Dans le cadre de son Harris’ Café du 31 janvier 2017 dédié aux pratiques alimentaires d’aujourd’hui et de demain, Harris Interactive a dévoilé, en exclusivité, les résultats de son enquête sur l’évolution des usages alimentaires des Français.
Enquête sur les français et l'agriculture durable (Ginger - septembre 2010)Ginger
Ginger a réalisé en août 2010 une étude pour l’Union des Groupement de Producteurs de Bananes de Guadeloupe et de Martinique (UGPBAN). Cette enquête avait pour objectif de connaître l’opinion des Français sur l’agriculture durable et l’information sur les pratiques culturales.
Découvrez en plus dans la rubrique sondages de notre site www.ginger-conseil.fr
Dans le cadre de son Harris’ Café du 31 janvier 2017 dédié aux pratiques alimentaires d’aujourd’hui et de demain, Harris Interactive a dévoilé, en exclusivité, les résultats de son enquête sur l’évolution des usages alimentaires des Français.
Enquête sur les français et l'agriculture durable (Ginger - septembre 2010)Ginger
Ginger a réalisé en août 2010 une étude pour l’Union des Groupement de Producteurs de Bananes de Guadeloupe et de Martinique (UGPBAN). Cette enquête avait pour objectif de connaître l’opinion des Français sur l’agriculture durable et l’information sur les pratiques culturales.
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Presentation etude les europeens et le healthy chd expertCHD-marketing
Dans un contexte où les consommateurs font de plus en plus attention à l’environnement, un grand nombre d’entre eux adoptent un comportement « éco-responsable ».
Ils recyclent, achètent plus ou moins de produits avec des emballages en plastiques, deviennent adeptes de la consommation en vrac, mangent bio…
Cette étude vous propose un tour d'horizon de la tendance healthy sur 6 pays européens.
Analyse sectorielle de la restauration rapide en FranceJeff Schneider
La France est-elle toujours le pays de la gastronomie et des plaisirs de table ? est indéniablement une question d’actualité.
Le doute perdure face au chiffre d’affaires de la restauration rapide qui ne cesse de croître.
Même si nombreux sont ceux qui pensent que le marché de la «malbouffe» explose dans l’hexagone, il faut également noter les nouvelles tendances du secteur axées sur la diététique et le plaisir de manger sain et manger bien.
En 2010, le marché des fast-foods et de la restauration rapide, allant des hamburgers aux nouvelles tendances bios, représentait 31,2 milliards d'euros, contre 19,7 milliards d’euros en 2004, soit une hausse de 60% en 6 ans.
Les changements qui ont traversé la société et les modes de vie sont à l’origine de cette évolution fulgurante. On constate en effet la disparition progressive des repas «collectifs» au profit des repas pris «sur le pouce», suivant une mode américaine.
Les entrepreneurs de la restauration rapide s’y plient et répondent à cette nouvelle demande en proposant une offre plus diversifiée. On s’adapte aux goûts des Français, à l’exigence de qualité de la gastronomie française, à l’importance d’une bonne nutrition et aux préoccupations en matière de protection environnementale.
Nous étudierons dans cette analyse divers aspects du secteur de la restauration rapide en France. Etant donné que les acteurs ne peuvent s’implanter à leur guise, il est tout d’abord nécessaire de connaître préalablement les caractéristiques et les exigences de l’offre et de la demande. D’autre part, la loi française impose un cadre règlementaire qu’il est indispensable de respecter.
Par la multiplication des restaurants, une forte concurrence est évidente, et l’existence de « géants » sur le marché accroît les difficultés. Les acteurs en place se doivent d’innover et de mettre sur pied des stratégies offensives pour rester dans la course et se démarquer de leurs concurrents. L’Etat français se montre par ailleurs concerné par les problèmes nutritionnels de la population française, et sollicite les restaurateurs à instaurer dans leurs menus des campagnes de prévention pour une « bonne alimentation ». Enfin, une étude des performances des établissements de restauration rapide sera abordée pour clore cette analyse.
