Diaporama de l'atelier chirurgie digestive et bariatrique lors de la journée nationale de chirurgie ambulatoire, le 13 janvier 2010 à Issy les Moulineaux. AFCA
Diaporama de l'atelier chirurgie digestive et bariatrique lors de la journée nationale de chirurgie ambulatoire, le 13 janvier 2010 à Issy les Moulineaux. AFCA
Tests de Diagnostic Rapide (TDR) du paludisme sous les tropiques. Parole de junior de la 8ème édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Elisabeth Ravaoarisoa
Cours CUMG ULB sur l'antalgie interventionnelle donné à PIPAIX en mars 2015 Dr M Triffaux neurochirurgien Dr V Brouillard anesthésie au CHwapi Tournai
Evaluation de la douleur / Infiltrations / Radiofréquence / Pompe à morphine / Neurostimulation / Vertébroplastie / Névralgie du trijumeau
Tests de Diagnostic Rapide (TDR) du paludisme sous les tropiques. Parole de junior de la 8ème édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Elisabeth Ravaoarisoa
Cours CUMG ULB sur l'antalgie interventionnelle donné à PIPAIX en mars 2015 Dr M Triffaux neurochirurgien Dr V Brouillard anesthésie au CHwapi Tournai
Evaluation de la douleur / Infiltrations / Radiofréquence / Pompe à morphine / Neurostimulation / Vertébroplastie / Névralgie du trijumeau
Étude de cas : Gestion de conflit avec sa hiérarchieLACT
Slides + Audio extrait d'une table ronde animée par LACT http://www.lact.fr - Tél 09 67 01 21 65
LACT - La Clinique du travail - est un cabinet d'intervention et de formation, spécialisé dans la régulation des troubles individuels ou collectifs et la prévention des risques psychosociaux.
Découvrez notre approche RPS (harcèlement, burn-out, stress - consultations au cabinet et par téléphone).
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Nurse Burnout Acute Care Capstone PresentationKatelyn Duncan
Nurse burnout is a phenomenon where the cumulative effects of a stressful work environment gradually overwhelm nurses, forcing them to withdraw psychologically. It can occur in any nursing setting and is a real problem. Common causes include heavy workloads, long shifts, overtime, lack of support, and high patient needs. Signs are emotional exhaustion, depersonalization, and decreased personal accomplishment. Interventions to prevent burnout include empowerment, social support, reduced hours and overtime, relaxation techniques, and cognitive strategies. While some stress can improve performance, excessive pressure becomes harmful.
This document provides information on individual stress management and preventing burnout. It recommends finding ways to release stress through refocusing negative thoughts, physical activity, eating healthy, and relaxation techniques. It also suggests reaching out to nurture yourself and others. The document then discusses job depression and burnout, identifying stressors, developing a support system, and creating an action plan to address stress and prevent burnout through self-care.
La notion de conflit relationnel : comment et pourquoi il se déclare, comment le réguler, quelle position adopter pour une démarche relationnelle basée sur la bienveillance et la recherche du compromis acceptable par les deux parties.
Gestion des conflits par la Méthode Thomas-KilmannAdama COULIBALY
Le conflit est un affrontement entre des intérêts, des valeurs, des actes ou des procédures. C’est un désaccord, une idée s’opposant à une autre. Il peut y avoir un désaccord sans qu’il y ait de conflit.
Chaque jour nous faisons face à des conflits, au travail, en famille et en communauté. Nous devons être outillés pour gérer ces conflits.
Cette présentation est basée sur la méthode Thomas-Kilmann en situation de conflits qui offre des tactiques et pratiques de traiter les conflits de façon efficace.
Je vous remercie.
This document discusses nurses burnout and its implications for nursing leadership. It begins with an introduction to burnout syndrome among nurses, explaining that burnout is a significant issue due to nursing shortages. It then covers the causes of burnout including workplace factors. The theoretical frameworks of structural empowerment theory and the dualistic model of passion are discussed. The stages and impacts of burnout are outlined, including effects on nurses, patients, and management. Recommendations are provided for addressing burnout through lifestyle modifications, structural empowerment in organizational culture, and improving staffing and work hours. Measurement tools like the Maslach Burnout Inventory are also discussed.
