1. CONFÉRENCE HOP
Des idées pour
renouveler sa com
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Animée par Annabelle Bendel, directrice de clientèle
de l’agence Pan !
Avec Nicolas Audeguy, directeur de l’agence
Giboulées
3. Viva
1979 : naissance de vivre à Villeurbanne > 1989 : devient Viva
8 formules
Aujourd’hui
9 numéros/an
85 000 exemplaires distribués dans toutes les boites aux lettres
5. La refonte
Gagner de nouveaux lecteurs sans perdre les anciens
Traduire une nouvelle vision de la gouvernance
Et laisser de la place aux habitants
(et pas seulement en faisant leur portrait…)
17. Genèse du changement ?
Aller vers - faire avec - diversifier - moderniser
Un nouveau mandat autour d’un projet écologique et participatif
Une nouvelle DGS ave@c un rattachement de la Com Interne
Un magazine interne daté, maquette démodée, rubriques à bout de souffle
18. Refonte menée 100% en interne
Enquête auprès des agents
Conçue en comité de rédaction.
Adressée à tous. 170 répondants.
L’ancien magazine est apprécié et lu.
Quelques propositions de rubriques à faire évoluer.
Rédactrice en chef, journaliste, chargée de com interne, graphistes
Pilotage de la direction de la communication
DGS, élu au personnel, chargée de com Interne.
Equipe projet
19. Les questionnements Vs les choix
Nom
Périodicité
Emetteurs
Informations RH
Acteurs devient Commun·E
Bimestriel au lien de mensuel
La municipalité
Intégrées pleinement au chemin de fer avec
renvoi sur intranet
21. Faire avec, notre marque de fabrique
Comité de rédaction collaboratif
Calendrier éditorial de la com interne partagé en amont
Rédaction journalistique
Photos internes. Pas de banque d’image.
Maquette et impression maison
Fabrication interne
Ouvert à tous les agents, délégués ou pas de leur service
Une quinzaine de participants
14 nouveaux collègues depuis la refonte
22. Les leviers d’amélioration et perspectives
Les axes d’évolution
Impression et diffusion plus responsables
Réduire le nombre de relecteurs pour fluidifier la production
Gagner en audace et transparence sur le ton
Renouveler régulièrement le comité de rédaction
24. L’édito : nouveau
courrier des
lecteurs
François Guillôme, rédacteur en chef de le ville
et la métropole de Nantes
CONFÉRENCE HOP
25. Fiche d’identité de votre outil ou dispositif
Le dispositif : une ligne éditoriale sincère et transparente qui s’appuie
sur les attentes des habitants plutôt que sur le calendrier politique.
Sincérité, en donnant la parole « aux vrais gens »
Transparence, en posant des constats sans fard et en donnant en donnant
à voir un panel élargi de solutions et les perspectives d’évolution
Les objectifs :
Présenter l’action politique comme ancrée dans le quotidien des citoyens
Crédibiliser les supports d’information de la collectivité
Positionner la collectivité comme prescriptrice de solutions
26. Comment a été menée l’action ?
Écouter, convaincre et anticiper
Partis-pris stratégiques :
S’appuyer sur les attentes des lecteurs en sollicitant tous les canaux
Penser une refonte éditoriale globale et générer l’adhésion interne
Multiplier les formats éditoriaux dédiées à cette approche
Organisation et moyens :
Planification éditoriale au long cours grâce à un outil en ligne partagé
Formation de la rédaction de 6 personnes au journalisme de solution
Implication de l’équipe réseaux sociaux
31. Les résultats constatés
Ce qui a marché et pourquoi
Adhésion et collaboration politique au projet
Les temps forts du magazine deviennent des temps forts de com’
Des sujets jamais traités auparavant
Des retours spontanés de lecteurs sur la pertinence de nos contenus
32. Les leviers d’amélioration et perspectives
Les axes d’évolution
Mieux angler nos contenus
Mieux suivre les règles du journalisme de solution
Continuer le travail de pédagogie de la sincérité en interne
Continuer à développer de nouveaux formats d’échanges
entre les citoyens et les élus
34. Elisa Bastide, responsable communication
ville de Saint-Genis-Laval
CONFÉRENCE HOP
Saint-Genis Info :
la refonte
36. Consolider des habitudes de lecture tout
en apportant du renouveau, du dynamisme
et de la fraîcheur
Cultiver la proximité et le sentiment
d’appartenance
Pour quels objectifs ?