Pour une étude du marché des légumes : extrait de synthèse de presse ThemecoIndexpresse
En 2012-2013, le contexte économique de la France est marqué par des tensions qui pèsent lourdement sur le pouvoir d’achat des Français et qui obligent à des réarbitrages budgétaires stricts. Pourtant, dans ce climat peu encourageant, le secteur de l’alimentation semble relativement préservé et les volumes d’achats se maintiennent. Et si l’on ajoute à cela, la volonté de plus en plus largement partagée de mieux consommer ...
SOMMAIRE :
- Production de légumes : une filière dynamique malgré la tendance au recul des récoltes.
- Les légumes frais : un marché porté par les nouvelles tendances de consommation.
-- Évolution globale des achats de légumes (hors pomme de terre) en 2012.
- Les légumes bio continuent de progresser mais restent un segment de niche.
- En grandes surfaces, les légumes frais se segmentent et se font prêts à l’emploi.
-- La structure des achats de fruits et légumes en 2012.
-- Le comportement du consommateur dans ses achats de fruits et légumes en 2013 : lieux d’achat / modes de vente.
- De la conserve au surgelé, en passant par la Vème gamme, les légumes se transforment.
- Producteurs, distributeurs, industriels : zoom sur les acteurs qui font l’actualité.
La consommation responsable a prit de plus en plus d’ampleur durant ces dernières années, induite par des consommateurs français de plus en plus conscients.
Végétarisme, véganisme, régimes sans, tendances healthy, flexitarisme… Les tendances alimentaires sont nombreuses et de plus en plus présentes dans les assiettes des français, aussi bien à la maison qu’au restaurant.
Consommer local : un phénomène global ? EcoSocioConso
Parce que derrière ce qui peut parfois être perçu comme un phénomène de mode un peu agaçant se retrouvent de nombreux enjeux liés à notre consommation d’aujourd’hui et de demain, comme les questions de la traçabilité des produits, de sécurité alimentaire, du développement durable ou encore de l’impact économique de la consommation.
• Qu’est-ce que le locavorisme ou « consommer local » ?
• Quel est le poids économique de cette tendance de consommation en France aujourd’hui ?
• Quelles sont les filières?
• Quelles sont les limites ?
1. Les Français et le Slow Fooding en 2017
Quantification, tendances, typologie de consommateurs et
opportunités d’innovations
Présentation de l’étude
France, août 2017
• 139 pages
• 6.170 Français interrogés
2. Présentation
Les récentes enquêtes le prouvent : une très large majorité des français aspirent à manger
mieux, consommer une nourriture plus gourmande (aliments frais et savoureux qui res-
pectent les patrimoines et les diversité gastronomiques), plus saine (qui ne nuit pas à l’envi-
ronnement, au bien-être animal ou à la santé humaine) et plus juste (une rémunération et
des conditions de travail justes pour les producteurs). Le contrat de base (qualité / prix) ne
suffit plus. Les produits de consommation intégrant une démarche de production «douce» et
raisonnée tirent la demande dans les rayonnages de la grande distribution et de plus en plus
hors de celle-ci (vente directe, AMAP,…).
Plus qu’une démarche alternative, le «Slow Fooding» constitue aujourd’hui une hyper-ten-
dance de consommation au croisement de multiples préoccupations : le bio, le local, l’eco-
gastronomie (le goût, la biodiversité alimentaire), l’agriculture paysanne, le végétarisme, le
bien-être animal, le gaspillage alimentaire, le prix juste pour les agriculteurs, la réduction des
emballages alimentaires, la biodiversité animale et végétale, la transparence, la co-création
des offres par les consommateurs,...
Ces multiples attentes constituent des «couches» qui s’empilent depuis quelques années et
parmi lesquelles les consommateurs piochent pour composer leur propre référentiel «Slow
Fooding» avec leurs sensibilités mais aussi souvent leurs contradictions.
L’enjeu pour les marques est aujourd’hui de mieux saisir cette complexité pour en faire un
territoire d’innovation et de différenciation :
• Imaginer des offres plus transversales (multi-bénéfices) – adaptée à chaque cible straté-
gique - et dépasser ainsi l’approche classique de gammes trop souvent centrées sur un
bénéfice principal (gamme «verte», gamme «sans»,…).
