reconnaître cliniquement une pleurésie est à la portée de tout un pneumologue, la deuxième étape sera sa démarche étiologique qui doiot être méthodique
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Le Kyste hydatique résulte du développement tissulaire de la larve ou hydatide d’un tænia échinocoque parasite à l’état adulte de l’intestin grêle des canidés. C’est une anthropozoonose cosmopolite, sévissant en zone d’élevage (ovins, bovins, caprins, porcins, camélidés, équidés, ...). L’échinococcose cystique est présente sur chaque continent sauf en Antarctique.
Echinococcus granulosus est un petit taenia du chien (4 à 6 mm) ne comportant que 3 à 5 anneaux dont le dernier occupé par un utérus ramifié rempli d’œufs.
El documento discute la virtualidad y la educación en línea. Explica que desde las cavernas, los humanos han representado gráficamente la realidad. Hoy, la tecnología permite crear comunidades virtuales donde personas pueden interactuar sin estar en el mismo espacio o tiempo. Sin embargo, diseñar material educativo en línea requiere objetivos claros de aprendizaje y seleccionar las mejores tecnologías y relaciones posibles entre elementos. La educación superior tradicional se ha basado en los métodos del profesor, pero la enseñanza en
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Echinococcus granulosus est un petit taenia du chien (4 à 6 mm) ne comportant que 3 à 5 anneaux dont le dernier occupé par un utérus ramifié rempli d’œufs.
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Fonctionnement des moteurs de recherchesLucas-Roche
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Présentation du Workshop Signal'Ethik 2015 (13 au 15 mars 2015). Ce workshop pluridisciplinaire permettra aux étudiants strasbourgeois de s'initier à la fabrication de "spots" de signalétique à partir de matériaux bois recyclés (palettes, cagettes...).
Les Acouphènes : Chroniques Santé BIORLEthan Biorl
Aujourd’hui, de nombreux travaux mettent en évidence l’intérêt de facteurs nutritionnels afin de prévenir, voire atténuer les acouphènes et les symptômes associés.
Forts de ce constat, nos Laboratoires ont axé leur développement et leur recherche sur l’intérêt de certains nutriments dans la prise en charge des acouphènes.
Nous vous remercions de votre confiance et vous souhaitons une agréable lecture. Notre équipe scientifique se tient à votre disposition pour tout complément d’information par mail ou par téléphone
Pour une culture du développement collaboratif et publicSylvain Carle
Il y a quelques mois, j'ai eu l'idée d'organiser une conférence/discussion afin de cristalliser une tendance de fond: l'effet des outils de collaboration "2.0" autant sur le processus de développement web que sur sa gestion.
Je crois même que cet effet, à terme, modifie la nature des projets qui les utilisent. J'ai eu quelques difficultés à trouver les mots pour bien exprimer quelles sont les concepts clefs à la base de cette tendance lourde. "Collaboratif" (travailler ensemble) et "Public" (tous ont un accès, même ceux qui ne participent pas au projet) sont les deux plus simples.
J'ai particulièrement tenté d'éviter "Libre" et "Ouvert". Parce que ces concepts orientent le débat dans une direction où les ornières sont un peu trop présentes, où les "vieux réflexes" peuvent obscurcir d'autres conclusions possible.
J'ai tenté de trouver des exemples de ces tendances, afin d'illustrer et de rendre manifeste les rouages de cette méthode de travail ainsi que d'en exposer les bénéfices.
Este documento resume la importancia del agua para la nutrición humana y los problemas de contaminación del agua. Habla sobre organizaciones no gubernamentales que ayudan a cuidar el agua, como Greenpeace, y experimentos para reutilizar el agua gris. También resume partes clave de una película sobre el agua y enfatiza la necesidad de cuidar este recurso vital debido a la falta de acceso de muchas personas a agua potable y los graves problemas de contaminación.
