Veille StratéGique,Cas Du Cabinet Dexpert C OmptableTarek Abdellatif
IntroductionI - LA VEILLE STRATEGIQUE: Définition et objectifs II – les composantes clés de la veille stratégique iii – processus de la veille stratégique
Veille StratéGique,Cas Du Cabinet Dexpert C OmptableTarek Abdellatif
IntroductionI - LA VEILLE STRATEGIQUE: Définition et objectifs II – les composantes clés de la veille stratégique iii – processus de la veille stratégique
Méthodologie de recherche : Comment entamer son mémoire de fin d'étudeConnaissance Créative
Ce cours est destiné au étudiants en L3, M1 ou M2 amenés à réaliser un mémoire de fin d'étude. Cette présentation explique comment définir le thème de recherche et la problématique spécifique à traiter dans le mémoire.
Rédaction de ce mémoire de fin de formation du cycle 2 (Master en Gestion des Ressources Humaines) est assistée par M. N'kpoué Charlemagne Adjalla, Consultant Indépendant en étude s de marché, analyse stratégique d'entreprise, analyse de la clientèle, analyse de la concurrence.
Quelques conseils (cours pour M2 en vue de leur mémoire) sur l'entretien semi-directif comme méthode qualitative dans la recherche. Le cours n'aborde pas les méthodes d'analyse à ce stade.
Les chercheurs sont parfois confrontés à la nécessité d'écrire un protocole pour réaliser un projet. Dans cette note pédagogique, sont abordés les différents éléments constitutifs d'un protocole de recherche : introduction, définition des objectifs, méthodologie, aspects, éthiques, planification de l'étude. De plus, sont proposées ci-dessous, quelques remarques générales sur les principaux problèmes à envisager et sur différents points critiques pour lesquels le recours à l'avis d'un spécialiste est généralement conseillé.
Un protocole de recherche est un document écrit, élaboré dès le début du projet, éventuellement modifié avant d'être adopté et qui sert de référence pendant toute la réalisation des opérations de recherche. Ce document écrit est indispensable à toute étude pour trois grandes raisons
Mots clés: Protocole, recherche, méthodologie, éthique.
Introduction à la veille technologique S1E01Alain Marois
Support de formation de la session 1 du cours d'accompagnement à l'action de veille technologique piloté par D. Muller dans le domaine informatique à l'ECL (cours MOS 4.4). 2 séances de 2 h. Un support par séance.
Contenu : qu'est-ce que la veille techno ? Point sur les livrables possibles; présentation d'outils et services orientés veille et pkm; ressources thématiques;
A quoi sert le Lean Engineering ? A faire le bon produit que les clients achèteront et ré-achèteront.
Découvrez comment dans la présentation de Michael Ballé à la Journée Lean en ingénierie 2016 de l'Institut Lean France.
Méthodologie de recherche : Comment entamer son mémoire de fin d'étudeConnaissance Créative
Ce cours est destiné au étudiants en L3, M1 ou M2 amenés à réaliser un mémoire de fin d'étude. Cette présentation explique comment définir le thème de recherche et la problématique spécifique à traiter dans le mémoire.
Rédaction de ce mémoire de fin de formation du cycle 2 (Master en Gestion des Ressources Humaines) est assistée par M. N'kpoué Charlemagne Adjalla, Consultant Indépendant en étude s de marché, analyse stratégique d'entreprise, analyse de la clientèle, analyse de la concurrence.
Quelques conseils (cours pour M2 en vue de leur mémoire) sur l'entretien semi-directif comme méthode qualitative dans la recherche. Le cours n'aborde pas les méthodes d'analyse à ce stade.
Les chercheurs sont parfois confrontés à la nécessité d'écrire un protocole pour réaliser un projet. Dans cette note pédagogique, sont abordés les différents éléments constitutifs d'un protocole de recherche : introduction, définition des objectifs, méthodologie, aspects, éthiques, planification de l'étude. De plus, sont proposées ci-dessous, quelques remarques générales sur les principaux problèmes à envisager et sur différents points critiques pour lesquels le recours à l'avis d'un spécialiste est généralement conseillé.
Un protocole de recherche est un document écrit, élaboré dès le début du projet, éventuellement modifié avant d'être adopté et qui sert de référence pendant toute la réalisation des opérations de recherche. Ce document écrit est indispensable à toute étude pour trois grandes raisons
Mots clés: Protocole, recherche, méthodologie, éthique.
Introduction à la veille technologique S1E01Alain Marois
Support de formation de la session 1 du cours d'accompagnement à l'action de veille technologique piloté par D. Muller dans le domaine informatique à l'ECL (cours MOS 4.4). 2 séances de 2 h. Un support par séance.
Contenu : qu'est-ce que la veille techno ? Point sur les livrables possibles; présentation d'outils et services orientés veille et pkm; ressources thématiques;
A quoi sert le Lean Engineering ? A faire le bon produit que les clients achèteront et ré-achèteront.
Découvrez comment dans la présentation de Michael Ballé à la Journée Lean en ingénierie 2016 de l'Institut Lean France.
Guide methodologique etude des publics musees et sites patrimoniaux - gece ...Institut de sondages
Ce guide méthodologique est à destination des musées et des sites patrimoniaux pour la réalisation d'une étude des publics. Il aborde les différentes phases à respecter. Il a été élaboré par le cabinet Gece, reconnu pour son expérience dans la réalisation d'études dans le milieu culturel.
Introduction aux méthodes et principes empiriques de recherche en SHS, ainsi qu'à une sensibilisation à la "lecture" et l'interprétation des données issues d'enquêtes.
