Signes cliniques (hémorragie par rupture de varices oesophagiennes), biologiques (hypersplénisme) causes, imagerie, traitement de l'hypertension portale (en dehors de l'ascite et de l'encéphalopathie)
Les Tetanos Symposia (French), presented at Hôpital Sacré Coeur in Milot, Haiti, 2011.
CRUDEM’s Education Committee (a subcommittee of the Board of Directors) sponsors one-week medical symposia on specific medical topics, i.e. diabetes, infectious disease. The classes are held at Hôpital Sacré Coeur and doctors and nurses come from all over Haiti to attend.
La déshydratation aiguë du nourrisson est une pathologie fréquente et grave, nécessitant une prose en charge rapide et adéquate. Présentation préparée par: Dr. Lamia BENBADA (Alger le 14 Nov 2014)
L'invagination intestinale aiguë se présente souvent sous des formes incomplètes ou intégrée à d'autres tableaux cliniques. Connaitre les formes inhabituelles permet d'accélérer la prise en charge.
Signes cliniques (hémorragie par rupture de varices oesophagiennes), biologiques (hypersplénisme) causes, imagerie, traitement de l'hypertension portale (en dehors de l'ascite et de l'encéphalopathie)
Les Tetanos Symposia (French), presented at Hôpital Sacré Coeur in Milot, Haiti, 2011.
CRUDEM’s Education Committee (a subcommittee of the Board of Directors) sponsors one-week medical symposia on specific medical topics, i.e. diabetes, infectious disease. The classes are held at Hôpital Sacré Coeur and doctors and nurses come from all over Haiti to attend.
La déshydratation aiguë du nourrisson est une pathologie fréquente et grave, nécessitant une prose en charge rapide et adéquate. Présentation préparée par: Dr. Lamia BENBADA (Alger le 14 Nov 2014)
L'invagination intestinale aiguë se présente souvent sous des formes incomplètes ou intégrée à d'autres tableaux cliniques. Connaitre les formes inhabituelles permet d'accélérer la prise en charge.
Le prolapsus génital est ce que l'on appelle en langage courant «la descente d'organes » chez la femme.
Il s'agit d'un trouble de la statique du pelvis féminin qui menace rarement la vie des patientes mais qui peut souvent être pour elles à l'origine d'un inconfort majeur.
Organisés les 15 et 22 novembre 2012 à l'espace multimédia de la Bibliothèque Landowski de Boulogne-Billancourt, ces ateliers ont pour but d'aider les bibliothécaires à établir une veille d'information et une veille documentaire efficaces (Camille Rivory – Clamart), communiquer sur le web (Quentin Ruffin – Suresnes), accroître l’efficacité collaborative de son service (Nicolas Andry – Antony).
IDENTITE 2.0
ACTION, TRANSACTIONS ET REPUTATION
Introduction et animation de tables rondes : Luc Lefebvre, Directeur Identité Numérique France de Webescapeagents (Intranet 2.0, positionnement web, identité numérique, e-gouvernement & ville 2.0)
TABLE RONDE de 10h : LE CIBLAGE 2.0
CIBLER LES GENS DANS LEUR CONTEXTE DE VIE
Désormais ce qui compte sur internet c'est la trajectoire dans laquelle l'internaute c'est engagé. Trajectoire virtuelle, voire mentale) mais qui se concrétise dans le réel sous forme de projet. La cible est mobile, elle est e mouvante, ou émouvante. Comment la suivre on line et off line pour lui proposer les produits et services qui lui sont utiles ?
Avec la géolocalisation qui permet à chacun d'identifier des lieux et des personnes dans le réel...c'est une nouvelle ère qui s'ouvre. Mais ne nous y trompons pas il ne s'agit pas seulement de savoir où est la personne.Encore faut-il maitriser cet élément clef nouveau : le contexte de vie. Le contexte de vie c'est à la fois le lieu, l'action qui s'y déroule, et le temps qu'elle prendra pour s'achever. Ca demande des connaissances technologiques mais aussi une grande sensibilité à l'humain.
- Anthony hamelle, VP, opinion & market research linkfluence , France
- Siamack Salari siamack,everydaylives.com , Belgique.
