facebook ou ailleurs, en lui faisant craindre pour sa sécurité –y
compris sa sécurité psychologique – constitue du harcèlement criminel,
crime passible d’une peine maximale de dix ans. Article 264 du Code
criminel.
→ Menacer une adolescente/adulte de pires représailles si elleMenacer une adolescente/adulte de pires représailles si elle
porte plainte, ou lui faire subir quelque autre chantage pourporte plainte, ou lui faire subir quelque autre chantage pour
la forcer à faire ou ne pas faire quelque chosela forcer à faire ou ne pas faire quelque chose qu’elle aurait
légalement le droit de faire constitue un crime d’intimidation passible de
cinq ans d’emprisonnement. Article 423 du Code criminel.
→ Écrire, sur Facebook ou ailleurs, qu’une adolescente/adulteÉcrire, sur Facebook ou ailleurs, qu’une adolescente/adulte
qui a été violée est une putainqui a été violée est une putain constitue un libelle diffamatoire,
crime passible de deux ans de prison. Article 298 du Code criminel.
→ Répandre la nouvelle qu’une adolescente/adulte est uneRépandre la nouvelle qu’une adolescente/adulte est une
putain alors qu’on l’a violéeputain alors qu’on l’a violée constitue un libelle délibérément faux,
crime passible de cinq ans de prison. Article 300 du Code criminel.
Enjeux éthiques : Code criminel canadienCode criminel canadien
131. 131
Les enfants
en ligne ...
conseils etconseils et
outils pour lesoutils pour les
e-parentse-parents
Enjeux éthiques
132. 132
2 textes distribués2 textes distribués
JOCHEMS, Sylvie (2011). Section « Les technologies de
l'information et de la communication (TIC) : Qu’est-ce que ça
change ? », extrait du Chap. 6 “La communication en action
communautaire” dans PANET-RAYMOND, Jean et Jocelyne
LAVOIE, Les pratiques d’action communautaire au Québec, PUQ.
NB : Texte diffusé dans le cadre de la formation « Soigner ses TIC
communautaires » avec la permission des éditeurs, Jean Panet-Raymond
et Jocelyne Lavoie.
JOCHEMS, Sylvie (2007). « La fracture numérique : un problème
social ? » dans H. Dorvil (éd.) Les problèmes sociaux : théories et
méthodologies de l'intervention sociale, tome IV, PUQ.
Pour consulter les autres références,
voir la bibliographie sur le site Web du projet :voir la bibliographie sur le site Web du projet :
http://www.pratic.uqam.ca/
133. 133
Bibliographie
•AMBROSI Alain, PEUGEOT Valérie et Daniel PIMIENTA
(2005). Enjeux de mots : Regards multiculturels sur les sociétés
de l’information, Éditions C&F, Caen, 649 pages.
•BOLTANSKI, Luc et Ève CHIAPELLO (1999). Le nouvel esprit
du capitalisme, Gallimard, 818 pages.
•CARDON, Dominique (2010). La démocratie Internet :
Promesses et limites. Coédition Seuil-La République des idées,
Paris, 112 pages.
•CARDON, Dominique et Fabien GRANJON (2010).
Médiactivistes, collection Contester, no9, Les presses
SciencesPo, Paris, 147 pages.
•CDEACF (2009). Présentation de la formation sur les médias
sociaux disponible sur SlideShare :
http://www.slideshare.net/cdeacf/le-web-20-principes-usages-
et-outils
134. 134
Bibliographie
•CEFRIO (2012). Les médias sociaux ancrés dans les
habitudes des Québécois. : NeTendances, volume 3, no 1.
•CEFRIO (2011). Livre blanc sur les nouveaux usages du
Web 2.0 pour les organisations et Atelya expert conseil, p.12.
•CEFRIO (2011). L’engouement pour les médias sociaux au
Québec. : NeTendances, volume 2, numéro 1.
•CEFRIO (2010). L’explosion des médias sociaux au
Québec. : NeTendances, vol. 1 (1).
•CONSEIL SUPÉRIEUR DU TRAVAIL SOCIAL (2001).