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This document provides an overview of funding mechanisms from the US Agency for International Development (USAID) for projects. It describes the objectives of understanding USAID grants and financing in the context of projects. Key points covered include defining how USAID funds projects, understanding the flow of funds between funding agencies and implementing institutions, and comprehending requirements for managing allocated funds from US grants and financing. Websites for finding funding opportunities from USAID and for US government contracts are also provided.
Impact des Critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les...mrelmejri
J'ai réalisé ce projet pour obtenir mon diplôme en licence en sciences de gestion, spécialité management, à l'ISCAE Manouba. Au cours de mon stage chez Attijari Bank, j'ai été particulièrement intéressé par l'impact des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les décisions d'investissement dans le secteur bancaire. Cette étude explore comment ces critères influencent les stratégies et les choix d'investissement des banques.
Conseils pour Les Jeunes | Conseils de La Vie| Conseil de La JeunesseOscar Smith
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6. But de la formation
La formation contribue spécifiquement à développer la compétence des professionnels de
l’humanitaire en matière de collecte de preuves avec des recherches orientées vers des
projets humanitaires.
7. Objectifs de la formation
•Chercher à comprendre un phénomène
•chercher à décrire un phénomène ou une situation
•explorer un nouveau domaine ou un problème
•poser ou vérifier une hypothèse
•évaluer les performances ou les acquis d’une personne
•évaluer un projet ou une action
•analyser des besoins
En vue de:
prendre une décision ou produire un savoir
8. 1. Définition de l’enquête
2. Etape d’une enquête
3. Typologie des enquêtes
4. Définition de collecte de données et techniques
5. Techniques et outils de collecte de données
6. Construction de l’échantillon d’étude
7. Exercice d’application
PLAN DE LA FORMATION
9. QU’EST-CE QU’UNE ENQUÊTE
• Recherche méthodique et collecte d'informations portant ou non
sur l'ensemble de la population étudiée
• Toute recherche, menée dans des secteurs variés en recueillant
les réponses et témoignages des personnes ou en rassemblant
des documents, donnant lieu à un rapport écrit.
• Une enquête commence habituellement s’il y a un besoin
d’informations et s’il n’y a pas de données ou si elles sont
insuffisantes
10. QU’EST-CE QU’UNE ENQUÊTE
• une « investigation consistant à recenser et à interpréter aussi
méthodiquement que possible un ensemble de témoignages
susceptibles de répondre à l’objectif visé. »
• une stratégie de recherche servant
• à vérifier la véracité d’une ou de plusieurs hypothèses
• éventuellement de résoudre un problème,
au moyen de plusieurs techniques,
11. QU’EST-CE QU’UNE ENQUÊTE
• Enquête par sondage: Technique de recherche d'informations,
auprès de la population d'un pays ou d'une partie de cette
population en fonction d'un critère, tel que le sexe, la profession,
le niveau des revenus, l'habitat, etc.,
• en vue de connaître l'opinion, le comportement
de cette population ou de cette partie de population à l'égard
d'un problème particulier qui est l'objet de l'enquête``
(Sumpf-Hug. 1973).
12. LES ÉTAPES D’UNE ENQUÊTE
Une enquête comprend plusieurs étapes liées entre elles,
notamment:
• la définition des objectifs,
• la sélection d’une base de sondage,
• le choix du plan d’échantillonnage,
• la conception de l’instrument de collecte de données
• la collecte et le traitement des données,
• l’analyse et la diffusion des données, et la documentation de
l’enquête
13. CYCLE DE VIE UTILE D’UNE ENQUÊTE
• Les étapes de l’enquête présentées ci-dessus ne sont pas
nécessairement séquentielles :
• certaines se déroulent en parallèle, d’autres, telles que la
vérification, sont réitérées à divers moments pendant le
processus de l’enquête.
• Chaque étape doit d’abord être planifiée, conçue et élaborée,
mise en œuvre ensuite et évaluée en bout de ligne
15. TYPOLOGIE DES ENQUÊTES
Il y a deux genres d’enquête,
•Caractère qualitatif : non mesurable mais que l'on peut ranger en catégories, alternatives...
(couleur des cheveux, sexe, groupe sanguin ...)
•Caractère quantitatif : mesurable ou dénombrable (par exemple la taille des individus, le
nombre d'enfants, le revenu mensuel, le poids ...)
•Caractère Mixte: Prend en compte le qualitatif et le quantitatif
16. Recherche qualitative Recherche quantitative
La description est détaillée et complète L’objectif est de classer les
caractéristiques, construire des modèles
statistiques
Le chercheur ne sait pas en avance ce
qu'il / elle cherche.
Le Chercheur sait clairement en avance
ce qu'il / elle cherche.
Recommandé au début des projets de
recherche.
Recommandé dans la mise en œuvre des
projets de recherche
La conception apparaît dans le
déroulement de l’ l'étude
Tous les aspects de l’étude sont
soigneusement conçus avant que les
données sont collectées
17. Recherche qualitative Recherche quantitative
Les données sont sous forme de mots,
d’images ou de objets.
Les données sont sous forme de
chiffres et statistiques.
Les données qualitatives sont plus
«riches», et moins capable d'être
généralisé.
Les données quantitatives sont plus
efficaces, capable de tester des
hypothèses, mais peut
manquer les détails contextuels
Le chercheur a tendance à devenir
subjectivement immergé dans le sujet.
Le chercheur a tendance à rester
objectivement séparé du sujet.
18. Recherche qualitative Recherche quantitative
Subjective: interprétation individuelle
des événements est important, par
exemple, les utilisations observation
participante, en profondeur entretiens
etc.
