Emballage Alimentaire: Un Partenaire Actif !Islem Yezza
Les emballages actifs entrent en interaction avec l’aliment ou s’adaptent à son environnement pour préserver, le plus longtemps possible, et de façon optimale, ses qualités organoleptiques et nutritionnelles. Les possibilités offertes par les emballages actifs sont prometteuses. Certaines de ces applications sont déjà commercialisées, mais plusieurs d'entre elles en sont encore au stade du développement.
Un consommateur sur deux estime que les informations sur les étiquettes ne so...Liesbeth Vranckaert
La nouvelle directive UE relative à l’étiquetage a pour but de fournir des informations plus claires et plus complètes au consommateur. Et pourtant, parmi les critères considérés comme pertinents sur l’emballage, l’étiquetage n’arrive qu’en 6e place pour le consommateur. Durée de conservation, qualité et sécurité alimentaire sont les trois critères cruciaux pour l’utilisateur final. Les informations figurant sur l’étiquette sont toutefois primordiales, car près de la moitié des consommateurs ont connu une mauvaise expérience avec des aliments gâtés ou moisis. Et les récents scandales alimentaires encouragent plus que jamais le consommateur à prendre garde aux informations de l’emballage.
Emballage Alimentaire: Un Ami de L’environnement! Un Partenaire Actif ! Un In...Islem Yezza
Vous trouvez ci-dessous la présentation que j’ai donnée hier dans le cadre de la Semaine québécoise de réduction des déchets.
Nb: N'hésitez pas à me contacter (pak-bec@hotmail.com) si vous voulez consulter l'intégrale de cette présentation
Emballage Alimentaire: Un Partenaire Actif !Islem Yezza
Les emballages actifs entrent en interaction avec l’aliment ou s’adaptent à son environnement pour préserver, le plus longtemps possible, et de façon optimale, ses qualités organoleptiques et nutritionnelles. Les possibilités offertes par les emballages actifs sont prometteuses. Certaines de ces applications sont déjà commercialisées, mais plusieurs d'entre elles en sont encore au stade du développement.
Un consommateur sur deux estime que les informations sur les étiquettes ne so...Liesbeth Vranckaert
La nouvelle directive UE relative à l’étiquetage a pour but de fournir des informations plus claires et plus complètes au consommateur. Et pourtant, parmi les critères considérés comme pertinents sur l’emballage, l’étiquetage n’arrive qu’en 6e place pour le consommateur. Durée de conservation, qualité et sécurité alimentaire sont les trois critères cruciaux pour l’utilisateur final. Les informations figurant sur l’étiquette sont toutefois primordiales, car près de la moitié des consommateurs ont connu une mauvaise expérience avec des aliments gâtés ou moisis. Et les récents scandales alimentaires encouragent plus que jamais le consommateur à prendre garde aux informations de l’emballage.
Emballage Alimentaire: Un Ami de L’environnement! Un Partenaire Actif ! Un In...Islem Yezza
Vous trouvez ci-dessous la présentation que j’ai donnée hier dans le cadre de la Semaine québécoise de réduction des déchets.
Nb: N'hésitez pas à me contacter (pak-bec@hotmail.com) si vous voulez consulter l'intégrale de cette présentation
Semences. Le GNIS veut élargir l'offre variétaleGuyon Jacky
"Plus que jamais, les objectifs du plan de filière Semences et Plants, "Élargir l’offre variétale" et "Diffuser la biodiversité" sont à l’ordre du jour", affirme le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants) après la décision du Conseil Constitutionnel d'interdire la vente libre des semences.
Il s’agit notamment de faciliter les conditions d’inscription des variétés anciennes, d’assurer le maintien des variétés du domaine public, de pouvoir mettre en marché du matériel hétérogène ou de faciliter l’homologation de petits opérateurs.
Pour preuve de cette volonté, le GNIS s'appuie sur son "plan de filière semences et plants" et notamment les objectifs 3.2 et 3.3, que nous publions dans ce docuement.
Emballage Alimentaire: Se Démarquer et se Faire RemarquerIslem Yezza
La croissance et le maintien de la compétitivité des entreprises agroalimentaires dépendent de leur capacité à se démarquer de la concurrence, et dès lors de leur capacité à innover et communiquer. L’emballage est devenu le support privilégié et le partenaire incontournable des nouvelles méthodes de communication des produits alimentaires.
Emballage : Se démarquer et se faire remarquerIslem Yezza
L'emballage protège ce qu'il vend et vend ce qu'il protège. Il est devenu le support privilégié et le partenaire incontournable des nouvelles méthodes de communication des produits alimentaires. Un formidable vecteur de communication et un véritable support publicitaire: l’emballage est la première expression de la marque sur le lieu de vente, c’est le « vendeur muet ».
Intervention de Michel Levy, consultant spécialisé, dans le cadre des 3e rencontres nationales communication et développement durable organisées par Cap'Com le 22 septembre 2011 à Angers
Appel à projets lutte contre le gaspillage alimentaireMAQ-AGIR-PACA
L'objectif de cet appel à projets, à destination de tout porteur de projets (sauf particulier) en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, est de soutenir des projets exemplaires et innovants de réduction de la production de déchets alimentaires. La valorisation des résultats issus des projets lauréats devra permettre de contribuer à la diffusion de bonnes pratiques, par le biais d’outils de communication et de promotion. Attention date limite : 28 mai 2014
Presentation etude les europeens et le healthy chd expertCHD-marketing
Dans un contexte où les consommateurs font de plus en plus attention à l’environnement, un grand nombre d’entre eux adoptent un comportement « éco-responsable ».