Burnout is a psychological syndrome involving prolonged stress that can occur in health care professionals. It is characterized by emotional exhaustion, depersonalization, and reduced personal accomplishment. Nurses experience higher rates of burnout than other health care workers due to stressful work environments like critical care units. Risk factors include high workload, lack of support, and personal characteristics. Left unchecked, burnout can negatively impact health and job performance. Treatment involves reducing stressors through organizational changes, developing coping strategies, and psychotherapy.
L’objectif principal est de décrire les modalités de prise en charge des patients hypertendus en fonction de leur sexe et de leur niveau de risque cardiovasculaire calculé selon l’HAS 2005 et en particulier l’attitude thérapeutique retenue
au décours de la consultation et le traitement prescrit.
Les opinions exprimées dans ces exposés sont celles des auteurs et ne représentent pas nécessairement les points de vue du gouvernement du Canada. Les exposés sont diffusés dans leur format original, tel que nous les avons reçus des présentateurs.
Les exposés présentés lors de la Conférence en vue d’élaborer un cadre fédéral relatif à la maladie de Lyme sont la propriété de l’auteur, à moins d’indication contraire. Si vous faites référence au travail de l’auteur, vous devez nommer l’auteur et le titre de son exposé, ainsi que le lieu et la date de l’exposé.
Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le secrétariat de la Conférence sur la maladie de Lyme à l’adresse maladie_lyme_disease@phac-aspc.gc.ca
Tous les mois, dans les PIMS (Pédagogie Interactive Médico-Soignante) des urgences Paris Saint Joseph ; on casse des idées reçues en médecine, on rappelle des éléments oubliés voire inconnus.
La science avant les habitudes.
Ce mois ci : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les IPP.
This document summarizes information on new oral anticoagulants (NOACs) as of March 2014. It discusses pharmaceutical companies that produce NOACs, clinical trials comparing NOACs to warfarin for stroke prevention in atrial fibrillation and treatment of venous thromboembolism, and trials examining NOACs for thromboprophylaxis. The document also notes that 24.7-25.9% of patients in the RE-LY trial of dabigatran had oral anticoagulation interrupted for surgery or procedures, with the most common being pacemaker insertion, dental work, diagnostic tests, cataract removal, and colonoscopy.
1. Quoi
de
neuf
en
Anesthésie
en
2013-‐2014
Pr
Dan
BENHAMOU
Département
d’Anesthésie-‐Réanima;on
Hôpitaux
Universitaires
Paris-‐Sud
E-‐mail:
dan.benhamou@bct.aphp.fr
2.
3. • «
Vodka
Mar*ni
mélangé
au
shaker
et
pas
à
la
cuillère
»
• Les
(vrais)
experts
de
ce
breuvage
considèrent
le
choix
de
James
Bond
comme
héré*que
• Revue
de
14
livres
de
James
Bond
• Toutes
les
prises
d‘alcool
sont
notées
et
leur
quan*té
établie
(10
ml
=
8
g
d’alcool)
• Données
enregistrées
par
journée
6. 14
%
des
jours
sans
boire
En
12
missions,
James
Bond
a
bu
l’équivalent
de
130
litres
de
vin
7. • La
quan;té
d’alcool
bue
par
James
Bond
est
en
moyenne
4
fois
plus
importante
que
celle
d’un
adulte
normal.
• Il
est
à
risque
très
élevé
de
maladie
hépa;que
liée
à
l’alcool
• Bien
que
nous
comprenions
la
pression
importante
qui
s’exerce
sur
lui,
lorsqu’il
travaille
avec
des
terroristes
ou
des
joueurs
invétérés,
nous
conseillons
à
Mr
Bond
de
voir
un
alcoologue
et
de
réduire
sa
consomma;on.
• Nous
concluons
que
James
Bond
est
incapable
de
mélanger
sa
Vodka
Mar;ni
à
la
cuiller
en
raison
de
probables
tremblements
liés
à
l’alcool,
expliquant
pourquoi
il
préfère
l’agiter
au
shaker.