Objectif: cherche précis mesure et
analyse de la cible concepts, par
exemple, utilise des enquêtes,
questionnaires etc.
Chercheur est l’instrument principal de
la collecte de données.
Le chercheur utilise des outils tels que
questionnaires pour recueillir des
données quantitatives
19. DONNÉES PRIMAIRES ET SECONDAIRES
• Les données primaires sont les données collectées sur le terrain, elles
sont spécifiques à un acteur
• Les données secondaires sont des données qui ont déjà été collectées
pour d’autres raisons.
20. DONNÉES PRIMAIRES ET SECONDAIRES
Données primaires Données secondaires
But de la collecte Pour la question
étudiée
Pour d’autres
questions
Process de collecte Très complexe Rapide facile
Coût de collecte Élevé Relativement faible
Durée de collecte Longue Courte
Comparaison des données primaires et secondaires
21. Collecte des données et techniques
• Il existe de nombreuses façons de collecter des données. La
technique de collecte de données que vous sélectionnez peut
produire des informations numériques telles que des données
quantitatives, peut-être plus illustratives, telle que des données
qualitatives, ou peut inclure une combinaison des deux, telle que des
données de méthodes mixtes.
• Déterminer le type de données dont vous aurez besoin pour répondre
à vos questions est une étape importante pour déterminer la
technique que vous utiliserez. Les informations que vous collectez
peuvent provenir de différentes sources.
22. LES PRINCIPALES MÉTHODES DU RECUEIL
D’INFORMATIONS
Les principales méthodes qualitatives
• La pratique d’interviews ou Entrevues
• L’observation
• L’étude de documents
• Groupes de discussion
• Etudes de cas
Les principales méthodes quantitatives
• Le recours à des questionnaires
• L’étude de documents
24. L’INTERVIEW
«Méthode de recueil d’informations qui consiste en des
ENTRETIENS ORAUX,
individuels ou de groupes,
avec plusieurs PERSONNES SELECTIONNEES soigneusement, afin
d’obtenir des informations SUR DES FAITS OU DES
REPRESENTATIONS,
analyse du degré de PERTINENCE, de VALIDITE et de FIABILITE des
informations en regard des objectifs du recueil d’informations.
25. LA MÉTHODE DU QQOQCP
Qui?
Qui?
Quoi?Quoi?
Où?Où?
Quand?Quand?
pourquoi ?pourquoi ?
Comment?Comment?
26. QQOQCP
Question Sous-questions Exemples
Q Qui ? De qui, Avec qui, Pour qui... Responsable, acteur,
sujet, cible...
Q Quoi ? Quoi, Avec quoi, en relation avec
quoi...
Outil, objet, résultat,
objectif...
O Où ? Où, par où, vers où... Lieu, service...
Q Quand ? tous les quand, à partir de quand,
jusqu'à quand...
Dates, périodicité,
durée...
C Comment ? de quelle façon, dans quelles
conditions, par quel procédé...
Procédure, technique,
action, moyens
matériel...
P Pourquoi ? Cause, facteur déclenchant,
motif, objectif, finalité...
Justification, raison
d'être, croyance...
27. LES DIFFÉRENTS TYPES D’INTERVIEWS
• L’interview libre : où l’enquêteur s’abstient de poser des questions visant à
réorienter l’entretien.
• L’interview dirigée : la personne interviewée répond à des questions
préparées et planifiées dans un ordre déterminé.
• L’interview semi-dirigée où l’interviewer prévoit quelques questions à
poser en guise de point de repère.
29. AVANTAGES
• un plus haut pourcentage de réponses peut être obtenu
• tout type de population peut être atteint
• on est mieux informé sur les caractéristiques de ceux qui ne répondent pas
• les réponses sont spontanées
• les réponses sont définitives
• les réponses sont surtout plus riches, plus nuancées
30. AVANTAGES
• Permet d’explorer
• le ressenti,
• les sentiments,
• les impressions,
• les opinions,
• les attitudes
• Possibilités d’aborder des sujets plus délicats et personnels
• enquête plus divertissante et donc mieux acceptée
31. INCONVÉNIENTS
• L’apprentissage est indispensable pour bien manipuler la
technique de l’entretien semi-directif.
• C’est un outil qui demande du temps (temps d’entretien, temps
de dépouillement, temps d’analyse)
• Méthode très coûteuse
• Réactivité maximale
• L’enregistrement papier des réponses peut être difficile
• L’attitude de l’interviewer peut affecter la validité des réponses
33. L’OBSERVATION
Sens premier
• Observer est un processus
• incluant l’attention volontaire et l’intelligence,
• orienté par un objectif terminal ou organisateur
• dirigé sur un objet pour en recueillir des informations
• Ce n’est pas un mécanisme simple d’impression par reproduction comme celui
de la photographie
• Observer quelqu'un c’est jeter un regard sur lui, c’est le prendre comme objet
34. AVANTAGES DE L’OBSERVATION
• permettent d’appréhender une réalité vécue,
• plutôt que d’en obtenir un écho pouvant être déformé au travers des
représentations.
