Conférence du Professeur Didier Samuel (Hépatologue, Hôpital Paul Brousse, France). Stratégie thérapeutique pour l'élimination de l'antigène HBs (AgHBs) chez les patients porteurs d'une hépatite B chronique.
Conférence du Pr. Vincent Leroy (Hôpital Universitaire de Grenoble, France), Juin 2014. Prise en charge de l'Hépatite C à l'aide des nouveaux antiviraux Sofosbuvir, Daclatasvir, Siméprévir, en combinaison ou non avec l'Interféron pégylé et la Ribavirine.
Conférence du Professeur Didier Samuel (Hépatologue, Hôpital Paul Brousse, France). Stratégie thérapeutique pour l'élimination de l'antigène HBs (AgHBs) chez les patients porteurs d'une hépatite B chronique.
Conférence du Pr. Vincent Leroy (Hôpital Universitaire de Grenoble, France), Juin 2014. Prise en charge de l'Hépatite C à l'aide des nouveaux antiviraux Sofosbuvir, Daclatasvir, Siméprévir, en combinaison ou non avec l'Interféron pégylé et la Ribavirine.
Depuis la rentrée de septembre 2009, la formation infirmière s’inscrit dans le
processus de Bologne : LMD (Licence-Master-Doctorat) et valide le niveau Licence.
Les études se déroulent dans les Instituts de Formation en Soins Infirmiers. En
partenariat avec l’Université, elle prépare en 3 ans, au diplôme d’Etat Infirmier et à
l’obtention du grade de Licence.
Le cursus de formation, fondé sur l’alternance, comprend :
q 6 semestres validant les 180 E.C.T.S. (European Crédit Transfert System) du
grade de licence.
q 20 semaines de formation en alternance par semestre.
q 50 % d’enseignement en institut de formation = 2100 heures d’enseignements
théoriques.
q 50 % de stage = 2100 heures de stages cliniques.
Principes pédagogiques
Au-delà de l’acquisition de connaissances et de la validation des ECTS, la formation
infirmière se caractérise par les aspects suivants :
q Enseignement supérieur pour un diplôme de Niveau II (licence).
q Formation professionnalisante conduisant à un diplôme d’Etat autorisant
l’exercice professionnel.
q Formation en alternance.
q Formation par les pairs.
« Le référentiel de formation des infirmiers a pour objet de professionnaliser le
parcours de l’étudiant, lequel construit progressivement les éléments de sa compétence
à travers l’acquisition de savoirs et savoir-faire, attitudes et comportements. »
(annexe 3 du référentiel de formation).
reseauprosante.fr
Depuis 2009, la formation infirmière a intégré les accords de Bologne. Le diplôme d’Etat infirmier, avec 3 d’études, attribue le niveau Licence. En conséquences, plusieurs formations diplômantes post-DEI se situeront au niveau Master. Au terme du processus de Bologne le Doctorat devrait être accessible aux professionnels qui en ont tout à la fois les capacités et les compétences.
Trois types de formation existent aujourd’hui :
Les formations spécialisées ;
Le diplôme Cadre de Santé ;
Les Masters de Recherche et de Pratiques Avancées.
Les Formations Spécialisées
Les formations dites « spécialisées » s’inscrivent dans la « réingénierie » des métiers de la santé, actuellement en cours. C’est-à-dire que les référentiels « métier » (référentiels d’activités et de compétences) et référentiel de formation sont élaborés ou réajustés.
Ces formations débouchent, avec une reconnaissance salariale du diplôme, sur les métiers de :
Infirmier Anesthésiste Diplômé d’Etat (IADE) : il a plus spécifiquement en charge la sécurité du patient au cours de son anesthésie, que celle-ci soit générale ou locale, qu’elle ait lieu au bloc opératoire, dans le cadre de la médecine d’urgence ou de la prise en charge de la douleur.
