L’EXAMEN CLINIQUE EN PARODONTOLOGIE Intérêts & objectifMounir ZAGHEZ
L'examen clinique parodontal vise à rechercher tous les éléments bactériens, mais aussi généraux et environnementaux, susceptibles d'influencer l'état de santé du parodonte. Il contribue à poser le diagnostic de la maladie parodontale, à établir un pronostic et un plan de traitement parodontal.
Le laser diode:un outil du passé présent dans le futurFrank POURRAT
le laser diode est l'outil pour les orthodontistes de demain. Les exigences des patients leur demanderont de finaliser les traitements en alignant les dents mais aussi d'embellir leur sourire en améliorant les contours gingivaux.
Les appareils amovibles ont représenté pendant longtemps le moteur de la thérapeutique fonctionnelle
La notion de la thérapeutique orthopédique fonctionnelle ne limite pas son action aux seules régions adjacentes aux arcades dentaires, mais qu’elle intéresse l’appareil dento-maxillo-facial dans sa totalité jusqu’aux régions plus lointaines de l’organisme, n’est pas d’acquisition toute récente.
Son objet est de modifier la morphologie de l’appareil dento-maxillo-facial en construisant une architecture osseuses plus adaptée à la fonction et à l'esthétique.
L’EXAMEN CLINIQUE EN PARODONTOLOGIE Intérêts & objectifMounir ZAGHEZ
L'examen clinique parodontal vise à rechercher tous les éléments bactériens, mais aussi généraux et environnementaux, susceptibles d'influencer l'état de santé du parodonte. Il contribue à poser le diagnostic de la maladie parodontale, à établir un pronostic et un plan de traitement parodontal.
Le laser diode:un outil du passé présent dans le futurFrank POURRAT
le laser diode est l'outil pour les orthodontistes de demain. Les exigences des patients leur demanderont de finaliser les traitements en alignant les dents mais aussi d'embellir leur sourire en améliorant les contours gingivaux.
Les appareils amovibles ont représenté pendant longtemps le moteur de la thérapeutique fonctionnelle
La notion de la thérapeutique orthopédique fonctionnelle ne limite pas son action aux seules régions adjacentes aux arcades dentaires, mais qu’elle intéresse l’appareil dento-maxillo-facial dans sa totalité jusqu’aux régions plus lointaines de l’organisme, n’est pas d’acquisition toute récente.
Son objet est de modifier la morphologie de l’appareil dento-maxillo-facial en construisant une architecture osseuses plus adaptée à la fonction et à l'esthétique.
1_Multisiciplinary treatment in orthodontics operative dentistry-endodontics_...Dr Sylvain Chamberland
Seminar about multidisciplinary treatment with exemple in operative dentistry, endodontics, prosthodontics, implants, periodontal problems, periodontal maintenance and care
a quick presentation of my thesis" follow-up of root canal treatment of periapical periodontitis filled with a bioceramic material"
It monitors the effectiveness of BioRoot RCS
Retention and Relapse in orthodontics
La Rétention en Orthopédie dento-faciale et stabilité
des corrections
Contention et recidive en orthodontie
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اسامة صنديد# #palestine
2_Multisiciplinary treatment in orthodontics prosthodontics-implants_orthodon...Dr Sylvain Chamberland
Seminar about multidisciplinary treatment with exemple in operative dentistry, endodontics, prosthodontics, implants, periodontal problems, periodontal maintenance and care
Similaire à Le traitement des dents permanentes immatures apexogénèse et (20)
Le traitement des dents permanentes immatures apexogénèse et
1. LE TRAITEMENT DES DENTS
PERMANENTES IMMATURES
APEXOGÉNÈSE ET
APEXIFICATION
2. INTRODUCTION ET DÉFINITION :
• Une dent permanente présente sur
l’arcade est dite immature tant que la
jonction cémento-dentinaire apicale n’est
pas en place.
• Les thérapeutiques des dents
permanentes immatures interviennent à
la suite :
• D’un processus carieux ;
• D’un traumatisme.
3. Le but du traitement
• L’édification radiculaire et alvéolaire ;
• La formation d’une barrière apicale en cas
de nécrose.
4. ANATOMO-PHYSIOLOGIQUE DE
LA IMMATURE :
• une absence de la région apicale.
• L’apex est largement ouvert enforme
d’entonnoir ou tromblon.
• Le canal radiculaire est large.
• Les parois dentinaires, fines et fragiles,
apparaissent divergentes, parallèles ou
convergentes selon le stade de formation
radiculaire.
5. ANATOMO-PHYSIOLOGIQUE DE
LA IMMATURE :
• Le diamètre vestibulo-lingual est toujours
plus grand que le diamètre mésio-distal.
• Cette zone très vascularisée, possède un
potentiel cellulaire important et participe
activement à l’édification radiculaire.
6. Différents stades d’édification
radiculaire :
• Selon Nolla , l’édification radiculaire se
déroule en dix ans:
Du 1er
au 6ème
formation de la couronne;
Du 7ème
au 10ème
, la formation de la racine.
7. La phase de croissance active
On assiste successivement à :
• L’édification de la pulpe ;
• L’élaboration de la matrice de la dentine
primaire et à sa minéralisation ;
• L’édification d’une partie de l’enveloppe
cémentaire et du desmodonte.
• A ce stade, les apex sont encore
largement ouverts(elle dure un an et ½ ).
8. Phase de maturation
Elle se caractérise par :
• L’achèvement de la minéralisation de la
dentine primaire ;
• L’édification complète de l’enveloppe
cémentaire qui conduit à la fermeture
macroscopique de l’apex ;
• La formation de l’os alvéolaire environnant
à partir de la corticale interne : la lamina-
dura(dure plus de 3 ans).