Ils recyclent, achètent plus ou moins de produits avec des emballages en plastiques, deviennent adeptes de la consommation en vrac, mangent bio…
Cette étude vous propose un tour d'horizon de la tendance healthy sur 6 pays européens.
ETUDE DE TENDANCES « RESTAURATION ET DÉVELOPPEMENT DURABLE » (2010)Utopies
Alors qu’une étude américaine de 2010 menée auprès des professionnels de la restauration commerciale plaçait l’approvisionnement local et le développement durable en tête des tendances de la restauration plébiscitées pour l’année à venir, UTOPIES a publié la même année, en partenariat avec Mescoursespourlaplanete.com, une étude de tendances sur le thème « Restauration commerciale et Développement Durable ».
Cette étude de tendances répond à des objectifs multiples :
• D’abord, sensibiliser le secteur aux enjeux et opportunités liés au développement durable, dans un contexte où les Pouvoirs Publics se mobilisent sur le sujet (avec le futur Programme National de l’Alimentation), où les clients sont demandeurs d’engagements (45% des consommateurs français souhaitent désormais se voir proposer des repas bio au restaurant, et deux Américains sur cinq intègrent désormais des critères environnementaux au choix d’un restaurant), où les acteurs les plus importants sont de plus en plus questionnés sur leurs pratiques par les ONG ou les médias, et où enfin l’engagement visible de quelques chefs et restaurants différencie désormais leur discours et leur offre.
• Ensuite, inspirer les futures stratégies d’innovation des acteurs du secteur en leur proposant un panorama international des bonnes pratiques émergentes – qu’il s’agisse de restauration rapide ou gastronomique, de cafés-brasseries, d’enseignes de renom international ou de petits restaurants indépendants. Restaurant construit en matériaux recyclés ou « verts », recours aux énergies renouvelables, limitation des kilomètres alimentaires et préférence aux produits locaux, carte élaborée avec des ingrédients bio ou équitables, préférence aux produits frais sans additifs de synthèse, compostage ou recyclage des déchets organiques, menus voire même jours entièrement végétariens, affichage et minimisation de l’empreinte carbone, lutte contre le gaspillage alimentaire, livraison en véhicules électriques ou vélos, ateliers pédagogiques pour petits et grands gourmands, etc. : la liste est longue ce qu’il est possible de faire, la preuve – d’autres restaurants l’ont fait !
• Enfin, donner des pistes d’engagement simples et concrètes à chaque restaurateur, de la communication sur l’origine des produits à l’affichage de labels, en passant par l’engagement nutritionnel, la diversité des ingrédients et des saveurs, le respect des espèces de poisson menacées, la préférence aux produits locaux, les économies d’énergie ou d’eau, la construction et l’aménagement écologiques des restaurants ou la sensibilisation des clients. Un quiz final permet même d’auto-évaluer sa démarche et d’identifier les points de progrès les plus significatifs.
Éco-conception : Réconcilier l’environnement et l’emballageNetpak Group
L’éco-conception permet d’augmenter vos Profits, d’accroître vos Ventes, de réduire vos Coûts de production, ainsi que de renforcer votre Image de marque.
Semences. Le GNIS veut élargir l'offre variétaleGuyon Jacky
"Plus que jamais, les objectifs du plan de filière Semences et Plants, "Élargir l’offre variétale" et "Diffuser la biodiversité" sont à l’ordre du jour", affirme le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants) après la décision du Conseil Constitutionnel d'interdire la vente libre des semences.
Il s’agit notamment de faciliter les conditions d’inscription des variétés anciennes, d’assurer le maintien des variétés du domaine public, de pouvoir mettre en marché du matériel hétérogène ou de faciliter l’homologation de petits opérateurs.
Pour preuve de cette volonté, le GNIS s'appuie sur son "plan de filière semences et plants" et notamment les objectifs 3.2 et 3.3, que nous publions dans ce docuement.
Emballage Alimentaire: Se Démarquer et se Faire RemarquerIslem Yezza
La croissance et le maintien de la compétitivité des entreprises agroalimentaires dépendent de leur capacité à se démarquer de la concurrence, et dès lors de leur capacité à innover et communiquer. L’emballage est devenu le support privilégié et le partenaire incontournable des nouvelles méthodes de communication des produits alimentaires.
Emballage : Se démarquer et se faire remarquerIslem Yezza
L'emballage protège ce qu'il vend et vend ce qu'il protège. Il est devenu le support privilégié et le partenaire incontournable des nouvelles méthodes de communication des produits alimentaires. Un formidable vecteur de communication et un véritable support publicitaire: l’emballage est la première expression de la marque sur le lieu de vente, c’est le « vendeur muet ».
Intervention de Michel Levy, consultant spécialisé, dans le cadre des 3e rencontres nationales communication et développement durable organisées par Cap'Com le 22 septembre 2011 à Angers
Appel à projets lutte contre le gaspillage alimentaireMAQ-AGIR-PACA
L'objectif de cet appel à projets, à destination de tout porteur de projets (sauf particulier) en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, est de soutenir des projets exemplaires et innovants de réduction de la production de déchets alimentaires. La valorisation des résultats issus des projets lauréats devra permettre de contribuer à la diffusion de bonnes pratiques, par le biais d’outils de communication et de promotion. Attention date limite : 28 mai 2014
Presentation etude les europeens et le healthy chd expertCHD-marketing
Dans un contexte où les consommateurs font de plus en plus attention à l’environnement, un grand nombre d’entre eux adoptent un comportement « éco-responsable ».
