Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
STRUCTURE GENERALE DES IMMUNOGLOBULINES. NOMENCLATURE.DUALITÉ STRUCTURALE qui explique sa DUALITÉ FONCTIONNELLE. Propriétés de l’IgE. LES DIFFERENTS NIVEAUX D'HETEROGENEITE DES IMMUNOGLOBULINES. RELATIONS ENTRE STRUCTURE ET ACTIVITE BIOLOGIQUE.GENES DES IMMUNOGLOBULINES. MÉCANISME DU "SWITCH" LA DIFFÉRENCIATION DES LYMPHOCYTES B. SELECTION DES LYMPHOCYTES B
TOLÉRANCE. LA PRODUCTION DES ANTICORPS LA RÉPONSE AUX ANTIGÈNES THYMODÉPENDANTS. L'aide des lymphocytesT CD4+Th2. LES ANTIGÈNES THYMOINDÉPENDANTS.
Les principales techniques sont les réactions de précipitation, les réactions d'agglutination et les réactions de neutralisation.
La plupart de ces techniques utilisent les propriétés des anticorps monoclonaux.
Leur affinité et leur spécificité de liaison à leur cible fait d'eux des outils incontournables de détection.
Ils permettent de déterminer la présence d'un épitope particulier dans un échantillon, permettant ainsi dans les techniques comme le western blot ou l'ELISA de détecter des protéines, ou des modifications particulières de protéine (phosphorylation, acétylation, etc.).
STRUCTURE GENERALE DES IMMUNOGLOBULINES. NOMENCLATURE.DUALITÉ STRUCTURALE qui explique sa DUALITÉ FONCTIONNELLE. Propriétés de l’IgE. LES DIFFERENTS NIVEAUX D'HETEROGENEITE DES IMMUNOGLOBULINES. RELATIONS ENTRE STRUCTURE ET ACTIVITE BIOLOGIQUE.GENES DES IMMUNOGLOBULINES. MÉCANISME DU "SWITCH" LA DIFFÉRENCIATION DES LYMPHOCYTES B. SELECTION DES LYMPHOCYTES B
TOLÉRANCE. LA PRODUCTION DES ANTICORPS LA RÉPONSE AUX ANTIGÈNES THYMODÉPENDANTS. L'aide des lymphocytesT CD4+Th2. LES ANTIGÈNES THYMOINDÉPENDANTS.
Dont forget that you can make a whole document translation through online translation apps ! do it and share the knowledge !
ce cours est destiné aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie. il regroupe les principaux aspect taxonomiques , bactériologiques et cliniques relatifs aux cocci a Gram positif catalase négatifs prinxipalement le Genre Streptococcus.
This course is destined to students graduating in medicine and pharmacy and regroups general data on Gram positive Catalase negative cocci mainly the Genus Streptococcus
I. LES DIFFÉRENT SOUS-TYPES
II. MECHANISMES de l’HYPERSENSIBILITE TYPE IV
III. EXEMPLES CLINIQUES
IV. EXPLORATION DE L’HYPERSENSIBILITE TYPE IV
Granulomateuse
Dermatite de contacte
Test à la tuberculine
Dermatite de contacte
Réaction de la Tuberculine Test de Mantoux
Asthme chronique
Rhinite allergique chronique
Exanthéma maculopapilaire avec eosinophilie
Dermatite de contacte
Rejet de transplant
Allergie aux médicaments:
Exanthéma macculopapilaire et bulleuse
hépatite
le lierre vénéneux (poison ivy)
HS de type IVd “médiée par les Neutrophiles”
. Allergie au médicament:
Pustulose exanthémateuse généralisée aiguë (AGEP)
. Maladie auto-inflamatoires“Maladie de Behçet”
La maladie coeliaque
HS de Type IV en Autoimmunité
HS Type IV Contre les Métaux
HS de Type IV en Immunologie de Transplantation
HS de Type IV contre les produite organiques
Tests de détection de lymphocytes T spécifiques de médicaments chez des patients présentant une hypersensibilité IV au médicament
Patch test
Test de Transformation Lymphoblastique (TTL)
ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie, il regroupe des notions de base sur la famille des Mycobactériaceae et sur la principale pathologie qu'ils causent : La tuberculose.