42. Jouer sur les
codes du
magazine, sans
perdre de vue un
fond informatif de
qualité
44. Une
méthode
qui allie
efficacité
&
créativité
Une collaboration réussie :
La combinaison DBAB et Charlotte Petit :
un travail main dans la main entre deux
agences pour que la forme soit au service
du fond, et inversement
Une équipe projet transversale mobilisée
47. Le magazine de
Meudon : les
habitants à la Une
Isabelle Bérend-Schiltz, directrice de la
communication de la ville de Meudon
48. Un contexte : nouvel exécutif // refonte du magazine
Proximité et participation citoyenne comme marqueurs
Un objectif : crédibiliser le magazine en sortant du discours top-
down
Les origines de l’action
49. Comment a été menée l’action ?
Un nouveau cahier des charges technique
pour donner une image plus sobre, moderne et responsable au magazine
Papier recyclé
Format plus compact (20 x 27)
Façonnage collé-rogné (pas d’agrafes)
Coût d’impression réduit de 40%
50. Une étude de lectorat réalisée en interne (questionnaire et focus groupes)
50% d’actualités et d’infos pratiques de proximité
• La vie à Meudon, les évènements et les gens
• Plus de Meudonnais mis en avant, impliquer les habitants
50% d’actions municipales
• La politique locale
• Les démarches, aides
• Les travaux
51. Incarner la ville et humaniser
l’action municipale
Les habitants à la Une
En 4 ans, 138 habitants (un mouton et
une poule) ont eu les honneurs de
Chloroville
Chaque mois un casting, un shooting
par un photographe professionnel
53. Bonnes pratiques
Imaginer des compositions différentes à chaque fois
Varier les profils des habitants
Accessoiriser le thème
Alterner les couleurs de fond
54. Les limites
Quand ils veulent TOUS être sur la photo
Quand le photographe travaille en format paysage
Quand les enfants sont agités (2 années de suite)
Quand on a personne pour la couv à J-2 du BAT…
… Et que ça se termine dans une banque d’images
55. Ce sont les habitants qui en parlent le mieux
Des témoignages en ouverture de dossier
L’action municipale du point de vue des habitants [concernés par le sujet]
Le lecteur s’identifie et rentre plus facilement dans le sujet
Un angle qui humanise d’emblée les sujets [même les plus « techno »]
59. Quelle place pour les élus ?
Des interventions sur les sujets importants
Un éclairage sur une politique publique ou une action municipale
Une place clairement identifiée dans la maquette : édito, tribunes et paroles d’adjoints
Un encadré de couleur pour mettre en valeur la parole de l’élu
63. Les résultats constatés
Un attachement plus fort : habitants disent « notre Chloroville »
et moins « le journal de la Mairie »
Le magazine a gagné en crédibilité
Les habitants sont fiers de s’y voir ou voir des gens qu’ils connaissent
Les habitants en parlent beaucoup plus entre eux et avec les élus
64. Les leviers d’amélioration et perspectives
Les axes d’évolution
Nouvel appel d’offres : quid de la maquette ?
Périodicité mensuelle > bimestrielle en 2023
67. Nouvelle formule depuis octobre 2021
1 rédactrice en cheffe, 1 chef de rubriques, 2
rédacteurs, 1 photographe
18 000 exemplaires et jusqu’à plus de 50 000 !