Ils recyclent, achètent plus ou moins de produits avec des emballages en plastiques, deviennent adeptes de la consommation en vrac, mangent bio…
Cette étude vous propose un tour d'horizon de la tendance healthy sur 6 pays européens.
ETUDE DE TENDANCES « RESTAURATION ET DÉVELOPPEMENT DURABLE » (2010)Utopies
Alors qu’une étude américaine de 2010 menée auprès des professionnels de la restauration commerciale plaçait l’approvisionnement local et le développement durable en tête des tendances de la restauration plébiscitées pour l’année à venir, UTOPIES a publié la même année, en partenariat avec Mescoursespourlaplanete.com, une étude de tendances sur le thème « Restauration commerciale et Développement Durable ».
Cette étude de tendances répond à des objectifs multiples :
• D’abord, sensibiliser le secteur aux enjeux et opportunités liés au développement durable, dans un contexte où les Pouvoirs Publics se mobilisent sur le sujet (avec le futur Programme National de l’Alimentation), où les clients sont demandeurs d’engagements (45% des consommateurs français souhaitent désormais se voir proposer des repas bio au restaurant, et deux Américains sur cinq intègrent désormais des critères environnementaux au choix d’un restaurant), où les acteurs les plus importants sont de plus en plus questionnés sur leurs pratiques par les ONG ou les médias, et où enfin l’engagement visible de quelques chefs et restaurants différencie désormais leur discours et leur offre.
• Ensuite, inspirer les futures stratégies d’innovation des acteurs du secteur en leur proposant un panorama international des bonnes pratiques émergentes – qu’il s’agisse de restauration rapide ou gastronomique, de cafés-brasseries, d’enseignes de renom international ou de petits restaurants indépendants. Restaurant construit en matériaux recyclés ou « verts », recours aux énergies renouvelables, limitation des kilomètres alimentaires et préférence aux produits locaux, carte élaborée avec des ingrédients bio ou équitables, préférence aux produits frais sans additifs de synthèse, compostage ou recyclage des déchets organiques, menus voire même jours entièrement végétariens, affichage et minimisation de l’empreinte carbone, lutte contre le gaspillage alimentaire, livraison en véhicules électriques ou vélos, ateliers pédagogiques pour petits et grands gourmands, etc. : la liste est longue ce qu’il est possible de faire, la preuve – d’autres restaurants l’ont fait !
• Enfin, donner des pistes d’engagement simples et concrètes à chaque restaurateur, de la communication sur l’origine des produits à l’affichage de labels, en passant par l’engagement nutritionnel, la diversité des ingrédients et des saveurs, le respect des espèces de poisson menacées, la préférence aux produits locaux, les économies d’énergie ou d’eau, la construction et l’aménagement écologiques des restaurants ou la sensibilisation des clients. Un quiz final permet même d’auto-évaluer sa démarche et d’identifier les points de progrès les plus significatifs.
Éco-conception : Réconcilier l’environnement et l’emballageNetpak Group
L’éco-conception permet d’augmenter vos Profits, d’accroître vos Ventes, de réduire vos Coûts de production, ainsi que de renforcer votre Image de marque.
Coordinateurs : Véronique Bellon-Maurel(Irstea), Fabien Boulier (Agropolis International)
Les thématiques présentées dans ce dossier concernent plus particulièrement les 9 unités ou équipes de recherche qui ont fait des écotechnologies un axe essentiel de leurs travaux, qui concernent près de 150 cadres scientifiques et une centaine de doctorants.
Ce dossier a pour objectif de présenter les compétences dans le domaine des techniques agricoles proprement dites, du recyclage et de la valorisation des eaux et des déchets (au-delà des aspects de traitement des pollutions), de la valorisation des productions sous forme de nouveaux matériaux à base biologique ou de nouvelles voies bioénergétiques. Ces recherches ne se limitent pas au seul développement de technologies nouvelles mais comportent également une dimension plus globale, qu’il s’agisse de l’évaluation des produits et des procédés, de leur écoconception, de l’écologie industrielle ou territoriale ou du monitoring environnemental. Ce dossier présente également les efforts conjoints de la recherche et des entreprises, notamment par le biais des pôles de compétitivité, pour favoriser l’élaboration et la diffusion d’innovation au service du développement économique.