Ce cours s'adresse aux étudiants en graduation de médecine et de pharmacie. il contient une description simplifiée des différentes familles d'antibiotiques en vue de l'utilisation des connaissances acquises pour la systématique bactérienne
La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
les organes lymphoïde centraux, périphériques
maturation de LT, répertoire antigénique, éducation thymique, activation de lymphocyte T, la sélection clonale, la mémoire immunologique, le TCR, le homing, station de filtration lymphoïde, macrophage et phagocytose
Les éléments figurés du sang sont de 3 sortes : Les globules rouges ou hématie ou érythrocytes. Les globules blancs ou leucocytes. Les plaquettes ou thrombocytes
Le diagnostic biologique du paludisme par microscopie - Conférence du 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - MENARD Didier - Madagascar - dmenard@pasteur.mg
De l'antigène à l'anticorps - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - AHMED Haoudhoit - MINISTERE de la SANTE de l'UNION des COMORES - Chargée du laboratoire au CSK de Mvouni - haoumed@hotmail.com
Dont forget that you can make a whole document translation through online translation apps ! do it and share the knowledge !
ce cours est destiné aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie. il regroupe les principaux aspect taxonomiques , bactériologiques et cliniques relatifs aux cocci a Gram positif catalase négatifs prinxipalement le Genre Streptococcus.
This course is destined to students graduating in medicine and pharmacy and regroups general data on Gram positive Catalase negative cocci mainly the Genus Streptococcus
I. LES DIFFÉRENT SOUS-TYPES
II. MECHANISMES de l’HYPERSENSIBILITE TYPE IV
III. EXEMPLES CLINIQUES
IV. EXPLORATION DE L’HYPERSENSIBILITE TYPE IV
Granulomateuse
Dermatite de contacte
Test à la tuberculine
Dermatite de contacte
Réaction de la Tuberculine Test de Mantoux
Asthme chronique
Rhinite allergique chronique
Exanthéma maculopapilaire avec eosinophilie
Dermatite de contacte
Rejet de transplant
Allergie aux médicaments:
Exanthéma macculopapilaire et bulleuse
hépatite
le lierre vénéneux (poison ivy)
HS de type IVd “médiée par les Neutrophiles”
. Allergie au médicament:
Pustulose exanthémateuse généralisée aiguë (AGEP)
. Maladie auto-inflamatoires“Maladie de Behçet”
La maladie coeliaque
HS de Type IV en Autoimmunité
HS Type IV Contre les Métaux
HS de Type IV en Immunologie de Transplantation
HS de Type IV contre les produite organiques
Tests de détection de lymphocytes T spécifiques de médicaments chez des patients présentant une hypersensibilité IV au médicament
Patch test
Test de Transformation Lymphoblastique (TTL)
ce cours s'adresse aux étudiants graduant en médecine et en pharmacie, il regroupe des notions de base sur la famille des Mycobactériaceae et sur la principale pathologie qu'ils causent : La tuberculose.
Ce cours s'adresse aux étudiants en graduation de médecine et de pharmacie. il contient une description simplifiée des différentes familles d'antibiotiques en vue de l'utilisation des connaissances acquises pour la systématique bactérienne
La parasitologie médicale comporte des approches différentes mais complémentaires : - les parasites et champignons microscopiques en tant qu’agents pathogènes avec leurs morphologies et leurs biologies propres.
- le parasitisme forme particulière et dépendante entre deux organismes vivant en relation étroite.
- la maladie parasitaire ou mycosique et son environnement, résultats pathologiques du contact précédent entre le parasite ou champignon et son hôte. Cette relation entre l’hôte et son parasite se situe dans un environnement influant intervenant dans l’épidémiologie et la lutte contre les grandes endémies parasitaires exotiques.