El documento resume las leyes de la herencia propuestas por Gregor Mendel tras realizar experimentos de cruzamiento con guisantes entre 1856 y 1863. La primera ley establece que al cruzar dos variedades puras se obtiene una generación uniforme idéntica a uno de los padres. La segunda ley indica que al cruzar híbridos, los factores hereditarios se separan y recombinan de forma independiente en la descendencia. Mendel propuso los términos "dominante" y "recesivo" y demostró que los factores se hered
El documento proporciona información sobre varios temas relacionados con el marketing y la publicidad en Internet, incluyendo los elementos del marketing como el producto, precio, comunicación y distribución. También describe los tipos de mercados digitales, estrategias de marketing y elementos de la estrategia de marketing como el mercado objetivo y posicionamiento. Finalmente, cubre temas como ventas y promoción, compras, subastas y comunidades virtuales.
El sistema de numeración romano utilizaba letras mayúsculas para representar valores numéricos. No incluía el cero. Los números se formaban sumando valores de izquierda a derecha, aunque símbolos menores podían restar del inmediato mayor. Aunque no siempre se siguieron estrictamente, había reglas para combinar símbolos. Para fracciones usaban un sistema duodecimal basado en doceavos. En relojes es común ver IIII en lugar de IV por razones de simetría, fabricación o por preferencias históricas.
El documento describe las redes neuronales artificiales, incluyendo sus características, topologías y aplicaciones comerciales. Explica que las RNA son sistemas inspirados en el cerebro humano compuestos de neuronas interconectadas que aprenden de ejemplos para resolver problemas. También cubre temas como los tipos de aprendizaje, las fases de operación y campos en los que las RNA son útiles como el reconocimiento de patrones y predicción financiera.
El poema celebra la amistad y expresa que aunque hace frío, el frío está en el corazón del amigo debido a malos recuerdos. El autor quiere brindar con su amigo para celebrar nuevas esperanzas y ayudar a que la luz brille de nuevo. El poema enfatiza que brindar por la amistad es el mejor brindis y que los amigos deben estar ahí los unos para los otros cuando necesitan ayuda.
les spirochètes....................................................moha750516
bactériologie
les spirochètes
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Adenopathies Résidents2017 (2).ppt Dr internistewissamhamsi57
L'adénopathie est l'augmentation du volume d'un ganglion lymphatique ,qui peut révéler une infection bactérienne ou virale et même une pathologie maligne c'est pour ça il faut l'explorer
Le paludisme viscéral évolutif: épidémiologie, physiopathologie, diagnostic et prise en charge - Présentation de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Alpha Jean Luc ASSANI AKILI MALI - Médecin - Inspection Provinciale de la Santé - Goma - République Démocratique du Congo - alphaasani@yahoo.fr
2. LE PLAN
I. DEFINITION
II. INTERET DE QUESTION
III. EPIDEMIOLOGIE ET DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE
IV. PHYSIOPATHOLOGIE-IMMUNITE
V. DIAGNOSTIC
VI. FORMES CLINIQUES
VII. DIAGNOSTIQUES DIFFERENTIELS
VIII.TRAITEMENT
IX. EVOLUTION ET SEQUELLES
X. PROPHYLAXIE
XI. CONCLUSION
3. DEFINITION
• La leishmaniose viscérale est une parasitose due à
l’infection de l’homme par un protozoaire
intracellulaire, flagellé appartenant au genre
leishmania, ayant un tropisme pour le système réticulo-
endothélial et transmise par la piqûre infestante d’un
insecte diptère vecteur hématophage (Phlébotome).
• Elle est commune à l’homme et quelque mammifères.
• Kala-azar : maladie ou fièvre noire en Inde nom donnée
à cette maladie (car elle s’accompagne d’une coloration
brune des téguments).
4. INTERET DE QUESTION
• Fréquente au contour méditerranéen : ce n’est
pas rare
• Pathologie grave, mortelle en absence de
traitement. Mais sous traitement, la guérison
définitive sans séquelles peut être obtenue.
