L’année 2022 a été marquée par une flambée des charges dans la filière laitière et une inflation alimentaire record qui se poursuit en 2023. Le prix du lait conventionnel a été revalorisé quand les autres segmentations n’ont pas bénéficié de revalorisations similaires. La hausse des prix alimentaires a conduit certains consommateurs à chercher des alternatives plus abordables remettant en question la demande des segments premium, tels que le bio ou les AOP.
Dans ce contexte, le positionnement des segmentations visant à mieux valoriser les produits laitiers suscite des interrogations. Quel avenir pour ces marchés segmentés ? quel est le consentement du consommateur à payer les surcouts liés à ces démarches ?
Afin de comprendre les tendances actuelles, nous proposons de porter des regards croisés sur les dynamiques de consommation et les stratégies de segmentation présentes dans les filières lait et vin. L’analyse et la confrontation des expériences de segmentation dans la filière viticole seront particulièrement intéressantes et instructives en comparaison avec la filière laitière.
Des travaux de l’Institut de l’Élevage et de l’Institut Français du vin seront présentés. La laiterie de Saint Denis de l’Hôtel engagée dans plusieurs démarches de segmentations du lait de consommation livrera son analyse de la situation et des perspectives. Avec l’ensemble des participants à cette conférence, nous proposons d’engager un échange qui ouvre des perspectives.
Retour sur les chiffres clés de l'élevage bovin laitier en France et son impact réel sur l'environnement.
Quels sont les dernières actions mises en place pour limiter ses impacts ? Appuyé par un cas concret d'analyse de l'empreinte de l'exploitation GAEC des Aubépines.
Cette conférence a été organisée par le CNIEL.
Présentation aux Biennales CAP2ER 2023 des mécanismes de stockage du carbone dans les sols, des leviers pour le mettre en oeuvre et des perspectives pour l'outil CAP'2ER
présentation de la méthode de calcul des coûts pour la mise en oeuvre de leviers bas carbone, individuellement ou en combinaison pour faire évoluer le système d'élevage
L’année 2022 a été marquée par une flambée des charges dans la filière laitière et une inflation alimentaire record qui se poursuit en 2023. Le prix du lait conventionnel a été revalorisé quand les autres segmentations n’ont pas bénéficié de revalorisations similaires. La hausse des prix alimentaires a conduit certains consommateurs à chercher des alternatives plus abordables remettant en question la demande des segments premium, tels que le bio ou les AOP.
Dans ce contexte, le positionnement des segmentations visant à mieux valoriser les produits laitiers suscite des interrogations. Quel avenir pour ces marchés segmentés ? quel est le consentement du consommateur à payer les surcouts liés à ces démarches ?
Afin de comprendre les tendances actuelles, nous proposons de porter des regards croisés sur les dynamiques de consommation et les stratégies de segmentation présentes dans les filières lait et vin. L’analyse et la confrontation des expériences de segmentation dans la filière viticole seront particulièrement intéressantes et instructives en comparaison avec la filière laitière.
Des travaux de l’Institut de l’Élevage et de l’Institut Français du vin seront présentés. La laiterie de Saint Denis de l’Hôtel engagée dans plusieurs démarches de segmentations du lait de consommation livrera son analyse de la situation et des perspectives. Avec l’ensemble des participants à cette conférence, nous proposons d’engager un échange qui ouvre des perspectives.
Retour sur les chiffres clés de l'élevage bovin laitier en France et son impact réel sur l'environnement.
Quels sont les dernières actions mises en place pour limiter ses impacts ? Appuyé par un cas concret d'analyse de l'empreinte de l'exploitation GAEC des Aubépines.
Cette conférence a été organisée par le CNIEL.
Présentation aux Biennales CAP2ER 2023 des mécanismes de stockage du carbone dans les sols, des leviers pour le mettre en oeuvre et des perspectives pour l'outil CAP'2ER
présentation de la méthode de calcul des coûts pour la mise en oeuvre de leviers bas carbone, individuellement ou en combinaison pour faire évoluer le système d'élevage
Concilier production, réduction de l’empreinte environnementale de la viande bovine et amélioration de la durabilité pour répondre aux enjeux de demain. Piloté par Idele, le séminaire final du programme Beef carbon Nouvelle Aquitaine a réuni cinquante participants le 12 décembre à Périgueux.