les organes lymphoïde centraux, périphériques
maturation de LT, répertoire antigénique, éducation thymique, activation de lymphocyte T, la sélection clonale, la mémoire immunologique, le TCR, le homing, station de filtration lymphoïde, macrophage et phagocytose
Les éléments figurés du sang sont de 3 sortes : Les globules rouges ou hématie ou érythrocytes. Les globules blancs ou leucocytes. Les plaquettes ou thrombocytes
Le diagnostic biologique du paludisme par microscopie - Conférence du 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - MENARD Didier - Madagascar - dmenard@pasteur.mg
De l'antigène à l'anticorps - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - AHMED Haoudhoit - MINISTERE de la SANTE de l'UNION des COMORES - Chargée du laboratoire au CSK de Mvouni - haoumed@hotmail.com
Les mécanismes de la réponse immunitaire innée - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - CHIM Pheaktra - INSTITUT PASTEUR de CAMBODGE 5, Bd MONIVONG, BP 983, Phnom Penh, Royaume du Cambodge - Technicien - pheaktra@pasteur-kh.org
De l'antigène à l'anticorps - Présentation de la 3e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RANDRIAMANANTENA Arthur Dieudonné - INSTITUT PASTEUR DE MADAGASCAR - Médecin diplômé d'Etat - Généraliste - randriaman@yahoo.fr
Le rôle des anticorps dans la protection contre le paludisme - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - SAID SALIM Zahara - MINISTERE de la SANTE de l'UNION des COMORES - Chargée des données statistiques au PNLP - said_salim_zahara@yahoo.fr
Objectifs d’apprentissage:
(1)Étudier les cellules inpliquées dans l’immunité innée et leurs rôles dans
l’inflammation.
(1)Étudier les cellules inpliquées dans l’immunité innée et leurs rôles dans
l’inflammation.
(2)Introduire les cellules phagocytaires dans les mécanismes des défenses
innées.
(2)Introduire les cellules phagocytaires dans les mécanismes des défenses
innées.
(3)Définir les mécanisme impliqués dans l’inflammation et la phagocytose.
(4)Définir le signal de danger et les Pattern-recognition receptors (PRR).
(3)Définir les mécanisme impliqués dans l’inflammation et la phagocytose.
(4)Définir le signal de danger et les Pattern-recognition receptors (PRR
Toute situation clinique nécessitant de l’INVESTIGATION immunobiologique et/ou de
l’INTERVENTION thérapeutique sur le système immunitaire
Anticorps Cytotoxiques
Anticorps Non Cytotoxiques: Bloqueur ou Stimulateur
ANEMIE INDUITE DE MÉDICAMENTS
LE REJET HUMORALE
SYNDROME DE GOODPASTURE
MYASTHENIE GRAVIS
MALADIE DE GRAVES
NÉMIE PERNICIEUSE
TROUBLE DE LA FERTILITÉ
Test de Coombs
Alvéolite AAllergiquellergique EExogènexogène::
1. Le poumon de fermier
2. Les éleveurs d’oiseaux
MECHANISMES de l’HYPERSENSIBILITE TYPE III
Reaction Jarisch-Herxheimer
LUPUS ERYTHEMATOSUS SYSTEMIQUE (LES)
LA POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
EXPLORATION de l’HYPERSENSIBILITE TYPE III
Journée Internationale de l'Immunologie. Infection. Système ImmunitaireMohammed Khassassi
Journée Internationale de l'Immunologie. Infection. Système Immunitaire. Journée Internationale de l'Immunologie. Infection. Système Immunitaire. Journée Internationale de l'Immunologie. Infection. Système Immunitaire. Journée Internationale de l'Immunologie. Infection. Système Immunitaire.Journée Internationale de l'Immunologie. Infection. Système Immunitaire
David Vetter, Une EXAGÉRATION dans le fonctionnement des cytokines, ’utilisation de mauvaises cytokines, Un DÉFICIT dans le fonctionnement des cytokines, FN-a
Erythropoietin
GM-CSF
G-CSF
IL11, Inhibiteurs de IL-1
Polyarthrite
Rhumatoïde
Inhibiteurs du TNF Inhibiteurs IL6 Inhibiteurs IL17, DÉFINITIONS ET NOMENCLATURE, PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES, RÉCEPTEURS, LASSIFICATION FONCTIONNELLE, ALBERT ZLOTNIK, IL-40, On décrit TROIS modes d'action aux cytokines, Les cytokines influencent souvent la synthèse d'autres cytokines : on parle de
"CASCADE, le pléiotropisme, La redondance, La synergie, L’antagonisme, ES SEPT FAMILLES DE RÉCEPTEURS
, TRANSDUCTION DU SIGNAL, Alberto Mantovani, Ph.D.