• Déployer des positionnements de marque innovants capables d’accompagner les consom-
mateurs français dans leur désir ou leur apprentissage du Slow Fooding.
Par conséquent, cette étude vise à aider les équipes marketing à mieux appréhender et
déployer une démarche pro-active sur ce marché en forte croissance.
Les points clés de l’étude
• Quantifier et qualifier la nouvelle demande «Slow Fooding» en France.
• Evaluer les segments de marché, dresser une typologie des français sur la thématique
Slow Fooding, adresser une offre adaptée auprès de chaque segment.
• Identifier les facteurs clefs de succès et les meilleures opportunités d’innovations sur le
marché du Slow Fooding.
Pour qui ?
• Industrie agro-alimentaire.
• Enseignes de la distribution alimentaire.
• Enseignes RHD (restauration à thème, restauration rapide,…).
• Fournisseurs Food Service, grossistes alimentaires de la RHD, acteurs du marché des ingré-
dients alimentaires.
3. Echantillon
6.170 Français âgés de 18 à 75 ans ont été interrogés par Internet, entre le 30 juin et le
10 juillet 2017. Cet échantillon est issu d’envois représentatifs de la population Française en
termes de sexe, d’âge, de CSP, de composition du foyer et de localisation.
Les répondants à l’enquête sont tous membres de notre communauté de 60.000 panélistes
http://www.panelia.fr propriété Arcane Research.
La grille d'analyse abordée à travers 19 tendances
1. Naturalité (aliments peu transformés, sans OGM, réduction des pesticides, etc.)
2. Produits issus de l’agriculture biologique
3. Produits issus de l’agro-écologie, biodynamie, permaculture (complémentarité entre les
espèces qui s’auto-stimulent entre elles)
4. Produits locaux / marques locales, fabriqués ou cultivés à proximité
5. Produits / marques authentiques, que je connais depuis l’enfance
6. Préservation d’une agriculture familiale et paysanne
7. Proposition d’aliments et traditions culinaires oubliés
8. Produits contenant moins de protéines animales (hors rayon fruits et légumes, hors Boissons)
9. Respect du bien-être animal (hors rayon fruits et légumes, hors Boissons)
10.Produits issus de la pêche durable, pour préserver les ressources et la biodiversité marine
(uniquement si rayons traiteur de la mer ou poisson)
11.Réduction du gaspillage alimentaire, en réhabilitant les produits alimentaires avec défauts
d’aspect
12.Meilleure rémunération des agriculteurs, un prix juste pour que le commerce soit équi-
table
13.Réduction des emballages alimentaires, notamment par la vente de produits en vrac, etc.
14.Transparence sur l’origine des produits et du lieu de production
15.Implication dans la création des menus / des gammes ou le design des produits des
marques alimentaires
16.Simplicité des produits
17.Limitation des perturbateurs endocriniens (pesticides, métaux lourds, bisphénol A, etc.)