+ de 200 points de retraits dans toute la ville
68. 1er prix Cap’Com dans la catégorie « projet
éditorial » l’an dernier
On a fait une super à cette occasion grâce à notre
super service audiovisuel
Elle est visible sur mon profil Linkedin (vous
pouvez le consulter, je ne mords pas)
Bonjour. Je suis direction de l’information et de la communication de la ville de Gennevilliers. C’est une ville de la région parisienne, dans les Hauts de Seine. Elle compte 47 000 habitants. C’est une ville très jeune, populaire avec un riche patrimoine économique en particulier avec le 1e Port fluvial de France.
Mais je ne suis pas là pour une intervention sur le marketing territoiral, je vais vous parler de la refonte de notre magazine de com interne, Commun·E.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.
L’originalité de la démarche est qu’elle a été menée complètement en interne.
Piloté par la direction de la com
Echanges ont permis de poser les grandes lignes des orientations
Puis nous avons interrogé les agents sur leur perception de la communication interne, leur attente, leurs besoins.
Les résultats nous ont conforté dans le rôle central du magazine interne. Le précédent étant apprécié et bien identifié.
Fort de ces réponses et des orientations, le travail de l’équipe projet a pu démarrer. Rien d’exceptionnel. Quelques mois d’aller et retour, d’échange entre les graphistes et les rédacteurs, nous ont permis de arriver à la nouvelle version du journal interne.
4 questions nous ont particulièrement mobilisés.
le changement de nom . Conserver le même car il était bien repéré et correspondait à notre conception du rôle des agents au sein du service public ACTEURS. Ou marquer le renouveau, c’est ce que nous avons fait, avec Commun·E qui correspond autant à la volonté de Faire avec, adopte l’écriture inclusive, tout en faisant référence à notre échelon territorial.
La périodicité : le maintien d’un mensuel se confrontait au besoin de varier nos supports et d’avoir des formats plus souples. Nous avons donc décidé que le magazine serait bimestriel, qu’il rythmerait le calendrier éditorial de la com interne en alternance avec un second support, le Fil d’Actu, recto verso distribué avec les fiches de paie.
l’émetteur du journal interne. Il y avait confusion entre un édito signé par le DGS et un chemin de fer élaboré avec l’élu au personnel. Le travail sur la stratégie de com interne et le positionnement rédactionnel de chaque support, nous a permis de décider que l’émetteur de Commun·E serait la municipalité et que l’objectif premier du magazine serait de donner le sens de l’action publique..
La place des informations RH était aussi une difficulté car elles étaient précédemment traitées de façon très différenciées. Un magazine au sein d’une autre magazine. Désormais, elles ont été traitées comme les autres informations. On les retrouve au fil des pages. Elles s’intègrent pleinement au magazine.
A total, c’est une quinzaine de nouvelles rubriques sur 16 pages.
10 régulières
3 consacrées à l’actu (Tout le monde en parle, Cœur de métier, actu) qui valorise, informe.
2 consacrées aux infos RH
Un dossier de 4 pages, Cause commune, qui permet de décrypter une politique publique, une réorganisation.
3 qui permettent de travailler le sentiment d’appartenance, de faire du lien. (Vis ma vis, agent double)
Et puis 4 que l’on utilise en fonction des besoins
L’effet papillon pour partager et faire adopter
Le sigle aide à la vulgarisation.
Le coeur net dédiée au numérique
Taratata, c’est l’actu décalée, la rumeur que l’on veut déjouer.
Ce qui fait surtout l’originalité de notre magazine c’est la façon dont nous le fabriquons.
Calendrier éditorial partagé en amont avec le journaliste, la chargée de communication interne et la rédactrice en chef
Comité de rédaction piloté par la rédactrice en chef magazine et le journaliste. Il réunit l’élu au personnel, la chargé de com interne, le DRH et une dizaine de collègue à chaque fois.
A l’issue de l’enquête sur la com interne, 14 nouveaux collègues se sont engagés à participer au comité de rédaction. Vient qui veut. Les dates des comités de rédaction sont publiées. Certains sont « désignés » au sein de leur service, d’autres viennent juste parce qu’ils en ont envie.