, Jean-Marc Cavaillon, Michel DY, Ph.D. harles Dinarello, http://www.medscape.org/
La coloration au bleu de prusse (coloration de perls).pptxS/Abdessemed
La coloration au bleu de prusse permet de mettre en évidence le fer non hémoglobinique présent dans cellules érythrocytaires sur le frottis de sang (sidérocytes) ou de moelle osseuse (sidéroblastes) afin d’évaluer les réserves médullaires en fer. Azrdfcx,p,az
Cette coloration est utile pour distinguer une carence vraie (réserves diminuées) d’un blocage de la synthèse de l’hémoglobine ou il y a hypochromie des globules rouges, mais des réserves de fer normales ou augmentées
les principales ordonnances en mycologieetparasitologie-131017142914-phpapp01...S/Abdessemed
L'objectif est de permettre à l'étudiant en médecine et au médecin généraliste de disposer des principales informations nécessaires au traitement des parasitoses et des mycoses les plus fréquentes...
Le microscope est un instrument de précision qui possède divers sous-systèmes :
optiques (lentilles, filtres, prismes, condenseurs),
mécaniques, pour contrôler la position de l’échantillon dans l’espace selon des coordonnées tridimensionnelles (X, Y, Z),
électriques (transformateur et source lumineuse),
et électroniques (appareil photo, enregistreur vidéo, etc.), qui interagissent pour agrandir et contrôler l’image d’objets non décelables à l’œil nu.
La microbiologie, de ses origines aux maladies emergentesS/Abdessemed
Tout le monde sait ce que sont les microbes, des micro-organismes vivants de trop petite taille pour être vus à l’oeil nu et qui nécessitent
d’être examinés au microscope : virus, bactéries, algues, champignons
et protozoaires. Chacun a appris à ses dépens que les microbes étaient sources de maladies. L’arrivée des nouvelles épidémies (fièvres hémorragiques dans les années 1970, Sida dans les années 1980, hépatite C dans les années 1990, SRAS et grippe aviaire dans les années 2000)
n’a fait que conforter l’homme de la rue dans cette idée. Ces dernières années, des alertes au bioterrorisme, plus ou moins fondées mais largement relayées par les médias, ont dramatiquement contribué à accentuerla peur des microbes.
Mais peu de gens savent que de très nombreux microbes jouent un rôle bénéfique important dans la nature, chez les êtres vivants et jusque dans notre vie quotidienne. Les micro-organismes existaient dès les premiers temps de l’histoire de notre planète, au cours desquels ils ont contribué à la formation de divers milieux. Ils sont des acteurs essentiels de notre environnement et des éléments indispensables à la vie. Ils se trouvent à l’origine de toutes les chaînes alimentaires. Les microorganismes furent aussi, et sont encore, responsables de nombreuses maladies humaines, animales ou végétales, dont le poids social et économique fut parfois, ou est encore, considérable.
Les milieux de culture en BactériologieS/Abdessemed
Parmi les milieux de culture, on distingue : Les milieux d'isolement qui sont le plus souvent solides et de composition simples pour permettre le développement de plusieurs espèces bactériennes. Les milieux sélectifs qui favorisent artificiellement la croissance d'une espèce au détriment des autres.
Les examens biologiques qui permettent de faire le diagnostic de l’infection ...S/Abdessemed
4 grandes situations diagnostiques
Pendant la phase chronique asymptomatique ou au stade SIDA, en dehors d’une date de contamination connue
Au moment de l’exposition(accident d’exposition professionnel ou sexuel)
Au moment de la primo-infection
Nouveau-né de mére VIH +
Diagnostic direct : L'infection par le VIH peut être mise en évidence par :
la recherche du virus lui-même ou encore de certains gènes viraux.