35. INCONVÉNIENTS DE L’OBSERVATION
• Les événements sont non répétitifs
• Les limites sont aussi d’ordre géographique
• les personnes observées ont tendance à modifier leur comportement
36. INTERVIEW ET OBSERVATION
• objet principal de l’observation: des comportements observables
• L’observation se situe dans le présent
• L’interview permet d’une part des retours en arrière et d’autres
part des projections dans le futur
• L’interview a pour objet principal le discours du sujet
• Acte de communication
• Observation un acte à sens unique sauf dans le cas de
l’observation participante ou l’observateur est un acteur
38. LE QUESTIONNAIRE
• Deux sens différents:
• Le questionnaire de contrôle de connaissance
• Caractérisé par une activité demandée à l’élève ou à l’étudiant un
contenu sur lequel s’exerce l’activité
• Le questionnaire d’enquête
• Enquête = étude d’un thème précis auprès d’une population dont
on détermine un échantillon afin de préciser certains paramètres
39. LE QUESTIONNAIRE D’ENQUÊTE
• Deux types de problèmes sont susceptibles de relever d’une
enquête:
• Problèmes précis posés à l’échelle d’une population
entièrement déterminée
• étude de marché, analyse des besoins en formation dans une grande
entreprise etc.)
• Problèmes complexes mettant en jeu un grand nombre de
facteurs
• Enquête sur les facteurs favorisant l’apparition d’une maladie
• Enquête sur l’adaptation des élèves dans un cycle d’études en
fonction d’antécédents familiaux et scolaires etc.
40. AVANTAGES DU
QUESTIONNAIRE
• outil facile à manipuler
• un public nombreux peut être touché
• la technique est rapide
• elle permet d’atteindre des personnes fort éloignées
• le coût apparent est inférieur à celui de l’interview
• l’enquête reste plus anonyme
• il n’y a pas de biais introduit par la présence de l’enquêteur
• les réponses peuvent être réfléchies
• les répondants peuvent choisir de répondre quand cela leur convient le mieux, ce qui peut faciliter leur
participation
41. INCONVÉNIENTS DU QUESTIONNAIRE
• peut apparaître comme un outil d’élaboration facile mais il
requiert une certaine compétence basée sur une technique sûre
• Il prive le chercheur de beaucoup d’observations accessibles lors
d’un contact direct
• Certains thèmes sont difficilement abordables dans un
questionnaire
• Difficulté liée au taux et au contrôle des non-réponses
42. COMMENT ÉLABORER LE QUESTIONNAIRE ?
Se poser les bonnes questions
•Qu’est-ce que je cherche ?
•Chacune des questions est-elle strictement nécessaire ?
•Une seule question suffira-t-elle pour obtenir cette
information?
•La personne interrogée sera-t-elle en mesure de répondre?
•La personne interrogée voudra-t-elle fournir l'information
exacte?
43. COMMENT ÉLABORER LE QUESTIONNAIRE ?
• Distinguer les catégories d’information recherchées : faits,
connaissances, opinions, attitudes ou comportements, convictions,
motivations, ...
• Pertinence et utilité des questions
• Motiver et faciliter la tâche de l’enquêté avant de simplifier celle du
chargé d’études
• Souci d’objectivité (neutralité)
• Tenir compte du mode de consultation utilisé (par enquêteur,
enquête postale, par téléphone, ...)
• Penser aux étapes ultérieures : dépouillement, codification, saisie,
vérifications, traitements, ...
44. DIFFICULTÉS LIÉS À L’EMPLOI D’UN
QUESTIONNAIRE
• Comme toute méthode de recueil d’informations, plusieurs difficultés
sont liées à l’emploi d’un questionnaire
• Avoir une connaissance préalable du contexte de l’évaluation et des
enjeux du programme pour les bénéficiaires.
• Bien cerner l’objectif de recherche et le type d’informations à recueillir
• Avoir tous les éléments pour couvrir le champ de l’enquête.
• S’assurer que les questions ont un sens et que tous les aspects de la
question ont un sens
45. PROCESSUS DE CONCEPTION DU
QUESTIONNAIRE
• Le processus de conception du questionnaire commence par la formulation
des objectifs de l’enquête et des besoins d’information avec les étapes
suivantes :
• consultation avec les utilisateurs des données et les répondants,
• examen des questionnaires précédents,
• version provisoire du questionnaire,
• examen et révision du questionnaire,
• mise à l’essai et révision du questionnaire,
• touche finale apportée au questionnaire.
46. POUR ÉTABLIR UN BON QUESTIONNAIRE,
• il faut être attentif à 3 aspects :
• Le fond :
• Quel est l’objectif de l’enquête ?
• Quelles sont les informations à saisir ?
• La forme :
• Eveiller l’intérêt.
• Formuler des questions simples.
• La présentation : elle doit faire ressortir :
• Les objectifs de l’enquête en une phrase introductive
• Les différents thèmes dans des zones visuellement délimitées
47. LES RÈGLES DE RÉDACTION D’UN
QUESTIONNAIRE
• une introduction qui présente rapidement l’objet de l’enquête et
vous-même
• Les questions doivent être claires, courtes et précises
• En fin de questionnaire, pensez à remercier la personne qui vous a
consacré du temps pour vous répondre.
48. Les différents types de questions
• Question ouverte
• Question fermée à choix multiples:
• Question fermée à réponse unique
• Question fermée à classement
50. QUESTIONS OUVERTES
• Les questions ouvertes ne donnent pas les catégories de réponse
au répondant,
• Le répondant donne une réponse à la question dans ses propres
mots par écrit dans le cas d’un questionnaire.
• Une question ouverte permet au répondant d’exprimer une réponse
sans l’influence des catégories de réponse inscrites sous une
question fermée.
51. QUESTIONS FERMÉES
• Dans le cas d’une question fermée, le répondant choisit
simplement la catégorie de réponse appropriée au lieu de
formuler une réponse et de l’inscrire dans ses propres mots.
• Question fermée à réponses multiples:
• Plusieurs réponses sont proposées, il est possible d'en
retenir autant que l'on désire.