Infirmier de Bloc Opératoire Diplômé d’Etat (IBODE) : il exerce en bloc opératoire ou secteur associés et contribue aux soins dispensés au patient pour une intervention.
Infirmier en Puériculture Diplômé d’Etat (Puer DE) : il exerce des activités de soin et d’éducation dans les établissements de santé accueillant des enfants de la naissance à l’adolescence, dans les établissements et services d’accueil des enfants de moins de 6 ans et dans les services de protection et de promotion de la santé de l’enfant et de la famille.
Au terme de la formation, le grade de Master pourrait être attribué en même temps que le diplôme d’Etat.
reseauprosante.fr
Desinfection en hemodialyse generateurs traitement d'eau afib 2007Alain Birbes
12èmes journées d’ingénierie biomédicale à Toulouse - 12 – 14 septembre 2007
Présentation des méthodes de désinfection des dispositifs médicaux utilisés en hémodialyse, générateurs et traitements d'eau.
LES ABORDS VASCULAIRES CHEZ LES PATIENTS DIABÉTIQUES EN HÉMODIALYSE
R. AZZOUZ –B. GUERD –Y. SOUAYEH –D. IFTENE
CHU HCA –Kouba, ALGER
Un état des lieux des fistules artérioveineuses chez les patients diabétiques, le taux d'échec de la FAV.
L’insuffisance rénale aiguë (IRA) est extrêmement fréquente dans la population générale, elle nécessite souvent le recours aux techniques d’épuration extra rénale (EER) dans des circonstances d’urgence. Cette situation est associée à une morbi-mortalité importante. L’objectif de notre travail est de préciser les aspects épidémiologiques des IRA nécessitant une EER.
Le disconnecteur en hemodialyse alain birbes 2014Alain Birbes
Réglementation, fonctionnement, règles de pose et d'exploitation d'un disconnecteur lors du raccordement d'un équipement de traitement d'eau pour la dialyse à un réseau public
Cette présentation a été crée lors de mes études d'infirmière en première année et devant des professeurs et des étudiants. J'ai tenu à expliquer que même si on allait être des anesthésistes on est d'abord des infirmiers et qu'il faut savoir plus sur notre métier.
Hémodialyse en situation d'urgence (Dr Abdelkafi)Wissem ABDELKAFI
L’insuffisance rénale aiguë (IRA) est extrêmement fréquente dans la population générale, elle nécessite souvent le recours aux techniques d’épuration extra rénale (EER) dans des circonstances d’urgence. Cette situation est associée à une morbi-mortalité importante. L’objectif de notre travail est de préciser les aspects épidémiologiques des IRA nécessitant une EER.
Le Parcours de soins du patient FrançaisIpsos France
Le 20 octobre dernier, Coopération Santé a présenté lors de son colloque sur le thème “Parcours de soins du patient : des mots à la réalité”, les résultats de la première enquête réalisée par Ipsos pour MSD France, autour du parcours de soins vu par le grand public et en regards croisés avec les professionnels de santé.
Les traitements de l'hépatite C chronique en 2014, pour les patients cirrhotiques et transplantés : Nouvelles molécules, Résultats, Traitement selon le génotype, Telaprevir, Boceprevir, Sofosbuvir, Simeprevir, Daclatasvir, Ledipasvir, Ombitasvir, Asunaprevir... Conférence du Dr. Audrey COILLY, Hépatologue à l'Hôpital Paul Brousse (France), aux Journées Hépato-Biliaire (13 Juin 2014, Paris).
Biomarkers can provide non-invasive estimates of liver fibrosis to address the large number of undiagnosed cases. Liver biopsy has limitations as a gold standard due to sampling error and inter-observer variability. New methods show that biopsy has a "gray zone" for intermediate fibrosis stages, while biomarkers like FibroTest have a smaller gray zone and similar diagnostic accuracy to biopsy. Guidelines now recommend the use of validated biomarkers and elastography to diagnose liver fibrosis given biopsy's limitations.