5. EPIDEMIOLOGIE ET DISTRIBUTION
GEOGRAPHIQUE
• OMS estime le Nombre de personnes infectées
par les différentes espèces de leishmania à 12
millions en l’an 2000
• Incidence des leishmanioses (OMS)est de 2 et
2,5 millions de cas par an
• À l’état endémique : régions tropicales et
intertropicales chaudes.
6.
7. En Algérie
• 1er cas de L Viscérale décrit en Kabylie en 1911
• L’incidence: 0,36 cas100.000 habitants (1981). 0,74
cas100.000 habitants (1990)
• Nord : Tizi-ouzou, Bouira, Béjaia
• Les régions humides et sud humides : constantine, Sétif,
Djidjel
• Le sud : Hoggar, Tassili
• Les régions arides et semi arides : Msila, Biskra, Batna
• Quelques cas : Oran, Tlemecen, Blida, Tipaza, Chlef, Médéa
• 50% Kabylie
8.
9. Age, sexe:
• Garçon > fille (71% / 29%).
• 1-4 ans (95%<3 ans). Atteint surtout le
nourrisson avec un pic à l’âge de 01 an.
11. DONNEES PARASITOLOGIQUES
• Le parasite : Les leishmanies
• Protozoïres de la classe des flagellés
sanguicoles et tissulaires, de la famille
desTrypanosomitideae
• 2 formes: Promastigote
Amastigote
12. Forme promastigote:
• Mobile
• Comporte des flagelles
• C’est le stade que présente le parasite
dans le tube digestif du phlébotome et
en milieu de culture.
13.
14. Forme Amastigote:
• Immobile
• Intracellulaire obligatoire (Système Réticulo-
endothéliale)
• C’est le stade du parasite chez les
mammifères(homme et réservoir animal), où il
est localisé à l’intérieur des cellules du
système des phagocytes mononuclées.
15.
16. Le Vecteurs : Phlébotome femelle
(mouche des sables)
Phlébotome est de l’ordre diptera (diptères)
Petit moucheron
Pique le soir, en été (caractère saisonnier de la
maladie)
Seules les femelles sont hématophages
19. PHYSIOPATHOLOGIE-
IMMUNITE :
• Suite à l’inoculation dans un hôte
• Les promastigotes = vulnérables
• Doivent échapper à la lyse par le
complément et NK.
• phagocytés ; en intra cellaulaire où ils
pouront se transformer en amastigote et
se répliquer.
21. Après phagocytose:
• Promastigote se transforme en amastigote
(résiste à l’environnement acide du Macrophage)
• les LPG de surface qui serait responsable de
l’inhibition transitoire de la fusion
phagosome/endosome
• Ce retard dans la maturation des
phagolysosomes, permettrait au promastigote
de se différencier en amastigote, qui lui, est
résistant à cet environnement
22. • Après multiplication intracellulaire et
éclatement de la cellule hôte, les
amastigotes infectent localement de
nouvelles cellules phagocytaires et
éventuellement migrent vers d’autres
tissus.
23. DIAGNOSTIC :
• Orienté par le tableau clinique, par des
notions épidémiologiques
• Conforté par des données biologiques non
spécifiques ou des résultats
immunologiques ou sérologiques
• La confirmation repose sur des arguments
parasitologiques (microscopie, culture),
complétés plus récemment par des
techniques de biologie moléculaire.
24. Interrogatoire:
• Origine géographique du patient
• Notion de séjour en zone d’endémie
• Présence de chien malade dans l’entourage présentant un
vieillissement anormal, adénopathies multiples, une
épistaxis, amaigrissement et des lésions cutanées à type de
dépilation avec dermite purpuracée.
• Le chancre d’inoculation n’est pratiquement jamais
retrouvé, cet antécédent peut être oublié : incubation 6
semaines à 6 mois (très courte ou très longue). C’est une
lésion vésiculo-papuleuse, fugace, secondaire à la piqure
douloureuse du phlébotome.