• Le choix est plus vaste. Analyse des résultats est assez
facile.
52. QUESTIONS FERMÉES À RÉPONSES MULTIPLES
• Exemple de question fermée:
Quel moyen de transport avez-vous utilisé hier?
• Voiture
• Vélo
• Autobus
• Train
• Autre
53. QUESTIONS FERMÉES
• Question fermée à réponse unique:
• Au moins deux réponses sont proposées et une seule réponse est
possible.
• Ce genre de question est bref et précis. L'exploitation des résultats est
alors rapide et facile.
• Inconvénient:
• les réponses sont canalisées et restreintes.
54. QUESTIONS FERMÉES
• Question fermée à classement:
• Il faut classer les réponses proposées (ne pas exagérer le
nombre de propositions) suivant un ordre préférentiel.
• La question doit être claire et bien présentée.
• Les résultats sont faciles à dépouiller mais leur interprétation
peut parfois être difficile.
55. EXEMPLE QUESTIONS À CLASSEMENT
• Exemple:
Comment vous déplacez-vous le plus souvent ?
(Classez de 1 à 6) 1=jamais….. 6=très souvent
• A pieds ( )
• En voiture (…)
• En vélo (…)
• En deux roues à moteur (…)
• En bus (…)
• En train (…)
56. LA FORMULATION DES QUESTIONS
• La forme interrogative directe:
Que pensez-vous de… Combien de …
• La forme indirecte:
Nommez… Citez… Classez ….
• La forme affirmative:
Vous avez obtenu le baccalauréat en _ _ _ _
Vous êtes demandeur d’emploi oui , non
57. les questions interro - négatives:
Ne pensez-vous pas que…..?
les questions qui induisent les réponses:
Pensez-vous que les enfants doivent se coucher de bonne
heure ?
les questions qui risquent d’entraîner des réactions de rejet
ou de gêne:
Lors des élections présidentielles, pour quel candidat allez-
vous voter ?
CE QUI EST À ÉVITER
58. les questions qui risquent d’entraîner des réactions de
conformisme:
Le problème de l’insécurité est-il un phénomène important
aujourd’hui ?
les choix trop limités dans les questions à choix multiples
(Ajouter: Sans opinion et Autres choix ? Lesquels ?)
CE QUI EST À ÉVITER
60. Confidentialite et ethique des
entrevues
• Vie privée
Les personnes ont droit à la protection de leur vie privée en ce qui a trait à leur
corps, à leurs renseignements personnels, aux pensées et opinions qu’elles
expriment, à leurs communications personnelles et aux lieux qu’elles occupent.
Elles ont le droit de ne pas subir d’ingérence ou d’interférence de la part
d’autrui.
• Confidentialité
En tant que chercheur, vous avez l’obligation éthique de préserver la
confidentialité de tout ce que vous confient les participants. Vous ne
pouvez divulguer cette information d’une manière qui permettrait d’identifier les
participants et devez protéger ces renseignements contre l’accès, l’utilisation, la
divulgation et la modification non autorisés ainsi que contre la perte et le vol. Il
est essentiel de vous acquitter de ce devoir éthique pour maintenir le lien de
confiance entre vous et le participant et préserver l’intégrité du projet de
recherche.
62. DÉFINITION DE DOCUMENTS
• Document = toute trace, déjà existante, de l’activité humaine, qu’elle
soit sonore, visuelle ou informatique.
63. L’ÉTUDE DE DOCUMENTS
• Méthodes d’analyse rigoureuse des documents (analyse de contenu, analyse
structurale)
• peut recouvrir diverses formes qui dépendront de plusieurs éléments :
• de la nature des documents à analyse
• de la quantité des documents à analyser
• du but et de l’objet de l’investigation
64. L’ÉTUDE DE DOCUMENTS
• analyse quantitative : on va réduire le matériel à quelques catégories pour
produire des analyses de fréquence, etc.
• analyse qualitative : on interprète le matériel en décrivant les particularité de
quelques catégories analytiques
• Complémentarité des deux approches
65. CARACTÉRISATION ET CLASSEMENT DES
MÉTHODES
Interview Observation Questionnaire Étude de
documents
Accès très limité
dans l’espace
Concentration
de l’information
dans le présent,
ou
rétrospectiveme
nt dans le passé
Accès
relativement
limité dans
l’espace
Concentration
de
l’information
dans le présent
Accès relativement
large dans l’espace
Concentration de
l’information dans
le présent ou
rétrospectivement
dans le passé
proche
Accès très large
dans l’espace
Étalement de
l’information
dans le temps
68. CONSTRUIRE L’ÉCHANTILLON
• Le choix de la méthode est liée à la définition de la population
qui constituera le public-cible. Cette définition dépend :
• de l’objet de l’enquête,
• des hypothèses de travail choisies,
• de la nature des documents disponibles,
• des contraintes de l’évaluation,
• du degré d’homogénéité de la population,
• de l’étendue du territoire de l’enquête
69. POPULATION D’ÉTUDE
• La Population regroupe tous les individus (personnes)
susceptibles d’être enquêtés. Une population est
• localisée, datée et caractérisée.
• Elle a une taille « N » c'est-à-dire qu’elle regroupe « N »
individus appelés unités statistiques..
• Une enquête peut être menée au sein de la population dans
son ensemble.
• Le mot enquête ne doit pas être associée à celle
d’échantillon
77
70. POPULATION CIBLE ET POPULATION
D’ENQUÊTE
• population cible = la population dont on veut obtenir de l’information
71. POPULATION D’ÉTUDE
• Dans le cas d’enquête on emploie le terme de population mère
ou population totale.