- Olivier Binisti, Directeur des contenus, Nurun , France
- Xavier Charpentier, Directeur Général Associé, Free-Thinking 2.0 , France
- Francois Jégou, Consultant en Design Strategique, Solutioning Design , Belgique
- Sylvie Stankovic, Director Aedgency , Ireland
- Brice Mourer, Président de Magic Garden , France
Pour accéder au site de PARIS 2.0 de septembre 2009 : http://www.amiando.com/strategies20aparis.htm
CapCom13: AT4: S'appuyer sur des porte-parole -part2Cap'Com
L'image d'un territoire ne se construit pas uniquement sur la seule parole institutionnelle. Les habitants, les visiteurs, les acteurs économiques constituent des relais importants car, de fait, dans leur vie quotidienne, ils parlent de leur territoire. Comment, à l'image des ambassadeurs ou des greeters, constituer des communautés de porte-‐parole ? Comment concrètement mobiliser, outiller, animer ces réseaux ? Comment faire en sorte qu'un discours commun soit porté tout en laissant à chacun la possibilité de l'exprimer à sa manière ?
Olivier Henne, DGA de Brest Metropole Tourisme, Philippe Lancelle, dircom de la Région Franche-Comté, Elsa Stoll, chargée de communication.
Hypertension arterielle secondaire : on-peut en guerirKhadija Moussayer
Plus de quatre millions de Marocains souffrent d’hypertension artérielle. La plupart du temps, cette dernière est dite « essentielle », car sans origine clairement établie. Lorsqu’elle a une cause identifiée et qu’elle est accessible partiellement ou en totalité à un traitement - au moins 10 % des cas -, on parle d’hypertension artérielle secondaire.
Dr MOUSSAYER
LA TENSION EST ESSENTIELLEMENT SOUS LE CONTRÔLE DU REIN, DES GLANDES SURRÉNALES ET DU SYSTÈME NERVEUX AUTONOME.
Le flux sanguin a été au centre des préoccupations de la médecine depuis les origines de l’humanité. Deux savants arabes -Avicenne au XIe siècle et Ibn Al Nafis au XIIIe siècle - ont été les premiers à bien appréhender le mécanisme qui régule ce flux sanguin et qui est le pouls, autrement dit, la tension artérielle.
La tension artérielle, qui est la résultante de deux paramètres : le débit sanguin et les résistances vasculaires (elles-mêmes liées au diamètre et au tonus des vaisseaux), se trouve ensuite sous le contrôle de 3 systèmes essentiels à sa régulation :
1/ Le rein, élément primordial de par son rôle d’élimination de la charge journalière de sel et d’eau, est également producteur de la rénine qui transforme un élément issu du foie, l’angiotensinogène en angiotensine I, elle-même convertie en angiotensine II sous l’effet d’une enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA) qui est secrétée essentiellement au niveau pulmonaire. L’activation de toutes ces substances va provoquer une augmentation de la pression artérielle.
Joignez-vous aux lauréates 2024 des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Hannah Bayne, Université de l’Alberta – Supporting tomorrow’s stewards: A knowledge mobilization project for climate-health literacy in Alberta elementary schools [Soutenir les intendants et intendantes de demain : un projet de mobilisation des connaissances en faveur de la littératie climat-santé dans les écoles primaires de l’Alberta]
Miranda Field, Université de Regina – Decolonized theory of place [La théorie du lieu décolonisée]
Jordan Chin, Université McMaster – The art of creation: An arts-based knowledge translation method to promote and advocate for a healthy start to life [L’art de la création : une méthode d’application des connaissances fondée sur les arts pour promouvoir et défendre un bon départ en santé]
2. Définitions « érection prolongée, douloureuse et irréductible survenant en dehors de toute stimulation sexuelle et n’aboutissant pas à une éjaculation», Actuellement «érection pathologique provoquée par diverses anomalies de l’hémodynamique érectile»
3. Urgence urologique Nécessité prise en charge avant les 4 heures Syndrome invalidant Sujets jeunes ++ Echec ou retard prise en charge Risque altération grave et définitive fonction érectile
4. Le risque de DE séquellaire par fibrose des corps caverneux fonction du délai écoulé bonnes chances de succès dans les 24 1ères heures Au-delà de 48 heures, 60% de risque de troubles érectiles majeurs. Risque de survenue DE dépend âge du patient, 25% à 20 ans, 80% à 60 ans
5. Physiologie de l’érection Corps érectiles (caverneux et spongieux) muscle lisse dont activité dépend du système nerveux autonome. Contraction sous commande SN orthosympathique et relâchement par le parasympathique. Etat flaccide assuré par tonus sympathique permanent maintenant contraction. Activation système parasympathique myorelaxation, chute brutale résistances tissulaires et afflux de sang dans les corps érectiles. Il s’agit du stade de la tumescence
6. Physiologie de l’érection Maintien érection et rigidité facilité par contraction muscles striés ischio et bulbo-caverneux. existe un état d’équilibre, entre flux artériel et drainage veineux. Rigidité chute du débit sanguin et augmentation pression intra caverneuse (110 mmHg). Détumescence puis flaccidité par contraction muscle lisse érectile (stimulation orthosympathique).