10. Traumatisme
• L’interrogatoire permet de connaître la nature du
traumatisme et surtout le temps écoulé entre
l’accident et la consultation.
• L’observation clinique doit comporter l’examen :
• Des tissus mous.
• Des tissus durs.
• Les tests thermiques et électriques et la
percussion.
• La radiographie rétroalvéolaire.
12. Traitement
• Le paramonochlorophénol camphré.
• L’iodoforme ou crésatine pour augmenter
les propriétés anti-bactérienne.
• La méthyle cellulose en solution aqueuse
pour modifier la consistance et permettre
une obturation plus facile.
• Le sulfate de baryum et l’iodoforme pour
accroître la radio-opacité.
13. Traitement
• Préparation commerciale:elle sont nombreuses
• Pour les préparations endocanalaires
fluides :
-Claxyl (thersa).
-Pulpdent (corpof america).
-Calcipulpe (septodent).
• Pour la préparation durcissante :
-Dycal (caulk).
-Procal (3M).
-Life (kerr).
14. Le M.T.A. Minéral trioxyde
aggregate
• Il a été mis en au point vers les années
1992-1993.
Présentation :
• Il se présente comme une poudre grise
composée de fines particules hydrophyles
ou blanche de formule identique mais
sans fer.
15. Le M.T.A. Minéral trioxyde
aggregate
• Composition :Elle est composée de :
-Oxyde de calcium 65% ;
-Dioxyde de silicate 21% ;
-Oxyde de fer 5% ;
-Oxyde d’aluminium 4% ;
-Sulfate de calcium 2,5%, oxyde de Mg 1%,
oxyde de sodium et de potassium 0,5%.
16. Dents nécrosées : apexification.
Définition :
• La technique d’apexification a pour but
de provoquer la fermeture de l’apex sans
allongement radiculaire et ce par la
formation d’une barrière calcifiée.
17. Dents nécrosées : apexification
• Deux types de réparations peuvent
survenir :
• Si le stade d’évolution radiculaire
correspond à l’âge dentaire du patient (un
enfant), certaines cellules de la gaine
d’Hertwig peuvent demeurer vivantes, et
l’allongement radiculaire peut alors
s’effectuer
18. • Si le stade d’évolution ne correspond plus
à l’âge dentaire du patient, la racine est
alors « figée » au stade où la nécrose
pulpaire est survenue.
19. Indications :
• L’apexification est indiquée dans le cas
où :
• Les dents immatures ont une atteinte
pulpaire non réversible ou nécrosée,
avec ou sans le soin périapical.
• Les dents « isolées » ou le
développement radiculaire a été arrêté
au moment où la nécrose pulpaire s’est
produite
20. Examen clinique :
• La dent ne répond pas aux tests de
vitalité.
• Le test à la percussion peut être
douteux.
• On peut observer l’existence d’un
gonflement ou d’une fistule dans le sillon
vestibulaire.
21. Examen radiographique
– :
Il permet :
• D’établir le stade d’évolution de la racine ;
• De préciser la présence /ou non
d’éventuelles atteintes périapicales.
22. Technique opératoire :
• Anesthésie non nécessaire, sauf pour la
pose du champ opératoire ;
• Cavité d’accès doit être suffisante pour
faciliter l’utilisation des instruments de
préparation et d’obturation et permettre
l’extirpation plus aisée des débris
canalaires ;
• Détermination de la longueur de travail à
l’aide de radiographies prises sous
diverses incidences ;
23. Technique opératoire :
• Le parage s’effectue sans limage excessif
des parois radiculaires, sous irrigation
constante de sérum physiologique ou
d’hypochlorite de sodium à 2,5% ;
• Le séchage s’effectue à l’aide de grosse
pointes de papier stérile par rapport à la
longueur de travail ;
• Le canal est obturé avec l’hydroxyde de
calcium.
24. 1ère Méthode :
• Utilisation d’hydroxyde de calcium pur en poudre
+ eau distillée ou sérum physiologique stérile ;
• Cette pâte est transportée dans le canal à l’aide
d’un porte amalgame stérile « poussée » au
contact du tissu périapical, à l’aide de fouloirs
Schilder ou de grosse pointe de papier stérile,
tenues à l’envers ;
• L’opération est renouvelée plusieurs fois jusqu’à
remplir la totalité du canal.
25. 2ème Méthode :
• Utilisation de l’hydroxyde de calcium sous
forme de pâte (Pulpdent, calcipulpe,
hypocol), introduit dans le canal à l’aide
d’un bourre pâte type Lentulo, sur lequel
la longueur de travail –2mm est reportée ;
• L’hydroxyde de Ca++ peut être amené
dans le canal avec une seringue et des
embouts stériles (Pulpdent Corp).
26. 2ème Méthode :
• Un cliché radiographique est effectué ;
• Les excès de l’hydroxyde de Ca++ sont
éliminés sur une auteur ou hauteur de 4
mm pour permettre une obturation
temporaire à 2 étage (cavité + IRM).
27. Suivi postopératoire :
• A une semaine, les signes cliniques
doivent avoir disparu ;
• A 2 semaines, un cliché radiographique
est pris, un suivi radiologique, tous les 3
mois, jusqu’à la mise en évidence de la
barrière apicale, ce qui peut s’effectuer
dans un délai de 12 à 18 mois ;
28. Suivi postopératoire :
• L’obturation définitive est effectuée soit
par condensation latérale ou verticale à la
Gutta-percha ;
• Le suivi radiographique doit se faire au
bout de 6 mois, 1 an et pendant 4 ans.
29. Pronostic :
• Il est excellent, si la méthodologie est
bien suivie, puisque les études cliniques
montrent une guérison périapicale de
90%.