Antigénémie p24
Génome viral(ARN plasmatique, ADN proviral)
Diagnostic indirect : La sérologie du VIH permet de rechercher dans le sang la présence d’anticorps anti-HIV-1 et anti-HIV-2, signe de l’infection. Ces anticorps sont présents dans le sérum en cas de primo-infection à partir du 22e jour après la contamination et sont mis en évidence par une panoplie de tests
Le dosage de l’hémoglobine glyquée (hb a1c)S/Abdessemed
L’hémoglobine glyquée ou glycosylée (que l’on note parfois HbA1c) est une forme particulière d’hémoglobine, le pigment présent dans les globules rouges qui permet de transporter l’oxygène dans le sang. Ainsi, l’hémoglobine glyquée est une hémoglobine sur laquelle s’est fixée une molécule de glucose. Il existe un lien proportionnel entre le taux d’HbA1c et le taux de glucose sanguin. Plus le pourcentage d’hémoglobine glyquée dans le sang est élevé, plus la glycémie (taux de glucose dans le sang) moyenne est élevée.
Le dosage de l’hémoglobine glyquée est donc utilisé pour le suivi des personnes diabétiques, en complément du dosage de la glycémie. La glycémie reflète le taux de sucre instantané dans le sang, alors que le taux d’hémoglobine glyquée reflète l’équilibre global du diabète, c’est-à-dire son degré de contrôle. Si l’HbA1c est trop élevée, c’est le signe que le diabète est mal contrôlé et qu’il faut ajuster les traitements.
But :
Déterminer le nombre de plaquettes présent dans un volume de sang, soit le nombre de plaquettes dans un litre de sang.
Principe :
Le sang est dilué dans un liquide permettant la lyse des hématies et évitant l’agrégation des plaquettes entres elles, et la numération est ensuite effectuée au microscope optique ou à contraste de phase.
la recherche de l'agent pathogène responsable, dans les liquides ou les tissu du malade ; constitue le diagnostic direct
la recherche de la réponse immunitaire spécifique de l'organisme à l'agent pathogène ; c'est le diagnostic indirect
La réaction immunitaire développée par l'hôte peut être révélée, en recherchant et en titrant des anticorps spécifiques apparus dans les humeurs, en particulier le sérum sérodiagnostic
L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, L’ examen du sédiment urinaire, particulièrement important pour mettre en évidence la présence de cristaux et d’éléments cellulaires (hématies, leucocytes, cellules épithéliales, cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
cylindres, bactéries, levures,..) devrait être réalisé sur chaque analyse d’urine, même si aucune anomalie n’est détectée à la bandelette urinaire.
En effet, un certain nombre de prélèvements d’urine sans anomalie à la bandelette peuvent avoir un culot anormal (pyurie, bactériurie, etc).
La bactériologie médicale est une branche de la Biologie médicale qui consiste en l'analyse de divers liquides biologiques (parfois de tissus) dans le but d'isoler et/ou de caractériser une ou des bactéries pouvant être responsables de la pathologie suspectée à l'aide de techniques directes ou indirectes.
Le mot incubateur vient du latin incubare qui signifie couver. L’incubateur est une enceinte dont l’atmosphère, la température et l’humidité sont contrôlées afin de maintenir des organismes vivants dans un environnement adapté à leur développement. Parmi ses applications les plus courantes figurent l’incubation de cultures bactériennes, virales, microbiologiques en général et cellulaires, la détermination de la demande biochimique en oxygène (DBO) et le stockage de produits biologiques. Il existe divers modèles de complexité différente.
Certains ne contrôlent que la température tandis que d’autres contrôlent également la composition de l’atmosphère de l’enceinte. Il en existe aussi qui peuvent travailler à des températures plus basses que la température ambiante grâce à des systèmes de réfrigération. Selon les modèles et les spécifications de ces appareils, les températures de travail vont de −10 °C à 75 °C ou un peu plus. Certains incubateurs ont un systèmed’injection de CO2 pour obtenir des conditions favorables au développement de diverses espèces de micro-organismes et de cultures cellulaires
Le mot distillateur vient du latin distillare, qui signifie vaporiser des liquides sous l’effet de la chaleur.
Le distillateur utilisé au laboratoire, aussi appelé appareil de production d’eau distillée, purifie l’eau courante par un processus de vaporisation et de refroidissement contrôlés. Il transforme l’eau liquide en vapeur en lui appliquant de l’énergie thermique par chauffage.