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Comprendre le vote aux élections européennes du 9 juin 2024
Arcane plastique alimentaire2020_bs
1. Plastiques et Alimentaire 2020
Attentes, attitudes, perception
et typologie des Français
Proposition de souscription à l’étude
1ère édition France
Calendrier
- Souscription ouverte jusqu’au 28 février 2020
- Etude réalisée du 02/03/20 au 28/05/20
- Résultats livrables le 29 mai 2020
2. Présentation
Alors qu’elle bénéficie d’une importante couverture médiatique ces dernières années, la
problématique des déchets plastiques se classe aujourd’hui n°2 des attentes des Français
en matière de développement durable, derrière le changement climatique *. La Chine, la
Malaisie ou les Philippines ont récemment décidé de prendre des mesures pour limiter les
importations ou fermer leurs portes aux déchets étrangers. L’impact environnemental, sani-
taire et économique des déchets plastique est aujourd’hui un enjeu planétaire. En France, la
loi économie circulaire prévoit plusieurs mesures fortes : 100% de plastique recyclé (2025),
la réduction de 50% du nombre de bouteilles en plastique à usage unique (2030) et l’inter-
diction des emballages plastiques à usage unique (2040). Dans ce contexte, plusieurs grands
acteurs français et internationaux de la filière agro-alimentaire et de la distribution se sont
déjà engagés dans des stratégies plastique (réduction, suppression, recyclage, plastiques ou
matériaux alternatifs, consigne, …) et même de « compensation plastique », sur le même mo-
dèle que le carbone, par le biais de partenariat avec des acteurs de collecte et recyclage des
déchets plastique. En s’appuyant sur les nouveaux modes de consommation, de nombreuses
entreprises se positionnent également sur ces nouveaux marchés (nouveaux emballages,
vrac, e-commerce circulaire, recyclage complexe, équipements et matériel de substitution,
…).
La « neutralité plastique » est tout aussi incontournable que complexe pour les acteurs de
l’agro-industrie. Du « Zéro plastique » à la « Nouvelle économie du plastique », de la recy-
clabilité aux matériaux alternatifs, de la vente d’un bien conditionné à la prestation de ser-
vice, tout en faisant face à d’autres enjeux (sécurité alimentaire, traçabilité, préservation et
conservation, naturalité, innocuité, praticité, …) propres à chaque catégorie de produit.
L’étude à laquelle nous vous proposons de souscrire aujourd’hui vise à aider les responsables
(marketing, innovation, RSE) des marques, enseignes et industriels de l’emballage alimentaire
à bâtir ou renforcer une stratégie plastique en phase avec la demande des consommateurs
français. Pour ce faire l’étude, proposera 4 grands éclairages :
1. L’analyse des attentes des Français en matière d’emballage alimentaire : les aspirations,
leur évolution récente, les catégories de produits concernées, l’importance de la problé-
matique plastique et son articulation avec les autres enjeux du packaging
2. Les attitudes des français vis-à-vis des emballages, du plastique et des enjeux de durabi-
lité
3. La perception qu’ont les Français du niveau d’engagement des acteurs de la filière et de
la pertinence (pour chaque catégorie de produits) des différentes stratégies plastique
déployées aujourd’hui dans l’alimentaire
4. Une typologie des consommateurs français sur les éléments anlysés dans l’étude : défini-
tion de groupes homogènes de consommateurs et présentation des implications marke-
ting pour les marques, enseignes et industriels
* Source Kantar « Who Cares Who Does ? » (2019)
Echantillon
4.000 Français interrogés par Internet en avril-mai 2020. Il sera issu d’envois parfaitement
représentatifs de la population française en termes de sexe, tranches d’âge, CSP et localisa-
tion.
Tous les répondants à l’étude sont issus de notre communauté de 60.000
panélistes : www.panelia.fr (propriété ARCANE Research).
3. 60 catégories de produits alimentaires analysées
1. Viande fraiche
2. Viande surgelée
3. Volaille fraiche
4. Volaille surgelée
5. Poisson frais
6. Poisson surgelé
7. Traiteur de la Mer Frais
8. Charcuterie - salaisons
9. Plats cuisinés frais
10.Plats cuisinés surgelés
11.Plats cuisinés appertisés
12.Pizzas, tartes, quiches
13.Sandwiches, snacks
14.Salades traiteurs
15.Salades préemballées
16.Fruits et légumes frais
17.Glaces
18.Soupes
19.Sauces
20.Légumes appertisés
21.Légumes surgelés nature / à cuisiner / à
poêler
22.Frites et pommes de terre surgelées
23.Huiles
24.Produits apéritifs
25.Fruits et Légumes frais
26.Laits
27.Laits enfants / aromatisés
28.Boissons lactées
29.Yaourts / fromages blancs
30.Yaourts et desserts enfants
31.Desserts frais lactés
32.Beurre, margarine
33.Fromages plateau / fin de repas
34.Fromage snacking
35.Fromages cuisine
36.Fromages enfants
37.Œufs
38.Pain préemballé
39.Viennoiseries
40.Céréales du petit déjeuner
41.Confiserie
42.Biscuits
43.Sucre
44.Confitures
45.Compotes
46.Desserts appertisés
47.Café moulu
48.Café en dosette
49.Lait infantile
50.Alimentation Bébé
51.Thé, infusions
52.Jus de fruits et de légumes
53.Boissons plates : thés glacés, boissons aux
fruits, eaux aromatisées
54.Sirops et concentrés
55.Boissons gazeuses
56.Eaux minérales
57....
A travers les attentes et perceptions des Français, acheteurs de la catégorie
4. Synthèse
1. Les attentes des Français en matière d’emballage alimentaire
1.1. Ce que les Français attendent d’un emballage alimentaire en 2020
1.2. Ce qui a évolué depuis 2 ans dans les aspirations des Français
1.3. Les catégories de produits pour lesquelles chacune des attentes est particu-
lièrement marquée
1.4. Focus sur l’importance de la problématique plastique dans les attentes
1.5. Quelle articulation possible de la problématique plastique avec les autres
enjeux relatif au packaging (quelles corrélations entre les attentes, quelles
synergies possibles, quels antagonismes, quels compromis ?)
