2. I) Introduction
• Définition
– Écoulement vulvaire non sanglant.
• C’est l’expression de l’infection génitale basse
• Les IST dominent les étiologies
• Maltraitée peuvent évoluer vers une infection
génitale haute.
6. C) Moyens de défense naturelle
• Acidité vaginale
• Immunoglobulines A
• Glaire cervicale
• Phagocytes
• Lysozymes
7. III) Leucorrhées physiologiques
• Pas après un rapport
• Pas d’odeur
• Pas de signes associées
• Disparaissent spontanément
• Retrouvées avant l’ovulation ou avant les règles
8. IV) Leucorrhées pathologiques
• Apparaissent souvent après un rapport sexuel
• Associées à un cortège de signes cliniques
• Disparaissent sous traitement
• Signes cliniques chez le ou les partenaires
10. A) Facteurs épidémiologiques
• Pathologie fréquente
• Existe chez la jeune fille
• Ce n’est pas une IST
• Facteurs de risque :
– PH acide
– Diabète
– Immunodépression
– Pilule.
12. C) Moyens du diagnostic
• Clinique +++
• Biologique :
• Examen direct levures bourgeonnants et des
filaments mycéliens
• Culture : milieu de Sabouraud
• Plaque API
• Anti-fongigramme
13.
14. D) Traitement
• Hygiène de vie +++
• Toilette vaginale pas acide (PH alcalin)
• Antifongiques locaux
• Antifongiques par voie générale.
26. VIII) Autres Leucorrhées
• Leucorrhées à gardnerella
– Leucorrhées grisâtres test à la potasse
• Leucorrhées de la femme âgée :
– Éliminer un cancer +++
• Leucorrhées de la petite fille :
– Corps étrangers
– Oxyurose
– Linge de la mère
27. IX) Conclusion
• Étiologies multiples
• Place de la clinique dans le diagnostic
• Traitement d’épreuve
• Risque d’infection génitale haute