Conclusion
8.
9. Meta-‐analysis
of
the
results
of
randomized
controlled
trials
that
compared
laparoscopic
and
open
surgery
for
acute
appendici@s
Ohtani
H
et
al,
J
Gastrointest
Surg
2012;16:1929-‐39
• 39
études
randomisées,
4000
pa;ents
au
total
• La
coelioscopie
• Allonge
la
durée
opératoire
de
13
mn
(p
<
0,05)
(NB:
vrai
aussi
pour
les
années
1990-‐2000:
+
15
mn)
• Réduit
le
recours
aux
antalgiques
(-‐
1
dose)
(p
<
0,05)
• Réduit
le
taux
d’infec@ons
du
site
opératoire
(OR:
0,46)
(p
<
0,05)
• Raccourcit
le
délai
de
reprise
des
boissons
de
5
heures
et
des
solides
de
7
heures
(p
<
0,05)
10. Meta-‐analysis
of
the
results
of
randomized
controlled
trials
that
compared
laparoscopic
and
open
surgery
for
acute
appendici@s
Ohtani
H
et
al,
J
Gastrointest
Surg
2012;16:1929-‐39
• La
coelioscopie
• Raccourcit
le
délai
de
sor;e
de
l’hôpital
de
0,
8
jours
(p
<
0,05)
• Raccourcit
le
délai
de
reprise
des
ac;vités
normales
de
5
jours
(p
<
0,05)
• Raccourcit
le
délai
de
reprise
du
travail
de
3
jours
(p
<
0,05)
• Ne
modifie
pas
les
dépenses
d’hospitalisa;on
• Augmente
les
charges
liées
à
l’interven;on
chirurgicale
11. Meta-‐analysis
of
randomized
trials
on
single-‐incision
laparoscopic
versus
conven@onal
laparoscopic
appendectomy
Antoniou
SA
et
al,
Am
J
Surg
2013
in
press
746
pa@ents,
5
études
randomisées
Single
port
Coelioscopie
classique
Morbidité
30
Jours
(%)
9,6
8,6
(NS)
Abcès
(%)
2,7
1,5
(NS)
Infec;on
de
paroi
(%)
4
4,8
(NS)
Reprise
chirurgicale
(%)
0
0,4
%
(NS)
Conversion
(%)
2,4
0,8
(NS)
Durée
chirurgie
(mn)
46
41
*
Durée
séjour
hôpital
(heures)
49
45
(NS)
Douleur
postopératoire
(EVA,
cm)
3
3,4
(NS)
12.
13. Intraopera@ve
lung-‐protec@ve
ven@la@on
improves
pa@ent
outcome
aQer
abdominal
surgery
The
IMPROVE
randomized
controlled
trial
Fu;er
E
et
al,
NEJM
2013;369:428-‐37.
● 400 patients opérés de
chirurgie abdominale
majeure
● Vt 10-12 ml/kg
● Vt 6-8 ml/kg (poids idéal)
+ PEP 6-8 cmH2O
+ manoeuvres de
recrutement
● Critère d’évaluation
principal composite:
complications pulmonaires
et extraplumonaires
majeures évaluées à J30
postop
14.
15. BIS
et
séda@on
:
propofol,
volontaire
sain
Glass
et
al.
