Actions du vent sur les bâtiments selon lEurocode 1 – Partie 1-4.pdf
Comment allonger la période de pâturage en système allaitant ?
1. Space 2014
Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Comment allonger la période de pâturage en
élevage allaitant bovin et ovin ?
Patrice PIERRE, Eric POTTIER, Service Fourrages et
Pastoralisme, Institut de l’Elevage
Julien FORTIN, Chambre d’Agriculture des Pays de la Loire,
Ferme Expérimentale de Thorigné d’Anjou
2. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Deux dimensions :
- Le court terme : dans le cadre du système en
place, mieux valoriser l'herbe produite à moindre
coût
- Le long terme : maximiser la place du pâturage
dans le système de production
3. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Trois approches :
- Fourragère : adapter la ressource en
fonction du contexte
- Animal : adapter la conduite du pâturage
- Système : adapter la conduite du troupeau
4. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
DIVERSIFIER LES RESSOURCES FOURRAGERES POUR
ALLONGER LE PATURAGE EN SYSTÈME ALLAITANT
Approche Système
Patrice PIERRE
Service Fourrages et Pastoralisme
Institut de l’Elevage
Angers
5. Les conférences
2014
Space de l’Institut de l’Elevage
Trois périodes cibles pour allonger la durée du pâturage
Pâturer tôt
Limiter le
« trou» d’été
Sud (t MS/ha) 2,1 (31%) 3,4 (49%) 1,4 (20%)
Nord 2 (23%) 4,2 (47%) 2,7 (30%)
Pâturer tard
Source Référentiel croissance de l’herbe CRA Pays de la Loire
6. Les conférences
2014
Space de l’Institut de l’Elevage
Sur quels leviers agir pour allonger la durée du pâturage ?
• Renforcer le potentiel productif des prairies :
® Prairies multi-espèces
® Jouer la complémentarité entre les types des prairies
• Des reports sur pieds pour prolonger le pâturage en fin de printemps
• Oser le pâturage des legumineuses
• Attention au surpâturage en période estivale
• De l'herbe en automne et en hiver.
7. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Des prairies multi-espèces pour renforcer le potentiel
productif
• Un assemblage de 5 à 7 espèces, avec 2 à 3 légumineuses
• Avec l’objectif d’apporter des fonctions complémentaires à la
prairie en intégrant 5 facteurs :
• Le mode d’utilisation dominant
• Les conditions de milieu
• La durée de vie de la prairie
• Les performances recherchées : Equilibre rusticité / valeur nutritive
• La sociabilité des espèces : capacité à coexister
• Semis à la dose de : 26 à 29 kg/ha
• Dont 8 à 9 kg de légumineuses : moteur de la prairie
8. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
8
Les prairies multi-espèces produisent plus
1,9
2,1
1,5 1,6
1,2
2,5
2,0
1,5
1,0
0,5
0,0
Thorigné 1 Thorigné 2 Thorigné 3 Derval Jaillière
2001 - 2004 2005 - 2007 2005 - 2007 2000 - 2003 2003 - 2006
Ecart de rendement (T MS/ha)
Ecart entre la prairie multi-espèces la plus productive et le témoin : RGA -
TB à Thorigné d ’Anjou et à La Jaillière, RGA - Fétuque élevée - TB à Derval
9. Les conférences
Space 2014
Jouer la complémentarité entre les types de prairies
de l’Institut de l’Elevage
Identifier à l’échelle du parcellaire la contrainte sol des différentes parcelles
Avec deux objectifs :
Hiérarchiser les ilots de parcelles dans leur capacité productive
aux différentes périodes de la saison :
Au démarrage en végétation : prairie portante avec végétation précoce
En période estivale : prairies de fond, PME avec luzerne
En période automnale et hivernale : sur l’ensemble du parcellaire
Adapter la composition des prairies semées aux caractéristiques parcellaires
10. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Des stocks sur pieds riches en légumineuses pour
prolonger le pâturage en fin de printemps début d'été
• Des repousses feuillues avec des graminées peu remontantes
• Des repousses très riches en légumineuses (plus grande stabilité de
la valeur avec le vieillissement de la repousse)
• Des sols assez profonds pour limiter l’effet sénescence
Oser le pâturage des légumineuses
• Pâturer des repousses vieillies (5 semaines minimum plus riches
en tiges)
• Les mélanges avec des graminées réduisent les risques de
météorisation
• Faucher les refus après une pâture pour une repousse rapide.