Lors de la vaporisation, les molécules d’eau se séparent des autres molécules diluées ou mélangées dans la phase liquide La vapeur d’eau est recueillie et passe dans un condenseur, où elle est refroidie et retourne à l’état liquide. L’eau condensée est ensuite recueillie et stockée dans un réservoir séparé. L’eau distillée présente des caractéristiques de pureté supérieures à celles de l’eau courante ; elle est pratiquement exempte de substances contaminantes.
Le bain-marie est un appareil utilisé au laboratoire lors de l’exécution de tests d’agglutination et d’inactivation, de tests sérologiques, biomédicaux et pharmaceutiques et même pour des procédures d’incubation en milieu industriel.
Ils utilisent en général de l’eau, mais certains fonctionnent avec de l’huile.
La gamme de températures de fonctionnement se situe en général entre la température ambiante et 60 °C.
On peut sélectionner une température de 100 °C en utilisant un couvercle spécial. La capacité d’une cuve de bain-marie va de 2 à 30 litres.
Anton VAN LEEUWENHOEK (1632-1723), drapier hollandais et grand amateur de loupes et instruments
d'optique, découvre et décrit entre 1674 et 1687 le monde microbien (« les
animalcules »). Mais celui-ci n'est véritablement reconnu qu'à partir du milieu du XIXe siècle à la
suite des travaux de Louis PASTEUR et de ses élèves.
En 1866, HAECKEL crée le terme de protistes pour désigner, entre le monde animal et le monde
végétal, les êtres unicellulaires et les êtres pluricellulaires sans tissus différenciés. Les protistes
sont classés en deux catégories :
• Les protistes supérieurs ou eucaryotes qui possèdent un noyau entouré d’une membrane, des
chromosomes, un appareil de mitose et une structure cellulaire complexe (mitochondries notamment).
• Les protistes inférieurs ou procaryotes qui ont un chromosome unique sans membrane nucléaire
et sans appareil de mitose, et une structure cellulaire élémentaire (pas de mitochondries).
Les bactéries font partie des protistes procaryotes.
Les Examens de laboratoire (valeurs normales et variations pathologique)S/Abdessemed
Les résultats de laboratoire montrent qu’il existe plusieurs catégories d’examen en fonction des liquides et tissus examinés et des éléments qui y sont présents de manière normale ou pathologique. Ainsi ces résultats font état d’analyses pratiqués sur des échantillons de sang total : hématologie, d’une fraction du sang : le sérum avec la biochimie sérique,
d’urines : avec la cytologie urinaire et la microbiologie urinaire.
Enfin ces résultats font apparaître un antibiogramme associé à l’examen cytobactériologique des urines car pratiqué chaque fois qu’une bactérie pathogène est identifiée dans un prélèvement ; Il est pratiqué dans le cadre du
diagnostic et du suivi d’une infection.
- Hématologie : Science qui traite de la physiologie et de la pathologie des tissus
hématopoïétiques (moëlle osseuse, rate, ganglions lymphatiques impliqués dans la formation des éléments figurés du sang) et du sang
- Biochimie sérique : science qui traite de la constitution chimique et des réactions chimiques du sérum( partie du sang dont sont exclus les éléments figurés et le fibrinogène), le sérum est composé d’un liquide comportant des éléments azotés : créatinine, urée, albumines,
globulines, acides aminés) lipidiques cholestérol, acides gras, glucidiques : glucose
notamment, minéraux(chlore, potassium, sodium, magnésium, calcium, phosphore, fer, iode,
des enzymes, des hormones et divers métabolites.
S ’approprier le vocabulaire spécifique et commun aux professions paramédicales,
Utiliser le vocabulaire spécifique pour affirmer son professionnalisme,
Parler un langage commun, compréhensible de toute l ’équipe de soins (transmissions…)
La centrifugation est une technique qui utilise la force centrifuge pour séparer les différents composants d’un fluide.