• Notion d’immunodépression, Co-inf. VIH
• Notion de toxicomanie
25. Mode de début
• Peut être brutale
• Fièvre à 40°, sensation de froid, sueurs avec
altération de l’état général.
• Ou progressif, insidieux
• Fièvre irrégulière, vespérale
• AEG: pâleur, asthénie, anorexie, amaigrissement,
et à l’examen : distension abdominale,
Splénomégalie discrète
26. A la phase d’état
• La maladie est méconnue durant plusieurs
semaines ou mois, un tableau plus ou moins
caractéristique se constitue progressivement.
• La Triade : fièvre – pâleur – Splénomégalie
doit être évocatrice
27. Signes généraux
• Fièvre :
Signe majeur, le plus constant, amenant souvent à
consulter, fièvre au long cours, isolée, rebelle à toute
thérapeutique anti pyrétique, irrégulière (fièvre
folle), elle est d’importance variable : modérée avec 2
à 3 cloches par jour, des périodes d’apyrexie de
plusieurs semaines sont possibles. Elle ne cède pas que
sous traitement spécifique ou sous corticoïdes.
• Altération de l’état général: qui s’accentue, avec
asthénie, anorexie, amaigrissement
28. Signes fonctionnels
• Liés à l’anémie: vertige, dyspnée d’effort.
• Troubles digestifs: Diarrhée aiguë, subaiguë
ou chronique
29. Signes physiques
L’examen des téguments et des muqueuses révèle :
• Pâleur progressivement intense, traduit cliniquement
l’anémie.
• Purpura thrombopénique (fragilité vasculaire/thrombopenie)
• Sub-ictère lié à l’hémolyse ou une hépatite leishmanienne
30. L’examen de l’abdomen révèle
Une splénomégalie : très fréquente, ferme, dure, indolore,
elle augmente de volume progressivement (souvent très
volumineuse type IV voir V).
• Une hépatomégalie : elle peut parfois être plus
volumineuse que la splénomégalie. Elle est lisse, indolore,
régulière, molle ou ferme.
• Adénopathies : inconstantes, petites, indolores, mobiles.
31. Autres Signes
• La malnutrition est fréquente, souvent
accompagnée par de troubles digestifs à type
de diarrhée avec syndrome de malabsorption.
• Un syndrome œdémateux avec ascite.
• Atteintes respiratoires: foyers pulmonaires
de surinfection bactérienne ( vue la
leucopénie) ou pneumopathie interstitielle.
• Glomerulopathie à complexes immuns
(néphrite leishmanienne) : extrêmement rare.
32. Biologie :
• Les examens d’orientation :
• Anomalies hématologiques à la FNS
• Anémie fréquente, modérée au début, s’aggrave
progressivement pour atteindre des taux d’Hb très bas,
souvent normocytaire, normochrome arégénérative avec
anisocytose et poïkilocytose
• Leucopénie très fréquente avec granulopénie
• Thrombopénie plus tardive mais atteignant des taux très bas.
• Il y a donc une pan cytopénie, qui, associée à la
triade clinique est très évocatrice du diagnostique
chez un jeun enfant.
33. • Syndrome inflammatoire
• VS accélérée (> 50 mm à la 1ère heure)
• CRP souvent positive
• Protéinogramme
• Hypergammaglobulinémie polyclonale portant
principalement sur les Ig G, plus rarement
les Ig M
• Hypo albuminémie
• Fonctions hépatiques
• Rarement perturbés
• Discrète cytolyse réversible sous TRT
34. • Arguments immunologiques :
Immunité à médiation cellulaire :
• Explorée par IDR à la leishmanie ou
Réaction de Montenegro
• positivité = papule d’au moins 5 mm de à
H48
• réaction croisée avec maladies
infectieuses (lèpre, tuberculose …)
35. Immunité humorale
• Immunofluorescence indirecte :
technique la plus répandue.