7. Physiologie de l’érection Autres facteurs concourant à érection : Albuginée et fascia de Buck compression veines dorsales verge. Le monoxyde d’azote (NO) principal neuromédiateur autres neuromédiateurs impliqués dans la physiologie de l’érection dopamine, prolactine, norépinephrine ... Détumescence résulte arrêt libération NO, dégradation GMPc par les phosphodiestérases et décharge sympathique lors éjaculation
8. Physiopathologie Priapisme altération mécanique circulatoire de la verge 3 types de priapismes Priapisme à bas débit ou ischémique Priapisme à haut débit Priapisme récidivant
9. Physiopathologie Priapisme à bas débit ou ischémique Le plus fréquent ne concerne que les corps caverneux. Absence de traitement rapide nécrose muscles corps caverneux avec fibrose et DE
10. Physiopathologie Priapisme à bas débit ou ischémique Modification hémodynamique sang intra caverneux hyperviscosité sanguine d’origine hématologique (drépanocytose, polyglobulie…) ou iatrogène (solutés hyperlipidiques en nutrition parentérale) Stase sanguine et ischémie objectivée par gaz du sang du produit de drainage. Sang recueilli est noirâtre, visqueux et incoagulable Acidose avec PO2 basse et PCO2 élevée.
11. Physiopathologie Priapisme à bas débit ou ischémique Trouble neuromusculaire : déséquilibre végétatif (déséquilibre balance ortho/parasympathique) blocage contraction muscle lisse caverneux causes neurologiques, musculaires ou endothéliales [IIC de drogues érectogènes, prises médicamenteuses (α bloquants, androgènes, agonistes cholinergiques et dopaminergiques) secondaire à la prise de toxiques (alcool, cocaïne..)]
12. Physiopathologie Priapisme à haut débit Traumatisme pénien ou périnéal Atteinte artère caverneuse et formation fistule artèriocaverneuse (périnéale ++, pénienne +/-) Sang court circuite artères hélicines et passe directement dans le corps caverneux Bonne tolérance clinique, Doppler ++ Idiopathique ?
13. Physiopathologie Priapisme récidivant Maladies hématologiques (drépanocytose++), neurologiques (centrale ou périphérique) et intoxication médicamenteuse Généralement à bas débit et anoxique Episodes érections prolongées < 3 heures Parfois évolution vers priapisme ischémique
14. Etiologies Hémopathies Drépanocytose: crise vaso-occlusive hématologique la plus fréquente Falciformation, sans hémolyse, favorisant thrombose veineuse. LMC: leucose la plus rapportée Hyperviscosité sanguine par hyperleucocytose Envisager atteinte neurologique par infiltration blastique
15. Etiologies Autres hémopathies Thalassémie majeure Polyglobulie majeur primitive (maladie de Vaquez) ou secondaire Thrombocytémie essentielle Sphérocytose congénitale (maladie de Minckowski Chauffard)
16. Etiologies Causes vasculaires Thrombophlébite infectieuse point de départ pelvien (infections périurétrales++) Infections postopératoires+ ++ Etats d’hypercoagulabilité patients traités par héparine non fractionnée Thrombopénie immunoallergique induite par héparine thrombose distale par agrégation plaquettaire
17. Etiologies Causes néoplasiques: cancers pelviens: verge, prostate, vessie, testicules Métastases de cancer urologique (rein) ou digestif Causes traumatiques Priapismes à haut débit++ Traumatisme pénien ou périnéal (selle de bicyclette, chute, traumatisme scrotal violent ou passé inaperçu, rapports sexuels prolongés…) Ponction des corps caverneux (traumatisme vasculaire)