Au laboratoire médical, elle est principalement utilisée pour séparer le plasma ou le sérum à partir de prélèvements sanguins ou pour obtenir un sédiment urinaire. Pendant la centrifugation, les composants du sang ou des urines les plus lourds sont entraînés au fond du tube, accélérant une sédimentation naturelle.
Ils sont ainsi séparés du surnageant, du plasma s’il s’agit de sang anticoagulé ou du sérum si le sang a coagulé naturellement.
L'albumine est la protéine principale du sang. Elle est synthétisée par le foie et permet par son pouvoir oncotique de retenir l’eau dans le secteur intravasculaire.
Elle sert également au transport de nombreuses substances dans le sang : hormones thyroïdiennes, calcium et médicaments.
La formule leucocytaire est toujours associée à la numération globulaire, elle permet de déterminer le pourcentage de chaque catégorie de leucocytes (ramené en valeur absolue) : polynucléaires, polynucléaires.
Il est également possible de détecter d'éventuelles cellules normalement absentes du sang circulant (cellules provenant de la moelle osseuse)
2. L’immunologie est une science qui a pour
but d’étudier les phénomènes de
l’immunité
L’immunité est une propriété que
possède l’organisme d’être réfractaire à
certaines substances qui lui sont
étrangères.
3. L’immunologie ne peut plus être limitée à
l’étude des moyens de lutte contre les
agents infectieux, son domaine est plus
vaste, regroupant les diverses réactions
que l’organisme utilise pour maintenir
son intégrité
4. Elle étudie le mécanisme et les
conséquences des modifications
spécifiques produites dans l’organisme
par l’introduction d’une substance
étrangère appelée antigène
5. on appelle réaction immunitaire la
réactivité nouvelle et spécifique que
l’organisme acquiert à la suite de cette
introduction, que celui-ci soit un agent
infectieux, une molécule de poids
moléculaire élevé ou une cellule.
6. C’est l’ensemble des moyens de défense
qui sont spécifiques à un germe donné
L'objectif est l'éradication d'un certain
nombre d'agents infectieux et d'éviter
ainsi que les agressions se reproduisent.
7. Il y a deux réponses:
- la réponse cellulaire (activation des
lymphocytes T)
- la réponse humorale (activation des
lymphocytes B)
8. C’est l’ensemble de moyens de défense
naturels, non spécifiques à un germe
donné.
Ce sont les défenses de surface (peau,
trachée, intestin) par l'étanchéité de la
peau et des muqueuses
9. Elle permet la réponse inflammatoire.
Les défenses cellulaires se font grâce
aux macrophages, polynucléaires
neutrophiles et les cellules natural
killers
10. 1. Protection mécanique de l'organisme
-Cette protection est assurée par la
peau et la muqueuse qui constituent les
frontières qui nous séparent du monde
extérieur.
11. la peau : elle joue le rôle de barrière par 3
mécanismes :
- mécanisme physique : la peau est
constituée de cellules épithéliales,
kératinisées. Ainsi, seule une brèche causée
par une piqûre ou une brûlure ou une
excoriation ou un traumatisme permettra la
pénétration d'un corps étranger
12. - mécanisme chimique : Par la présence
d'acides gras déversés en surface de la
peau. Ils sont sécrétés par les glandes
sébacées ou sudoripares.
13. - mécanisme biologique : représenté en
surface par une flore dite
« commensale » particulièrement des
bactéries qui permettent l'inhibition de
la croissance de germes pathogènes
14. les muqueuses :
- mécanisme physique : la présence de
certaines variétés de cellules suivant la
muqueuse considérée permet
l'immobilisation et l'élimination des
micro-organismes.
15. - mécanisme chimique : représenté par
le PH acide (exemple : la muqueuse
gastrique et la muqueuse vaginale).
- mécanisme biologique : présence de
bactéries « commensales » sur les
muqueuses.
16. 2. Substances anti-microbiennes
- Elles interviennent en plus des
barrières chimiques et mécaniques.
-Le sang et les liquide interstitiels
contiennent des substances chimiques qui
découragent la croissance microbienne.
17. Elles sont:
- les interférons: produits par les
lymphocytes, les macrophages et les
fibroblastes
- le complément: ce sont 20 protéines
inactives dans le plasma sanguin et des
membranes cellulaires qui augmentent la
réaction inflammatoire.