Nouvelles technologies de l’information et de la
communication et travail social, Rapport du groupe d’étude,
France. Résumé disponible en ligne à :
http://www.social.gouv.fr/htm/pointsur/travail_soc/conseil_sts/
nouvelles.htm#top
135. 135
Bibliographie
•JOCHEMS, Sylvie (2011). Section « Les technologies de
l'information et de la communication (TIC) : Qu’est-ce que ça
change ? » extraite du Chap. 6 “La communication en action
communautaire” dans PANET-RAYMOND, Jean et Jocelyne
LAVOIE, Les pratiques d’action communautaire au Québec,
PUQ.
•JOCHEMS, Sylvie (2007). « La fracture numérique : un
problème social ? » dans H. Dorvil (éd.) Les problèmes
sociaux : théories et méthodologies de l'intervention sociale,
tome IV, PUQ.
•LANGLOIS,L. et GENDREAU, I. (2012). "Réflexion éthique
sur l'utilisation des médias sociaux dans les Auberges du
coeur", Revue Nouvelles Pratiques Sociales, vol.24,no2.
•RACQ (2012). Les médias sociaux et les Auberges du
coeur: Le défi d'évoluer avec les jeunes, Rapport du comité
Éthique et médias sociaux, Disponible en ligne
•ROBERT, Véronique Me (13 avril 2013). "À propos de la
belle Rehtaeh Parsons", journal Voir Montréal, Disponible en
lien à : http://voir.ca/veronique-robert/2013/04/13/a-propos-
de-la-belle-rehtaeh-parsons/
136. 136
Cahier de la participanteCahier de la participante
ATELIERS : Enjeux des PraTIC communautaires
EnjeuxEnjeux
sociauxsociaux
EnjeuxEnjeux
économiqueséconomiques
EnjeuxEnjeux
politiquespolitiques
EnjeuxEnjeux
éthiqueséthiques
a. VOS QUESTIONSVOS QUESTIONS
extraites du
questionnaire
pré-formation
b. ATELIERS :ATELIERS :
exploration et
discussion sur les
problèmes et défis
dans vos praTIC
c. PLÉNIÈRE:PLÉNIÈRE:
•trucs
•références
•connaissances
complémentaires
•etc...
d. OBJECTIFSOBJECTIFS
2013-20142013-2014
NOM DE LA PARTICIPANTE :
______________________________
NOM DU GROUPE :
______________________________
137. 137
Discussion en atelier et notes de nos réponses
1.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC1.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC
1.2 Solutions envisagées1.2 Solutions envisagées
1. Enjeux sociaux
138. 138
1.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias1.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias
sociaux, TIC et autres outils Websociaux, TIC et autres outils Web
(accompagnement par Katherine)
1.4 Formation #21.4 Formation #2 PraTIC collaboratives (Skype,PraTIC collaboratives (Skype,
webinaires, ...)webinaires, ...)
1.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à1.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à
discuter ensemble au Québecdiscuter ensemble au Québec
1. Enjeux sociaux Objectif(s) 2013-2014Objectif(s) 2013-2014
139. 139
2. Enjeux économiques
Discussion en atelier et notes de nos réponses
2.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC2.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC
2.2 Solutions envisagées2.2 Solutions envisagées
140. 140
Enjeux économiques Objectif(s) 2013-2014Objectif(s) 2013-2014
2.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias2.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias
sociaux, TIC et autres outils Websociaux, TIC et autres outils Web (accompagnement
par Katherine)
2.4 Formation #22.4 Formation #2 PraTIC collaboratives (Skype,PraTIC collaboratives (Skype,
webinaires, ...)webinaires, ...)
2.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à2.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à
discuter ensemble au Québecdiscuter ensemble au Québec
141. 141
3. Enjeux politiques
Discussion en atelier et notes de nos réponses
3.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC3.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC
3.2 Solutions envisagées3.2 Solutions envisagées
142. 142
3. Enjeux politiques Objectif(s) 2013-2014Objectif(s) 2013-2014
3.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias3.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias
sociaux, TIC et autres outils Websociaux, TIC et autres outils Web
(accompagnement par Katherine)
3.4 Formation #23.4 Formation #2 PraTIC collaboratives (Skype,PraTIC collaboratives (Skype,
webinaires, ...)webinaires, ...)