• L’agglutination directe
sur promastigote fixés et trypsinés
• L’électrosynérèse
est encore appréciée par certaines équipes.
• Techniques immuno-enzymatiques ELISA
largement utilisable et recherche les
anticorps phosphatase acide du parasite.
36. • Immuno-empreinte ou Western blott :
Technique récente, très sensible et très spécifique
elle est relativement lourde et intervient comme
argument de confirmation. Ainsi, elle permet de
différentier les malades des porteurs
asymptomatiques.
• Recherche d’antigènes solubles
Très peu exploitée à des fins diagnostiques.
37. • Les examens de certitude :
• C’est les arguments parasitologiques
dont Leur obtention revêt un caractère
fondamental pour parvenir à une
certitude diagnostique. Le succès
conditionné par la qualité des
prélèvements.
38. • Prélèvements de moelle osseuse :
matériel le plus utilisé pour le diagnostique des LV
Une biopsie peut être utile, surtout en cas de
SIDA.
• Ponction splénique :
Plus performante mais peu pratiquée car risque
+++ si troubles de la crase sanguine.
• Prélèvement de sang périphérique
Peu invasif, bien accepté, répétitif pour
dépistage et suivi post-thérapeutique
• Autres prélèvements : ponction ganglion, PBF
39. • Examen direct :
• La coloration la plus adaptée pour la recherche de
leishmanies sur frottis ou apposition est la May-
Grunwald-Giemsa (MGG)
• Culture
• Complément indispensable permettant de rendre plus
sensible le diagnostic parasitologique et de tester
éventuellement la sensibilité de la souche aux TRT.
• Le classique milieu NNN ( Novy,MacNeal,Nicole) est
très utilisé (en gélose au sg du lapin)
40. Arguments de biologie moléculaire
Prélèvements et cibles moléculaires
• Ces techniques sont basées sur la détection,
éventuellement l’amplification et l’analyse des
acides nucléiques du parasite dans divers
prélèvements.
• Recherche par amplification génique (PCR) :
(Polymerase Chain Reaction)
41. FORMES CLINIQUES :
Elles sont nombreuses, parfois très trompeuses.
Il faut, dans notre pays et en particulier chez le jeune
enfant, savoir évoquer le diagnostic de leishmaniose
viscérale.
FORMES SELON L’AGE :
Forme du nourrisson : c’est la forme commune.
Forme du grand enfant : c’est une forme assez rare, la
symptomatologie est pauvre et souvent trompeuse.
FORMES SYMPTOMATIQUES :
Formes chroniques : elles sont d’évolution lente pendant
plusieurs mois, habituellement elles sont très peu
fébriles.
42. • Formes aigues :
le tableau clinique est d’installation « brutale » et
rapidement évolutif
• Formes hémorragiques :
il s’agit des formes ou le tableau clinique est dominé par
le syndrome hémorragique cutanéo-muqueux
• Forme splénomégalique sans atteinte hématologique :
Le tableau clinique est fait d’une fièvre avec
splénomégalie, sans pâleur, sans anomalie de
l’hémogramme.
43. • Forme oedémateuse : A coté des signes cliniques classiques de
leishmaniose viscérale, il peut exister des œdèmes importants
• Forme apyrétique : Rare.
• Forme ictérique :
• Forme avec atteinte rénale : Très rare.
• Forme oculaire : Très rare également.Il s’agit de kératite,
d’iritis, d’hémorragie rétinienne.
Les formes associées :
• Une surinfection pulmonaire bactérienne
• Une tuberculose
• Une fièvre typhoïde
• Un paludisme
• Une hémoglobinopathie.
