Evolutions structurelles… état des trésoreries… relations avec les partenaires
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2007 à
2013
2013 à
2015
Début
2016
RICA
& Réseaux
d’élevage
CER France
de 10
départements
Enquêtes auprès
de créanciers
(Coop, CUMA…)
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Evolution 2007/2008 à 2012/2013
Litrage/UMO + 40 800 litres
EBE avant MO/produit - 4,5 %
Annuités et FFCT/UMO( X1.4) + 7 200 €
Revenu disponible/UMO - 2 600 €
Dettes CT et fournisseurs/UMO + 10 300 €
Source RICA - Traitement GEB Institut de l’Elevage
-
En 2013 : 1,9 UMO – 72 ha - 405 000 litres de lait
La part des exploitations avec une TNG négative est passée
de 24% en 2007 à 34% en 2013 (14 400 exploitations)
157 231
394
468
572
387
Moyenne Trésorerie
négative
Passif du bilan en €/1000
litres
Capitaux propres
Emprunts LMT
Dettes CT et fournisseurs
1 0861123
1123
De 2007 à 2013 : agrandissement des exploitations & mise en
tension des trésoreries
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Dimensions et résultats en
2013
Moyenne TNG<0
Main-d'œuvre (UMO) 1,9 1,9
Lait vendu 405 000 417 000
Produit brut total/UMO
exploitant
163 300 € 157 900 €
EBE avant MO/produit brut
total
34% 30%
Annuités et FF CT /EBE 49% 65%
Disponible/UMO exploitant 26 600 € 15 400 €
Source RICA - Traitement GEB Institut de l’Elevage
-
« Endettés à long et
moyen terme »
Ouest, 290 exploitations
En 2015 : 2 UMO - 80 ha -
458 000 litres
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Produits/UMO
EBE avant MO/produits
Annuités/EBE
Disponible/UMOF
Marge de sécurité (total)
Source: CER France - TraitementGEB Institutde l’Elevage - Clôtures mars à juin –
échantillon constant
+ 5 vaches
+ 7 ha
+ 43 000 litres de lait
« Trésorerie négative »
Ouest, 90 élevages laitiers
En 2015 : 1,8 UMO - 75 ha -
414 000 litres
2013 2014 2015
124 662 131 620 128 646
30% 33% 30%
62% 55% 69%
11 619 16 186 9 754
-12 268 - 1 553 - 14 671
+ 4 vaches
+ 1 ha
+ 39 000 litres de lait
2013 2014 2015
142 990 156 480 152 420
37 % 39 % 37 %
59 % 50 % 65 %
17 981 26 241 15 312
-9 398 +13 620 -716
Evolution
2013 à 2015
« Endettés à long et
moyen terme »
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Source CER France - TraitementGEB Institut de l’Elevage - Clôtures mars à juin
« Trésorerie négative »
2013 2014 2015
+3 506 €
150 525 €
136 793 €
13 792 €
+ 4 500 €
2013 2014 2015
56 700 €
61 200 €
Court terme et fournisseurs
Augmentation dettes CT
Marge de sécurité sur 3 ans
Investissements +
augmentation cheptel (I)
Emprunts réalisés (E)
Reste à financer (I-E)
2013 2014 2015
- 28 492 €
111 350 €
110 816 €
534 €
+ 19 000 €
2013 2014 2015
100 300 €
119 150 €
Confirmation de la nette augmentation des encours
Nouveaux publics d’éleveurs en difficultés
Beaucoup de fournisseur se retrouvent de fait
« Banquiers à la place du banquier »
Difficultés sociales (relations entre éleveurs/ ex
CUMA)
Pression psychologiques sur les éleveurs
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Début 2016 : une part importante des exploitations fragilisées
L’insuffisance d’EBE et d’efficience
Liée aux produits
• Les prix : effet majeur de la volatilité
• Les aides : une diminution (en zone de plaine) et une dilution
(volumes supplémentaires)
• Des performances à optimiser (qualité du lait, valorisation des
animaux, mortalité des animaux…)
Liée aux charges
• Augmentation des tarifs (IPAMPA…)
• Des ruptures dans la conduite (alimentation, surfaces, …)
• Des effets volumes sur des postes de charges « fixes »
Une nécessité : faire mieux avant de faire plus
Un seuil pertinent de 40 % pour EBE avant MO/produit
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Le montant des investissements :
• D’une situation où les équipements et installations étaient en
grande partie amortis (<0,50 €/l) à du neuf pour produire le lait
supplémentaire (> 1,30 à 3 €/l)
• Augmentation des tarifs des équipements
• Nouveaux équipements (automatisation, robot,…)
• Décalage investissement / EBE dégagé
• Le piège de la recherche de l’optimisation fiscale & sociale
Rechercher et mettre en place des solutions plus économes
(Investissement par litre), délégation de travaux…
Raisonner la pertinence de l’investissement
(€ d’investissement / EBE et / temps gagné)
Utiliser d’autres solutions pour « gérer » la fiscalité
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Le financement des projets à adapter :
• L’absence de financement bancaire des augmentations
d’effectifs et des stocks
• Les modulations de remboursements peu utilisées
Jouer sur la durée des emprunts, mais à double
tranchant
Nouvelles modalités et sources de financement
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Des trésoreries négatives dès 2013 pour 34 %
des élevages laitiers de plaine
Pas de véritable amélioration de la situation
lors des années favorables
Une dégradation de la situation depuis 3 ans
Des endettements très importants « portés »
en grande partie par les fournisseurs
Des difficultés sociales, relationnelles…
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1- Améliorer l’efficience Charges / Produits,
2- Raisonner la rentabilité des
investissements
3- Adapter les modalités de financement…
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