18.Produits avec taux de sel / sucre / gras réduits
19.Produits sans aromes / colorants / conservateurs
4. Pour avoir encore plus de précisions sur l’étude, n’hésitez pas à nous demander le questionnaire.
1. La demande de Slow Fooding en France en 2017
1.1. La place de l’alimentation dans la vie des Français
1.1.1. Attitudes des Français vis-à-vis de leur consommation alimentaire
1.1.2. Attitudes des Français vis-à-vis de l’alimentation
1.2. Taille du marché du Slow Fooding en 2017
1.2.1. Identification du marché Slow Fooding en 2017
1.2.2. Connaissance du terme Slow Fooding
1.3. Les enjeux sociétaux de l’alimentation
1.3.1. Motivations du Slow Fooding
1.3.2. Impact des choix alimentaires sur le reste du monde
1.4. Taux de pénétration du Slow Fooding selon le profil des Français
1.4.1. Selon le profil socio-démographique : sexe, âge, CSP, revenus mensuels nets du
foyer, composition du foyer, région (UDA5), type de commune
1.4.2. Selon le profil consommateur des Français : circuits de distribution fréquentés,
circuit de distribution fréquenté le plus souvent, rayons fréquentés
1.5. Le Slow Fooding et la restauration hors domicile
1.5.1. Circuits RHD fréquentés par les Français
1.5.2. Circuits RHD fréquentés par les Français : détail «Restaurants à thème» et «Restau-
rants rapides»
1.5.3. Part de Slow Fooding selon la fréquentation RHD des Français
1.5.4. Part de Slow Fooding selon la fréquentation RHD des Français : détail «Restaurants
à thème»
1.5.5. Part de Slow Fooding selon la fréquentation RHD des Français : détail «Restaurants
rapides»
1.5.6. Circuits RHD les plus associés au Slow Fooding
1.5.7. Circuits RHD les plus associés au Slow Fooding : détail «Restaurants à thème» et
«Restaurants rapides»
1.5.8. Potentiel du Slow Fooding sur le marché RHD
Sommaire
5. 1.6. Slow Food vs Fast Life
1.6.1. Recours aux offres alimentaires Fast life
1.6.2. Intensité du rythme de vie des Français
1.6.3. Impact du rythme de vie sur la consommation alimentaire
1.6.4. Identification des souhaits de changement réels pour le Slow Food
1.6.5. Arbitrages entre slow fooding & rapidité / efficacité
1.7. Freins au Slow Fooding : identification des consommateurs distants ou
réfractaires et potentiel de conversion
1.7.1. Freins au Slow Fooding
1.7.2. Intentions de Slow Fooding à l’avenir
1.7.3. Eléments incitatifs au Slow Fooding
1.8. Slow Fooding et Information
1.8.1. Attentes des Français pour mieux maîtriser la cuisine / gastronomie
1.8.2. Sources d’informations sur le Slow Fooding
1.8.3. Points de contact influents et informatifs sur les produits et marques
2. Les attentes d’optimisation de Slow Fooding
2.1. Les attentes d’optimisation de Slow Fooding au global (tous rayons confondus)
2.2. Les attentes d’optimisation de Slow Fooding par rayon
2.2.1. Les attentes d’optimisation de Slow Food par rayon
2.2.2. Mappings stratégiques
• Identification des priorités d’action sur l’ensemble des rayons
• Identification des priorités d’action sur le rayon Poissons
• Identification des priorités d’action sur le rayon Fruits et légumes
• Identification des priorités d’action sur le rayon Traiteur
• Identification des priorités d’action sur le rayon Epicerie sucrée
• Identification des priorités d’action sur le rayon Crèmerie
• Identification des priorités d’action sur le rayon Charcuterie
• Identification des priorités d’action sur le rayon Epicerie salée