• L’idéal pour une enquête statistique serait d’interroger
l’ensemble de la population. Une telle démarche, qualifiée
d’exhaustive est parfois impossible compte tenu:
• de la taille trop importante de la population,
• des moyens financiers
• du temps disponibles pour collecter l’information ou tout
simplement parce que c’est techniquement impossible.
79
72. DÉFINITION DE L’ÉCHANTILLONNAGE
• L’échantillonnage est un moyen de sélectionner un sous-ensemble d’unités dans
une population aux fins de la collecte de l’information sur ces unités pour
formuler des inférences sur l’ensemble de la population.
74. ECHANTILLON REPRÉSENTATIF
• L’échantillon,
• représente une fraction de la population totale,
• a une taille « n »,
• a une vocation : être représentatif de la population totale.
• sans représentativité, les conclusions obtenues à partir de
l’échantillon ne peuvent pas être extrapolées à la population
totale.
82
75. ECHANTILLON REPRÉSENTATIF (suite)
• Constituer un échantillon représentatif c’est faire en sorte
que les composantes essentielles de sa population de
référence figurent dans l’échantillon, dans des proportions
identiques.
• on qualifie de représentatif un échantillon, à partir du
moment où il reflète le plus exactement possible sa
population de référence, tant dans sa diversité que dans ses
proportions.
83
76. DIFFÉRENTES FORMES DE CONSTRUCTION
• Deux méthodes pour constituer un échantillon.
• Méthode probabiliste : sélection de l'échantillon par tirage aléatoire dans la
population-mère.
• Chaque individu statistique doit avoir exactement la même chance que les autres de participer à
l'enquête.
• Méthode non-probabiliste : identifier dans la population-mère, quelques critères de
répartition significatifs
• essayer de respecter cette répartition dans l'échantillon d'individus interrogés.
78. ÉCHANTILLON ALÉATOIRE
• Les échantillons aléatoires permettent des calculs de
probabilité tandis que les échantillons non aléatoires ne
le permettent pas.
• Un échantillon est aléatoire quant c’est le hasard qui
choisit
• Un échantillon aléatoire permet de transposer les
résultats (de généraliser) à la population totale
• Principe de l’inférence statistique
86
79. ECHANTILLON ALÉATOIRE
• Un sondage est dit aléatoire ou probabiliste si chaque
individu de la population a la même probabilité
d’appartenir à l’échantillon
• Le taux de sondage est de
N
p
1
=
N
n
=
Exemple : on veux tirer un échantillon de 30 personnes au hasard dans
une salle de 90 étudiants (N=90)
Chaque étudiant à une probabilité en théorie de 1/90 d’être tiré au sort
le taux de sondage est 30/90 soit 33%
87
80. BASE DE SONDAGE
• Une base de sondage est une liste papier ou fichier
informatique de personnes ou plus généralement d’adresses
ou de coordonnées (téléphone, e.mails, …).
• Il est souvent difficile de disposer d’une base de sondage
actualisée.
• Une base de sondage non actualisée conduira à une
proportion de non réponses importante du fait des
déménagements (changement d’adresse postale), des
décès, de changements de coordonnées (téléphonique,
emails).
• Les non réponses doivent faire l’objet de la plus grande
attention
88
81. ECHANTILLONNAGE ALÉATOIRE SIMPLE
• Principe
• Chaque membre d'une population a une chance égale d'être inclus à
l'intérieur de l'échantillon.
• Chaque combinaison de membres de la population a aussi une chance égale
de composer l'échantillon.
• Mode d'administration
• Dresser une liste de toutes les unités incluses dans la population observée
pour sélectionner un échantillon aléatoire simple.
• Un échantillonnage aléatoire simple peut s'effectuer avec ou sans remise.
82. AVANTAGE ET INCONVÉNIENT DE
L’ÉCHANTILLONNAGE ALÉATOIRE SIMPLE
• Lorsque l’on dispose d’une base de sondage,
• Avantages : facile à mettre en œuvre.
• Inconvénients : La non-représentativité, le coût.
83. ECHANTILLONNAGE SYSTÉMATIQUE
• Principe
• Il existe un écart entre chaque unité sélectionnée qui est
incluse dans l'échantillon.
• Mode d'administration
• 1. Numéroter de 1 à N les unités incluses dans votre base de
sondage (où N est la taille de la population totale).
• 2. Déterminer l'intervalle d'échantillonnage ou pas de
sondage (K) en divisant la population N par la taille n de
l'échantillon que vous désirez obtenir.
• 3. Sélectionner au hasard un nombre entre 1 et K. Ce nombre
s'appelle l'origine choisie au hasard.
• 4. Sélectionner chaque Kème
unité après ce premier nombre.
84. ECHANTILLONNAGE STRATIÉ
• Principe
• Découper la population en sous ensembles appelés strates et
réaliser un sondage dans chacune d'elles.
• Mode d'administration
• 1. On divise la population en groupes homogènes (appelés
strates), qui sont mutuellement exclusifs (selon l'âge, le sexe,
la province de résidence, le revenu, etc.)
• 2. On sélectionne à partir de chaque strate des échantillons
indépendants. On peut utiliser n'importe quelle des méthodes
d'échantillonnage
• 3. La méthode d'échantillonnage peut varier d'une strate à
une autre.
85. AVANTAGE ET INCONVÉNIENTS DE
L’ÉCHANTILLONNAGE STRATIFIÉ
• Avantages :
• La probabilité d'être sélectionnée = celle d'un EAS.
• Echantillon plus représentatif.