18. C'est la seconde ligne de défense au cas
où des microbes pénètreraient dans la
peau et les muqueuses.
19. 3. Les cellules tueuses naturelles
- Elles apparaissent lorsque les
substances anti-microbiennes sont court-
circuitées par les microbes. Elles sont
appelées les cellules tueuses naturelles ou
"natural killer" (NK).
20. -Elles détruisent les microbes en grande
variété, elles sont présentes dans la rate,
les ganglions lymphatiques, la moelle
osseuse et le sang.
-Les NK libèrent de l'interféron gamma
et stimule l'activité cytolytique.
21. 4. Les cellules phagocytaires
- Les phagocytes: Les granulocytes et les
macrophages (il existe 2 sortes de
macrophages ; les libres: cellules migrant
du sang au foyer infectieux et les fixes:
s'installent dans certains tissus et
organes)
22. - Les monocytes et les neutrophiles ont le
pouvoir phagocytaire le plus grand
23. 5. La réaction inflammatoire
- c'est l'ensemble des phénomènes
déclenchés par l'effraction d'une
barrière mécanique de protection de
l'organisme en particulier pour les
germes. C'est une réaction locale,
vasculaire et cellulaire qui comporte
plusieurs étapes .
24. 6. Hyperthermie ou fièvre
-Lors de la réaction inflammatoire, il y a
un dégagement de chaleur important due
à l'importante consommation de calories
et au catabolisme en augmentation durant
cette phase.
25. 1. Le système immunitaire
Les cellules de la lignée Lymphocytaire :
Lymphoblastes : Cellules jeunes qui
donnent naissance aux lymphocytes et
siègent essentiellement au niveau :
- de la moelle osseuse
- des ganglions lymphatiques
- de la rate
26. Lymphocytes :
-Lymphocytes T dans le sang, les
ganglions, ne fabriquent pas AC
-Lymphocytes B dans la rate,
la moelle osseuse fabriquent
des AC
27. Plasmocytes :
- Cellules fixées dans les tissus
conjonctifs sous épithéliaux
particulièrement au niveau des voies
respiratoires et du tube digestif et au
niveau des ganglions
- formées à partir des lymphocytes B,
Capables de fabriquer des AC
28. les organes Lymphoïdes :
les organes Lymphoïdes centraux :
- thymus (au niveau du médiastin, cavité
entre les 2 poumons) : glande endocrine
au niveau de la partie supérieure et
antérieure du médiastin
- moelle osseuse
29. les organes Lymphoïdes périphériques :
- rate
- ganglions lymphatiques
- amygdales
- plaques de Peyer (au niveau des
intestins)
30.
31.
32. 2. La réaction immunitaire :
Elle a pour but de reconnaître un
Antigène par une cellule immunitaire. La
réponse immunitaire est de 2 types
33. a. la réponse humorale : apparition d'AC
par introduction d'un antigène.
Les AC sont des protéines complexes :
les Immunoglobulines
Chez l'Homme, il y a 5 classes d'AC :
Ig G, Ig A, Ig E, Ig M, Ig D
34. b. la réponse cellulaire : l'introduction
de l'antigène aboutit à la formation de
Lymphocytes T qui développent une
toxicité propre qui va aboutir à la
destruction de l'antigène dont le
résultat est la cytotoxicité.
35. 3. Acquisition de l'immunité :
Elle est réalisée de 3 manières :
- directement, à l'occasion d'une maladie
infectieuse (maladie immunisante)
- par vaccination : immunité acquise
active
- sérothérapie : immunité acquise passive
36. a. la vaccination :
- but : faire fabriquer des anticorps par
le sujet vacciné
- L’immunité est lente à apparaître mais
elle est durable, intérêt préventif
37. b. la sérothérapie :
- but : protéger un sujet contre une
maladie infectieuse donnée en lui
administrant des anticorps fabriqués par
un autre organisme (un homme ou un
animal)
38. le sérum peut être utilisé de 2 manières :
- à titre préventif : séroprévention (le
tétanos)
- à titre curatif : sérothérapie (la rage)
- dans ce cas l'immunité acquise est
immédiate mais de courte durée