1.6. Comparaison des attentes des Français en matière d’emballage alimentaire
selon le profil consommateur : âge, sexe, CSP, localisation, canaux de distribution et
enseignes GSA fréquentés 30 caractéristiques des emballages analysées
Sommaire proposé pour l'étude
Le sommaire étant le reflet du questionnaire, ce dernier étant lui-même sujet à modification par les
souscripteurs, il va sans dire que le rapport pourra prendre une forme différente de celui présenté ci-
dessous.
1. Qui préserve bien les produits
2. Qui prolonge la durée de vie ou la fraîcheur
du contenu
3. Pratique à l’ouverture / fermeture
4. Flexible, souple
5. Qui prend peu de place, facile à stocker
6. Facile à transporter
7. Recyclable et/ou en matériau recyclé
8. Avec des matériaux bio-sourcés
9. Avec des matériaux biodégradables ou com-
posables
10. Diminution des additifs, encres végétales
sans solvants, …
11. Facile à prendre en main, facile à utiliser
12. Qui permet un gain de temps (prêt à man-
ger, prêt à servir, mise en assiette rapide,
prêt à réchauffer, …)
13. Refermable ou avec un système de ferme-
ture alternatif
14. Clair, lisible : permettant de comprendre
facilement ce qu’il y a dedans: ingrédients,
format, marque…
15. Qui informe le consommateur et facilite
l’usage du produit (dosage, ouverture/ refer-
meture….)
16. Actif (action sur le produit avec production
de froid ou de chaud)
17. Intelligent (traçabilité, inviolabilité des pro-
duits...)
18. Qui protège des chocs
19. Qui protège des agressions extérieures (oxy-
dation, micro-organismes, humidité)
20. Qui prend parfaitement en compte la sécu-
rité alimentaire
21. Fractionnable: qui permet plusieurs formats
(paquet et individuel par ex.)
22. Réutilisable (même pour un tout autre
usage)
23. Allégé au maximum
24. Très facilement compactable
25. Agréable à l’œil, esthétique (design, cou-
leurs qui me plaisent…)
26. Le plus discret/ minimalisé possible
27. Agréable au toucher
28. Original, différent par rapport aux autres
emballages dans leur catégorie
29. Innovant/ high-tech (avec des dispositifs
ingénieux en « plus » ou des matériaux de
pointe)
30. Haut de gamme, la recherche sur le procédé
de fabrication, le design
31. Ludique, qui plait aux enfants
5. 2. Les attitudes des Français vis-à-vis des emballages durables et plas-
tiques
2.1. La place de l’emballage en matière d’alimentation durable
2.1.1. Les thèmes jugés par les Français les plus urgents en termes de développement
durable pour les produits alimentaires
2.1.2. Comparaison des sensibilités en matière d’alimentation durable selon le profil
consommateur
2.2. Les Français et les emballages alimentaires « durables »
2.2.1. Attitude générale vis-à-vis des emballages durables : intérêt, réceptivité et sensibi-
lité face aux informations disponibles (médias, réseaux sociaux, ONG, associations
de consommateurs, applications, marques, enseignes, législatif…)
2.2.2. Degré de connaissance et maitrise des notions / allégations environnementales en
matière d’emballages
2.2.3. Les critères d’un emballage que les consommateurs jugent les plus respectueux de
l’environnement et les mentions les plus associées au respect de l’environnement
2.2.4. Les matériaux les plus associés aux différents enjeux environnementaux et les rai-
sons avancées par les consommateurs
2.2.5. Attitude des consommateurs vis-à-vis de l’innocuité et des risques associés aux dif-
férents matériaux d’emballage
2.2.6. Comparaison des attitudes vis-à-vis des emballages durables selon le profil consom-
mateur
2.3. Les Français et les emballages plastiques
2.3.1. État des connaissances des Français vis-à-vis des différentes familles de plastiques,
les symboles des différentes matières et le processus de recyclage des emballages
plastiques alimentaires
2.3.2. Les habitudes en matière de tri de déchets alimentaires ou de collecte des déchets
2.3.3. Le degré d’attachement (ou de désaffection) des consommateurs français pour les
emballages plastiques proposés par les différentes catégories alimentaires
2.3.4. Le degré d’attachement (ou de désaffection) des consommateurs français pour les
différents formats d’emballages plastiques alimentaire (bouteilles, bidons, sacs,
sachets, pots, barquettes, film alimentaire plastique, plats, …)
2.3.5. Les raisons de l’attachement et/ou de la désaffection
2.3.6. Les catégories de produits sur lesquelles la problématique plastique a récemment
impacté ou risque d’impacter très prochainement l’intention d’achat des consom-
mateurs
2.3.7. Comparaison des attitudes vis-à-vis des emballages plastiques selon le profil
consommateur
6. 2.4. Les comportements des consommateurs pour réduire l’usage du plastique
dans l’alimentation (nombre de foyers, fréquence, évolution depuis 1 an,
…)
2.4.1. Le recours aux solutions de substitution proposées par les marques et enseignes :
vrac, programme de collecte, réemploi, consigne, …
2.4.2. L’implication dans des programmes de collecte, de tris, de recyclage ou de réduc-
tion des déchets proposés par des associations, entreprises ou communes
2.4.3. Focus sur le vrac : canaux de distribution, enseignes, rayons fréquentés, volume /
budget mensuel, niveau de satisfaction de l’offre actuelle et points d’améliorations,
typologie des « vraqueurs »
2.4.4. Focus sur la consigne et le réemploi : réseaux utilisés, catégories de produits
concernées, historique et fréquence d’utilisation, volume / budget mensuel, niveau
de satisfaction de l’offre actuelle et points d’améliorations
2.4.5. Les solutions de substitution « zéro déchet »
