2. Les travaux produits s’inscrivent davantage dans
l’enrichissement des concepts et des notions , des savoirs,
des méthodes d’analyse ou d’évaluation, dans l’élaboration
des diagnostics, dans la modélisation……
Ils sont toujours clôturés par des RECOMMANDATIONS.
Les recommandations sont souvent difficiles à être mise en
pratique.
LA RECHERCHE EN
ARCHITECTURE ET EN
URBANISME
SITUATIONS URBAINES ET ARCHITECTURALES
3. Si les travaux de recherche menés
dans le cadre académique sont
« validés », car ils approfondissent
les connaissances,
POUR LES PROFESSIONNELS,
ILS RESTENT DEPOURVUS
D’UTILITES PRATIQUES !
REPROCHES/RESERVES.
DANS LE CHAMPS URBANISTIQUE ET ARCHITETURAL.
4. ABORDER DES SITUATIONS URBAINES,
TECHNIQUES ET NOTIONNELLES COMPLEXES
FOURNIR UNE « MODE » DE MISE EN PROJET
LES ATTENTES
ELABORATION D’OUTILS
D’AIDE A LA DECISION
LES COMMANDES PUBLIQUES :
PROPOSITION DE SOLUTIONS SUSCEPTIBLES DE
PERMETTRE DE DEPASSER LES SITUATIONS
PROBLEMATIUES
5. Techniques, processus, scenarii, permettant de
« décider » d’une OPTION, jugée la plus rentable,
la plus efficace, la plus indiquée, la plus
appropriée, pour aborder une situation
complexe.
Ils sont à l’intérieur du projet…..
Ils s’imposent dans le processus
« opérationnel ».
OUTIL D’AIDE A LA DECISION ?
6. • FOURNIR LES INSFORMATIONS COMPLETES ET
NECESSAIRES SUR LA SITUATION (Diagnostic).
• IDENTIFIER LES PARTIES PRENANTES DANS LE
PROJET AUSSI BIEN DANS SA CONCEPTION, DANS
SA REALISATION QUE DANS SA RECEPTION
(EXPLOITATION) (politiques, économiques, sociaux,
financiers, usagers )
• S’APPUYER SUR LES EXPERIENCES ET LES EXPERTISES
DANS LE DOMAINE
LA FORME DES OAD
ELABORATION DES
SCENARII.
7. LA RECHERCHE-ACTION
POUR QUELLES RECHERCHES
PEUT-ON OPTER?
UNE IMMERSION DANS UNE SITUATION EN VUE DE
COLLECTER LES SAVOIRS, LES CONNAISSANCES,
LES INFORMATIONS SUSCEPTIBLES DE FOURNIR UNE
MATIERE, DES ORIENTATIONS ET DES APPUIS A
L’ACTION.
CHANGER , OPTIMISER, « DURABILISER »……
8. PRODUIT UN SAVOIR sur une situation particulière (locale,
cas….)
UTILE A L’ACTION
LE CHERCHEUR S’IMPLIQUE:
ANIMATEUR/MODERATEUR/FORMATEUR
LE CHERCHEUR PARTICIPE: ACTEUR
• Chercher à mieux poser les problèmes et suggérer
des hypothèses
• Aboutir à des conclusions opératoires
• Découvrir les causes en observant les effets.
LA RECHERCHE-ACTION
RECHERCHE FONDAMENTALE: connaissances et savoirs nouveaux sur les
phénomènes
LA RECHERCHE APPLIQUEE: connaissances pour des objectifs pratiques
(généralisables)
9. « est un professionnel et un chercheur qui mène sa recherche sur son
terrain professionnel, ou sur un terrain proche, dans un monde
professionnel présentant des similitudes ou des liens avec son
environnement ou son domaine d’activité. »
L’activité professionnelle oriente, incite, suggère d’aborder les
situations problématiques rencontrées dans la pratique.
La recherche réoriente la pratique. Elle permet d’expérimenter « les
propositions » de solution.
LE PRATICIEN-CHERCHEUR
10. Collectes des données: OBSERVATION DE
L’INTERIEUR/IMMERSION
Rapports aux « sujets »:
VALORISATION/COLLABORATION/ADHESION
Références: ETABLISSEMENT D’ UN « CADRE
REFERENTIEL » COMMUN
Expérimentation (Intersubjective) :
CONFRONTATION/NEGOCIATION/CO-
ELABORATION/COLLABORATION
METHODOLOGIES
11. La recherche-action tente de cerner des problèmes
concrets;
Elle s’inscrit dans le champs (urbain) concret ,
géographique, social, culturel, local, écologique…
LE CHERCHEUR ETABLIT
• Les situations à analyser (sur le terrain)
• L’identification des acteurs potentiels
(impliqués directement ou indirectement dans
la situation )
• Les interrelations, les rapports, les
prérogatives, les références…
• Le cadre qui permet les « négociations ».