• Inconvénients : Le coût élevé.
86. ECHANTILLONNAGE EN GRAPPES
• Principe
• Limiter les zones géographiques qui font l'objet de
l'enquête
• Mode d'administration
• Si la population est répartie sur M grappes (usines,
établissements d'enseignement, subdivisions électorales) :
• 1 : choisir un échantillon de m grappes.
• 2 : réaliser une enquête dans chacune des m grappes :
• soit auprès de tous les éléments (dits aussi unités secondaires) :
sondage par grappes.
• soit en désignant des échantillons d'unités secondaires : sondage à
deux degrés.
87. AVANTAGE ET INCONVÉNIENTS DE
L’ÉCHANTILLONNAGE PAR GRAPPE
• Avantages : le coût peut être réduit
• Inconvénients : Effet de grappe (variance intra faible)
dû à l'existence de similarité entre individus d'une
même grappe.
88. MÉTHODES D'ÉCHANTILLONNAGE
EMPIRIQUES
• La méthode d'échantillonnage non-probabiliste est utilisée
lorsqu'il n'est pas possible de constituer une liste exhaustive de
toutes les unités du sondage.
• Dans le cas de l'échantillonnage probabiliste, chaque unité a une
chance d'être sélectionnée. Ce n'est plus vrai dans le cas de
l'échantillonnage non-probabiliste.
• Règle: l'échantillon retenu doit avoir la même composition que la
population mère par rapport à une ou plusieurs caractéristiques.
89. LES MÉTHODES D’ÉCHANTILLONNAGE
EMPIRIQUES
• La constitution de l’échantillon repose sur une procédure
élaborée par le chercheur
• la probabilité de sélection de chaque unité n’est pas
connue à l’avance.
• Ex. : enquête dans la rue, dans une galerie marchande,
etc.
97
90. L’ÉCHANTILLON DE JUGEMENT (À PRIORI)
• souci de représentativité en ce sens que l’on cherche à
inclure dans l’échantillon des personnes dont on pense
qu’elles détiennent l’information recherchée.
• Interdiction de généraliser ces résultats à la population
totale.
98
91. L’ÉCHANTILLON EN BOULE DE NEIGE
• Travail sur des petites populations, rares, où il est difficile de repérer les
personnes.
• Difficulté :
• Trouver au moins une personne (expert),
• Lui soumettre l’enquête et lui demander qu’elle nous mette en relation
avec quelqu’un qui fait le même métier.
• Demander aux individus interrogés de construire eux-mêmes leur
échantillon.
99
92. L’ÉCHANTILLON PAR QUOTAS
• Faire en sorte que l’échantillon reproduise fidèlement les
informations statistiques.
• Disposer d’informations statistiques sur la population à étudier
• Ex. : caractéristiques sociodémographiques.
• Dans les quotas, il suffit de respecter une proportion (ex. : 60 %
H, 40 % F) et on peut prendre n’importe qui dans la rue,
100
93. LA MÉTHODE DES ITINÉRAIRES
• On impose à l'enquêteur :
• Un point de départ dans une commune.
• Un itinéraire à suivre avec tirage systématique des logements dans lesquels
effectuer les interviews
• Objectif: simuler un tirage aléatoire des enquêtés, sans donner explicitement des
noms et adresses à l'enquêteur.
94. Calcul de la taille de l'échantillon de
base
• Trois facteurs déterminent essentiellement la taille de
l'échantillon pour une enquête faite dans la population:
• la prévalence estimative de la variable étudiée – malnutrition chronique
par exemple,
• le niveau de confiance visé
• la marge d'erreur acceptable.
• Pour un modèle d'enquête fondé sur un échantillon aléatoire
simple, on peut calculer la taille d'échantillon requise en
appliquant la formule suivante.
95. CALCUL DE LA TAILLE DE L'ÉCHANTILLON
DE BASE: FORMULE
2
2
e
)p1(pt
n
−×
=
n=taille d’échantillon requise
t= est une constante issue de la loi normale selon un certain seuil de
confiance (en général 95% et t=1,96)
P= est le pourcentage de gens qui présentent le caractère observé,
Lorsque cette proportion est ignorée, une pré-étude peut être
réalisée ou sinon p = 0,5 sera retenue.
e = la marge d'erreur d'échantillonnage choisie
Dans le cas de l'estimation d'une proportion, la formule de calcul
est la suivante
97. MARGE D’ERREUR
• Attention: ne pas confondre la marge d’erreur avec la
probabilité que l’intervalle de confiance exclue la vraie
proportion.
• il s’agit de la marge sur la PROPORTION.
• Exemple:
• Si e=2 % alors sur une proportion de 0,3, on détermine alors n
pour une proportion variant entre 0,28 et 0,32.