• Eviter le piétinement en conditions humides.
11. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Préserver le potentiel des prairies en période de sécheresse
Etat hydrique
Forte température
Zone de sol nu = trou
Colonisation par des annuelles
Importance des vides est fonction de la pression de pâturage :
Pâturage continu > Pâturage tournant
Mortalité fonction du stade physiologique des plantes :
Sécheresse sévère -> dormance ->protection
Sécheresse modérée -> fragilise le couvert
Effet multi-espèces : robustesse plus grande du couvert en lien
avec le mode d’enracinement différent suivant les espèces
12. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
L’herbe d’automne
• La production des prairies qui s’étale d’Octobre à Décembre,
• Une production non négligeable : 1 à 2 t MS/ha avec une variabilité interannuelle
importante.
• Une croissance journalière de 15 à 40 kg MS/ha/jour
• Des reprises de végétations variables suivant les espèces
® Dactyle > Fétuque élevée > RGA
• Une nécessité physiologique pour les prairies
• Un facteur qualité pour la repousse du printemps.
Composition du 1er cycle selon la quantité d'herbe restée à l'automne
Quantité d'herbe
Quantité d'herbe
Pousse de
restée à l'automne
au 1er mars
printemps
VALORISER L’HERBE EN AUTOMNE ET EN HIVER
Herbe
d'automne
530 kg MS/ha
1 290 Kg MS/ha
1 830 kg MS/ha
1 960 kg MS/ha
71 %
34 %
29 %
66 %
Source :
I.T.C.F.
Herbe de
qualité
13. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
L’herbe d’hiver
La production des prairies qui s’étale de décembre à fin février
–Une production réduite par un facteur limitant : la baisse des températures
–De 0 à 15 kg MS/ha/jour
–Des espèces plus adaptées au froid : Fétuque des prés, Fléole, RGH
–Une qualité proche de celle de l’herbe d’automne
• En sortie hiver, le couvert est très feuillu et présente une structure différente de
celle du printemps (hauteur des gaines : 20% de la hauteur totale des plantes
contre 40% au printemps)
• Beaucoup de feuilles de qualité (0,96 UFL, 140 g PDIN)
• Un taux de MS plus élevé qu’au printemps (21% contre 13%) améliorant son
ingestibilité
• Des reports sur pieds vieillissants en cas d’arrêt
de la croissance
14. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
• Impacts du pâturage automnal
et hivernal
– Absence d’effet sur le rendement de la
prairie : décalage dans la reprise,
– Pas d’effet sur lessivage d’azote avec
chargement modéré,
– Matraquage et ouverture du couvert en cas de pâturage difficile,
– Une contrainte parfois difficile à surmonter : le défaut de portance
des parcelles
– Etablir un ordre de passage en fonction des conditions de
portance et des types de prairie :
• Prairie séchante > prairie humide
• PN > PT : sensibilité au « matraquage »
VALORISER L’HERBE EN AUTOMNE ET EN HIVER
15. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
DIVERSIFIER LES RESSOURCES FOURRAGERES POUR
ALLONGER LE PATURAGE EN SYSTÈME ALLAITANT
Approche Système
Patrice Eric POTTIER
PIERRE
Service Fourrages et Pastoralisme
Institut de l’Elevage
Angers
16. Les conférences
Space 2014
Adapter la conduite du troupeau
de l’Institut de l’Elevage
- organiser le sytéme de reproduction
- bonne adéquation entre la ressource prairiale et les
besoins du troupeau
mises bas de printemps
systèmes à deux périodes de mises bas
17. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Pottier et al, 2001
18. Les conférences
Space 2014
Adapter la conduite du troupeau
de l’Institut de l’Elevage
- organiser le sytéme de reproduction
- bonne adéquation entre la ressource prairiale et les
besoins du troupeau