• Identification des priorités d’action sur le rayon Surgelés
• Identification des priorités d’action sur le rayon Yaourts et desserts
• Identification des priorités d’action sur le rayon Viandes
• Identification des priorités d’action sur le rayon Boissons sans alcool
6. 3. Typologie des «Slow Fooders» et principales implications marketing
3.1. Typologie des Français au regard du Slow Fooding
3.2. Profil sociodémographique des groupes de la typologie
3.2.1. Sexe et âge
3.2.2. CSP et revenus du foyer
3.2.3. Composition du foyer
3.2.4. Région (UDA 5) et type de commune
3.3. Profil consommateur des groupes de la typologie
3.3.1. Circuits de distribution fréquentés
3.3.2. Circuit de distribution fréquenté le plus souvent
3.3.3. Enseignes de distribution fréquentées
3.3.4. Enseigne de distribution fréquentée le plus souvent
3.3.5. Rayons fréquentés pour les achats alimentaires
3.3.6. Eléments importants lors des achats alimentaires
3.3.7. Circuits RHD fréquentés
3.3.8. Détail «Restaurants à thème» fréquentés
3.3.9. Détail «Restaurants rapides» fréquentés
3.4. Insights les plus discriminants entre chaque segment de consommateurs
3.4.1. Attitudes vis-à-vis de l’alimentation selon la typologie
3.4.2. Attitudes vis-à-vis de la consommation alimentaire selon la typologie
3.4.3. Impact des choix alimentaires sur le reste du monde selon la typologie
3.5. Implications marketing pour cibler efficacement chaque groupe de consom-
mateurs
3.5.1. Connaissance du terme Slow Fooding selon la typologie
3.5.2. Motivations du Slow Fooding selon la typologie
3.5.3. Freins au Slow Fooding selon la typologie
3.5.4. Intentions de Slow Fooding à l’avenir selon la typologie
3.5.6. Eléments incitatifs au Slow Fooding selon la typologie
3.5.7. Attentes des Français pour mieux maîtriser la cuisine / gastronomie selon la typo-
logie
3.5.8. Attentes d’optimisations de Slow Fooding (tous rayons confondus) selon la typolo-
gie
3.6. Sensibilité des différents types de consommateurs aux canaux de commu-
nication médias / hors médias
3.6.1. Sources d’informations sur le Slow Fooding selon la typologie
3.6.2. Points de contact influents et informatifs sur les produits et marques selon la typo-
logie
7. 3.7. Comment associer le Slow Fooding aux autres hyper-tendances de consom-
mation
3.7.1. Recours aux offres alimentaires Fast life selon la typologie
3.7.2. Intensité du rythme de vie sur la consommation alimentaire selon la typologie
3.7.3. Impact du rythme de vie sur la consommation alimentaire selon la typologie
3.7.4. Identification des souhaits de changement réels pour le Slow Food selon la typolo-
gie
3.7.5. Arbitrages entre slow fooding & rapidité / efficacité selon la typologie
Annexes
• Profil sociodémographique
• Sexe et âge
• CSP
• Composition du foyer
• Revenus du foyer
• Région (UDA 5) et type de commune
• Profil consommateur
• Responsable des achats alimentaires du foyer
• Circuits de distribution fréquentés pour les achats alimentaires
• Enseignes de distribution fréquentées pour les achats alimentaires
• Rayons fréquentés pour les achats alimentaires
• Eléments importants lors des achats alimentaires
• Taux de pénétration du Slow Fooding selon le profil des Français
• Part de Slow Fooding selon le profil consommateur des Français : enseignes de distri-
bution fréquentées
• Part de Slow Fooding selon le profil consommateur des Français : enseignes de distri-
bution BIO fréquentées