Anesthesiology
1997;
86:836-‐47
10
8
6
4
2
0
5
:
réponse
à
son
nom
4
:
réponse
léthargique
à
son
nom
3
:
réponse
à
son
nom
crié
2
:
répond
si
secoué
doucement
1
:
ne
répond
pas
si
secoué
doucement
0
:
ne
répond
pas
à
la
douleur
100
80
60
40
20
0
Propofol
concentra@on
(µg/ml)
BIS
(0-‐100)
Concentration plasma de propofol (µg/mL)
16. BIS
et
mémorisa@on
les
principales
études
Incidence
de
mémorisa@on
(%)
BIS
Sans
BIS
B-‐Aware
trial
(Myles,
Lancet
2004)
2463
pa;ents
à
risque
0,17
0,91
*
B-‐Unaware
trial
(Avidan,
NEJM,
2008)
2000
pa;ents
à
risque,
monocentrique
0,2
0,7-‐1,3
MAC
0,2
(NS)
BAG-‐RECALL
trial
(Avidan,
NEJM
2011)
6041
pa;ents
à
risque,
mul;centrique
0,24
0,7-‐1,3
MAC
0,07
(NS)
Mashour,
Anesthesiology
2012
21.601
pa;ents
non
sélec;onnés,
mul;centrique,
alerte
si
valeurs
hors
limites
0,12
0,08
17. Critères
majeurs
• Benzodiazépines,
opiacés,
cocaïne
au
long
cours
• ASA
4
ou
5
• FEVG
<
40
%,
RA,
capacité
fonc;onnelle
très
limitée,
chirurgie
cardiaque
• Antécédent
de
mémorisa;on
• Antécédent
d’intuba;on
difficile
• Pathologie
respiratoire
terminale
• Alcoolisme
quo;dien
Critères
mineurs
• Beta-‐bloquants
au
long
cours
• BPCO
• Capacité
fonc;onnelle
réduite
• Tabac
>
2
paquets/jour
• BMI
>
30
Pa@ents
à
haut
risque
de
mémorisa@on
1
critère
majeur
ou
2
critères
mineurs
18. BIS
et
mémorisa@on
les
principales
études
Incidence
de
mémorisa@on
(%)
BIS
Sans
BIS
B-‐Aware
trial
(Myles,
Lancet
2004)
2463
pa;ents
à
risque
0,17
0,91
*
B-‐Unaware
trial
(Avidan,
NEJM,
2008)
2000
pa;ents
à
risque,
monocentrique
0,7-‐1,3
MAC
0,2
0,2
(NS)
BAG-‐RECALL
trial
(Avidan,
NEJM
2011)
6041
pa;ents
à
risque,
mul;centrique
0,7-‐1,3
MAC
0,24
0,07
(NS)
Mashour,
Anesthesiology
2012
21.601
pa;ents
non
sélec;onnés,
mul;centrique,
alerte
si
valeurs
hors
limites
0,12
0,08
(NS)
19. BIS
et
mémorisa@on
-‐
résumé
• L’u;lisa;on
du
BIS
réduit
la
consomma@on
d’agent
anesthésique
d’environ
20-‐30
%
chez
les
pa;ents
à
haut
risque
par
rapport
à
un
anesthésie
standard
• L’u;lisa;on
du
BIS
réduit
le
risque
de
mémorisa@on
par
rapport
à
une
anesthésie
standard
chez
les
pa;ents
à
haut
risque
• L’u;lisa;on
du
BIS
ne
réduit
pas
le
risque
de
mémorisa;on
par
rapport
à
une
anesthésie
monitorant
la
concentra;on
d’halogéné
et
avec
alarmes
«
serrées
»
(pa;ents
à
haut
ou
faible
risque)
20. Pos_rauma@c
stress
disorder
in
aware
pa@ents
from
the
B-‐Aware
trial
Leslie
K
et
al,
Anesth
Analg
2010;110:823-‐8
• 13
pa;ents
avec
mémorisa;on
confirmée
dans
l’étude
B-‐Aware,
chacun
comparé
à
4
pa;ents
«
contrôles
»,
similaires
• Suivi
des
pa;ents
5
ans
après
la
fin
de
l’étude
• Recherche
d’un
PTSD
par
entre;en
standardisé
• 6
pa;ents/13
décédés
dans
l’intervalle
• 5/7
(71%)
pa;ents
avec
mémorisa;on
versus
3/25
contrôles
(12%)
présentaient
un
PTSD
• Survenue
14
jours
après
l’anesthésie,
durée:
4,7
ans
21. BIS,
anesthésie
profonde
et
mortalité?