mises bas de printemps
systèmes à deux périodes de mises bas
Vêlage à 30 mois
19. Les conférences
Space 2014
Adapter la conduite du troupeau
de l’Institut de l’Elevage
- organiser le sytème de reproduction
- bonne adéquation entre la ressource prairiale et les
besoins du troupeau
mises bas de printemps
systèmes à deux périodes de mises bas
En élevage ovin :
- retarder l'âge à la première mise à la reproduction
- adapter l'âge au sevrage
20. Les conférences
Space 2014
Valoriser des stocks sur pieds
de l’Institut de l’Elevage
1.En hiver
2.En été
21. Les conférences
Space 2014
Pâturer des stocks sur pieds en été :
de l’Institut de l’Elevage
ex de la conduite de JB à l'herbe
Pôle Herbivore de Bretagne / Mauron
22. Les conférences
Space 2014
Pâturer des stocks sur pieds en été :
de l’Institut de l’Elevage
ex de la conduite de JB à l'herbe
Pôle Herbivore de Bretagne / Mauron
23. Les conférences
Space 2014
Pâturer des stocks sur pieds :
de l’Institut de l’Elevage
- moins 200 kg de MS de fourrages conservés
- moins 40 kg de Concentré
- des croissances 10 % plus faibles, totalement
compensées au cours de l'hiver
- des couverts riches en légumineuses
- accepter de rentrer haut
adapter la technique du pâturage …
24. Les conférences
Space 2014
Allonger le pâturage en hiver :
de l’Institut de l’Elevage
Valoriser une ressource non négligeable ……
Hauteur de l'herbe
herbomètre (cm)
12
10
8
6
4
2
0
non pâturée
pâturée
2 parcelles
par traitement
3 ans consécutifs
Pâturage
1 er cycle
20 janv 19 févr 21 mars 20 avr
CIIRPO/Le Mourier
300 à 400 kg MS
25. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Comment allonger la période de
pâturage en troupeau allaitant?
Un pâturage organisé et raisonné
Julien FORTIN
Chambre d’agriculture du Maine et Loire
Ferme expérimentale de Thorigné d’Anjou
26. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Le pâturage au centre du système
La ferme expérimentale de Thorigné d’Anjou
Un système polyculture élevage conduit en AB
•Autonomie et sécurité alimentaire
•Performances animales élevées
Optimiser l’efficacité des UGB présents
Avoir un chargement adapté
Privilégier les prairies à flore variée
Optimiser la conduite au pâturage
Maximiser, allonger la période de pâturage
27. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Profiter au maximum de la pousse de l’herbe…
Pousse de l’herbe à Thorigné d’Anjou
Mise à
l’herbe
Pâturage
tournant
Préserver
les prairies
Catégories
animales
Flore variée
28. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Une mise à l’herbe précoce
•Faire pâturer sans détériorer la prairie
sur des parcelles portantes
des lots de taille adapté
hauteur d’herbe de 8 cm
20 jours d’avance
Déprimage: favorise le tallage, l’appétence et
améliore la qualité du fourrage récolté
•Une mise à l’herbe tardive
gaspillage par piétinement
productivité moindre
perte de qualité
Importance des
transitions alimentaires
1ère mise à l’herbe le 10 Mars 2014
génisses et boeufs de 22 mois
29. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Ciirpo 2008/2010
Une mise à l’herbe précoce ne pénalise pas la
productivité
30. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Les techniques de pâturage
cloisonné
libre
extensif libre
continu
intensif libre
full grass
rationné
dynamique
au fil
pâturage
Continu tournant
Tournant accéléré
CELLULAIRE
31. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Pâturage cloisonné – pâturage libre
32. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Impact de la technique de pâturage
•De nombreux essais en faveur du pâturage
tournant:
Performances zootechniques identiques
Ecarts de productivité: 10 à 20%
Allongement de la période de pâturage
Moindre recours aux stocks
D’autant plus adapté que la sécheresse est intense
Le pâturage tournant ça ne s’improvise pas…
33. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
La constitution des lots
Constituer des lots « homogènes » pour mieux gérer le
pâturage
difficulté en troupeaux allaitants
5 lots sur la ferme expérimentale:
Vêlages de printemps
Vêlages d’automne
Génisses et boeufs de 12 mois
Génisses à la reproduction + génisses pleines
Boeufs de 18 mois et boeufs de 24 mois
34. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Potentiel des
prairies
Charolaise Limousine
VP VA VP VA
Elevé 8 T de MS/ha 31 38 28 34
Moyen 6 T de MS/ha 41 50 37 46
Faible 4 T de MS/ha 62 76 56 68
Potentiel des
prairies
Poids à la mise à l’herbe
300 400 500 600
Elevé 8 T de MS/ha 13 16 19 22
Moyen 6 T de MS/ha 18 22 25 29
Faible 4 T de MS/ha 27 33 38 43
Charolaise
750 kg
Limousine
700kg
Veau VP
95 -100 kg
Veau VA
275 – 290 kg
Permet de faire la mise en lot: à adapter à la surface de l’îlot
35. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Hauteur d’entrée – hauteur de sortie
5 cm
talon
sortie de
parcelle
8 cm
cheville
hauteur
« idéale »
13-14
cm
bas du
mollet
entrée de
parcelle
15 cm
mi-mollet
circuit de
fauche
Si supérieur
↗ du gaspillage
Un équilibre entre performances animales et
productivité de la prairie
36. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Rythme de pâturage
•Durée moyenne de pâturage (8,4 jours)
sur la ferme expérimentale de Thorigné d’Anjou
Herbe disponible (hauteur d’entrée: 11,5cm±2,7)
Surface (entre 2,6 et 3,5 ha)
% de légumineuses
•Notion de jours d’avance
Hauteur d’herbe x densité x surface
Besoins
Valable à un instant donné
Permet de piloter le débrayage de parcelles
37. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Valorisation zootechnique
•Couples mère-veau vêlage automne
Performances printemps 2014 (17/03 au 16/06)
Reprise de poids des mères: +87 kg
Reprise de NE: +0,4
Croissances veaux mâles: 1198 g/j
Croissances veaux femelles: 1143 g/j
•Génisses en croissance (18-24 mois)
870 g/j
•Boeufs en croissance (18-24 mois)
820 g/j
38. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
En cas de sécheresse
•Laisser les parcelles se reposer
•Limiter le surpâturage
Permet un meilleur redémarrage des prairies
Améliore la pérennité des prairies
•Parcelle parking:
Chaume
Prairie à retourner
Mauvaise prairie
Aout 2013, Thorigné d’Anjou
39. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
Organisation du pâturage
1.Mise en lot des animaux
2.Calcul des besoins théoriques (en ha)
3.Identification des parcelles pour chaque lot
4.Division des parcelles en paddocks (4 à 5 par lot)
5.Mise à l’herbe des animaux
6.Suivi de la pousse de l’herbe
7.Débrayage de parcelle à partir de 15 jours d’avance
8.Affouragement éventuel
40. Les conférences
de l’Institut de l’Elevage
Space 2014
40
Allonger le pâturage passe par de
l’organisation, du suivi et de l’envie
Notes de l'éditeur
Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
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Il faut tout de suite planter le décor et préciser ce que l’on entend. Il me semble important de rappeler ici que l’aléas c’est pas que la sécheresse ce peut être beaucoup d’eau que l’on s’inscrit dans une évolution de réchauffement avec des aspects négatifs et d’autres positifs (variables selon le contexte de départ) comme des automnes et des printemps doux.
Mettre l’évolution du la qualité de l’herbe en fonction de la hauteur