44. DIAGNOSTIQUES DIFFERENTIELS
• DEVANT UNE SPLENOMEGALIE AVEC FIEVRE PROLONGEE :
• Une maladie infectieuse :
• Fievre typhoide
• Mononucleose infectieuse
• Infection à cytomégalovirus
• Brucellose
• Paludisme
• Une hémopathie maligne :
• Un lymphome malin non hodgkinien
• Maladie de hodgkin
• DEVANT UNE FORME HEMORRAGIQUE : une leucose aigue.
• DEVANT UNE FORME ICTERIQUE : une hépatite virale.
45. TRAITEMENT :
• PREMIER VOLET:
Traitement symptomatique: Vise à
améliorer l’état de l’enfant avant la mise
en route du traitement spécifique :
46. • Une alimentation parentérale en cas de
malnutrition sévère et éventuels troubles hydro
électrolytiques.
• .Corticothérapie : deux indications
Syndrome hémorragique sévère
Une malnutrition proteino énégitique
sévère
Prednisone(Cortencyl®):01mg /kg/jour en 02 à
03prises per os.
• La corticothérapie doit toujours être associée
au traitement spicifique.
• .Correction de l’anémie : par des transfusions.
47. DEUXIEME VOLET
Traitement spécifique
• ANTIMONIES PENTAVALENTS :
L’antimoniate de N méthyle glucamine
(Glucantime®)
Teneur en antimoine 8,5% (85mg/ml)
Ampoule injectable de 5ml contenant 1,5g de sel
soit 425 mg d`antimoine pentavalent.
Stibogluconate de sodium (Pentostam®)
flacon de 100 ml
• Teneur en antimoine est 10%(100mg/ml
48. • Posologie :
Selon OMS 20mg des Sels
pentavalents/kg/J en cure de 30 jours,
la dose quotidienne est administrée en
deux injections IM.
49. Effets secondaires: de deux types
Signes stibio intolérance
se voient dès les 1eres injections et régressent à l’arrêt
de celles-ci ,ils sont de type anaphylactique :
• Frissons
• Hyperthermie
• Eruption cutanée
• Tachycardie
• Lipothymie
50. Signes stibio intoxication
surviennent en fin de cure et traduisent un surdosage
• Hyperthermie
• Polynévrites
• Mmyalgies
• Arthralgies.
• Troubles cardiaques(inversion de T,allongement de QT,sous décalage
de ST).
• Atteinte hépatique ,Pancréatique ou rénale.
• Accidents hématologiques (anémie, hgie, agranulocytose)
51. les contre-indications
Les tares cardiaques,
les maladies rénales et hépatiques graves,
les syndromes hémorragiques et
la tuberculose pulmonaire.
52. On définit
• Echec au traitement (résistance primaire)
persistance de symptômes et la présence de
parasites dans la moelle osseuse 2 semaines
après la fin du traitement. La résistance est
confirmée par l’étude en culture au
laboratoire.
• Rechutes: définies comme la réapparition,
après une bonne réponse initiale, de signes
cliniques et de parasites dans la moelle
osseuse.
53. LES AUTRES MOYENS THERAPEUTIQUES :
AMPHOTERICINE B
• Présentation : flacon : 50 mg
• Chez l’enfant: 01inj de 10mg/kg 02
jours de suite
• Toxicité importante
54. Ambisome®:
Amp 50 mg d`amphotéricineB
• Après reconstitution de la poudre de dilution dans
200cc de SG 5% en IVL en 30-60 mn.
• L’Ambisome® a une concentration préférentielle
Foie et rate son efficacité meilleur
• Sa toxicité moindre que l’amphotéricine B .
55. PENTAMEDINE
• PRÉSENTATION : flacon 300 mg
Posologie :4mg/kg/ inj dissoute dans 10cc
d`eau stérile en IM ou diluée dans 50-
250cc de SG5% en perfusion lente d`une
heure
L`intervalle entre deux injections = 48h
Le nombre d`injections: dépend de la forme
de leishmaniose.