=> Faire l’acquisition d’une gourde en inox en remplacement de bouteilles en plastique, li-
miter au maximum l’utilisation de film alimentaire plastique, apporter une tasse au bureau
pour éviter d’utiliser les gobelets en plastique de la machine à café, utiliser des récipients
en verre plutôt que des récipients en plastique pour faire réchauffer les plats au micro-
ondes, apporter en magasins ses propres contenants (bocaux en verre, ou sachets en tissu
réutilisables par exemple), participer à des actions collectives (Famille 0 déchet), etc …
=> Les achats de matériel visant à limiter le plastique et les emballages : extracteur de jus,
robot maison, filtres & capsules café réutilisables, poche à compote réutilisable, …
2.4.6. Comparaison des comportements de réduction des emballages plastiques selon le
profil consommateur
3. Perception des différentes stratégies plastique dans l’alimentaire par
les consommateurs français
3.1. La perception du niveau d’engagement des différentes catégories alimen-
taires sur la problématique plastique
=> « Des produits qui s’engagent aujourd’hui dans une réduction des quantités d’emballages en
plastique et/ ou l’utilisation de plastique recyclé et recyclable » ; « Des engagements originaux et
innovants » ; « Des produits qui informent, valorisent et impliquent les consommateurs autour de
leurs engagements », …
3.2. La pertinence perçue des stratégies plastique pour travailler chacune des
catégories de produits alimentaires
• La suppression (quantité, poids, « inutiles », …)
• La recyclabilité, le 100% recyclage
• Les programmes de collecte et recyclage avec des marques partenaires
• Les bioplastiques
• Les matériaux alternatifs
• Le packaging ré-utilisable, les programmes circulaires
• Le passage au vrac
• Les innovations : packaging comestible, packaging qui se transforme tout au long de
son utilisation, mono-matériaux, …
• Les engagements des marques en matière de « compensation plastique »
7. 3.3. Focus sur les bioplastiques
3.3.1. Les bioplastiques, plastiques biosourcés et plastiques biodégradables : état des
connaissances et perception des consommateurs
3.3.2. Les ressources renouvelables jugées les plus pertinentes / innovantes
3.3.3. Les préférences en matière de biodégradation : compostage industriel / home-com-
postage, biodégradation en sol / dans l’eau
3.4. Focus sur le packaging réutilisable et les offres circulaires
3.4.1. Perception des offres « Refill at home »
=> Les consommateurs seront amenés à évaluer les offres Bevi, Drinkfinity et SodaStream
3.4.2. Perception des offres « Return from home »
=> Les consommateurs seront amenés à évaluer les offres Danone water jugs, ALLGoods,
Loop (e-commerce), The Wally Shop et Liviri
3.4.3. Perception des offres « Refill on the go »
=> Les consommateurs seront amenés à évaluer les offres Coca-Cola Freestyle, DASANI
PureFill, PepsiCo Hydration Platform, Refill, The Milk Station Company, Algramõ 1.0 & 2.0 ,
Carrefour Bio “Bulk Wall”, MIWA, Waitrose “Unpacked”, All Things Hair Refillery
3.4.4. Perception des offres « Return on the go »
=> Les consommateurs seront amenés à évaluer les offres Coca-Cola Brazil Universal, Jean
Bouteille, Bout à Bout, revolv, Loop (in store), Fresh Bowl, reBOX, Merci Bocaux, Le Drive
tout nu,
3.4.5. Comparaison du degré d’intérêt aux 4 modèles de packaging réutilisable selon le
profil consommateur
3.5. Focus sur les offres en vrac
3.5.1. Motivations et freins au passage au vrac, complexités et avantages perçus
3.5.2. Intérêt et potentiel de fréquentation des différents concepts de distribution :
enseignes spécialisées, enseigne bio, épicerie, rayon vrac, shop-in-the-shop, ouver-
ture des rayons traditionnels à l’offre en vrac, drive 100% vrac, e-commerce vrac,
distributeur réfrigéré, …
3.5.3. Intérêt des différentes offres de produits alimentaires vendus en vrac : fruits oléa-
gineux, fruits secs, légumineuses, céréales, pâtes, riz, sucre, farine, chocolat, bis-
cuits, jus, vin, bière, produits ultra-frais, produits en vente assistée (poissonnerie,
boucherie, charcuterie, fromagerie et pâtisserie)
3.5.4. Mentions les plus associées à l’offre en vrac (local, bio, …)
3.5.5. Les informations associées attendues (traçabilité, informations nutritionnelles, PLV,
…)
3.5.6. Comparaison du degré d’intérêt pour les différentes offres en vrac
selon le profil consommateur
8. 3.6. Focus sur les offres de compensation plastique
3.6.1. Compréhension et intérêt pour le mécanisme de compensation plastique
3.6.2. Perception des différentes formes et acteurs de compensation
=> PLASTIC BANK, PROJECT STOP, REPURPOSE, PLASTIC COLLECTIVE, STARBOARD
3.6.3. Intérêt de la compensation par le consommateur (micro-transaction qui s’ajoute au
prix d’achat au moment ou après l’achat grâce à une application)
3.6.4. Consentement à payer pour de la compensation plastique
3.6.5. Comparaison du degré d’intérêt selon le profil consommateur et les catégories de
produit achetées
3.7. L’éducation & la communication
3.7.1. Les sujets et thèmes sur lesquels les consommateurs souhaiteraient davantage
d’informations
3.7.2. Les canaux de communication par lesquels ils souhaiteraient être informés
3.7.3. Comparaison des sujets et canaux de communication selon le profil client et les
catégories de produits achetées
4. Typologie des français vis-à-vis de la problématique plastique dans
l’alimentaire
4.1. Comment les Français peuvent-ils être classés en grands segments homo-
gènes en fonction de leurs attentes, attitudes, connaissance, perception
vis-à-vis des stratégies plastique dans l’alimentation ?