• BIS
et
anesthésie
profonde
• Rela;on
entre
temps
passé
avec
BIS
<
45
corrélé
avec
la
mortalité
postopératoire
des
1ers
mois
dans
2
études
(dont
l’une
seulement
si
inclusion
des
cancers)
• Etude
B-‐Aware:
mortalité
et
taux
d’infarctus
au
cours
des
4ères
années
supérieure
si
BIS
<
40
pendant
>
5
mn
• Etude
B-‐Unaware:
mortalité
accrue
en
chirurgie
cardiaque
(pas
en
chirurgie
non
cardiaque)
si
BIS
<
45
• Triple
low…
23. BIS,
anesthésie
profonde
et
état
neuropsychologique?
Données
contradictoires
• BIS
et
profondeur
d’anesthésie
sur
cerveau
sain
• Chez
la
souris,
une
concentra;on
d’isoflurane
plus
forte
améliore
la
performance
comportementale
• 2
études
en
chirurgie
non
cardiaque
ont
rapporté
un
meilleur
état
cogni;f
au
cours
des
premiers
jours
postopératoires
si
BIS
entre
30
et
40
• Doses
élevées
de
propofol
associées
à
une
incidence
accrue
de
troubles
neurologiques
après
chirurgie
cardiaque
24. BIS-‐guided
anesthesia
decreases
postopera@ve
delirium
and
cogni@ve
decline
Chan
MTV
et
al,
J
Neurosurg
Anesthesiol
2013;25:33-‐42
• 921
pa;ents
âgés
(≥
60
ans)
sans
antécédent
psychiatrique
ni
d’altéra;on
des
fonc;ons
supérieures
(MMSE
>23),
chirurgie
non
cardiaque
majeure,
étude
randomisée
• Anesthésie
guidée
sur
le
BIS
(40-‐60)
• Anesthésie
de
rou;ne,
sans
BIS
• Tests
neuropsychologiques
à
1
semaine
et
3
mois
après
la
chirurgie
• Delirium
selon
les
critères
du
score
CAM
25. BIS-‐guided
anesthesia
decreases
postopera@ve
delirium
and
cogni@ve
decline
Chan
MTV
et
al,
J
Neurosurg
Anesthesiol
2013;25:33-‐42
Paramètre
comparé
BIS
Sans
BIS
Fentanyl
(µg)
400
411
Propofol
[site
effet]
(µg/mL)
4,5
5,4
*
Halogéné
télé-‐expiratoire
(%
MAC)
0,57
0,93
*
BIS
moyen
perop
53
38
*
Temps
avec
BIS
<
40
(mn)
7
23
*
26. BIS-‐guided
anesthesia
decreases
postopera@ve
delirium
and
cogni@ve
decline
Chan
MTV
et
al,
J
Neurosurg
Anesthesiol
2013;25:33-‐42
Paramètre
comparé
BIS
Sans
BIS
Ouverture
yeux
(mn)
10
15
*
Sor;e
SSPI
(mn)
80
92
*
Complica;ons
postop
(%)
11
21
*
27. BIS-‐guided
anesthesia
decreases
postopera@ve
delirium
and
cogni@ve
decline
Chan
MTV
et
al,
J
Neurosurg
Anesthesiol
2013;25:33-‐42
Pourcentage
de
pa;ents
(%)
*
*
28.
29. Risk
of
major
adverse
cardiac
events
following
noncardiac
surgery
in
pa@ents
with
coronary
Hawn
MT
et
al,
JAMA
2013;310:1462-‐72
• Etude
na;onale
(USA)
rétrospec;ve
des
pa;ents
avec
interven;on
chirurgicale
dans
les
24
mois
suivant
la
pose
de
stents
entre
2000
et
2010
• Critère
de
jugement:
survenue
de
complica;on
cardiaque
majeure
au
cours
des
30
jours
postopératoires
(CCMPO)
(mortalité,
infarctus,
revascularisa;on)
• Parmi
124.844
pa;ents
avec
pose
de
stents,
28.029
(soit
22,5
%)
ont
été
opérés
au
cours
des
24
premiers
mois
30.
31.
32.