Ces programmes ont pour objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) des élevages de bovins viande sans avoir d’impacts négatifs sur d'autres indicateurs environnementaux (stockage de carbone, énergie, biodiversité, qualité de l'air, qualité de l'eau) ou économiques.
Ils répondent à la problématique du changement climatique en considérant l’ensemble des enjeux environnementaux et de durabilité. Ils développent l’approche environnementale dans le conseil apporté aux éleveurs bovin viande.
Conférence organisée par l'Institut de l’Elevage et présidée par Dominique Daul, Responsable des dossiers environnement à Interbev, ainsi que Emmanuel Costes, Président de la section ovine d’Interbev
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Webinaire santé prédation - Doré Nicolas Inrae 31 mai 2024.pdf
Life beef carbon connaitre et promouvoir les systèmes bovins viande bas carbone
1. LIFE BEEF CARBON :
CONNAITRE ET PROMOUVOIR LES
SYSTÈMES BOVINS VIANDE BAS CARBONE
Josselin Andurand - Institut de l’Elevage - josselin.andurand@idele.fr
2. Plan
2
• Contexte du projet
• Objectifs et valorisation possible
•Point d'avancement du projet
•Exemple d’un diagnostic chez un éleveur innovant
3. L’élevage herbivore et son bilan environnemental
Air
(Ammoniac, gaz à effet de serre, odeurs…)
Elevage
Eau
(Nitrates, phosphore, pesticides,…)
Sols
(MO,
Carbone,
métaux
lourds)
Biodiversité
Paysage
Contexte
4. Le rapport de la FAO de 2006 : un révélateur 4
La grande
ombre portée
par l’élevage…
Contexte
5. MESSAGE TRADUIT PAR LA PRESSE GRAND PUBLIC
L'L'éélevage contribuelevage contribue
beaucoup aubeaucoup au
rrééchauffementchauffement
climatiqueclimatique
L'L'éélevage contribuelevage contribue
beaucoup aubeaucoup au
rrééchauffementchauffement
climatiqueclimatique
Déferlement médiatique !!
Contexte
8. Contexte
8
Agriculture ≈ 20 % des GES totaux
dont Elevage ≈ 15 %
dont Elevage ruminants ≈ 10 %
dont Elevage bovins viande ≈ 5 %
dont Elevage bovins lait ≈ 4 %
Des services rendus variés
dont notamment
Séquestration du carbone dans les sols agricoles ≈ 90% du
potentiel de réduction GES agricole (IPCC, 2007, FAO 2010)
MAIS !
9. Contexte
9
Peu d’outils de conseils adaptés
Peu de moyens de communication
Certaines techniques identifiées mais sans dissémination
Leviers : Limiter animaux improductifs / gestion alimentation / gestion
cultures et des prairies / ajustement de la fertilisation…
Pas de solution standard nécessité de faire du cas par cas
Lancement de BEEF CARBONLancement de LIFE BEEF
CARBON
10. Identification de pratiques bas carbone
et de leur coût de mise en oeuvre
10
Le coût des techniques de réduction des GES
Pellerin et al., 2013
Economique
< 0 € / t eq.CO2 évité
Intermédiaire
0-25 € / t eq.CO2 évité
Coûteux
> 25 € / t eq.CO2 évité
11. 11
On ne peut influer et agir
que sur ce que l’on
connait
12. Objectifs
12
Connaître et réduire l’empreinte carbone de la viande bovine
Développer des outils et sensibiliser éleveurs et techniciens
Identifier, tester et promouvoir les pratiques d’élevage bas carbone
Construire le plan carbone de la production de viande bovine :
- 15% de l’impact carbone en 10 ans
Lancer une dynamique nationale bas carbone dans la filière
13. Objectifs
13
Réduire l’empreinte carbone de la production
de viande de 15% à échéance de 10 ans
…2 000 ELEVEURS
PLAN DE PERFORMANCE TECHNIQUE, ECONOMIQUE
ET ENVIRONNEMENTAL
de la production de viande bovine
16. Valorisation par la filière
16
Acquisition de données et d’outils
Création d’une dynamique professionnelle et d’un noyau d’éleveurs et
de techniciens
Identification du gisement d’amélioration et du coût de sa mobilisation
Amélioration de la compétitivité
Amélioration des performances techniques et économiques des
élevages, via l’entrée carbone
17. LIFE BEEF CARBON : Partenariat
17
17
Instituts
techniques
de l’élevage
-
-
-
Éleveurs
bovins viande
UE
2000
Quatre pays = 32 % de la production
de viande européenne
Un engagement européen sur la période 2016-2020
Et des partenaires européens
19. LIFE BEEF CARBON : des outils
Pédagogie et sensibilisation
Conseil en élevage, aide à la décision
NIVEAU simplifié : 35 critères techniques
NIVEAU complet : 150 critères techniques
Les impacts environnementaux
La performance nourricière
La construction de plans d’action
Les incidences économiques
Les gains environnementaux
….