• Part de Slow Fooding selon le profil consommateur des Français : enseigne de distri-
bution fréquentée le plus souvent
8. Références : 3A – 3M – ABBOTT – ABRIBLUE – ACADEMIE – ACOVA- AG2R – AGIR
GRAPHIC – AIRPAC – ALAIN AFFLELOU – ALCONLABS – ALDES AERAULIQUE- ALES GROUPE – ALGO-
THERM – ALLERGAN- ALLIANZ VIE – ALSACE LAIT- AMDIPHARM – ANDROS- AO SOLA – APEX- API-
CIL – ARISTON THERMO GROUP - ARTENAY CEREALS - ASSURANCES DU CREDIT MUTUEL – ASTRA
ZENECA – ATLANTIC- ATOL – AUDIOPTIC – AXA – BARILLA- BAUSCH&LOMB- BAYER – BAYER PHARMA
– BEIERSDORF – BFORBANK- BIOCODEX – BIODERMA – BIOGARAN- BIORGA – BLEDINA – BNP PARI-
BAS – BOEHRINGER–INGELHEIM – BOIRON- BOIRON SURGELATION- BONCOLAC – BROTHIER – BSN
MEDICAL – CA CONSUMER FINANCE - CAISSE D’EPARGNE – CANDIA – CARDINAL HEALTH – CARL
ZEISS- CARREFOUR – CASINO- CEPHALON – CHARAL – CIPF CODIPAL- CLARINS – CNBPF- COLGATE
PALMOLIVE – COLUMBIA – CONTINENTAL – COOPER- COSMETIQUE ACTIVE INTERNATIONAL – COTY
– COVEA- DAIKIN – DE DIETRICH – DECLEOR – DIRECT ASSURANCE- DPAM- DIAFARM-NPC – DOU-
GLAS – DUC – E. LECLERC – EA-PHARMA – ECOVER – EDF- EFFIK- ELLA BACHE – ENTENDRE – ES EN-
ERGIES- ESSILOR – ESTHEDERM – EUCERIN – EUGENE PERMA – EUROSIMA – EXACOMPTA – EXPANS-
CIENCE – FEU VERT- FINDUS – FLORETTE – FNH – FNMF – FORD – FORTE PHARMA- France FARINE
- FRANCK PROVOST – GABA – GASTRONOME – GEDEON RICHTER- GENERALI- GENEVRIER- GEORGIA
PACIFIC – GILLETTE – GRAND OPTICAL- GROUPE APPRO - GSK – GUERLAIN- GUINOT – HALIEUTIS
- HAMELIN – HELLY HANSEN – HENKEL – HOYA LENS – HRA- HUMANIS - IMA – ING- INNOTHERA
– INTERMARCHE- INTERVET – IPRAD SANTE- IPSEN – JANSSEN CILAG- JARDILAND- JEAN MARTIN –
JENNY CRAIG – JUVA SANTE- KRYS GROUP – LABORATOIRE DE LA MER- LACTALIS – LAITA – LAFUMA
– LAMY – LAPEYRE – LCL- LDC – LEA NATURE- LEHNING- LE TANNEUR – L’ASSIETTE BLEUE- LEVER
FABERGE – LEXEL – L’OCCITANE – L’OREAL PROFESSIONNEL – LUISSIER BORDEAUX CHESNEL- LONG-
CHAMP – LUNETIERS DU JURA – LVMH- MAAF – MACIF- MAIF- MALAKOFF MEDERIC- MARIA GAL-
LAND – MARINE HARVEST- MARY COHR- MATINES – MATIS – MATMUT- MAYOLY SPINDLER – MEAD
JOHNSON – MEDA PHARMA – MEDICA – MENARINI – MERCK MEDICATION FAMILIALE – MERIAL –
MGEN- MILLET – MITI- MITSUBISHI – MMA – MONDIAL ASSISTANCE- MONOPRIX – MR BRICOLAGE
– NATIXIS- NATURENVIE- NEGMA-WOCKARDT – NESTLE- NESTLE PROTEIKA – NIKE ACG – NISSAN-
NOFIMA- NORAUTO – NORWEGIAN SEAFOOD COUNCIL- NOVARTIS – NUTRITION ET SANTE – OLIVES
& CO- OENOBIOL – OMEGA PHARMA – OMNICOM- O’NEILL – OPTIC 2000 – ORANGINA SCHWEPPES
– OXBOW – PATAGONIA – PAUL HARTMANN – PEPSICO – PFIZER – PHYTOMER – PICOT – PIERRE
FABRE DERMO COSMETIQUE – PIERRE FABRE MEDICAMENT – PIERRE FABRE ORAL CARE – PIERRE
FABRE SANTE – PREVOIR - PROCTER GAMBLE – PSA – QUIKSILVER – RCIA – RECKITT BENCKISER -
REUNICA – REVLON – RIP CURL – ROGE CAVAILLES – ROSSIGNOL – ROTTAPHARM – SACLA – SAINT
HUBERT- SALOMON – SANOFI–AVENTIS – SANTECLAIR – SARBEC – SCA – SCHOLL – SEMES MARQUE
VERTE- SERVIER – SEVRE LOIRE HABITAT – SIGVARIS- SIMONE MAHLER – SMITH & NEPHEW – SODE-
BO- SODIAAL – SODILAC – SOGECAP- SOLINEST – SOTHYS – SOVIBA – SSP- STABILO – STALLERGENES
- STANHOME – STERILOR – STGA – STIEFEL – STOEFFLER – SUN STAR- SVR – SWISS LIFE – SYSTEME
U – TEOXANE – TERRA SANTE- TEVA – TEXIER – THALGO – THUASNE- TOP PHARM – UMBRO – UNI-
LEVER- UNIMA- UNITED BISCUITS – UPSA – URGO – VANIA – VENDOME – VISAUDIO- VOLCOM – VW
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