33. Associa@on
entre
le
le
traitement
an@plaque_aire
et
le
risque
de
CCMPO
• Aucune
différence
significa;ve
du
taux
de
CCMPO
selon
que
• Traitement
par
0,
1
ou
2
an;plaque|aires
• Traitement
maintenu,
aspirine
arrêtée,
clopidogrel
arrêté,
les
deux
AAP
arrêtés
en
cas
de
bithérapie
• Traitement
maintenu,
aspirine
arrêtée
en
cas
de
monothérapie
par
aspirine
• Traitement
maintenu,
clopidogrel
arrêtée
en
cas
de
monothérapie
par
clopidogrel
• Traitement
arrêté
plus
de
5
jours
ou
non
34.
35. Incidence
and
predictors
of
postdischarge
nausea
and
4
vomi@ng
in
a
7-‐day
popula@on
Odom-‐Forren
J
et
al,
J
Clin
Anesth
2013
in
press
Facteurs
de
risque
de
NVPO
«
tardives
»
(J3-‐J7)
• Antécédent
de
NVPO
(OR:
3,5)
• Durée
opératoire
(OR:
2,2)
• Emploi
d’ondansétron
en
SSPI
(OR:
6,4)
• Douleur
pendant
jours
3-‐7
(OR:
1,7)
36.
37. Capnographie
chez
pa@ent
intubé
Retour
circula;on
spontanée
après
arrêt
cardiaque
Bronchospasme
Fuite
autour
du
ballonnet
Chaux
sodée
épuisée
Hyperthermie
maligne,
convulsion,
bicarbonate,
lâcher
de
garrot
Confirma;on
intuba;on
trachéale
Alarme
débranchement
Surveillance
coelioscopie
40. Capnography
outside
the
opera@ng
rooms
Kodali
BS
Anesthesiology
2013;118:192-‐201
Apnée
Hypoven;la;on
Séda;on
(endoscopies)
Analgésie
morphinique
(PCA)
Acido-‐cétose
Triage
et
trauma:
PetCO2
>
26
mmHg
pendant
20
mn
41. Capnographic
monitoring
of
respiratory
ac@vity
improves
safety
of
seda@on
for
ERCP
and
EUS
Qadeer
MA
et
al,
Gastroenterology
2009;136:1568-‐76
Pourcentage
pa@ents
(%)
Sans
capnographie
Avec
capnographie
Hypoxémies
69
46
*
Hypoxémie
sévère
31
15
*
Hypoxémie
récurrente
malgré
O2
38
18
*
Apnée
62
41
*
42. Time
for
capnography
–
everywhere
Whitaker
DK.
Anaesthesia
2011;66:539-‐49
• Capnographie
u;lisée
en
rou;ne
dans
les
blocs
opératoires
depuis
la
fin
des
années
80
•
Royaume-‐Uni:
environ
64.000
pa;ents
admis
en
réanima;on/an
• Si
DMS
5
jours,
60
%
de
pa;ents
ven;lés:
4.608.000
heures
de
ven;la;on
mécanique
• Si
20
%
des
unités
de
réanima;on
disposent
de
capnographie:3.686.400
heures
de
ven;la;on
sans
monitorage
de
la
capnographie…
• Comparé
aux
6.300.000
heures
d’anesthésie
d’anesthésie
générale
/an
en
France
43. Time
for
capnography
–
everywhere
Whitaker
DK.
Anaesthesia
2011;66:539-‐49
• Plus
de
500
incidents
graves
déclarés
dans
les
réanima;ons
au
RU/an
liés
à
un
problème
de
voies
aériennes
• Dont
88
%
surviennent
dans
la
«
phase
d’entre;en
»
de
la
réanima;on
• 22
%
des
EIG
en
réanima;on
sont
liés
à
une
trachéotomie
(monitorage,
placement
ou
échange)
• Pa;ents
de
réanima;on:
pathologies
graves,
mauvaise
tolérance
à
l’hypoxie:
46
%
des
arrêts
cardiaques
surviennent
en
réanima;on
• Vérifica;on
du
posi;onnement
de
la
sonde
gastrique
• U;lisée
aussi
pour
le
diagnos;c
de
mort
encéphalique