Un outil pour mesurer la performance
environnementale et construire des plans d’action
20.
21. Fermes de démonstration
21
1680 fermes à diagnostiquer en France avant décembre 2018
1400 fermes recrutées :
- Représentatif des territoires concernés (répartition par typologie d'atelier)
- Privilégier les exploitations ruminant spécialisé
- 100% diagnostic en 2017/2018 + 50% avec diagnostic en 2020
23. Principes de calcul
23
Emissions brutes de GES - Stockage de carbone = Empreinte carbone nette
kg éq. CO2/kgvv
12,017,6 5,6
(± 4,0) (± 3,4) (± 4,7)
24. Répartition des émissions
24
Tous systèmes confondus
La fermentation entérique représente plus de 50% des émissions totales de GES
55%
24%
6%
7%
5% 4%
Fermentation entérique
Gestion des effluents
Achats aliments et paille
Fertilisation
Energies directes
Achats d'engrais
25. Confirmation d’un effet système ?
25
10,5
0,4
10,1
18,3
6,6
11,8
18,2
7,4
10,8
12,4
1,8
10,6
15,4
3,2
12,2
22,1
7
15,1
0
5
10
15
20
25
Emissions brutes Stockage de carbone Emissions nettes
Eng de JB à partir de broutards Naisseur NE de bœufs NE de JB avec achats NE de JB sans achats NE de veaux
(± 3,6)
(± 1,8)
(± 2,3)
(± 4,1)
(± 0,4)
(± 2)(± 3,5)
(± 5,2)
(± 2)
(± 3,4)
(± 1,8)
(± 1,3)
(± 3,3) (± 2,4)
(± 5,1)
(± 3)
kg éq CO2/kgvv
(± 2,1)
(± 3,8)
26. Emissions de gaz à effet de serre
et contributions positives
Fiche Résultats 2017
Les données1 sont issues de 979 élevages bovin viande français en système Naisseur – Engraisseur de jeunes bovins.
L’impact sur le changement climatique et les contributions positives de ces élevages, issus de la base de données Inosys
Réseaux d’Elevage, ont été calculés avec la méthodologie de calcul environnementale utilisée dans CAP’2ER®.
Caractéristiques des 979 élevages Moyenne Déciles Inf. et
Sup.
SAU exploitation - ha 150 73 – 255
SFP exploitation (dont SFP atelier viande) - ha 107 (96) 54 (39) – 180 (165)
Part de maïs dans la SFP viande - % 13% 0% – 25%
Part d’herbe dans la SFP viande - % 81% 69% – 92%
Nombre de vaches allaitantes 81 37 – 135
Chargement viande - UGB/ha SFP viande 1,75 1,20 – 2,38
Production brute de viande vive annuelle (kgvv/an) 53 675 22 377 – 90 437
Soit par UGB – kgvv/UGB/an 364 291 – 428
Emissions brutes de GES(2) - kg éq. CO2/kgvv 15,5 12,3 – 18,7
Stockage de carbone - kg éq. CO2/kgvv 3,2 1,0 – 5,6
Empreinte carbone nette- kg éq. CO2/kgvv 12,4 8,2 – 16,3
En moyenne, un système « Naisseur – Engraisseur de jeunes bovins » des Réseaux d’Elevage
Inosys…
… stocke 161 897 kg éq. CO2 par an
… nourrit 184 personnes*
… émet 810 620 kg éq. CO2 par an
Ces émissions
brutes de GES
proviennent
de différents
postes de
l’élevage.