56. PRODUITS ALTERNATIFS :
• Divers molécules déjà connues et utilisées
hors leishmaniose ont été récemment
proposées et font l`objet d`essais
thérapeutiques dans les leishmanioses, parmi
elles, l’aminosidine paraît la plus prometteuse.
57. • AMINOSIDE SULFATE :
L’aminosidine est un antibiotique
aminoside naturel
• IMIDAZOLES: Ketoconazole
• ALLOPURINOL ( Ziloric)
• INTERFERON GAMMA
• LA SPLENECTOMIE : Elle
d’indication exceptionnelle
58. CONDUITES PRATIQUES :
• Le traitement symptomatique est toujours
indiqué.
• Le traitement spécifique :
• Le produit de première intention ( de choix) est
l’antimoniate de N.Méthyl-glucamine : le Glucantime.
• Dose des 20mg/kg/jour
• La dose quotidienne est répartie en 02 injections
intramusculaires profondes : une le matin, une le soir,
sans dépasser les 10 ml/jour soit 850mg/jour.
59. • Si résistance primaire au traitement : on
aura 02 éventualités
• La cure peut être poursuivie jusqu’à
disparition du parasite dans la moelle
osseuse ou le suc splénique, à moins que des
signes de toxicité imposent l’arrêt du
traitement.
• Recours à la Pentamidine : 01 amp de 3ml
soit 120mg
4mg/kg/ à raison de 03 injections en IM par
semaine pendant au moins 05 semaines.
60. • En cas de rechutes :
il convient de recommencer le même traitement
à la même dose quotidienne mais en doublant
la durée du traitement (faire 02 cures de 01
mois chacune).
61. Surveillance du traitement :
• Efficacité du traitement sur :
• La courbe de la température
• La fréquence et l’auscultation cardiaque tous les jours
• Le calque de la rate et du foie une fois par semaine
• Le poids quotidien
• L’appétit
• FNS-VS : une fois par semaine
• L’électrophorèse des protéines : une fois par semaine
• Surveillance des signes de stibio-intolérance
62. EVOLUTION ET SEQUELLES:
• Évolution de la maladie:
• En absence de traitement évolution spontanée
vers mort
• Traitée: évolution généralement favorable;
• La T° se normalise en 3 à 5 jours
• La Splénomégalie régresse progressivement (+ieurs
semaines ou mois)
• L’Hépatomégalie à une évolution parallèle a la SPM
• L’hématologie: réparation progressive dés la fin de la
1ere cure : thrombopénie, anémie, leucopénie
• Protides se normalisent plus lentement
64. • Les critères de guérison:
La guérison sera affirmée sur les critères
de GIRAUD
• apyrexie depuis plus de 2 mois;
• reprise pondérale
• absence de parasite dans les différents
prélèvements (MO)
65. PROPHYLAXIE :
• METHODES ET STRAGIES DE LUTTE
CONTRE LES LEISHMANIOSES
(réunion du comité d’experts sur la
lutte contre les leishmanioses)
66. • Lutte contre le réservoir :
:
Réservoir primaire : animaux sauvage :
rongeurs, canidés, impossible à atteindre
Réservoir secondaire : abattage des chiens
malades ou errants, vaccination ( des autres
chiens) à l’étude.
• lutte contre les vecteurs :
. Insecticides (discuté car très toxiques).
. Moustiquaires imprégnées de pyrètroide (en
cours d’étude)
.suppression des sites
.urbanisation bien conduite.
.Phlébotomaires à mailles serrés.
.Produits répulsifs.
67. • Accroître la prise de conscience des
populations exposées et promouvoir les
mesures de lutte au niveau local
• problème de santé publique dans notre
pays.
68. CONCLUSION :
• KALA AZAR est une maladie relativement
fréquente en Algérie.
• Il s’agit d’une affection dont l’évolution
spontanée est mortelle, pour laquelle il existe
un traitement spécifique efficace qui assure
une guérison totale et définitive dans la
grande majorité des cas.