This document discusses the long-term benefits of antiviral treatment for hepatitis B. It provides information on different phases of hepatitis B infection and when treatment is indicated. It also summarizes the approved antiviral drugs for treating chronic hepatitis B, including nucleoside analogs, nucleotide analogs, and cytokines. The document discusses the differences in lifecycles and mechanisms of HIV, HBV, and HCV. It then reviews the efficacy and resistance profiles of different antiviral drugs over time, highlighting the low resistance of tenofovir.
This document discusses treatment of hepatitis B and long-term benefits. It begins by outlining the different phases of hepatitis B infection and when treatment is indicated. The goals of treatment are virological suppression, normalization of liver enzymes, prevention of disease progression, and seroconversion from HBeAg to anti-HBe and from HBsAg to anti-HBs. Approved antiviral drugs for hepatitis B include lamivudine, entecavir, telbivudine, adefovir, tenofovir, interferon alfa, and pegylated interferon alfa-2a. Combination therapies and management of resistance are also discussed.
This document discusses hepatitis C recurrence after liver transplantation. It notes that hepatitis C recurrence is a major issue, accounting for two-thirds of graft loss. Five years post-transplant, 30% of patients have cirrhosis of the graft. The document examines factors that influence recurrence like fibrosis stage and viral load at one year post-transplant. It also discusses using antiviral treatment before and after transplant to improve outcomes.
This document discusses optimal strategies for preventing hepatitis B virus (HBV) recurrence after liver transplantation. It reviews evidence that combination prophylaxis with hepatitis B immunoglobulin (HBIG) and nucleoside/nucleotide analogues (NUCs) is most effective at preventing early HBV reinfection. For long-term prophylaxis, low-dose HBIG or HBIG discontinuation combined with lifelong NUC therapy may be sufficient for patients at low risk of recurrence. Factors such as HBV DNA level pre-transplant, hepatocellular carcinoma, and HBV/HIV coinfection increase risk of recurrence and require continued HBIG plus NUC prophylaxis.
The document discusses hepatitis C virus (HCV) resistance to direct-acting antiviral (DAA) drugs. It finds that:
1) Baseline resistance-associated variants (RAVs) were detected in 15-27% of treatment-naive genotype 1 patients by deep sequencing, with higher prevalences in some regions.
2) The presence of certain RAVs at baseline was associated with reduced sustained virologic response (SVR) rates to some DAA regimens, particularly for NS5A inhibitors.
3) However, most patients with baseline RAVs still achieved SVR when treated with optimized, interferon-free combinations with or without ribavirin extension.
1. Transplantation rénale, hémodialyse et hépatites virales Dr Marika RUDLER AP-HP, Service d’hépato-gastroentérologie Hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris, France Mercredi 18 janvier 2012
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5. Prévalence de l'hépatite B chez les greffés rénaux Auteur Bang Hanafusa Mathurin Année 1995 1998 1999 % AgHBs+ 14% 3,2% 24,2% 9,1% 0,6 % TR<1982 TR>1982 TR> 2000* N - 280 834 *Boubchir, JFHOD 2011
6. Prévalence de l'hépatite C chez les patients ayant une IR terminale Poordad FF, et al. Semin Liver Dis 2004
7. Prévalence de l'hépatite C chez les patients ayant une IR terminale France, Sauné, Nephrol dial transplant 2011: Baisse prévalence: 7.7% PCR + chez 0.05% des négatifs en sérologie