3.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à3.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à
discuter ensemble au Québecdiscuter ensemble au Québec
143. 143
4. Enjeux éthiques
Discussion en atelier et notes de nos réponses
4.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC4.1 Problèmes et défis à relever dans mes praTIC
4.2 Solutions envisagées4.2 Solutions envisagées
144. 144
4. Enjeux éthiques Objectif(s) 2013-2014Objectif(s) 2013-2014
4.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias4.3 Mes/nos besoins d'expérimentation de médias
sociaux, TIC et autres outils Websociaux, TIC et autres outils Web
(accompagnement par Katherine)
4.4 Formation #24.4 Formation #2 PraTIC collaboratives (Skype,PraTIC collaboratives (Skype,
webinaires, ...)webinaires, ...)
4.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à4.5 Forum PraTIC communautaires : des enjeux à
discuter ensemble au Québecdiscuter ensemble au Québec
NOTES EXPLICATIVES : - Adultes québécois : l’ensemble des répondants de 18 ans et plus, qu’ils utilisent ou non Internet. - Internautes québécois : personnes de 18 ans et plus qui utilisent Internet. - Internautes québécois ayant effectué au moins une activité sur les médias sociaux : personnes de 18 ans et plus qui utilisent Internet et qui ont indiqué réaliser sur les médias sociaux au moins l’une des activités nommées, et ce, au moins une fois par mois.
NOTES EXPLICATIVES : - Adultes québécois : l’ensemble des répondants de 18 ans et plus, qu’ils utilisent ou non Internet. - Internautes québécois : personnes de 18 ans et plus qui utilisent Internet. - Internautes québécois ayant effectué au moins une activité sur les médias sociaux : personnes de 18 ans et plus qui utilisent Internet et qui ont indiqué réaliser sur les médias sociaux au moins l’une des activités nommées, et ce, au moins une fois par mois.
1 et 2 le Web 2.0 et les communications unifiées, sont issues du monde civil. 1. Le Web 2.0 fait référence à l’utilisation d’outils 2.0 sur le portail de l’organisme, tels que l’annuaire et l’organigramme dynamique, les réseaux et espaces métier, les blogues, wikis et forum, etc. 2. Les communications unifiées font référence aux outils de communication en temps réel tels que la messagerie instantanée, le live meeting, le partage de bureau, etc. 3. Le X as a Service, est pour sa part issue du monde économique. Elle fait référence à l’informatique en nuage et constitue une nouvelle façon de consommer les technologies de l’information à faibles coûts, stockées sur un serveur hébergeant et accessibles par fureteur Web ou mobile. 4. La gestion collaborative, est issue du monde juridique. Elle fait référence aux processus de gestion de la connaissance, aux données patrimoniales, aux règles d’affaires et d’archivage, etc. L’interrelation de ces quatre dimensions au sein de l’organisation 2.0 fait émerger de nouveaux usages, par et pour les collaborateurs.
1 et 2 le Web 2.0 et les communications unifiées, sont issues du monde civil. 1. Le Web 2.0 fait référence à l’utilisation d’outils 2.0 sur le portail de l’organisme, tels que l’annuaire et l’organigramme dynamique, les réseaux et espaces métier, les blogues, wikis et forum, etc. 2. Les communications unifiées font référence aux outils de communication en temps réel tels que la messagerie instantanée, le live meeting, le partage de bureau, etc. 3. Le X as a Service, est pour sa part issue du monde économique. Elle fait référence à l’informatique en nuage et constitue une nouvelle façon de consommer les technologies de l’information à faibles coûts, stockées sur un serveur hébergeant et accessibles par fureteur Web ou mobile. 4. La gestion collaborative, est issue du monde juridique. Elle fait référence aux processus de gestion de la connaissance, aux données patrimoniales, aux règles d’affaires et d’archivage, etc. L’interrelation de ces quatre dimensions au sein de l’organisation 2.0 fait émerger de nouveaux usages, par et pour les collaborateurs.
Katherine: je sais que le nb est en vert et 14points. Mais c'est seulement pour m'indiquer une note lors de la présentation. Note que je ne veux pas oublier de mentionner. :-)
Nétiquette : Ce que vous ne feriez pas lors d’une conversation réelle face à votre correspondant, ne prenez pas l’Internet comme bouclier pour le faire.