18. Etiologies Causes neurologiques Centrales: traumatisme crânien, tumeur cérébrale, traumatisme rachidien avec atteinte médullaire, tumeur médullaire, myélite, spinabifida, sclérose en plaques… Périphériques: épine irritative entraînant l’arc réflexe de l’érection : urétrite, prostatite, rétrécissement urétral, corps étranger urètre ou accident endoscopique,
19. Etiologies Causes toxiques: Mécanismes incertains, dépendants du toxique en cause Alphabloquants, antiHTA, NLP, antidépresseurs, anesthésiques, corticoïdes Psychodysleptiques: alcool, cocaïne, marijuana Solutés hyperlipidiques utilisés dans la nutrition parentérale totale par Augmentation directe coagulabilité sanguine Augmentation adhésion et agrégation plaquettaire par modification forme hématies, microembolies gazeuses
20. Etiologies Priapisme iatrogène IIC drogues érectogènes ++ Papavérine +++, PGE1 +/-, mélange papavérine, PGE1, phentolamine Information patients traités par IIC sur risques de priapisme++ Consultation en urgence même si érections prolongées Pas de corrélation entre dose injectée, réponse obtenue et la survenue d’un priapisme Rares cas de priapismes secondaires à une chirurgie de revascularisation pénienne
21. Etiologies Priapisme idiopathique 30 à 50% des cas, jeunes garçons++ Traumatisme parfois difficile à mettre en évidence devant priapisme à haut débit
22. Etiologies Priapisme chez l’enfant Drépanocytose++, mais étiologies peuvent être très variées Crises trompeuses souvent négligées, épisodes intermittents tuméfaction verge, indolores Information familles ++ sur signification priapisme intermittent et sur possibilité survenue priapisme « aigu » est capitale
23. Clinique Priapisme ischémique (bas débit) : Erection douloureuse et prolongée. Corps caverneux tendus, congestifs et douloureux à la palpation. Corps spongieux (gland) mou et non intéressé par le processus Sang noirâtre, visqueux, incoagulable Gaz du sang : acidose avec PO2 et PCO2
30. Traitement Buts : Prévenir la survenue du priapisme Obtenir la détumescence Eviter la récidive immédiate et á distance Eviter les séquelles érectiles
31. Traitement Prévention Eviter surdosage lors IIC drogues vasoactives Contrôle rapide des crises de priapisme intermittent patients drépanocytaires Le protocole thérapeutique associe une prise orale d’étiléfrine et/ou IIC étiléfrine. Prise médicamenteuse unique, le soir au coucher, car crises intermittents surtout nocturnes.
32. Protocole ambulatoire de prévention du priapisme aigu pour les patients drépanocytaires présentant des crises de priapisme intermittents (P.I.).[61] Consulter : dès que le nombre d’épisodes de P.I. est supérieur à 2 par mois. Petits moyens : douche tiède, effort, éjaculation, montée des escaliers... Instituer : Effortil® per os solution buvable dès que les épisodes intermittents gênent la vie quotidienne et/ou deviennent de plus en plus fréquents. Posologie : * Enfant d’àge inférieure à 12 ans : 0,5 mg/kg * Adultes et Adolescents : 30 mg/jour. Apprentissage de la technique d’injection intracaverneuse à tout drépanocytaire ayant eu un priapisme aigu ou se plaignant d’épisodes intermittents. Quand doit-on s’injecter ? - Quand le P.I. a une durée supéreure à 60 mn - Quand le P.I. devient douloureux. - Quand un épisode de P.I. ne cède pas à une prise orale optimale de solution d’Effortil®. Si les P.I. restent invalidants, et qu’il existe une hypoxémie nocturne: Instituer: - l’oxygénothérapie nocturne à domicile. - Injection : aiguille 19 Gauge, 1 ml soit 10 mg d’Effortil® (etiléfrine) chez l’adulte / 5 mg, chez le jeune enfant à répéter 20 minutes plus tard si nécessaire.