8. Prévalence de l'hépatite C chez les greffés rénaux Auteur Conway Bang Genesca Cisterne Haem Hanafusa Mathurin Boubchir Année 1992 1995 1995 1996 1996 1998 1999 2011 PCR-VHC+ - - 64% - - - - Ac anti-VHC+ 10%* 13%* 46% 24% 29% 29% 26% 2,2% N 343 - 241 346 339 280 834 1903 * Nbreux faux négatifs avec les Tests de 1ere et seconde génération
9. Prévalence de l'hépatite C chez les greffés rénaux Auteur Conway Bang Genesca Cisterne Haem Hanafusa Mathurin Finelli Année 1992 1995 1995 1996 1996 1998 1999 2002 PCR-VHC+ - - 64% - - - - NC Ac anti-VHC+ 10%* 13%* 46% 24% 29% 29% 26% 7,8% N 343 - 241 346 339 280 834 - * Nbreux faux négatifs avec les Tests de 1ere et seconde génération Mode de contamination: DIALYSE En diminution ? Jadoul, Nephrol Dial Transplant 2004
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12. Impact des hépatites B et C sur la survie des transplantés rénaux Non significatif Roth, Kidney Int 1994 Pol, Lancet 1990 Knoll, Am J Kidney Dis 1997 Morales, Transplant Proc 1993 Pouteil-Noble, Nephrol Dial Transplant 1995 Péjoratif Legendre, Transplantation 1997 Pereira, Transplantation 1995, Kidney Int 1998 Hanafusa, Transplantation 1998 Mathurin, Hepatology 1999 Long suivi
13. Mathurin , Hepatology 1999 Causes de mortalité après transplantation rénale à la Pitié-Salpêtrière
14. Survie à 10 ans des greffés rénaux, en fonction du statut Ag HBs, AC anti VHC, et chez les non infectés Mathurin , Hepatology 1999
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18. Fornairon , Transplantation 1996 Progression histologique de l’hépatite B après transplantation rénale Aggravation histologique: 85% Cirrhose 28%
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21. Alric, Gastroenterology 2002 ** ** * * 0 0,05 0,1 0,15 0,2 0,25 VPF (U Metavir/an) Estimation d'après la 1ere biopsie Estimation d'après la 2e biopsie Transplantés rénaux Hémodialysés Contrôles * p<0,05 ** p<0,05 Progression histologique de l’hépatite C après transplantation rénale NB: F3/F4<15% N=30 dans chaque groupe
22. Histoire naturelle de l’hépatite C chez les transplantés rénaux : discordances conséquences d’un biais de sélection ? Pas ou peu de fibrose Hépatite peu sévère VHC Greffon rénal + immunosuppression F2F3/cirrhose Surmortalité hépatique VHC Greffon rénal + immunosuppression Greffe rein
41. Side effects First 14 patients Last 16 patients p Transfusion (%) 50 20 0.08 Hb (g/dL) 9.6 10.6 0.02 Hb<10g/dL 58 5 0.007
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45. Traitement de l’hépatite C par l’interféron après transplantation rénale Auteur Hanafusa Ichikawa Izopet Monteon Rostaing Tokumoto Thervet N 10 1 15 2 16 6 13 Schéma 9MU/j 2 sem puis 3MUx3/sem 22 sem 9MU/j 2 sem puis 9MUx3/sem 22 sem 3 MUx3/sem 6 mois 5 MUx3/sem 4 mois 3 MUx3/sem 6 mois 5-10MU/j 2 sem puis 3-5 MUx3/sem 22 sem 3-5MUx3/sem % réponse virologique 20 0 0 0 0 50 0 Rejet 5% 100% 33% 0% 29% 33% 15% Retour en dialyse NC NC 13% 0% 19% 50% NC 48% Rejet (65% retour en dialyse) 6% SVR
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47. Traitement de l’hépatite C par ribavirine monothérapie après transplantation rénale Fontaine et al. Transplantation 2004 29% redeviennent F2 25% réversion de cirrhose
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49. Traitement de l’hépatite C par l’interféron après transplantation rénale La greffe rénale est-elle vraiment une CONTRE-INDICATION à l’IFN ???
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Notes de l'éditeur
Only patients candidates for RT were treated. Patients with a lowered survival like those having diabetes, heart failure are not optimal candidates for therapy.