12. • Les évaluations des réceptions des ouvrages urbains
font souvent ressortir un DECALAGE avec le VECU.
• les reproches mettent en exergue l’absence de
l’HABITANT, de l’USAGER dans les opérations
urbaines.
IL N’EST PAS CONSULTE,
IL NE PARTICIPE PAS DANS L’ELABORATION DES
PROJETS
IL N’EST MEME PAS INFORME DES PROJETS QUI
CONCERNENT SA VILLE, SON QUARTIER,
QUI CONNAIT LE VECU
QUOTIDIEN urbain?
EXEMPLE
13. L’USAGER, il possède le droit d’usage,
d’exploitation….des services « publics » de l’espace
public
L’ACTEUR, c’est un usager « engagé », militant.
LE CLIENT, un usager dont le service est
« personnalisé ». Service contre paiement.
L’UTILISATEUR: usager des « machines » pour
prestation de services….
L’USAGER ?
14.
15. • Montage (Chef de projet, programmiste,
financiers, juridique, commande…)
• Communication - participation
• Conception (architecte, urbaniste,
ingénieur)
• Réalisation (entreprises)
• Gestion exploitation maintenance
Tous ces intervenants « pensent »
pour l’USAGER…..
16. MAITRE D’OUVRAGE
COMMANDITAIRE
USAGER
CLIENT
ACTEUR
MAITRE D’ŒUVRE
EXEPERT
CONCEPTEUR
PORTEUR D’UN PROJET
DESTINE A L’USAGE PUBLIC
SOUCI DE PROCEDURAL
DETENTEUR DE FONDS
DETENTEUR DE SAVOIR S
TECHNIQUES
COMPETENCE
SOUCI, REPONDRE A LA
COMMANDE
PORTEUR D’UN BESOIN
DETENTEUR DE SAVOIRS
ORDINAIRES
SOUCI: MISE EN EXPLOITATION/
RECEPTION
LES PRINCIPAUX ACTEURS D’UNE OPERATION DE MAITRISE D’OUVRAGE
17. UN MAITRE
D’OUVRAGE
EXPRIMANT LE BESOIN
D’USAGERS
« GENERIQUES »
UN MAITRE D’OEUVRE
REPONDANT A UNE
COMMANDE (EN
RAPPORT AVEC LE
BESOIN EXPRIME PAR
LE MOA
UN USAGER QUI N’EST NI
CONSULTE, NI INVITE A
PARTICIPER .
IL SE CONTENTERA DE
L’USAGER , TOUT LE MONDE PENSE POUR
LUI…..
MAIS PERSONNE NE LE CONSULTE
18. Groupe d’usagers, génériques, lambda,
Informe, « masse », …ghachi….
Citoyen générique, ses besoins sont considérés comme
« basiques ». Ses références: pédantesques, clichés,
expériences personnelles
Et POURTANT, IL Y A PARMI EUX, des
PERSONNES AGEES, DES PMR, DES
ENFANTS, DES FEMMES, DES
ANALPAHBETES, DES GENS
VULNERABLES, LEURS BESOINS SONT
SPECIFIQUES, LOCALISEES….
PROFIL DE L’USAGER
19. ….ET POURTANT, PERSONNE NE CONNAIT LE VECU
QUOTIDIEN COMME LUI…
C’EST UN EXPERTDE L’USAGE….
PAR SON EXPERIENCE DU VECU QUOTIDIEN, L’USAGE IL DEVIENT
DETENTEUR DESAVOIRS « ORDINAIRES » : UN EXEPERT!
20. LA RECHERCHE- ACTION, Le chercheur s’immiscera pour établir « un mode »
interactif entre les différents acteurs
21. IL A SES REFERENCES
« REGLEMENTAIRE S»,
PROGRAMME ,
OBJECTIFS
CONNAISSANCES TECHNIQUES,
COMPETENCES,
LES USAGERS ONT DES
BESOINS, DES SAVOIRS,
DES EXPERIENCES, DES
CAPACITES DE
MOBILISATION,
COMMENT, QUAND ET DE QUELLES
MANIERES INSERER L’USAGER DANS LE
PROCESSUS DE PRODUCTION DE
L’URBAIN….?
24. CONCLUSION
COMMENT EVITER LE « FACE A FACE »?
COMMENT ADOPTER LE « COTE A COTE »?
LES HYPOTHESES:
ETABLISSEMENT DE SCENARII,
MISE EN EXERGUE DE L’INTELLIGENCE SOCIALE COMME
RESSOURCE INDISPENSABLE AU PROJET URBAIN, A LA
PRODUCTION DE L’URBAIN , A LA FABRIQUE DE LA VILLE.