4.2. Quels types d’alternatives packaging présentent le meilleur potentiel com-
mercial auprès de chaque cible stratégique ?
4.3. Quelles sont les implications marketing (innovations, axes du discours, …)
pour cibler efficacement chaque groupe de consommateurs ?
4.4. Quelles implications marketing pour chaque catégorie de produits ?
4.5. Quel est le besoin de chaque type de cible en matière d’informations ? Et
avec quels canaux de communication ?
9. Calendrier
1. Fin de la souscription : 28 février 2020
2. Début du projet d’étude : 2 mars 2020
Remise du questionnaire aux souscripteurs le 2 mars 2020
3. Comité de pilotage : 03/03/20 au 10/04/20
• Les souscripteurs peuvent modifier, amender, optimiser le questionnaire pendant au
moins 6 semaines
• Plusieurs feed back permettent de finaliser un questionnaire répondant aux attentes
de tous les souscripteurs
4. Terrain Internet : 14/04/20 au 10/05/20
• Programmation informatique
• Test, lancement et suivi de la campagne
5. Traitements et analyse des données : 11/05/20 au 28/05/20
6. Restitution des livrables : Le 29/05/20
10. 3 raisons de plus pour
souscrire
Hervé GUINGANT
Votre contact commercial
herve.guingant@arcane-research.com
Direct : 02.41.60.37.68
Coline LE BIHAN
Votre contact pour l’étude
coline.lebihan@arcane-research.com
Direct : 02.41.20.08.76
Vos contacts
1. La possibilité de modifier le ques-
tionnaire
2. La possibilité de demander des trai-
tements ou des présentations spéci-
fiques
3. Un tarif préférentiel à la souscrip-
tion : 4.600€ HT
Accompagnement personnalisé après
l’étude. Une fois les livrables restitués, notre
équipe est disponible et cela sans aucune
limite de temps pour vous apporter tous les
éclaircissements nécessaires, précisions ou
traitements complémentaires. Présentation
orale en option.
ARCANE Research
arcane research
Expert en montage d’études multi-
clients et en études ad-hoc basées sur
la réinterrogation de cibles.
Notre offre multi-clients répond à 3 principes :
- Proposer des études thématiques sur des mar-
chés connus et maîtrisés,
- Mutualiser les coûts (terrain partagé)
- Proposer une offre plus flexible, plus “ad hoc”
et plus qualitative que les études en souscrip-
tion traditionnelles
La maîtrise du principe de l’enquête mutuali-
sée depuis 1993 :
- Une équipe impliquée et compétente sur les
domaines.
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acteurs les plus significatifs des marchés étu-
diés.
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arcane research est un institut d’études indépendant
spécialisé depuis 1993 dans les études quantitatives.
ARCANE Research - 26, boulevard du Maréchal Foch - 49100 Angers
Angers, ville laboratoire pour les marchés tests
Tél : 02.41.33.12.49 - Fax . 02.41.60.57.86 - contact@arcane-research.com
Références :3A – 3M – ABBOTT – ABBVIE- ABRIBLUE – ACADEMIE – ACOVA- AG2R
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– BEL – BEL FOOD SERVICE - BFORBANK- BIOCODEX – BIODERMA – BIOGARAN- BIORGA – BLEDINA – BNP PARIBAS
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MEDICAL – CA CONSUMER FINANCE- CAISSE D’EPARGNE – CANDIA – CARDINAL HEALTH – CARL ZEISS- CARREFOUR
– CASINO – CDO – CETELEM- CEPHALON – CHARAL – CHIESI- CHURCH&DWIGHT- CIPF CODIPAL – CIZETA MEDICALI
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CREDIT MUTUEL – CONFORAMA- CONTINENTAL – COOPER – COOPERVISION- CORNIC- COSMETIQUE ACTIVE INTER-
NATIONAL – COTY – COVEA – CREDIPAR- CREDIT MUTUEL ARKEA – D’AUCY FOOD SERVICE- DAIKIN – DAUNAT- DELMAS