*ADEME,2016
Grâce à la
photosynthèse, les
prairies et les haies
favorisent le stockage
du carbone dans les
sols.
Sur la base du contenu en protéines animales
de ses productions agricoles.
*PERFALIM® - CEREOPA
… entretient 117 éq. ha de
biodiversité
Les infrastructures
agro-écologiques sont
indispensables au
maintien et au
développement de la
faune et la flore.
1
soit 44 154 kg de carbone ,
ce qui compense 21% de ses émissions.
Cela équivaut à 761 269 km en voiture*
(1) Données 2009 à 2015
(2) Gaz à Effet de Serre
Systèmes « Naisseur – Engraisseur de jeunes bovins »
Leur
répartition
27. Projet cofinancé par la
Communauté
européenne et les Fonds
CASDAR
CONTACTS :
Sindy Moreau - sindy.moreau@idele.fr -
Quitterie Combourieu – quitterie.combourieu@idele.fr -
Jean-Baptiste Dollé - jean-baptiste.dolle@idele.fr-
Rédaction : Quitterie Combourieu
Crédits photos : Conception et réalisation :
Réf : ISBN OUI : - novembre 2017
Ont contribué à la réalisation de ce projet
:
TOP 10 GES* Moyenne générale
BOTTOM 10
GES*
(n=105) (n=979) (n=97)
Nombre de vaches allaitantes 61 81 59
SAU atelier viande, ha 86 105 74
Part de maïs dans la SFP viande, % 16% 13% 14%
Chargement apparent, UGB/ha SFP viande 1,78 1,75 1,79
Production brute de viande vive, kgvv/UGB 450 364 269
Production brute de viande vive par ha, kgvv/ha SFP 489 530 345
Temps moyen au pâturage atelier viande, jours/an 196 199 202
Quantité de concentrés, kg bruts/UGB 775 818 870
Autonomie en concentrés, % 41% 43% 43%
Fourrages distribués, tMS/UGB 2,3 2,4 2,6
Âge moyen au 1er vêlage, mois 33,8 34,6 35,6
Taux de renouvellement, % 18% 23% 15%
Intervalle vêlage-vêlage, jours 379 380 390
Apport d’azote total = minéral + organique, kg N/ha viande 90 = 46 + 44 99 = 54 + 45 105 = 63 + 42
Consommation de carburant, litres/ha viande 110 115 119
Longueur de haies, mètres linéaires/ha viande 100 88 77
Emissions brutes de GES, kg éq. CO2/kgvv 11,0 15,5 22,8
Stockage de carbone, kg éq. CO2/kgvv 2,9 3,2 4,2
Empreinte carbone nette kg éq. CO2/kgvv 8,1 12,4 18,6
* 10 % élevages ayant les émissions brutes de GES les plus faibles (TOP 10 GES) ou élevées (BOTTOM 10 GES)
Leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone
nette de la viande de ces systèmes
↘ CH4
Intérêts économiques
et/ou sociaux
↘ N2O
↘ charges en
intrants (engrais,
aliments,
carburant)
↗ image élevage
↘ charges (carburant
et électricité)
Impact
GES
CH4=Méthane ; N2O=protoxyde d’azote ; CO2=dioxyde de carbone ; C=stockage de carbone
↘ CO2
↘ charges d’élevage
↘ temps de travail
↗ vente de produit
viande
RÉDUIRE LE NOMBRE D’ANIMAUX IMPRODUCTIFS :
- Réduire l’âge au 1er vêlage et l’intervalle vêlage-vêlage pour optimiser le
nombre de vêlages
- Améliorer la conduite sanitaire pour limiter les pertes de veaux
AMÉLIORER LA QUALITÉ DES FOURRAGES ET LA VALORISATION DU
PÂTURAGE :
- Implanter des légumineuses dans les prairies et inter-cultures pour
diminuer les achats de concentrés et fertilisants et améliorer l‘autonomie
protéique
- Augmenter la quantité d’herbe valorisée des prairies, maitriser la qualité et
la quantité de l’herbe dans des rotations longues
- Favoriser le pâturage pour limiter le transport et le stockage des effluents
RÉDUIRE LES CONSOMMATIONS DE CARBURANT ET D’ÉLECTRICITÉ :
- Par l’organisation du travail, l’écoconduite ou l’échange de parcelles
↗ C
↘ CH4
↘ CO2
Les principales différences de pratiques permettant d’expliquer la