33. Traitement Petits moyens Douche tiède Effort physique (montée et descente escaliers) Ejaculation Compression de la verge Application de glace Ne doivent pas retarder la prise en charge++++
34. Traitement Sympathomimétiques : injection intra- caverneuse Dopamine : ampoule 50mg/10ml Phényléphrine (Néosynéphrine) : ampoule 5 mg/1ml : 1mg/1litre de sérum salé. 20 à 30 ml sont régulièrement injectée toutes les 15 mn jusqu’à détumescence. Ephédrine : 3 mg : 1mg/1litre de sérum salé Norépinephrine (Noradrénaline) 8 mg/4ml Effortil (Etiléfrine) 10 mg/ml adulte et 5 mg enfant
35. Traitement Anti-ischémiques : en per os Torental (Pentoxyfiline) : comprimé de 400 mg Hydergine (Dihydroergotoxine) : comprimé de 4,5 mg ou solution buvable 1mg/ml Anxiolytiques myorelaxants : Valium(diazépam) per os
36. Traitement Ponction des corps caverneux : Bord latéral de la verge ou directement en trans-glandulaire (anastomose caverno-spongieuse.) Sang d’autant plus noir et visqueux que épisode aura duré plus longtemps. Masser doucement verge et laisser couler sang. Aiguille retirée quand sang rouge apparaît.
37. Traitement Traitements á visée étiologique +++ Drépanocytaires, traitement médical spécifique oxygène nasal, antalgiques (Paracétamol, AINS …) une hyperhydratation une alcalinisation. Echanges transfusionnels
38. Traitement Traitement chirurgical Drainage ++ système à haute pression (corps caverneux) vers système à basse pression (corps spongieux ou système veineux périphérique) Doit être pratiqué en dernier recours
39. Traitement La technique de Winter : bloc pénien Ponction aspiration corps caverneux +/- irrigation au sérum salé Produit d’aspiration rouge aiguille retirée et aiguille Tru-Cut introduite. « Biopsies » multiples à l’aveugle
43. Traitement L’anastomose saphéno-caverneuse : dérivation corps caverneux dans système veineux périphérique de moins en moins utilisée car sacrifie veine saphène résultats médiocres. Embolisation sélective Ligature chirurgicale artérielle
45. Age moyen :22,4 ans (3 et 68 ans). Etude rétrospective 63 cas de priapisme répartition des cas en fonction de l’âge.
46. 6 heures à 41 jours 2 patients (3,2%) ont consulté à la 6ème heure les 80,9% ont consulté après les 24 premières heures. Répartition selon le délai de consultation
48. Résultats à distance 51 patients évaluables après un recul moyen de 8 mois : 23 érections satisfaisantes (45,1%) 28 dysfonctions érectiles (54,9%)
49. Etude rétrospective colligeant 22 dossiers de patients drépanocytaires, Patients revus immédiatement en post opératoire 2 heures après ponction des corps caverneux associée ou non à une injection d’alpha stimulants 12 heures après une anastomose caverno-spongieuse, u n examen physique a été fait à la recherche Recul moyen : 3,86 ± 1,49 ans, Evaluation fonction érectile sur existence érections nocturnes et matinales, l’examen clinique et IIEF-5.
50. Age moyen 19,5 ± 9,9 ans, (16 jours et 41 ans) Répartition en fonction de l’âge
51. Délai moyen de consultation était de 89,68 ± 103,17 heures (4 heures et 384 heures). Répartition selon le délai de consultation
52.
53. 4 patients avaient une activité sexuelle normale avec des délais de consultation (D.C) de 4, 8,13 et 16 heures (IIEF-5: 30; 27; 26; 26.) 2 patients avaient un dysfonctionnement érectile (D.E) léger avec des D.C de 72 heures (IIEF-5: 25; 23.) 3 dysfonctionnements érectiles légers à modéré avec des D.C de 72 heures, 6 et 15 jours (IIEF-5: 20; 19; 19.) 2 dysfonctionnements érectiles modérés avec des D.C 96 heures et 6 jours (IIEF-5: 16; 15.) 2 patients avaient un dysfonctionnement érectile sévère (présence de fibrose pénienne chez ces deux patients) avec des D.C de 48 et 72 heures (IIEF-5: 10; 8.).
54. Conclusion Prévalence maladie drépanocytaire 10 % au Sénégal, Sous-évaluation prévalence priapisme drépanocytaire Ignorance, tabous, déficit en structures sanitaires spécialisées consultations tardives. Risque de DE séquellaire d’autant plus élevé que l’instauration du traitement aura été plus tardive.