98. TABLEAU: NIVEAU DE CONFIANCE ET
COEFFICIENTS DE MARGE « t»
Taux de confiance « s » les plus utilisés et les Coefficients de
marge « t »
Taux de
confiance « s »
Coefficient de
marge « t »
« t2
»
80% 1.28 1.6384
85% 1.44 2.0736
90% 1.645 2.6896
95% 1.96 3.8416
96% 2.05 4.2025
98% 2.33 5.4280
99% 2.575 6.6049
99. TAILLE DE L’ÉCHANTILLON DANS LE CAS DE
L'ESTIMATION D'UNE PROPORTION
P q=1-p Marge d’erreur « e »
0.01 0.02 0.03 0.04 0.05 0.0
6
0.0
7
0.0
8
0.09 0.1
0.1 0.9 3457 864 384 216 138 96 71 54 43 35
0.2 0.8 6147 1537 683 384 246 171 125 96 76 61
0.3 0.7 8067 2017 896 504 323 224 165 126 100 81
0.4 0.6 9220 2305 1024 576 369 256 188 144 114 92
0.5 0.5 9604 2401 1067 600 384 267 196 150 119 96
Tableau : TAILLE « n » DES ECHANTILLONS pour un Niveau de
confiance s = 95%, donc t = 1.96
100. TAILLE DE L’ÉCHANTILLON DANS LE CAS DE
L'ESTIMATION D'UNE PROPORTION
Tableau : TAILLE « n » DES ECHANTILLONS pour un Niveau de
confiance
s = 99%, donc t = 2.57
p q=1-
p
Marge d’erreur « e »
0.01 0.02 0.03 0.04 0.0
5
0.06 0.07 0.0
8
0.0
9
0.1
0.1 0.9 5944 1486 660 372 238 165 121 93 73 59
0.2 0.8 10568 2642 1174 660 423 294 216 16
5
130 106
0.3 0.7 13870 3468 1541 867 555 385 283 21
7
171 139
0.4 0.6 15852 3963 1761 991 634 440 324 24
8
196 159
0.5 0.5 16512 4128 1835 1’032 660 459 337 25
8
204 165
101. CALCUL DE LA TAILLE DE L’ÉCHANTILLON À
PARTIR DE LA MOYENNE
• A partir d'une moyenne, il nous faut une première estimation de
l'écart type afin de pouvoir ajuster l'échantillon en fonction de la
précision des résultats qu'il procure et du niveau d'analyse
attendu :
• n = taille de l'échantillon attendu.
t = niveau de confiance déduit du taux de confiance
(traditionnellement 1,96 pour un taux de confiance de 95%) - loi
normale centrée réduite.
S= écart type estimé de la moyenne du critère étudié.
e = marge d'erreur.
2
22
e
st
n =
102. TAUX DE RÉPONSE À L’ENQUÊTE
• Parmi les personnes éligibles, certaines ne pourront pas être
rejointes pour diverses raisons:
• Dans le cas des sondages auprès des ménages, on classe
habituellement les non-réponses de la façon suivante:
• refus du ménage:
• refus de la personne
• pas de réponse
• absence prolongée
• incomplet
103. TAUX DE RÉPONSE À L’ENQUÊTE
• Pour atteindre la précision voulue pour les estimations de l’enquête, nous
devons ajuster la taille de l’échantillon pour le taux de réponse prévu.
• nous devons sélectionner à cette fin un large échantillon, compte tenu d’un taux
de réponse prévu et estimé à partir d’enquêtes semblables ou d’une enquête
pilote dans la même population.
• Taille de l’échantillon d’enquête : n’=n/taux de réponse
104. L'ÉCHANTILLON THÉORIQUE,
L'ÉCHANTILLON DE DÉPART
• L'échantillon de départ nécessaire se calcule en prenant
l'échantillon théorique (c'est-à-dire la taille d'échantillon que
l'on vise à obtenir lorsque l'enquête sera terminée) que l'on
multiplie par l'inverse des taux de validité, d'éligibilité et de
réponse estimés
validitééligilitéréponse
théoriquedépart
tx
1
tx
1
tx
1
nn ×××=
Remarque: taux d’éligibilité = 95% (généralement)
105. LA NOTION DE PRÉCISION
• La notion de précision (ou fiabilité d'échantillonnage) est
matérialisée par un seuil de confiance et une marge d'erreur
• Dans le cas de l'estimation d'une proportion :
• Un échantillon défini à un seuil de confiance de 95% et avec une
marge d'erreur de e = 3% vous permettra d'extrapoler chaque
résultat issu de votre enquête, avec 5% de risques de vous tromper
de + ou - 3%.
106. GÉNÉRALISATION AUX MÉTHODES
NON-PROBABILISTES :
• En théorie, les méthodes de calcul scientifique de la taille d'échantillon ne
s'applique que sur les échantillons obtenus par la méthode probabiliste.
• En pratique, ces méthodes de calcul sont quand même utilisées.
107. REMARQUE
• Plus l’échantillon est important, plus la généralisation sera fiable.
• Mais, les gains de fiabilité ne sont pas proportionnels à l'augmentation de
la taille de l'échantillon
108. FACTEUR DE CORRECTION
• Lorsque la taille de la population-mère est tel le taux de sondage
est n/N ≥ 1/7, (soit 14.3%) alors. il faut utiliser, pour déterminer la
taille de l'échantillon, un élément appelé «facteur de correction» :
• Dans le cas d'une proportion :
• n’ est la taille requise
• n étant la taille de l’échantillon trouvée
• N représente la population mère.
nN
Nn
N
n
1
n
'n
+
×
=
+
=
109. Pourquoi un échantillon?
• Pourquoi un échantillon ?
• La population cible est généralement trop nombreuse et pour des raisons
de coûts, de délais, il est pratiquement impossible d'étudier tous les
individus d'une population
• Quelle taille d'échantillon ?
• En général, on utilise la formule:
pour trouver la taille nécessaire (pour que la marge d'erreur dans
l'estimation de la proportion soit inférieur à 5 % et ce, pour un
seuil de confiance de 95%).
N
385
1
385
'n
+
=
Notes de l'éditeur
Set rules and remind participants of parking lot :
Mettez la telephone en silience
Nous sommes limités par le temps et apprécierions la brièveté et la concentration
Ecouter attentivement
Respecter l'opinion d’autrui
Participer activement aux discussions
Designate post-its for expectations, contributions and fears and