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PHARMEX- DIRECT ASSURANCE- DPAM-– DOUGLAS – DUC – E. LECLERC – EA-PHARMA – ECLOR- ECOVER – EDF- EFFIK
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– EUROSIMA – EXACOMPTA – EXPANSCIENCE – FBD (IXINA,…)- FERRERO- FEU VERT – FIDELIA- FILORGA- FINDUS –
FLEURANCE NATURE – FLEURY MICHON- FLORETTE – FNAC DARTY- FNH – FNMF – FORD – FORTE PHARMA- France
FARINE- FRANCK PROVOST – GABA – GALDERMA- GASTROMER – GASTRONOME – GAZ DE BORDEAUX- GEDEON RICH-
TER – GELAZUR- GENERALI- GENEVRIER- GEORGIA PACIFIC – GIBAUD – GILBERT LABORATOIRES- GILLETTE – GRAND
VISION – GREELAND SEAFOOD- GRIMBERG LABORATOIRES- GROUPE ALL- GROUPE APPRO – GROUPE BARBA- GSK –
GUERLAIN- GUINOT – HALIEUTIS- HAMELIN – HARMONIE MUTELLE- HELLY HANSEN – HENKEL – HITACHI- HOYA LENS
– HRA – HSBC- HUMANIS – IKEA- IMA – ING- INNOTHERA – INTERMARCHE- INTERVET – IPRAD SANTE- IPSEN – JANSSEN
CILAG- JARDILAND- JEAN MARTIN – JENNY CRAIG – JUVA SANTE- KRYS GROUP – L’OREAL ACTIVE COSMETICS – L’OREAL
GARNIER- LA BANQUE POSTALE FINANCEMENT –LABEYRIE TRAITEUR SURGELES- LABORATOIRE DE LA MER- LACTALIS
– LAITA – LAFUMA – LAMY – LAPEYRE – LCL- LDC – LEA NATURE- LEHNING- LE TANNEUR – L’ASSIETTE BLEUE – LES
FERMIERS DU SUD OUEST- LEVER FABERGE – LEXEL – L’OCCITANE – L’OREAL PROFESSIONNEL –- LOHMANN & RAUS-
CHER- LONGCHAMP – LUNETIERS DU JURA – LUISSIER BORDEAUX CHESNEL- LUXOTTICA- LVMH- MAAF – MACIF- MAIF
- MALAKOFF MEDERIC- MARIA GALLAND – MARINE HARVEST- MARY COHR- MATINES – MATIS – MATMUT- MAYOLY
SPINDLER – MEAD JOHNSON – MEDA PHARMA – MEDICA – MENICON- MENARINI – MERALLIANCE- MERCEDES BENZ
FINANCIAL SERVICES- MERCK MEDICATION FAMILIALE – MERIAL – METRO- MG- MGEN- MILLET – MITI- MITSUBISHI
– MMA – MOM- MONDIAL ASSISTANCE- MONOPRIX – MR BRICOLAGE – MSD SANTE ANIMALE – MUTEX – MUTUAIDE
- MUTUELLE DE POITIERS ASSURANCES- NATIXIS- NATURENVIE- NEGMA-WOCKARDT – NESTLE- NESTLE PROTEIKA –
NEXITY- NIKE ACG – NISSAN- NOFIMA- NORAUTO – NORWEGIAN SEAFOOD COUNCIL- NOVARTIS- NOVARTIS SANTE
ANIMALE- NUTRITION ET SANTE – OCP- OLIVES & CO- OENOBIOL – OMEGA PHARMA – OMNICOM- O’NEILL – ONEY
- ONTEX – OPHTALMIC- OPTIC 2000 – ORANGINA SCHWEPPES – ORCHESTRA- OXBOW – PASQUIER- PATAGONIA – PAUL
HARTMANN – PEPSICO – PERRIGO - PFIZER – PHYTOMER – PICOT – PIERRE FABRE DERMO COSMETIQUE – PIERRE
FABRE MEDICAMENT – PIERRE FABRE ORAL CARE – PIERRE FABRE SANTE – PILEJE- PREVOIR- PROCTER GAMBLE PHAR-
MACEUTICALS – PSA – QUIKSILVER – RATP- RCIA – RECKITT BENCKISER – RELAIS D’OR CENTRALE- RESPONDI- REUNICA
– REVLON – RIP CURL – RMA- RNO- ROCHE DIAGNOSTICS- ROGE CAVAILLES – ROSSIGNOL – ROTTAPHARM – SACLA
– SAINT HUBERT- SALOMON – SANDOZ- SANOFI – SANTECLAIR – SANTE VERTE- SARBEC – SAVENCIA- SCA – SCAMARK
- SCHOLL – SEMES MARQUE VERTE – SENNHEISER – SERVAIR- SERVIER – SEVRE LOIRE HABITAT – SFR- SIFI GROUP-
SIGVARIS- SIMONE MAHLER – SMITH & NEPHEW – SODEBO- SODIAAL – SODIAAL FOOD EXPERTS- SODILAC – SOFIBEL
- SOGECAP- SOLINEST – SOTHYS – SOVIBA – SSP- STABILO – STALLERGENES- STANHOME – STARKEY- STERILOR – STGA
– STIEFEL – STOEFFLER – SUN STAR- SVR – SWISS LIFE – SYNADIET- SYSTEME U – TBWA-PARIS- TEOXANE – TERRA
SANTE – TERRENA- TEVA – TEXIER – THALGO – THEA – THERABEL- THUASNE – TONIPHARM- TOP PHARM – TRANSDEV
- UMBRO – UNILEVER- UNIMA- UNITED BISCUITS – UPSA – URGO – URIAGE – VAILLANT GROUP- VANIA – VENDOME –
VILOGIA- VINCI IMMOBILIER- VISAUDIO – VITAGERMINE- VOLCOM – VW – VW BANK- WEIGHT WATCHERS – WELDOM
- WELEDA – WELLA – WILLIAM SAURIN- WINTHROP – YVES ROCHER- ZAMBON,,…