A chaque comité de rédaction, on balaye le numéro précédent. On fait le point sur les sujets qui ont marché ou pas.
Puis on passe aux échanges sur le chemin de fer du magazine à venir. Chacun fait part des idées de sujets, des questions que les agents se posent et qu’il faudrait éclaircir mais aussi des idées pour nos rubriques « people ». Toutes les idées sont écoutées, discutées. Le calendrier éditorial est lui aussi partagé. Les sujets sont ensuite hiérarchisés et répartis dans les rubriques. A l’issue du comité de rédaction, le chemin de fer est adressé à la DGS et à moi-même car nous ne sommes pas membre du comité de rédaction et nous pouvons, si besoin, préciser les angles des sujets choisis.
Le travail rédactionnel commence. La réalisation des illustrations tout en image. La maquette. Puis les relectures et validation de la rédactrice en cheffe, la dir com, la DGS, la chargée de com interne et l’élu au personnel.
Le magazine est imprimé en interne.
Concernant les évolutions, nous avons déjà modifié le mode de distribution. Toujours nominatif mais avec un repiquage directement sur la UNE des coordonnées des agents. Cela nous évite une mise sous pli et une utilisation, que je qualifierais, d’abusive, d’enveloppe.
Nous avons aussi besoin de mon point de vue à gagner en confiance et en autonomie car le nombre de relecteur est important. Cela alourdit le temps de conception d’autant qu’il existe sur la com interne une certaine frilosité que l’on ne connait pas sur les supports de com externe.
Nous devrons surtout veiller à faire perdurer le comité de rédaction participatif, en accueillant régulièrement de nouveaux membres pour que le magazine soit réellement représentatif de notre collectivité. Notre objectif est de rester au plus proche de nos collèges et de leurs préoccupations.
Bonjour. Je suis direction de l’information et de la communication de la ville de Gennevilliers. C’est une ville de la région parisienne, dans les Hauts de Seine. Elle compte 47 000 habitants. C’est une ville très jeune, populaire avec un riche patrimoine économique en particulier avec le 1e Port fluvial de France.
Mais je ne suis pas là pour une intervention sur le marketing territoiral, je vais vous parler de la refonte de notre magazine de com interne, Commun·E.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.
L’originalité de la démarche est qu’elle a été menée complètement en interne.
Piloté par la direction de la com
Echanges ont permis de poser les grandes lignes des orientations
Puis nous avons interrogé les agents sur leur perception de la communication interne, leur attente, leurs besoins.
Les résultats nous ont conforté dans le rôle central du magazine interne. Le précédent étant apprécié et bien identifié.
Fort de ces réponses et des orientations, le travail de l’équipe projet a pu démarrer. Rien d’exceptionnel. Quelques mois d’aller et retour, d’échange entre les graphistes et les rédacteurs, nous ont permis de arriver à la nouvelle version du journal interne.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.
Elle a été menée en 2021. Après avoir revisiter notre stratégie globale de communication, nous avons engagé un travail sur la com interne.
Le besoin s’était fait sentir de plusieurs points de vue. Le début d’un nouveau mandat avec un axe politique très fort autour de l’invention d’un nouvel art de vivre populaire qui irrigue l’ensemble de nos politiques publiques et affirme très fortement une rupture écologique. Il y avait donc la nécessité de le partager avec les agents pour qu’ils se l’approprient.
L’arrivée d’une nouvelle DGS qui a voulu recentrer la mission com interne directement à la direction générale. Elle était préalablement à la DRH alors que la direction de l’information et de la communication est rattachée au cabinet de monsieur le maire. Les intentions de la DGS étaient également de s’adresser en proximité et directement aux agents.
Côté communication, nous voulions moderniser un magazine qui avoisinait les 10 ans, notamment sa maquette, faire du lien entre les supports et redéfinir leur rôle. Il s’agissait aussi d’intégrer les bouleversements de la crise sanitaire qui nous ont poussé à répondre dans l’urgence à des besoins en créant de nouveaux outils. Il fallait remettre du rythme et des repères.