variabilité des résultats sont identifiées ci-dessous, mais il en existe
d’autres susceptibles d’influencer les émissions de GES : type de
bâtiment, composition des rations, consommation d’électricité, …
Résultats techniques et environnementaux des systèmes « Naisseur – Engraisseur
de jeunes bovins »
28. Fermes innovantes
28
125 fermes innovantes
- 150 données collectées
- 100% diagnostic en 2017/2018 + 100% avec diagnostic en 2020
- Suivi des évolutions sur 2017/2018/2019/2020
- Eleveurs innovants mettent en œuvre des plans carbone et participe au réseau européen
d’éleveurs innovants
- Présentation de leur ferme aux autres éleveurs/ conseillers
- Portes ouvertes : 2 à 3 fermes par région sur 2018/2019/2020
31. LE DISPOSITIF INOSYS RESEAUX D’ELEVAGE
Eleveurs
référents
• PRODUIRE DES REFERENCES ET DE L’EXPERTISE
• Un suivi technique, social, économique et environnemental
• Une approche globale du système d’exploitation
Réseau BOV.
LAIT Auvergne-
Lozère Réseau BOV.
VIANDE Sud
Massif Central
32. LE DISPOSITIF INOSYS RESEAUX D’ELEVAGE
• Référentiels
• Cas-types
• Etudes
• Publications thématiques
Le conseil
La prospective
L’innovation
Conseillers, éleveurs,
responsables professionnels,
enseignants, …
Site de consultation : cantal.chambagri.fr
Eleveurs
référents
36. LE DIAGNOSTIC CAP2ER
Calcul Automatisé des Performances
Environnementales en Elevage de Ruminants
L’outil en ligne permet:
D’évaluer l’empreinte environnementale de l’élevage
De situer l’exploitation par rapport à des références
De faire le lien entre performances environnementales, techniques
et économiques
D’identifier les marges de progrès
2 niveaux pour :
1: 35 DONNEES POUR SENSIBILISER
2: 150 DONNEES POUR AGIR
37. LE DIAGNOSTIC CAP2ER
Calcul Automatisé des Performances
Environnementales en Elevage de Ruminants
Une visite de collecte de données
Troupeau (Effectifs moyens, ventes, achats…)
Bâtiments (Types, durée d’utilisation…)
Surfaces (Fertilisation, rotations, haies …)
Alimentation (Récoltes, achats de concentré…)
Energie (Consommation et production)
Un travail de saisie
Une visite de restitution et de construction du plan d’action
Collecte d’information au bureau
Dossier PAC
Données IPG
Grand livre comptable
38. LE DIAGNOSTIC CAP2ER
Calcul Automatisé des Performances
Environnementales en Elevage de Ruminants
5 Pages de restitution s’articulant
autour d’un bilan environnemental
de l’exploitation.
+
Des fiches repères et conseils
selon les systèmes.
Des indicateurs avec une référence
mini/médiane/maxi pour se positionner.
51. LA SYNTHESE
Des performances dans la conduite du cheptel limitant
l’impact des fermentations entériques.
Une efficacité de la ration combinée à la production de
céréales autoconsommées permettant de réduire les
achats d’aliments et de paille.
Production d’énergie et de litière bois.
Une structure d’exploitation, apte à stocker le carbone par
la présence de haie et de prairies naturelles et limitant la
consommation d’énergies directes.
Une réflexion à mener autour de la fertilisation et de la
répartition des engrais de ferme.
Des bénéfices multiples liés à la présence de haie à
développer.
Un recours aux légumineuses à envisager dans les
céréales et/ou dans les rotations longues.
52. LE LIEN ENTRE ECONOMIE ET ENVIRONNEMENT
62
Le coût des techniques de réduction des GES
Pellerin et al., 2013
Economique
< 0 € / t eq.CO2 évité
Intermédiaire
0-25 € / t eq.CO2 évité
Coûteux
> 25 € / t eq.CO2 évité